Je veux mourir vivant !
ISBN : 978-2-35389-142-9 - Parution : 02-2011
Interview de l'abbé lelièvre sur Zenit : http://www.zenit.org/article-27427?l=french
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Je veux mourir vivant !
Cette erreur est dûe au simple oubli d'une négation dans un paragraphe, ont expliqué Mgrs Christophe Dufour, président de la Commission épiscopale pour la catéchèse, et André Dupleix, secrétaire-général adjoint de l'épiscopat.
A l’audience générale, ce mercredi, Benoît XVI a proposé une réflexion sur la sainteté chrétienne. S’adressant à quelque 12.000 personnes massées sur la place Saint-Pierre, le Pape a les a invitées à suivre l’exemple des saints dans leurs décisions quotidiennes. (...) Benoît XVI a appelé les fidèles à ne pas avoir peur de s’ouvrir à l’action du Saint Esprit qui transforme notre vie. Laissons-nous guider par Dieu même si nous nous sentons inaptes – a-t-il dit- Il saura nous transformer selon son amour. C’est Dieu qui nous rend saints ; notre destin est indissolublement lié au sein ; Il nous demande de vivre les exigences que cela comporte. Le Pape a par ailleurs exhorté à la prière quotidienne et à la pratique de la messe dominicale. Il ne s’agit pas d’une corvée supplémentaire mais de quelque chose qui peut éclairer toute la semaine.
Asia Bibi, la mère de famille pakistanaise condamnée à mort pour présumé blasphème et incarcérée à Sheikupura (Punjab) remercie la Fondation Masihi et tous ceux qui prieront pour elle dans le cadre de la « Journée spéciale de Prière » du 20 avril, indique l’agence vaticane Fides.
Au même moment, les défenseurs d’Arif Masih, chrétien de 40 ans arrêté dans la zone de Faisalabad sous la même accusation de blasphème demandent sa « remise en liberté immédiate ». Grâce à l’intervention de la Fondation Masihi qui a officiellement accepté de le défendre, les avocats cherchent à venir à bout d’une affaire qui semble très ambiguë. Entre temps, la famille d’Arif a été transférée à Lahore pour raisons de sécurité.
Mercredi prochain, le 20 avril prochain, les communautés chrétiennes du monde sont invitées à se souvenir d’Asia Bibi et des victimes innocentes de la loi sur le blasphème (Cf. Fides 12/04/2011).
Au Japon, blessé par les terribles événements naturels et touché par le désastre nucléaire, on assiste à un fort réveil religieux. C’est ce qu’indique à l’Agence Fides le Père Olmes Milani, CS, missionnaire scalabrinien résident à Tokyo et observateur attentif de la réalité japonaise. « On constate un évident retour à la prière et aux valeurs spirituelles dans une société normalement considérée comme matérialiste et basée seulement à la production et sur le profit » remarque le missionnaire. Selon les sondages – poursuit-il – 86% des japonais ne croient en rien mais « la catastrophe qui a touché le pays a réveillé les consciences, les besoins et les valeurs spirituelles. Les gens s’arrêtent pour prier dans les sanctuaires bouddhistes et shintoïstes. Tous prient : les volontaires de l’armée comme les victimes du tsunami à qui l’on porte assistance. Dans nos églises catholiques aussi, on constate un afflux de personnes qui ne sont pas catholiques mais s’arrêtent en prière » raconte le Père Olmes. « Des valeurs telles que la fraternité et la solidarité gagnent du terrain – note le missionnaire – face à l’individualisme exaspéré qui domine les rapports sociaux ». C’est pourquoi, « tous sont convaincus que cette tragédie aura un fort impact sur la société japonaise de l’avenir : les Japonais seront plus ouverts et mieux disposés, y compris envers les étrangers ».
A de rares exceptions, les cosmonautes russes sont tous des croyants, a indiqué leur confesseur orthodoxe dans un entretien mardi au quotidien populaire Moskovski Komsomolets.
"Depuis 2006 seuls deux cosmonautes se sont dits athées et ont refusé ma bénédiction" avant de partir dans l'espace, a indiqué le père Iov, supérieur de l'église de la Transfiguration à la Cité des étoiles, le centre de formation des cosmonautes près de Moscou.
Nous vous invitons, une fois de plus, à vous rendre sur le site "Benoît et moi" qui verse au "dossier Vatican II" de nouvelles pièces et, en particulier, la traduction d'un assez long texte de Francesco Agnoli intitulé : "Concile Vatican II. Un problème complexe".
Extrait :
"L'idée qu'on ne doit pas "condamner", qu'on doit toujours dialoguer à outrance, qu'il faut faire voyager l'Eglise avec le monde, a fait son chemin, conduisant aux "catholiques pour le marxisme", aux "catholiques pour le divorce", aux "catholiques pour l'avortement", aux catholiques relativistes ("moi pas, mais les autres ..."), aux "catholique adultes", et ainsi de suite. Non pas à la paix de l'Eglise avec le monde, comme c'est de plus en plus clair aujourd'hui, mais à la discorde entre les croyants eux-mêmes. Un exemple parmi d'autres: l'absence d'excommunication du communisme par les Pères conciliaires, malgré la pétition de 450 d'entre eux, au moment où les persécutions étaient immenses et où cette idéologie de mort dévastaient des populations entières, répond précisément à cet optimisme irréaliste, et à une mentalité qui, voulant se distancier de l'habitude des anathèmes du passé, croit, il me semble naïvement, que le dialogue avec le monde est la solution possible, indolore et efficace, pour la rédemption de l'humanité."
