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Eglise - Page 1602

  • Eglise catholique d'Allemagne : pas d'effondrement

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    "On" nous avait annoncé un cataclysme pour l'Eglise en Allemagne. La réalité est assez différente.

    Effectivement, 181.193 personnes ont souhaité ne plus payer l'impôt religieux en faveur de l'Eglise catholique. Cela veut-il dire qu'elles ont cessé de croire ou même de pratiquer? Il est clair que l'impact des affaires d'abus sexuels ont éloigné une partie des ouailles du clergé. Il n'est pas sûr que si la liberté m'en était laissée j'accepterais de verser une contribution pour le fonctionnement d'une institution qui est loin de me satisfaire et qui s'engage imprudemment dans la voie des indemnisations.

    En réalité, le nombre des nouveaux baptisés reste stable et l'Eglise catholique continue à devancer les luthériens qui sont au nombre de 24,2 millions (évaluation sur la base de "l'impôt religieux").

    source : http://www.la-croix.com/

  • La "géopolitique" du Vatican

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    "Diplomatie" consacre son quatrième numéro à la "géopolitique du Vatican". N'ayant pas encore eu l'occasion d'en examiner le contenu, nous vous le signalons à titre documentaire avec les précautions qui s'imposent. Parmi les auteurs : François Mabille et Annie Lacroix-Riz.

    Une amie nous met en garde : "Il faut lire ce numéro de DIPLOMATIE sur la géopolitique du VATICAN avec beaucoup de recul et de sens critique car il y a bien au moins 5 mensonges par page, sans compter le ton hargneux de certains journalistes et tous les poncifs habituels concernant l'Eglise."

    (Extrait de la présentation sur le site de "Diplomatie" :

    "...il existe une géopolitique du Vatican, d’abord parce qu’il s’agit d’un État qui s’inscrit dans une réalité internationale, dont il lui faut progressivement accepter les règles. Créatrice de normes durant des siècles, l’Église est confrontée à l’avancée des règlementations internationales. À titre d’exemple, pour éviter d’apparaître dans la liste grise des États, le Vatican est tenu de mettre en place une transparence financière. Le Vatican n’a pas abandonné son goût pour le renseignement et l’influence, comme l’atteste le choix d’élire Benoît XVI qui fut, 24 années durant, à la tête de la Congrégation pour la doctrine de la foi. Enfin, le Vatican est en conflit avec d’autres puissances, des conflits qui ne portent pas sur une lecture de la Bible, mais bel et bien sur qui contrôlera la population des catholiques.
    Approcher cette géopolitique recèle pourtant de nombreuses difficultés. Outre la difficulté d’accéder aux sources elles-mêmes et aux rares spécialistes de la question, les risques de simplification ou d’exagération sont nombreux. Autant d’écueils que la rédaction de Diplomatie a tenté d’éviter, en proposant une approche fondée sur la diversité des réalités, en toute indépendance.")

  • Rencontre entre les représentants des Eglises et la présidence polonaise de l'U.E.

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    La COMECE (Commission des Episcopats de la Communauté Européenne) communique (1/8/2011)

    "La réconciliation, le changement démographique et la famine en Afrique étaient à l’ordre du jour de la rencontre des Eglises avec la Présidence polonaise de l’UE

     

     

    Dans le cadre des rencontres régulières entre les Eglises et chaque nouvelle présidence tournante de l’UE, une délégation de représentants des Eglises polonaises et européennes a été reçue ce 28 juillet 2011 à Varsovie par le Ministre polonais des Affaires étrangères, Radosław Sikorski. Ils ont procédé à un échange de vues sur une série de sujets liés à l’agenda politique de la Présidence polonaise.

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  • Comment et pourquoi le pape résiste-t-il aux attaques venant de toute part?

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    C'est la question qu'aborde Sandro Magister dans sa chronique de cette semaine. Il trouve un éclairage intéressant dans un débat qui avait opposé en 1999 le cardinal Ratzinger au cardinal français Eyt.

    Introduction de S. Magister :

    "Au cœur de l’été, les attaques contre Benoît XVI, en provenance de l’extérieur et de l’intérieur de l’Église, ont brusquement repris de la vigueur.

    Venant de l’extérieur il y a eu l’attaque frontale – d’une violence sans précédent – du premier ministre irlandais Enda Kenny, qui a accusé la hiérarchie catholique, jusqu’à ses plus hauts niveaux, de protéger les prêtres pédophiles des foudres de la justice terrestre. Kenny a mis au banc des accusés Joseph Ratzinger lui-même pour cette phrase remontant à l’époque où il était encore cardinal : "Des normes de conduite qui sont appropriées à la société civile ou au fonctionnement d’une démocratie ne peuvent pas être appliquées purement et simplement à l’Église".

