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Foi - Page 1057

  • Evangile du jour : ce que Dieu a uni, que l'homme ne le sépare pas !

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    Des pharisiens l'abordèrent et pour le mettre à l'épreuve, ils lui demandaient : « Est-il permis à un mari de renvoyer sa femme ? » Jésus dit : « Que vous a prescrit Moïse ? » Ils lui répondirent : « Moïse a permis de renvoyer sa femme à condition d'établir un acte de répudiation. » Jésus répliqua : « C'est en raison de votre endurcissement qu'il a formulé cette loi. Mais, au commencement de la création, il les fit homme et femme. A cause de cela, l'homme quittera son père et sa mère, il s'attachera à sa femme, et tous deux ne feront plus qu'un. Ainsi, ils ne sont plus deux, mais ils ne font qu'un. Donc, ce que Dieu a uni, que l'homme ne le sépare pas ! » De retour à la maison, les disciples l'interrogeaient de nouveau sur cette question. Il leur répond : « Celui qui renvoie sa femme pour en épouser une autre est coupable d'adultère envers elle. Si une femme a renvoyé son mari et en épouse un autre, elle est coupable d'adultère. »(Marc 10,1-12)

  • Madrid - JMJ 2011

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    JMJ 2011 Madrid
    envoyé par jmj2011madrid. - Regardez les vidéos des stars du web.

  • Dans les environs de Beauraing : la Marche des Mères

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    Dépêche cathobel 24/2/2011 :

    26-27 mars

    Prendre du temps pour soi, pour prier, pour se recentrer sur sa spiritualité, ... Les mères de famille (souvent nombreuse) attendent avec impatience ce week-end qui les rassemble et les nourrit.

    "Autour de toi il a fait sa demeure", tel est le thème choisi pour cette sixième édition.

    Ces deux journées se déroulent en marchant aux alentours de Beauraing. Des temps de prière, de recueillement, mais aussi de partages et de témoignages sont prévus, en alternance.

    Chacune des mamans (ou mamans en devenir) est accueillie avec son vécu, sans obligation particulière de pratique religieuse.

    Dans l'équipe organisatrice, on retrouve la communauté de l'Emmanuel, l'équipe de Rencontres pour Femmes, des membres de la communauté de Tibériade, ainsi que des mères de famille enthousiastes. C'est à Tibériade qu'aura lieu l'envoi sur les chemins, tandis que le week-end se clôturera à Beauraing même.
    Un trajet en bus est assuré, au départ de Bruxelles et Namur.

    Dates : du 26 au 27 mars 2011

    Informations : fc.decaix@gmail.com ou 02.343 87 00 - 0486. 63 35 10 ou 0494. 33 46 63

  • Une femme abusée par le mouvement « roman catholic women priests » abjure son hérésie

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    norma-jean-coon.jpgC’est le cas de Norma Jean Coon (Etats-Unis) dont voici l’« Acte de renonciation à l’ordination diaconale ».

    « Le 22 juillet 2007, j’ai été ordonnée au diaconat par l’ « évêque » Patricia Fresen d’Allemagne et d’Afrique du Sud, qui fut ordonnée par trois évêques hommes en Allemagne pour le groupe nommé Roman Catholic Women Priests [femmes prêtres catholiques romaines]. L’ordination se déroula à l’Immaculate Heart Spiritual Center de Santa Barbara [Californie]. Parce que ni Patricia Fresen ni moi-même n’avions reçu d’autorisation pour cette ordination du pape Benoît XVI, les ordinations étaient illégitimes et non reconnues par l’Église catholique romaine. En conséquence, une excommunication dite Latæ Sententiæ survint, une auto-excommunication par manque d’observance du droit canonique de l’Église.

    « J’entends renoncer à cette supposée ordination et déclarer publiquement que je n’ai pas agi en tant que diacre dans le cadre de groupe sauf en deux occasions quand j’ai lu l’Évangile une fois à la messe puis distribué la communion une fois lors de cette même messe. J’ai quitté le programme deux semaines après cette cérémonie parce que je me suis rendu compte que j’avais commis une erreur en étudiant pour devenir prêtre. Je reconnais la vérité contenue dans la Lettre apostolique du pape Jean-Paul II Ordinatio Sacerdotalis. Je reconnais l’autorité du Saint Père sur ces questions d’ordination et je reconnais que le Christ à fondé l’ordination uniquement pour des hommes.

    « Formellement, je renonce à tout lien avec le programme des Roman Catholic Women Priests et je désavoue publiquement la soi-disant ordination tout en m’excusant auprès de ceux dont j’ai pu offenser ou scandaliser l’existence par mes actes. J’implore la bénédiction de Dieu sur toutes ces personnes et leurs familles.

