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Foi - Page 468

  • "Saint ou rien" : 30 jours avec Marie pour une vie bénie

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    Sur Hozanna.org, cette proposition de la Fraternité Missionnaire Marie Mère des Apôtres, présentée sur aleteia.org :

    SAINT ou RIEN ! 30 jours avec Marie pour une vie bénie !

    SAINT ou RIEN ! 30 jours avec Marie pour une vie bénie ! - Hozana

    Pendant ce mois de Marie, HONORONS la Sainte Vierge en lui consacrant toute notre vie ! Chaque jour, offrons lui un domaine de notre existence ... Objectif : LA SAINTETÉ 1, 2 ,3 PARTEZ !

    Retraite du 1 mai 2020 au 31 mai 2020
     
    1 méditation, 1 prière, 1 démarche, c'est TOUT simple ! 

    Si tu t'inscris, tu recevras quotidiennement :

    - 1 méditation d'un SAINT pour t'aider à remettre une partie de ta vie à Marie,

    - 1 petite prière de consécration,

    - 1 démarche (facile à réaliser, pas d'inquiétude) pour incarner cette consécration dans ta vie de tous les jours

    Pourquoi faire ces 30 jours avec Marie ? 

    Comme dans l'ordre naturel, il faut qu'un enfant ait un père et une mère, de même dans l'ordre de la grâce, il faut qu'un vrai enfant de l'Eglise ait Dieu pour Père et Marie pour mère; et, s'il se glorifie d'avoir Dieu pour Père, n'ayant point la tendresse d'un vrai enfant pour Marie, c'est un trompeur qui n'a que le démon pour père.. Saint Louis-Marie Grignon de Montfort

    Pourquoi se consacrer à Marie ? 

    Consacrer signifie "réservez à". En se consacrant à Marie, tu lui donnes tout ce que tu as. Tu es donc certain qu'elle donnera tout à Jésus.

    Voici ce que dit Pie XII : « En mettant sous l'égide de Marie vos activités personnelles, familiales, nationales, vous invoquez sa protection et son aide sur toutes vos démarches, mais, vous lui promettez aussi de ne rien entreprendre qui puisse lui déplaire et de conformer toute votre vie à sa direction et à ses désirs. »

    Saint Louis-Marie Grignon de Montfort disait : « Se consacrer à Marie, c'est très précisément la choisir comme Mère, non pas seulement pour la protection physique de nos personnes, mais plus encore et d'abord pour lui conférer en propre la plénitude de la puissance maternelle sur notre âme. La mère, dans la famille humaine, a pouvoir sur ses enfants. Elle les protège de deux manières. En écartant d'eux les périls et les menaces, sans même parfois qu'ils le sachent. En les conseillant et en les guidant aussi, pour qu'ils fassent bon usage de leur liberté. »

    Prêts ? 1, 2, 3 Partez !

    Pour nous retrouver :  Youtube - Facebook   

    Prière de la retraite

    Prière quotidienne

    Seigneur, Je te bénis pour cette journée que je reçois de ta main. Tu as préparé pour moi cette journée, de sorte qu'il n'y ait rien de trop ni rien d'inutile. Cette journée est un chef-d'œuvre, elle est parfaite pour moi. Je te remercie par avance pour toutes les joies et occasions de m'émerveiller que tu y as disposées, ainsi que pour tous les moments difficiles, parce qu'ils seront des occasions de grandir. Vierge Marie, je me remets entre tes mains maternelles. Je veux passer toute cette journée unie à toi, dans la gratitude de me savoir aimé(e) inconditionnellement. Je te demande de veiller sur moi à chaque instant, et de me conduire sur le chemin de la sainteté que le Seigneur a prévu pour moi dans sa miséricorde. Maman, prie pour moi, protège-moi, et rends-moi saint(e) !

    Priez dès maintenant pour cette retraite en cliquant sur "je prie"

  • Temps pascal en confinement; feuillet du jeudi (30 avril) de la 3e semaine : le culte du précieux Sang de Jésus

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  • Coronavirus-France : Les cultes ne reprendront pas avant le 2 juin, les évêques regrettent cette décision

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    édouard philippe 570-dicours-de-edouard-philippe-a-l-assemblee-nationale-sur-le-deconfinement.jpgLe Premier ministre français Edouard Philippe a dévoilé, devant les députés réunis ce mardi 28 avril, le plan de déconfinement établi par le gouvernement de la république.

