Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Foi - Page 1038

  • La figure du Christ telle que la voyait Rembrandt

    IMPRIMER

    b932a649cf47fbfacf6d65d00ffa8d17-bpfull.jpg

     

     

    Au Louvre, du 21 avril au 17 juillet 2011, une exposition à ne pas manquer :

    "Rembrandt et la figure du Christ"

    Présentation sur le site du Louvre : "L’exposition place en vedette l’un des chefs-d’œuvre du Louvre, Les Pèlerins d’Emmaüs, autour duquel gravitent différentes représentations du Christ, de la main de Rembrandt et de ses élèves.

    Lire la suite

  • C'est l'insensibilité envers Dieu qui nous rend insensibles au mal

    IMPRIMER

    Lors de l'audience générale de ce mercredi, évoquant la somnolence des apôtres qui accompagnèrent Jésus au Jardin des Oliviers, le Pape a ajouté que "c'est l'insensibilité envers Dieu qui nous rend insensibles au mal". Par sa mort, le Seigneur "sent toute la souffrance de l'humanité" (le calice qu'il doit boire). Sa volonté est subordonnée à la volonté du Père et transforme cette volonté naturelle en un oui à la volonté de Dieu.

    Entrer dans la volonté de Dieu, a-t-il ajouté, "n'est pas un esclavage, mais c'est entrer dans la vérité, dans l'amour et dans le bien. C'est diriger notre volonté avec celle de Dieu". Le drame de Gethsémaní c'est "Jésus, avec son angoisse, (qui) se charge du drame humain, de notre souffrance, de notre pauvreté et les fait devenir volonté de Dieu ouvrant ainsi la porte du Ciel". (Vatican Information Service)

  • Aujourd'hui, la prière s'élève de partout pour Asia Bibi et les victimes des persécutions

    IMPRIMER

    Des Clarisses de Lovere (Italie) aux Pauvres Dames de clôture de New York (Etats-Unis), de la communauté des franciscains de Thu Duc, à Hochiminh Ville (Vietnam) au Diocèse de Batouri (Cameroun), des Sœurs de Saint Joseph de Tarbes au Brésil aux Communautés chrétiennes de Nouvelle Zélande, des maronites du Liban aux orthodoxes d’Indonésie, aujourd’hui, 20 avril 2011, communautés, instituts religieux, associations, paroisses et fidèles de toutes les confessions chrétiennes prient pour Asia Bibi, en offrant des Messes, en allumant des cierges, en organisant des processions aux flambeaux et des Adorations eucharistiques.

    Lire la suite

  • L'évêque de Tournai souhaite que l'Eglise de Belgique envoie un signal clair

    IMPRIMER

    "Dans l'homélie qu'il a prononcée lors de la messe chrismale du diocèse de Tournai, le 19 avril dernier, Mgr Guy Harpigny est revenu sur les événements douloureux qui ont marqué l'Eglise de Belgique ces derniers mois. Pour lui, "il est urgent que les évêques et les supérieurs majeurs des congrégations religieuses" envoient un signal clair aux chrétiens, à l'ensemble de la société et surtout aux victimes d'abus sexuels.

    Lire la suite

  • Jérusalem : dix mille catholiques à la procession des Rameaux

    IMPRIMER

    Sur le site de l'Oeuvre d'Orient

    Dimanche 17 avril, environ 10 000 catholiques (selon la police israélienne et l’AFP) ont défilé pour la procession des Rameaux à Jérusalem, qui ouvre la Semaine Sainte. Comme à l’accoutumée, elle a tiré son long du Mont des Oliviers jusqu'à la Vieille ville. Une journée de joie religieuse et de fierté, celle d’être chrétien dans un pays blessé. Ambiance.

    La procession des Rameaux est chaque année l’un des grands moments de la vie des chrétiens de Terre sainte.