    Norma Jean Coon, RN, MFCC, PhD

    Le mardi 8 février 2011 ».

    C’est ici, sur Americatho : Bouleversante repentance d’une Américaine abusée par les « Roman Catholic Women Priests »

  • Agissons pour libérer Said Musa

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    Nous relayons cet appel paru sur "l'observatoire de la christianophobie"

    Le Fonds Barnabas (site), qui vient en aide aux chrétiens persécutés a lancé une pétition demandant instamment aux gouvernements occidentaux de faire pression sur le président afghan Hamid Karzai pour qu’il relâche Said Musa et pour que les chrétiens ne soient plus emprisonnés ou exécutés. L’organisation conservatrice espagnole HazteOir (site) a également lancé une pétition pour la libération de notre frère dans la foi. Idem pour l’American Family Association (site).

    Il nous reste la possibilité d'adresser une lettre ou un mail à l'ambassadeur d'Afghanistan en Belgique

    « Monsieur l’Ambassadeur,

    j’ai appris que Said Musa, un Afghan chrétien de 45 ans, marié et père de 6 enfants, risquait d’être exécuté d’un jour à l’autre à cause de sa foi chrétienne, au mépris de la liberté de l’acte de foi, de la constitution de la République islamique d’Afghanistan et des droits de l’homme.

    Said a été torturé en prison, humilié, privé de sommeil pendant plusieurs semaines et abusé sexuellement. On a tenté de le forcer à se convertir à l’islam et il ne bénéficie pas de l’aide d’un avocat. Malgré ce traitement inadmissible reçu dans votre pays, il déclare sereinement

    « La fraternité entre frères et entre sœurs, la douceur, l’humilité et chose la plus importante, le fait d’aimer nos ennemis comme nous-mêmes. »

    Aujourd’hui, j’ai honte pour votre pays, l’Afghanistan, honte pour la Belgique et pour la Communauté Européenne qui ne fait rien pour sauver Said et vous demande, Monsieur l’ambassadeur, d’intervenir pour que soit respectée la liberté de l’acte de foi de tous les chrétiens d’Afghanistan et que Said Musa soit libéré.

    Faute de quoi, je me verrai dans l’obligation d’attirer l’attention des médias sur les pratiques honteuses de l’Afghanistan.

    Veuillez agréer, Monsieur l’Ambassadeur, l’assurance de mes sentiments respectueux.

    Votre prénom et votre nom

    Coordonnées de l'Ambassade du Afghanistan à Bruxelles
    Adresse    61, avenue de Wolvendael
    B-1180 Bruxelles Belgique
    Téléphone    local: (02) 761.3166
    international: +32.2.761.3166
    Fax    local: (02) 761.3167
    Email : ambassade.afghanistan@skynet.be

     

  • Du visage du Dieu fait homme au visage de l'autre

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    mEp3bqoTGqs63chjYgkry08vo1_500.jpg"Méditer sur le mystère du visage de Dieu et de l'homme est une voie privilégiée qui conduit à la paix. En effet, celle-ci commence par un regard respectueux, qui reconnaît dans le visage de l'autre une personne, quelle que soit la couleur de sa peau, sa nationalité, sa langue, sa religion. Mais qui, sinon Dieu, peut garantir, pour ainsi dire, la « profondeur » du visage de l'homme? En réalité, ce n'est que si nous possédons Dieu dans notre cœur, que nous sommes en mesure de saisir dans le visage de l'autre un frère en humanité, non pas un moyen mais une fin, non pas un rival ou un ennemi, mais un autre moi-même, une facette du mystère infini de l'être humain. Notre perception du monde et, en particulier, de nos semblables, dépend essentiellement de la présence en nous de l'Esprit de Dieu. C'est une sorte de « résonance »: celui qui a le cœur vide, ne perçoit que des images plates, privées d'épaisseur. En revanche, plus nous sommes habités par Dieu, et plus nous sommes également sensibles à sa présence dans ce qui nous entoure: chez toutes les créatures, et en particulier chez les autres hommes, bien que parfois le visage humain lui-même, marqué par la dureté de la vie et du mal, puisse être difficile à apprécier et à accueillir comme épiphanie de Dieu. C'est donc à plus forte raison que, pour nous reconnaître et nous respecter tels que nous sommes réellement, c'est-à-dire des frères, nous avons besoin de nous référer au visage d'un Père commun, qui nous aime tous, malgré nos limites et nos erreurs.