    Déception pour l'Eglise: il a notamment exclu toute mesure de déconfinement pour les offices religieux publics au moins jusqu'au 2 juin, sans s'avancer sur la suite du calendrier.

    La Conférence des évêques de France a pris acte de cette décision "avec regret" et invite les catholiques à vivre le mois de mai comme un mois au "Cénacle".

    Commentaire d'’Antoine Pasquier sur le site web de « Famille Chrétienne » :

    « Les évêques n’auront donc pas été entendus. Alors qu’il présentait le plan de déconfinement du gouvernement devant les députés réunis à l’Assemblée nationale mardi 28 avril, le Premier ministre Édouard Philippe a annoncé que les cérémonies religieuses ne reprendraient pas avant le 2 juin. « Je sais l’impatience des communautés religieuses, mais je crois légitime de demander de ne pas organiser de cérémonies avant cette barrière du 2 juin ». Le Premier ministre a toutefois rappelé que les lieux de culte pourraient « continuer à rester ouverts » et a annoncé la réouverture au public des cimetières. Les obsèques, elles, « resteront autorisées comme aujourd’hui dans la limite de vingt personnes ».

    Ces mesures s’inscrivent dans le cadre d’un déconfinement progressif en plusieurs phases voulu par le gouvernement. Ce dernier craint en effet une seconde vague de contaminations au Covid-19. Le 2 juin a été choisi comme date de début de la seconde phase du déconfinement, soit trois semaines après le 11 mai. Le temps nécessaire pour mesurer les effets de la première phase sur la santé de la population.

    ▶︎ À LIRE AUSSI Déconfinement : les messes reprendront-elles début juin ?

    La Conférence des évêques de France (CEF) « prend acte avec regret de cette date qui est imposée aux catholiques et à toutes les religions de notre pays ». Si elle partage « le souci du Gouvernement de limiter au maximum la circulation de l’épidémie », elle diverge sur le fait que la messe puisse « favoriser la propagation du virus et gêner le respect des gestes barrières plus que bien des activités qui reprendront bientôt ». En attendant le 2 juin, les évêques encouragent « les fidèles à se rendre dans les églises pour y prier individuellement » et recommandent « aux diocèses et aux paroisses de continuer à proposer les moyens nécessaires à leur vie de foi ».

    Réunie le 24 avril en assemblée plénière extraordinaire, la CEF avait adressé au gouvernement son plan de déconfinement dans lequel étaient détaillées les mesures sanitaires envisagées pour une reprise du culte. Les évêques avaient réclamé auprès des autorités publiques une reprise à partir du dimanche 17 mai. Les catholiques français ne pourront donc pas vivre la fête de la Pentecôte, le dimanche 31 mai, au sein de leur communauté. Pour cette raison, les évêques invitent « les catholiques à vivre le mois de mai comme un mois "au Cénacle" dans une prière instante pour le don de l’Esprit Saint et comme un mois marial ». 

    La liberté religieuse serait-elle moins précieuse

    que la liberté d’entreprendre ou de travailler ?

    En réponse à cette question, le site du "Salon beige" publie par ailleurs le texte suivant: " Dans une tribune signée par un certain nombre de philosophes, professeurs, avocats… et publiée dans La Croix, il est rappelé que la liberté de culte est un droit qui ne saurait souffrir de limitations excessives :

    "[…] la liberté de culte, qui autorise les croyants à pratiquer leur religion en public et collectivement, est aussi protégée par le Conseil constitutionnel et le Conseil d’État. Elle ne peut être limitée par les États qu’avec circonspection, pour des raisons impérieuses d’intérêt général, et à condition que ces restrictions soient justifiées, nécessaires et proportionnées.

    Les limitations actuelles à la liberté de culte, justifiées par la crise sanitaire, ne peuvent donc être maintenues qu’à la condition qu’elles soient absolument indispensables. Au fur et à mesure que la situation s’améliore, les restrictions doivent s’estomper.

    Lire la suite

  • Temps pascal en confinement; feuillet du mercredi (29 avril) de la 3e semaine : le message spirituel de la bienheureuse Alexandrina Maria da Costa

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    2020_04_29_10_33_25_Greenshot.pngTELECHARGER le PDF

  • Pour le déconfinement de la liberté de culte

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    Tribune publiée sur le site du journal La Croix :

    La liberté de culte doit être déconfinée !

    Cette tribune collective, signée notamment par Jean-Baptiste Chevalier, Marc Dupré, Julien Ferrant, Louis Manaranche et Hubert Veauvy (1), souligne le risque pour l’exécutif de porter une atteinte disproportionnée à la liberté de culte si les rassemblements dans les lieux de culte restent durablement interdits.