    Lire la suite

  • Le cardinal Barbarin intervient dans l'"affaire" de la prétendue oeuvre d'art exposée en Avignon

    IMPRIMER

    barbarin.jpgLe cardinal Philippe Barbarin, archevêque de Lyon et Primat des Gaules, a qualifié mardi d'"offense" la photographie de l'artiste américain Andres Serrano représentant un crucifix trempé dans l'urine, vandalisée dimanche à Avignon et a réclamé son "retrait".

    "C'est une offense, une blessure profonde pour nous, surtout en cette Semaine Sainte, car elle touche Celui qui nous "a aimés jusqu'à l'extrême", a estimé Mgr Barbarin dans un court texte adressé à l'AFP.

    Lire la suite

  • Comprendre la "théologie de la filiation" du Père Joseph Wresinski

    IMPRIMER

    couv9155g_260.jpg

    Un ouvrage d'Amaury Begasse de Dhaem sur l'anthropologie théologique du Père Joseph Wresinski vient d'être publié par les Editions du Cerf.

    Présentation :

    « Avant d'être des fils d'hommes, nous sommes des fils de Dieu. » Pour comprendre « la théologie de la filiation » de Joseph Wresinski, l'auteur trace d'abord son portrait théologique. Il laisse apparaître une théologie narrative de l'expérience ordonnée à l'action, enracinée dans une herméneutique de la vie, en va-et-vient entre le vécu des très pauvres et l'Évangile.

    Lire la suite

  • L'expérience d'une grande solitude

    IMPRIMER

    La Passion du Christ, comme la nôtre, n'est pas seulement l'expérience de la souffrance et de la mort, elle est surtout l'expérience d'une grande solitude. C'est Judas qui sort dans la nuit pour trahir. C'est Pierre, l'apôtre enthousiaste, qui renie son Maître. Dans nos vies, c'est l'heure où des êtres chers, des amis sur qui on comptait, nous abandonnent ou disparaissent.

    En grande solitude, Jésus ne joue pas aux héros. Son âme est profondément troublée. Il éprouve, tout comme nous, un sentiment de lassitude. Aussi, n'ayons pas honte d'avoir peur, voire, de connaître des moments de dépression ! Car, comme le dit Bernanos : « La peur est aussi la fille de Dieu, rachetée la nuit du jeudi saint. »

    Pourtant, Jésus n'est pas découragé, submergé par la peur. C'est l'heure où il se ressaisit. Abandonné de tous, il se sait toujours aimé du Père.

    Ainsi pour nous qui désirons vivre avec Dieu, les heures de pire solitude peuvent devenir, à notre insu, les heures de la plus grande communion. (Retraite dans la Ville)

  • L'homme au point d'intersection de deux champs de gravitation

    IMPRIMER

    "Dans son homélie du dimanche des Rameaux, Benoît XVI a commenté un concept développé par les Pères de l’Église, à savoir que l’homme se tient au point d’intersection entre deux champs de gravitation, entre le poids qui le tire vers le bas, vers l’égoïsme, le mensonge et le mal et l’amour de Dieu qui le tire vers le haut. Le Pape a relevé que, depuis toujours, et aujourd’hui plus que jamais, les hommes ont été remplis du désir d’être comme Dieu. Nombreuses sont les choses que l’humanité a pu réaliser : nous sommes capables de voler. Nous pouvons nous voir, nous écouter et nous parler d’un bout à l’autre du monde. Toutefois, la force de gravité qui nous tire vers le bas est puissante. Avec nos capacités, ce n’est pas seulement le bien qui a grandi. Les possibilités du mal ont aussi augmenté et se présentent comme des tempêtes menaçantes au dessus de l’histoire. Nos limites aussi sont restées : il suffit de penser aux catastrophes qui, ces derniers mois, ont affligé et continuent d’affliger l’humanité. Les grandes conquêtes de la technique ne nous rendent libres et ne sont des éléments du progrès de l’humanité que si nos mains deviennent innocentes et notre cœur pur, si nous refusons le mensonge, si nous sommes à la recherche de la vérité et de Dieu lui-même, si nous nous laissons toucher et interpeller par son amour, si nous reconnaissons avec humilité que nous devons être attirés vers le haut, si nous abandonnons l’orgueil de vouloir nous-mêmes nous faire Dieu. Nous avons besoin de Lui : il nous tire vers le haut, étant soutenus par ses mains, c’est-à-dire dans la foi – il nous donne la juste orientation et la force intérieure qui nous élève vers le haut. Nous avons besoin de l’humilité de la foi qui cherche le visage de Dieu et se confie à la vérité de son amour. Le cœur est le centre de l’homme où s’unissent l’intellect, la volonté et le sentiment, le corps et l’âme. Tout seuls, nous sommes trop faibles pour élever notre cœur jusqu’à la hauteur de Dieu. L’orgueil de pouvoir le faire tout seuls nous tirer vers le bas et nous éloigne de Dieu. C’est Jésus Christ qui nous élève à la hauteur de Dieu malgré toute notre misère.