    Dès l'enfance, il est important d'être éduqués au respect de l'autre, même lorsqu'il est différent de nous. L'expérience est désormais toujours plus fréquente de classes scolaires composées d'enfants de plusieurs nationalités, mais même lorsque ce n'est pas la cas, leurs visages sont une prophétie de l'humanité que nous sommes appelés à former: une famille de familles et de peuples. Plus ces enfants sont petits et plus ils suscitent en nous la tendresse et la joie en raison d'une innocence et d'une fraternité qui nous apparaissent évidentes: malgré leurs différences, ils pleurent et rient de la même façon, ils ont les mêmes besoins, ils communiquent spontanément, ils jouent ensemble... Les visage des enfants sont comme un reflet de la vision de Dieu sur le monde. Pourquoi alors faire disparaître leurs sourires? Pourquoi empoisonner leurs cœurs? Malheureusement, l'icône de la Mère de Dieu de la tendresse trouve une réciproque tragique dans les images douloureuses de tant d'enfants et de leurs mères en proie à la guerre et aux violences: personnes déplacées, réfugiés, migrants forcés. Des visages creusés par la faim et les maladies, des visages défigurés par la douleur et par le désespoir. Les visages des petits innocents sont un appel silencieux à notre responsabilité: face à leur condition sans défense, toutes les fausses justifications de la guerre et de la violence s'effondrent. Nous devons simplement nous convertir à des projets de paix, déposer les armes en tous genres et nous engager tous ensemble à construire un monde plus digne de l'homme."

    Benoît XVI, 1er janvier 2010

  • Un évangile très actuel

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    Jésus disait à ses disciples : " Celui qui vous donnera un verre d'eau au nom de votre appartenance au Christ, amen, je vous le dis, il ne restera pas sans récompense.

    Celui qui entraînera la chute d'un seul de ces petits qui croient en moi, mieux vaudrait pour lui qu'on lui attache au cou une de ces meules que tournent les ânes, et qu'on le jette à la mer.

    Et si ta main t'entraîne au péché, coupe-la. Il vaut mieux entrer manchot dans la vie éternelle que d'être jeté avec tes deux mains dans la géhenne, là où le feu ne s'éteint pas. Si ton pied t'entraîne au péché, coupe-le. Il vaut mieux entrer estropié dans la vie éternelle que d'être jeté avec tes deux pieds dans la géhenne. Si ton œil t'entraîne au péché, arrache-le. Il vaut mieux entrer borgne dans le royaume de Dieu que d'être jeté avec tes deux yeux dans la géhenne, là où le ver ne meurt pas et où le feu ne s'éteint pas.

    Car tout homme sera salé au feu. C'est une bonne chose que le sel ; mais si le sel cesse d'être du sel, avec quoi allez-vous lui rendre sa force ? Ayez du sel en vous-mêmes, et vivez en paix entre vous. » (Marc 9,41-50)

  • Encore le célibat des prêtres et l’ordination sacerdotale des femmes

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    00_queston.jpgDans la  livraison en ligne, (à paraître le 27 février) de « Dimanche », le journal hebdomadaire des paroisses francophones de Belgique,  son directeur, le P. Charles Delhez, s.j.  enfourche à nouveau l’un de ses canassons favoris : le célibat des prêtres et l’ordination des femmes. Voici un extrait de sa prose obsessionnelle :

    « (…) Il faut bien distinguer les deux dossiers. L’un est disciplinaire, l’autre théologique.

    «  À propos de l’obligation du célibat, il y a déjà une diversité reconnue à l’intérieur de l’Église catholique. Les églises catholiques orientales – non latines, mais en communion avec Rome – n’ont jamais adopté cette règle. Un homme marié peut donc devenir prêtre, mais un prêtre célibataire ne peut plus se marier. Telle est la règle. Dans l’Église latine, on n’ordonne prêtre que ceux qui font la promesse de rester célibataires. Ne pourrait-on cependant pas imaginer, dans l’Église latine, la même diversité qu’à l’intérieur de l’Église catholique dans son ensemble ? C’est que les Églises locales évoluent bien différemment aujourd’hui. Des réponses adaptées à la situation de chaque pays ou de chaque région du monde serait sans doute heureuses.

    « Tout autre est la question posée par l’ordination des femmes. Elle est théologique. L’Église est-elle tenue par le fait que Jésus n’a choisi comme apôtres – les Douze – que des hommes, alors qu’il était entouré également de femmes ? Elles ont d’ailleurs joué un rôle très important, comme premiers témoins de sa résurrection, par exemple. S’agirait-il d’une donnée culturelle ou d’une volonté divine ?(…) ».