A propod de la Croatie qui intégrera bientôt pleinement l'Union européenne, Benoît XVI a déclaré : "Cette intégration devra se faire dans le plein respect des spécificités croates, de sa vie religieuse et de sa culture. Il serait illusoire de vouloir renier sa propre identité pour en rejoindre une autre qui est née dans des circonstances si différentes de celles qui ont vu naître et se construire celle de la Croatie. En entrant dans l'Union européenne, votre pays ne sera pas uniquement récipiendaire d'un système économique et juridique qui a ses avantages et ses limites, mais il pourra également apporter une contribution propre et typiquement croate. Il ne faudra pas avoir peur de revendiquer avec détermination le respect de sa propre histoire et sa propre identité religieuse et culturelle. Des voix chagrines contestent avec une stupéfiante régularité la réalité des racines religieuses européennes. Il est devenu de bon ton d'être amnésique et de nier les évidences historiques. Affirmer que l'Europe n'a pas de racines chrétiennes, équivaut à prétendre qu'un homme peut vivre sans oxygène et sans nourriture... Je suis certain que votre pays saura défendre sa propre identité avec conviction et fierté en évitant les nouveaux écueils qui se présenteront et qui, sous prétexte d'une liberté religieuse mal comprise, sont contraires au droit naturel, à la famille, et à la morale tout simplement". (Vatican Information Service)
Alors que chez nous ou ailleurs les responsables ecclésiastiques se prêtent à des démonstrations religieuses de plus ou moins bon aloi, un autre point de vue :
« Nous ne pouvons pas parler de discrimination mais de respect pour le peuple ». C’est par ces mots que S.Exc. Mgr Luis Sainz, Archevêque auxiliaire de Cochabamba et Président de la Commission épiscopale pour l’Education, a commenté les récentes déclarations du Président Evo Morales qui a affirmé que l’Eglise catholique discrimine les autres religions parce qu’elle ne participe pas aux cérémonies interreligieuses organisées par le gouvernement.
« Moi non plus, je ne te condamne pas »
Un psaume dit : « Instruisez-vous, juges de la terre » (Ps 2,10). Ceux qui jugent la terre sont les rois, les gouverneurs, les princes, les juges proprement dits... Qu'ils s'instruisent, car il s'agit de la terre qui juge la terre, mais elle doit craindre celui qui est au ciel. Ils jugent leur égal : un homme juge un homme, un mortel un mortel, un pécheur un pécheur. Si notre Seigneur faisait retentir au milieu de ces juges cette sentence divine : « Que celui qui est sans péché lui jette la première pierre », est-ce que tous ceux qui jugent la terre ne seraient pas saisis de tremblement ?
Aux pharisiens qui, pour le tenter, lui avaient amené une femme surprise en adultère...Jésus a dit : « Vous voulez lapider cette femme comme la Loi le prescrit. Eh bien, que celui d'entre vous qui est sans péché lui jette la première pierre ». Pendant qu'ils le questionnaient, il écrivait sur la terre, pour « instruire la terre » ; mais quand il leur a donné cette réponse, il a levé les yeux, « il a regardé la terre et elle a tremblé » (Ps 103,32). Les pharisiens, confus et tremblants, s'en vont l'un après l'autre...
La pécheresse reste seule avec le Sauveur : la malade avec le médecin, la grande misère avec la grande miséricorde. Regardant cette femme, Jésus lui dit : « Personne ne t'a condamnée ? -–Personne, Seigneur »... Mais elle reste devant un juge qui est sans péché. « Personne ne t'a condamnée ? -–Personne, Seigneur, et si toi-même tu ne me condamnes pas, je suis en sûreté ». Silencieusement, le Seigneur répond à cette inquiétude : « Moi non plus, je ne te condamne pas... La voix de leur conscience a empêché tes accusateurs de te punir ; la miséricorde m'incite à venir à ton secours ». Méditez ces vérités, et « instruisez-vous, juges de la terre ». (EAQ)
Saint Augustin (354-430), évêque d'Hippone (Afrique du Nord) et docteur de l'Église
Sermon 13
Interview du P. Denis Broussat, exorciste du diocèse de Perpignan
ROME, Vendredi 8 avril 2011 (ZENIT.org) - Alors qu'une semaine de formation sur l'exorcisme, organisée sous la direction de la Congrégation pour le culte divin et de la Congrégation pour le clergé, vient de se conclure à Rome, ZENIT s'est intéressé au livre intitulé Le Rite - La formation d'un exorciste au Vatican.
Jésus lui dit :
« Moi, je suis la résurrection et la vie.
Celui qui croit en moi, même s'il meurt, vivra ;
et tout homme qui vit et qui croit en moi ne mourra jamais.
Crois-tu cela ? » (Jean, 11)
et pendant ce temps-là, le "Salon de la Mort" vient d'ouvrir ses portes à Paris...