    • (1) Les signataires : Jean-Baptiste Chevalier, avocat à la Cour ; Hubert Veauvy, avocat à la Cour ; Basile Achet, professeur de philosophie ; Marie Achet-Haushalter, professeur agrégée d’histoire ; Cyrille Dounot, professeur agrégé d’histoire du droit ; Guillaume Drouot, professeur agrégé de droit civil ; Marc Dupré, enseignant-chercheur en droit privé ; Hugues Feral, avocat à la Cour ; Julien Ferrant, professeur agrégé d’histoire ; Clotilde Maïdanatz-Guéry, professeur de philosophie ; Louis Manaranche, professeur agrégé d’histoire ; Violaine Ricard, philosophe., 
    • le 27/04/2020

    Les Français, depuis le mois de mars 2020, sont privés de leur liberté de culte.ALAIN DELPEY/MAXPPP

    La crise sanitaire causée par la pandémie actuelle a profondément bouleversé la vie de notre pays. Les mesures de confinement rendues nécessaires demandent un effort collectif. Depuis la mise en place de l’état d’urgence sanitaire le 24 mars dernier, les Français ont aussi accepté, pour le bien commun, des restrictions exceptionnelles de leurs libertés.

    Dans ce contexte, les croyants ont dû renoncer temporairement à une liberté qui leur est particulièrement chère : la liberté de culte, composante essentielle de la liberté religieuse. Si le décret du 23 mars 2020 a autorisé les lieux de culte « à rester ouverts », il a en effet interdit « tout rassemblement ou réunion en leur sein » à la seule exception « des cérémonies funéraires dans la limite de 20 personnes ».

    Pour la première fois depuis la Révolution française, les croyants ont été privés du droit de participer aux offices religieux, y compris lors des Pâques chrétiennes et de la Pessah juive, et n’ont eu comme seul réconfort que de suivre, par écrans interposés, des cérémonies privées, ou d’aller se recueillir, seuls, dans les églises, temples, synagogues ou mosquées restés ouverts.

    Circonspection

    Reconnue par la Cour européenne des droits de l’homme comme l’une des « assises » de nos sociétés démocratiques, la liberté de culte, qui autorise les croyants à pratiquer leur religion en public et collectivement, est aussi protégée par le Conseil constitutionnel et le Conseil d’État. Elle ne peut être limitée par les États qu’avec circonspection, pour des raisons impérieuses d’intérêt général, et à condition que ces restrictions soient justifiées, nécessaires et proportionnées.

    Les limitations actuelles à la liberté de culte, justifiées par la crise sanitaire, ne peuvent donc être maintenues qu’à la condition qu’elles soient absolument indispensables. Au fur et à mesure que la situation s’améliore, les restrictions doivent s’estomper.

    Un risque d’incohérence

    Récemment, le Président de la République a cependant fait savoir qu’il n’envisageait pas de reprise des cultes avant la mi-juin. Alors qu’un « déconfinement » progressif est envisagé à compter du 11 mai prochain, cette position interroge.

    Le maintien d’une telle interdiction serait difficilement compréhensible tandis que, dans le même temps, pourraient rouvrir au public les écoles, les services publics, les transports en commun, les tribunaux, les entreprises et la plupart des commerces. Cette différence de traitement serait incohérente. Serait-il en effet plus complexe de réunir des fidèles dans une église que de rassembler des élèves dans une classe ou des passagers dans un train ? La liberté religieuse serait-elle moins précieuse que la liberté d’entreprendre ou de travailler ?

    Ces restrictions prolongées seraient aussi difficilement justifiables : les représentants religieux, et notamment les évêques de France, ont fait des propositions concrètes pour que les célébrations se tiennent dans de bonnes conditions sanitaires, en limitant par exemple le nombre de fidèles dans les églises et en imposant de strictes mesures d’hygiène. En maintenant au-delà du 11 mai ces restrictions, les autorités publiques prendraient le risque de porter une atteinte disproportionnée à la liberté de culte et d’ajouter aux tensions du confinement l’incompréhension des croyants.

