Le site de la Fraternité Eucharistein reproduit l’homélie de Monseigneur Rey, évêque de Toulon, venu ordonner deux nouveaux prêtres à Orsières (Suisse) en mai dernier. On peut profiter de ce temps de vacances pour lire attentivement ce texte lumineux qui dévoile les exigences mais aussi la saveur d’un sacerdoce réellement enté sur celui du Christ. Un véritable antidote pour tous ceux, clercs ou laïcs, qui, aujourd’hui, n’aperçoivent plus l’identité réelle du prêtre :
« Frères et Soeurs,
Yves et Grégoire, qui vont recevoir les ordres sacrés, s’allongeront dans quelques instants à même le sol, de tout leur long. Portés par la litanie des saints et juste avant l’imposition des mains, ce geste de prostration soulignera leur oblation totale pour le service de l’Eglise. Cette mise à terre est en réalité une mise à mort à soi-même, un ensevelissement, une déposition de soi, une remise de leur corps, pour que, saisis par l’Esprit Saint, ils soient désormais l’instrument de la grâce de Dieu. En assumant librement ce choix du célibat, le prêtre exerce son ministère par tout son être, par les ressources de son corps, et en particulier avec tous les sens de son corps.
Les éditions Fidélité proposent un ouvrage nuancé du Père Christian W. Troll s.J., intitulé "Que répondre aux musulmans ?"
A propos des JMJ et pour répondre aux commentaires parfois négatifs que l'on en fait, Sandro Magister (
Sans s’y référer explicitement, le journal « La Croix » du 7 août contextualise ce résultat en se référant à une autre enquête de l’Ifop, datant de 2010 (pour l’opinion, une année c’est l’éternité).