    C’est trop peu dire aux chers paroissiens de « Dimanche » que l’obligation du célibat sacerdotal est simplement disciplinaire. La raison est aussi théologique. Mgr Cabello, Vicaire Régional de la Prélature de l’Opus Dei en Belgique en avait fait la démonstration au Père Delhez, dans la Libre Belgique du 2 décembre dernier :

    « Quels sont les raisons théologiques pour le célibat ?

    Le sacerdoce ministériel est plus qu’un office sacré exercé au service de la communauté. C’est une transformation sacramentelle de la personne du prêtre en celle du Christ. Dans le sacerdoce, la personne est assumée par Dieu au point de pouvoir dire : ce n’est plus moi qui vis, c’est le Christ qui vit en moi (Ga 2, 20). On comprend ainsi que le prêtre accepte avec joie de vivre ce célibat dont le Christ est prototype et exemple.

    Benoît XVI a précisé cette idée en rappelant que le centre de la vie des prêtres est la célébration de l’eucharistie. Les paroles de la consécration sont ici centrales : "ceci est mon corps, ceci est mon sang". Le prêtre parle donc in persona Christi. Le Christ l’unit à son "moi". C’est une union au Christ ressuscité, avec la plénitude de vie qui est propre à la résurrection et dont Jésus parle aux Sadducéens (cf. Mt 22). C’est une vie nouvelle dans laquelle le prêtre est déjà au-delà du mariage. Le célibat est donc une anticipation du monde de la résurrection (cf. Osservatore Romano éd. fr., 15-6-10, p. 6).

    En outre, le célibat manifeste de façon excellente la charité pastorale du bon pasteur qui se livre sans réserves au service de son troupeau. Et dans sa tâche pastorale et paternelle, son cœur s’élargit et sa virginité sacerdotale devient féconde.

    Voilà donc, brièvement évoquées, des raisons historiques et théologiques en faveur du célibat sacerdotal. En conclusion : l’ordination d’hommes mûrs mariés (viri probati) ne serait pas contraire à la tradition, mais elle comporterait son lot de graves difficultés pratiques, dont la création de deux classes de prêtres ne serait pas la moindre. Elle rendrait moins transparente l’identification du prêtre avec le Christ et l’empêcherait de vivre une disponibilité totale pour ses fidèles. Et pour vraiment être conforme à la vie de l’Eglise telle que nous l’ont léguée les apôtres, elle exigerait de ces hommes et de leurs épouses une continence totale et perpétuelle. »

    Lors du colloque tenu  sur ce même sujet à Ars du 24 au 26 janvier derniers, le cardinal Mauro Piacenza, nouveau préfet nommé à la tête de la Congrégation romaine pour le Clergé par Benoît XVI, a redit la même chose en d’autres termes  « Il faut dépasser la réduction, si diffuse en certains milieux, du célibat à une simple loi ecclésiastique. C’est une loi pour la seule raison qu’il s’agit d’une exigence du Sacerdoce et de la configuration au Christ opérée par le Sacrement. En ce sens la formation au célibat, en plus de tous les aspects humains et spirituels, doit comporter une solide dimension doctrinale, car on ne peut pas vivre ce dont on n’en comprend pas le motif ! » et il a ajouté plus sévèrement : «  le « débat » sur le célibat qui réapparaît périodiquement au cours des siècles, ne favorise pas la compréhension sereine de la part des jeunes générations à propos d’une donnée aussi déterminante de la vie sacerdotale ».

    S’agissant, en second lieu, des interrogations théologiques du P. Delhez sur la possibilité d’un sacerdoce féminin, ne lui faisons pas l’injure  de le renvoyer  aux motifs exposés dans la Lettre Apostolique «Ordinatio Sacerdotalis  » de Jean-Paul II, laquelle se conclut solennellement comme suit « Afin qu'il ne subsiste aucun doute sur une question de grande importance qui concerne la constitution divine elle-même de l'Église, je déclare, en vertu de ma mission de confirmer mes frères (cf. Lc 22,32), que l'Église n'a en aucune manière le pouvoir de conférer l'ordination sacerdotale à des femmes et que cette position doit être définitivement tenue par tous les fidèles de l'Église (…) » ni à l’article 1378 du code de droit canonique qui précise : «  tant celui qui attente la collation de l’ordre sacré que la femme qui attente la réception de l’ordre sacré, encourent l’excommunication latae sententiae réservée au Siège Apostolique ».