    Dimension spirituelle

    Lorsque la liberté religieuse est limitée, c’est une part essentielle de l’identité et de la dignité de l’Homme qui est mise à mal. L’homme ne vit pas seulement de pain. Son existence ne peut se résumer aux heures passées dans les supermarchés et devant des écrans, ni même à sa vie professionnelle. Confronté au drame de la solitude et au mystère de la mort, l’Homme redécouvre sa dimension spirituelle. Tout Homme a besoin de trouver, dans une foi vécue intimement et en communauté, un soutien pour s’élever plus haut

    Aucun écran ne remplace une célébration vécue en communion avec d’autres, la beauté d’un rite, l’écoute collective de textes sacrés, le don des sacrements, la ferveur de la prière commune, l’instant gravé pour toujours d’un baptême ou d’un mariage, ou les hommages religieux à nos morts.

    En 1944, dans sa Lettre au Général X, Saint-Exupéry faisait déjà entendre ce cri : « Il n’y a qu’un problème, un seul de par le monde. Rendre aux hommes une signification spirituelle, des inquiétudes spirituelles, faire pleuvoir sur eux quelque chose qui ressemble à un chant grégorien. On ne peut vivre de frigidaires, de politique, de bilans et de mots croisés, voyez-vous ! On ne peut plus vivre sans poésie, couleur ni amour ».

    Pour qu’aux souffrances engendrées par cette crise sanitaire ne s’ajoute pas la désespérance, les autorités publiques seraient inspirées d’apprécier la liberté religieuse à sa juste valeur et pour ce qu’elle est véritablement : un besoin essentiel pour chaque homme et un élément fondamental pour notre démocratie. Qu’il soit ainsi permis aux croyants de retrouver, dès le 11 mai, dans des conditions d’hygiène et de sécurité adaptées, le chemin de leurs lieux de culte.

  • Coronavirus : pourquoi Dieu n’a-t-il pas empêché la pandémie ?

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    Du Père Thierry-Dominique Humbrecht o.p. sur aleteia.org :

    Covid-19 : pourquoi Dieu n’a-t-il pas empêché la pandémie ?

    28 avril 2020

    La crise sanitaire pousse à se poser de nombreuses questions qui peuvent ébranler la foi chrétienne : Dieu a-t-Il voulu de cette pandémie ? Pourquoi ne met-Il pas fin à cette crise ? Nous protège-t-Il vraiment ? Face à ces questions, il faut se rappeler ce qu’est vraiment la volonté divine.

    La situation actuelle mondiale nous renvoie à l’éternelle question : pourquoi Dieu n’a-t-Il pas empêché tout cela d’arriver ? Pourquoi la mort rôde-t-elle si près, comme si Dieu ne nous en protégeait jamais ? Or nous ne cessons de L’invoquer pour implorer sa protection. Faut-il déclarer forfait, conclure à l’échec de la Providence ? Ce problème est l’un des plus redoutables de la foi chrétienne. Sans vouloir le percer ni y répondre tout à fait, essayons de donner quelques clés.

    Dieu n’a pas promis d’éloigner de nous la souffrance et la mort

    L’Écriture nous apprend que Dieu n’a ni fait ni voulu la mort, elle est une conséquence du péché originel. Dieu l’a vaincue dans ses conséquences par la croix du Christ, sans l’abolir pour le moment. La mort reste notre régime de vie. Nul n’y échappe, c’est même la seule certitude que personne ne conteste. Par conséquent, il ne faut pas rêver à une protection divine qui nous en dispenserait. Nul n’y échappe et nul n’en connaît le moment, lequel peut être prématuré.

    Pourtant demeure en nous le rêve d’une protection divine des dangers. Il vient plutôt des religions païennes anciennes et il a infesté la foi chrétienne au titre des superstitions inoffensives : « Que les dieux te soient favorables ! ». Ce rêve peut cependant fausser notre vision de la Providence chrétienne, dès lors que la protection demandée n’a pas lieu. Or notre Dieu n’est pas capricieux. Jésus n’a pas promis d’éloigner de nous la souffrance et la mort. Il a promis le salut de notre âme au moment de notre mort, si nous y consentons, et notre résurrection, à la suite de la sienne, mais au Jugement dernier.

    Faut-il prier pour être protégés ? Oui, mais surtout de ce à quoi nous pensons trop peu : le péché, la mort spirituelle. Cette protection, la grâce, ne défaille jamais si nous la saisissons.

    Thierry-Dominique Humbrecht

    et la "Question du Mardi" pose la question :

    Dieu amour, que fais-tu contre la souffrance des hommes ?

    par le Père Stan Rougier
    Aumônier de jeunes à Bezons, Houdan, Savigny-sur-Orge (Lycée Jean-Baptiste Corot), faculté d’Orsay, Lycées Racine et Condorcet (Paris), Gif-sur-Yvette. Chroniqueur au journal La Croix, aux revues Panorama, Famille chrétienne...