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  • L'idéologie du terroriste norvégien n'est pas "catho-compatible"

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    Guillaume de Prémare et Patrice de Plunkett en font la démonstration sur le site "urgence com'catho" (vendredi 29 juillet 2011)

    "Après le carnage provoqué par Anders Behring Breivik, présenté par les médias comme « fondamentaliste chrétien », il convient de décrypter les motivations affichées par le meurtrier norvégien. Y a-t-il un lien entre le christianisme et ce déchaînement de violence aussi soudain qu’inattendu ? Sur quelles bases idéologiques Breivik s’appuie-t-il ? Comment ces bases idéologiques peuvent-elles être appréhendées au regard de ce qu’est le christianisme ? La prose de Breivik lui-même, contenue dans un manifeste de 1500 pages qu’il a publié sur Internet, donne des éléments concrets pour répondre à certaines interrogations brûlantes..."

    lire la suite  : http://www.urgencecomcatho.com/

  • Un maître de spiritualité : saint Alphonse de Liguori (1er août)

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    artimage_383529_3338448_2011041031163.jpgAu cours de l'audience générale (30 mars 2011), Place St.Pierre, Benoît XVI a tracé un portrait de saint Alphonse de Liguori, évêque et docteur de l'Eglise, "un insigne théologien moraliste, un maître de spiritualité... Né dans une noble famille napolitaine en 1696, il fut un brillant avocat avant d'abandonner cette profession pour devenir prêtre en 1726". Puis le Pape a rappelé que saint Alphonse "entreprit une oeuvre d'évangélisation par la catéchèse parmi les plus pauvres, auxquels il aimait prêcher en leur présentant les fondements de la foi... En 1732, il fonda la Congrégation du Rédempteur" qui, sous sa direction forma des "missionnaires itinérants touchant jusqu'aux villages les plus isolés où ils encourageaient la conversion et la persévérance chrétienne, principalement par la prière".

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  • Corne de l'Afrique : on ne peut rester indifférent à la tragédie de la faim et de la soif

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    Sur Radio Vatican :

    "Au cours de l'Angélus de ce dimanche, Benoît XVI a lancé un appel à la mobilisation contre les périls qui menacent la Corne de l'Afrique.

    "Il est interdit de rester indifférent à la tragédie des affamés et des assoiffés" s'est-il exclamé dans son adresse en polonais aux fidèles réunis dans la cour du Palais Apostolique de Castelgandolfo pour la traditionnelle prière de l'Angélus.

    "Nous avons entendu dans l'Evangile de ce jour le récit du miracle de la multiplication des pains, avec lesquels Seigneur Jésus nourrit une foule affamée" rappelait Benoît XVI. Jésus "nous encourage à donner à manger" aux hommes qui ont faim et soif, "à partager le pain avec ceux qui en ont besoin". "A la suite du Christ, nous devons être sensibles à la pauvreté des peuples".

    Dans sa catéchèse en italien, le Pape dénonçait la situation vécue par les hommes et femmes de la Corne de l'Afrique, "qui pâtissent des conséquences de la famine, aggravées par la guerre et le manque d'institutions solides".

    Citant des passages de son livre "Jésus de Nazareth", Benoît XVI a enfin rappelé que "le Christ est attentif aux besoins matériels". Mais, explique le Pape, "il veut donner plus, parce que l'homme est toujours affamé de quelque chose en plus, il a besoin de quelque chose en plus. Dans le pain du Christ est présent l'amour de Dieu"."

    On peut aider notamment en soutenant le JRS : http://www.belgicatho.be/archive/2011/07/29/la-crise-humanitaire-somalienne.html

  • Buissonville (Rochefort) : l'affaire est grave et Mgr Vancottem ne peut se dérober

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    Suite à la parution des deux posts précédents, ICI et ICI, nous maintenons notre vigilance et nous demandons des réponses claires.

    L'abbé Gravet est très probalement un brave homme même si son comportement constitue un grave manquement à la loyauté à l'égard de l'Eglise catholique dont il se réclame; cependant, nous n'avons pas l'honneur de le connaître et nous ne voulons pas nous livrer à une querelle "ad hominem".

    L'objectivité des faits qui se sont produits dans le cadre de ce jubilé nous interpelle et soulève un certain nombre de questions auxquelles l'évêque, chargé de veiller sur les fidèles de son diocèse et d'éviter que des manquements graves, voire scandaleux, à la foi de l'Eglise ne s'y produisent.

    Les questions que nous posons sont les suivantes :

    - Un prêtre peut-il prendre des dispositions qui privent ses ouailles de la messe dominicale pour assister, en lieu et place de celle-ci, à une célébration de la Cène protestante, présidée par un ministre de l'Eglise réformée? 