    Sur ce point le débat théologique doit être considéré comme clos dans l’Eglise catholique.
    Il est regrettable que des médias d’Eglise, sauf erreur, y reviennent sans cesse. L’article se trouve ici : Célibat des hommes et ordination des femmes, par P. Charles Delhez

  • Le défi égyptien II et III

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    Seconde partie de l'interview du patriarches des coptes catholiques d'Alexandrie. La longue histoire des coptes, depuis l'évangélisation par l'apôtre Marc, jusqu'à nos jours (23/2/2011) sur Benoît-et-moi;

    Dernière partie de l'interview du Patriarche catholique copte d'Alexandrie. L'histoire complexe de la relation entre les musulmans et les chrétiens, depuis l'arrivée des "conquistadors" musulmans, au VIIe siècle (épisode déjà raconté par Messori: Les racines de la haine contre les chrétiens) jusqu'aux derniers évènements. Les frères musulmans. Et la polémiques autour des propos du Saint-Père. (23/2/2011).

    Merci à Benoît-et-moi pour ce travail de traduction.

  • A Lavaux-Sainte-Anne : la Communauté de Tibériade

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    acc7.jpgLa Communauté de Tibériade est une communauté nouvelle, à la fois contemplative et missionnaire établie à Lavaux Sainte-Anne. Fondée par le Frère Marc, elle compte aujourd'hui 31 frères et huit soeurs.

    "Notre vie religieuse, écrit le Frère Marc, est donc toute imprégnée par la contemplation, la vie fraternelle et la mission. Nos journées sont rythmées par la prière, l'accueil et le travail manuel que nous essayons de favoriser. Le travail de nos mains nous enracine dans le réel et nous ouvre à l'émerveillement de la création. Par l'étude, nous tenons à recevoir une formation solide et spirituelle pour former des petits frères "tout terrain" dont certains pourraient devenir prêtres selon l'appel et les besoins de la mission. 

    De la prière et la communion fraternelle, nous essayons de déborder dans la mission. Notre grande joie est d'annoncer Jésus et de faire aimer son Eglise en nous convertissant à l'Evangile, en suivant l'exemple vigoureux de saint François et la petite voie de sainte Thérèse qui nous aident à vivre dans un abandon à la Providence.

    Cette évangélisation, nous l'accomplissons spécialement auprès des jeunes et des familles afin que l'Esprit donne à l'Eglise de jeunes saints, des disciples ardents. Régulièrement, nous vivons des temps d'itinérance dans les villages, les écoles et les paroisses, là où nous sommes appelés. Nous allons aussi visiter les familles; c'est une mission qui nous tient fort à coeur pour donner à l'Eglise de saintes familles."

    La communauté accepte d'animer des missions qui revivifient les communautés paroissiales. Le témoignage des frères, des soeurs... et de leur âne, ne laisse jamais indifférent.

    Tibériade est un lieu à découvrir, un lieu où prier et méditer, un foyer où se ressourcer : à découvrir : le site de la fraternité de Tibériade

  • Un séminariste namurois chez les toxicomanes

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    index.jpgFrancesco, séminariste, a vécu avec des toxicomanes
    Francesco vient de vivre trois semaines en compagnie de toxicomanes qui veulent se sortir de leur enfer. Trois semaines qui, il n'hésite pas à le dire, l'ont changé. Séminariste du Séminaire Notre-Dame de Namur, il a séjourné, à Lourdes, dans la communauté du Cénacle. Dans la maison de Lourdes, comme toutes les autres maisons de la communauté, on mise sur le travail et la prière pour se sortir de la drogue. Beaucoup y arrivent. Ils peuvent y séjourner jusqu'à trois ans. Francesco raconte trois semaines dures, difficiles mais toujours vécues dans le respect de l'autre.

  • EXULTET : 4000 enseignements, conférences et témoignages en ligne

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    exultet.gifEn "Audio", eXultet vient de franchir le cap symbolique des 4000 enseignements, conférences et témoignages mis en ligne. Cela représente 6 mois d'écoute 24h/24.

    à découvrir sur le site d'Exultet

    "L'équipe d'eXultet fait un travail considérable pour mettre à la disposition de tout le monde - mais spécialement des jeunes - des enseignements et de la musique qui rafraîchissent l'esprit humain et donnent de l'orientation dans des moments difficiles dans la vie.

    Grâce à eXultet, je peux (re)vivre les moments forts des sessions et des rencontres des diverses communautés catholiques.

    eXultet est la réponse concrête à la quête spirituelle du monde actuel et nous fait entrer avec simplicité dans la communion et le partage avec l'Eglise sans frontière de sensibilité..."
    (témoignage de Fabian, jeune Autrichien étudiant à Rome)