    source : radio Vatican

  • Quand la passion du Christ se poursuit aujourd'hui...

    IMPRIMER

    Est-ce un hasard si, à l'approche des célébrations qui nous rappellent la passion du Christ, d'aucuns s'ingénient à organiser une exposition qui offense gravement la foi des croyants?

    Est-ce vraiment un hasard si, à quelques jours de Pâques, un évêque indigne attise à nouveau le scandale dont il est personnellement responsable, causant un préjudice irréparable à d'innocentes victimes et souillant à nouveau la figure du Christ et de l'Eglise?

    Est-ce un hasard encore si, dans le même contexte, la presse belge remet à la une les tristes exploits de religieux dévoyés?

    Tous ces faits réactualisent les souffrances du Christ et nous y associent de façon particulièrement vive. A nous d'assumer ces épreuves sans jamais perdre de vue que la lumière de Pâques dissipe ces ténèbres et que c'est par sa mort que le Christ a vaincu la mort.

  • Dimanche des Rameaux

    IMPRIMER

    Giotto._Christ_Entering_Jerusalem._1304-1306._Fresco._Capella_degli_Scrovegni_Padua_Italy._jpeg.jpgSix jours avant la Pâque juive, Jésus retourne à Jérusalem. La foule a tapissé le sol de Rameaux verts pour acclamer Jésus lors de son entrée dans la ville.

    C’est en mémoire de ce jour que les catholiques portent des rameaux (de buis, oliviers, lauriers ou palmiers, selon les régions). Ces rameaux, une fois bénis, sont tenus en main par les fidèles qui se mettent en marche, en procession : marche vers Pâques du peuple de Dieu à la suite du Christ.

    Le dimanche qui précède la fête de Pâques, appelé « dimanche des Rameaux et de la Passion », l’Église célèbre solennellement, avant la messe, l’entrée messianique du Seigneur à Jérusalem, telle que les quatre évangiles la rapportent : « La foule nombreuse venue pour la fête apprit que Jésus venait à Jérusalem ; ils prirent les rameaux des palmiers et sortirent à sa rencontre et ils criaient : Hosanna ! Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur » (Jn 12, 12-13).

    Lire la suite

  • Le Christ donne sa vie pour ses ennemis

    IMPRIMER

          Méditons profondément sur l'amour du Christ notre Sauveur, qui « a aimé les siens jusqu'au bout » (Jn 13,1), à tel point que pour leur bien, volontairement, il a souffert une mort douloureuse et a manifesté le plus haut degré d'amour qui puisse exister. Car il a dit lui-même : « Il n'y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ses amis » (Jn 15,13). Oui, c'est bien là le plus grand amour qu'on ait jamais montré. Et pourtant notre Sauveur en donna un plus grand encore, car il donna cette preuve d'amour à la fois pour ses amis et pour ses ennemis.

    Lire la suite