    - Des prêtres catholiques peuvent-ils "concélébrer" avec un ministre du culte protestant, officiant ainsi dans le cadre d'un office éloigné de la foi de l'Eglise (dans la Présence substantielle du Christ dans l'Eucharistie notamment), plongeant ainsi les fidèles dans la confusion et en en scandalisant certains parmi eux?

    - L'évêque autorise-t-il un de ses prêtres à "monter" une opération spectaculaire (et médiatisée) destinée à susciter le débat et la contestation sur des positions clairement définies par l'Eglise : à savoir la nature du sacerdoce, le célibat sacerdotal, l'accès des femmes à la prêtrise?

    Nous ne lâcherons pas prise tant que des réponses claires n'auront pas été données à ces questions par l'évêque du diocèse concerné; à défaut, les congrégations romaines compétentes seront interpellées au sujet de cette affaire et invitées à donner aux fidèles les réponses auxquelles ils ont droit.

    A suivre, donc.

  • Provocation de Buissonville : le doyenné cautionne ?

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    Sur le blog du Doyenné de Rochefort, la célébration de la Cène dans l'église de Buissonville que nous avons rapportée ici était annoncée en ces termes :

    "Le dimanche 31 juillet 2011 en l’église de Buissonville à 10H45, nous fêterons les 60 ans de sacerdoce de l’Abbé Marcel Gravet.

    Dans un souci d’unité entre chrétiens, la Cène du Seigneur sera célébrée par Mme Annette Ruby, femme pasteur protestante en Alsace."

    http://www.doyennederochefort.be/pages/Dans_le_doyennecalendrier-1577549.html

    Sans titre.jpg

    Et voici (ci-contre) la parution de cette annonce dans le journal paroissial...


    Nous attendons la réaction de l'évêque, et à défaut de celle-ci, celle des autorités ecclésiastiques.

  • Egypte : l'appel à l'aide de 68 familles chrétiennes

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    Le Père Pascal Gollnisch, Directeur général de l'Oeuvre d'Orient lance cet appel :

    Mes chers amis,

    Le cardinal Antonios Naguib, Patriarche copte catholique, nous lance un appel à l’aide à travers un courrier bouleversant. Des salafistes ont en effet déclenché une attaque contre des chrétiens à 270 km au sud du Caire.

    Tout s’est déroulé en quelques heures. Le bruit a d’abord été lancé que des chrétiens avaient tué deux musulmans près d’Abou-Qorqas (ce qui était faux). Très vite, une foule hostile s’en est pris aux coptes du village. Et la violence a éclaté.

    Plusieurs morts, beaucoup de blessés et des dégâts matériels considérables sont à déplorer. Les magasins et les logements des chrétiens ont été pillés, incendiés. Des véhicules, des meubles … et même de maigres troupeaux ont disparu. C’était le 18 avril dernier.

    Depuis, 68 familles coptes catholiques vivent un véritable cauchemar ! Elles n’ont plus de toit, d’outil de travail, de ressources… « Localement nous avons collectés 17 857 € pour les secours urgents, mais les pertes s’élèvent à environ 400 000 €, nous dit le Patriarche. Nous vous serions tellement reconnaissants de l’aide que vous pourriez apporter à ces familles affligées ! »

    L’urgence est extrême ! Je vous lance un appel à mon tour. Nous devons nous mobiliser pour aider nos frères et sœurs d’Égypte. Nous devons tout faire pour soulager leur souffrance. Chaque élan du cœur, chaque euro leur est si précieux. Prions, donnons ! Soyons solidaires ! Avec mes remerciements les plus fraternels,

     Père Pascal Gollnisch

    http://www.oeuvre-orient.fr/page-egypte-68-familles-chretiennes-nous-appellent-a-l-aide-546.html?PHPSESSID=0f91d00c1b452ba5eaec276dcfa5baf9

  • 31 juillet : fête de saint Ignace

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    images.jpgSaint Ignace naquit au château de Loyola, en Espagne, l’an 1491, Innocent VIII étant Pape, Frédéric III empereur romain germanique et Charles VIII roi de France.

    Il fut d’abord page du roi Ferdinand V (de Castille, ou Ferdinand II Le Catholique, roi consort d’Aragon) puis, sa nature ardente s’accommodant mal de la vie molle et oisive de la cour, il embrassa la carrière des armes. Il ne le céda en courage à personne, mais négligea complètement de vivre en Chrétien, dirigé uniquement par l’orgueil et l’amour des plaisirs. De ce chevalier mondain, Dieu allait faire l’un des premiers chevaliers chrétiens de tous les âges.

    Au siège de Pampelune, un boulet de canon brisa la jambe droite du jeune officier, qui en peu de jours fut réduit à l’extrémité et reçut les derniers sacrements, la veille de la fête de saint Pierre. Il s’endormit ensuite et crut voir en songe saint Pierre, qui lui rendait la santé en touchant sa blessure. À son réveil, il se trouva hors de danger, quoique perclus de sa jambe. Pour se distraire, il demanda des livres ; on lui apporta la Vie de Jésus-Christ et la Vie des Saints. Il les lut d’abord sans attention, puis avec une émotion profonde. Il se livra en lui un violent combat ; mais enfin la grâce l’emporta, et comme des hommes de cette valeur ne font rien à demi, il devint, dans sa résolution, un grand Saint dès ce même jour.

    Il commença à traiter son corps avec la plus grande rigueur ; il se levait toutes les nuits pour pleurer ses péchés dans l’obscurité et le silence. Une nuit, il se consacra à Jésus-Christ par l’entremise de la sainte Vierge, refuge des pécheurs, et lui jura une fidélité inviolable. Une autre nuit, Marie lui apparut environnée de lumière, tenant en ses bras l’Enfant Jésus. Peu après, saint Ignace fit une confession générale et se retira à Manrèze, pour s’y livrer à des austérités qui n’ont guère d’exemple que dans la vie des plus célèbres anachorètes : vivant d’aumônes, jeûnant au pain et à l’eau, portant le cilice, il demeurait tous les jours six ou sept heures à genoux en oraison. Le démon fit des efforts étonnants pour le décourager, mais saint Ignace triompha de toutes les tentations.

    "Quand je pense à ce qui est du monde, je m'y complais beaucoup, mais quand je suis fatigué et que je cesse d'y penser, je me trouve aride et insatisfait ; en revanche, quand je rêve d'aller à Jérusalem nu-pieds, de ne plus manger que des herbes, de me livrer à toutes les austérités comme les saints, non seulement j'éprouve de grands élans intérieurs, quand je médite sur des pensées de ce genre, mais même après les avoir quittées, je reste satisfait et allègre."

    C’est dans cette solitude qu’il composa ses Exercices spirituels, l’un des livres les plus sublimes qui aient été écrits par la main des hommes. Passons sous silence son pèlerinage en Terre Sainte et différents faits merveilleux de sa vie, pour arriver à celui qui en est de beaucoup le plus important, la fondation de la Compagnie de Jésus, que l’on pourrait appeler la chevalerie du Christ et le boulevard de la Chrétienté. Cette fondation est assurément l’une des plus grandes gloires de l’Église catholique ; sciences profanes et sciences sacrées, enseignement, apostolat, rien ne devait être étranger à la Compagnie de saint Ignace. Les vertus du fondateur égalaient ses grandes œuvres ; elles avaient toutes pour inspiratrice cette devise digne de lui : Ad majorem Dei gloriam ! « À la plus grande gloire de Dieu ! »

    Il mourut à soixante-cinq ans, le 30 juillet 1556, Paul IV étant Pape, l’empereur Charles-Quint abdiquant cette même année et Henri II étant roi de France.

    ("Vie des Saints pour tous les jours de l'année, Tours, Mame, 1950).   http://www.mariedenazareth.com/2397.0.html?&L=0

  • Namur : l'évêque réagira-t-il à une provocation délibérée ?

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    Dans le secteur pastoral de Haversin, un prêtre a décidé de célébrer ses 85 ans et ses 60 ans de prêtrise d'étrange façon :

    "Ce dimanche 31 juillet (10 h 45), l’église de Buissonville sera probablement trop petite pour accueillir toutes les personnes qui viendront dire merci à leur ami Marcel. La cérémonie sera placée sur le thème de l’ouverture. « Dans un souci d’unité entre chrétiens, explique l’intéressé, la Cène du seigneur sera célébrée par Annette Ruby, qui est pasteur protestant en Alsace. Les prêtres qui le souhaitent pourront concélébrer. Voilà une démarche qui ne manquera pas de susciter des réactions que j’espère nombreuses. J’espère après coup, obtenir de nombreuses réponses à des questions du genre : comment avez-vous ressenti la célébration de la Cène par une femme mariée et mère de plusieurs enfants ? Qu’attendez-vous d’un prêtre ou d’un pasteur ? Quelles interpellations souhaitez-vous adresser aux plus hautes autorités de l’Église ? En rassemblant tous ces témoignages, nous espérons instaurer une réflexion profonde sur ces sujets et constituer un document à diffuser d’ici un an ou deux sous la forme la plus opportune. »

    source : http://www.lavenir.net/Article/Detail.aspx?articleID=DMF20110728_00027439

    Il ne reste que quelques heures. L'évêque laissera-t-il cet "office" se dérouler au mépris de toute cohérence pastorale et des exigences d'un sain oecuménisme qui ne peut tolérer l'ambiguité et le n'importe quoi. Nous sommes devant un acte grave qui ne peut avoir lieu sans une intervention adéquate de l'évêque, garant de la foi reçue des apôtres et de l'orthodoxie catholique dans son diocèse.