    Dieu n’a aucune complicité avec la souffrance et le mal. Il nous appelle à les combattre ou, face à l’inéluctable, à trouver, avec son aide et à l’exemple du Christ, le chemin d’un dépassement fécond.

    1. La souffrance fait partie de la condition humaine. Pour avoir un monde où il n’y aurait ni mal, ni souffrance, il faudrait que Dieu intervienne à chaque instant. Il n’y aurait ni liberté, ni responsabilité. On ne pourrait ni grandir, ni aimer. Quel ennui ! En savoir +

    2. Dieu a voulu prendre le risque de créer l’homme « à Son image et à Sa ressemblance », c'est-à-direlibre et capable d’aimer. Les hommes sont responsables des plus grands malheurs, mais ils sont aussi capables de choses sublimes. Au Jugement dernier le bon grain sera séparé définitivement de l’ivraie. En savoir +

    3. La souffrance est sur notre route à tous. Elle nous donne deux rendez-vous : a) le combat contre le mal et contre ses causes (à chaque fois que c’est possible) ; b) la recherche d’un chemin de transfiguration de cette souffrance (lorsqu’elle est inéluctable). En savoir +

    4. La souffrance peut devenir le terreau d’une grande fécondité et de la croissance des plus hautes valeurs d’humanité, pas seulement chez les saints. En savoir +

    5. Ce fut aussi le chemin du Christ. D’une part, il n’a pas cessé de guérir des aveugles, des muets, des sourds, des paralysés, des possédés. D’autre part, il n’a pas été épargné. Il a même subi ce qu’il y a de pire : la torture. Selon la belle formule de Paul Claudel : « Dieu n’est pas venu supprimer la souffrance ; Il n’est même pas venu l’expliquer. Il est venu pour la remplir de sa Présence. » En savoir +

    6. Nous sommes tous appelés, à l’exemple du Christ, au don de nous-mêmes pour combattre le malqui écrase nos frères et à accepter et dépasser, avec l’aide de Dieu, les difficultés et les malheurs inéluctables que nous rencontrerons au long notre vie. En savoir +

  • Les évêques de Belgique souhaitent la reprise de célébrations liturgiques dans les églises

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    Les évêques de Belgique souhaitent la reprise de célébrations liturgiques dans les églises

    Les évêques de Belgique se sont réunis en vidéoconférence dans le but d’organiser progressivement la reprise de célébrations liturgiques publiques. Leur désir est grand de reprendre ces célébrations en concertation avec les responsables de tous les cultes reconnus en Belgique, ainsi qu’avec le Gouvernement fédéral et les entités fédérées.

    Les évêques sont particulièrement sensibles au désir souvent exprimé de pouvoir participer à nouveau « en présentiel » à des célébrations.

    En tout état de cause, les normes de protection sanitaire devront être respectées, il y va de la santé et de la responsabilité de tous.

    Des contacts sont en cours avec les différents Gouvernements du pays. Les évêques demandent que le phasage de reprise des célébrations soit intégré dans les grandes lignes définies par le Conseil national de Sécurité et les Gouvernements en date du 24 avril dernier.

    Les évêques de Belgique

    SIPI – Bruxelles, mardi 28 avril 2020

  • "L’Église catholique est affectée profondément par les conditions d’isolement qui sont imposées"

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    De la revue de presse publiée par l'Homme Nouveau (28 avril) :

    La Tribune de Mgr Pascal Wintzer, archevêque de Poitiers, publiée sur le site de La Croix (26 avril) souligne la réalité de ce qu’est l’Église tout en montrant ses difficultés face la prétendue « neutralité » d’un État laïc :

    Il ne revient certes pas à l’État de prendre en compte chacun des cultes et ce qui lui est propre, cependant, j’espère que les catholiques savent mesurer que ce ne sont pas les décisions publiques qui définissent la nature de leur Église ; il m’arrive parfois de m’interroger sur ce point : si chaque citoyen – et les catholiques sont de ceux-ci – est soumis aux lois du pays dans lequel il réside, pour autant que ces lois garantissent la justice et la liberté, il ne peut abdiquer son jugement de conscience et estimer que ce qu’il est, ses convictions, son appartenance religieuse, ne sont pas totalement honorés par telle loi, telle décision, telle circulaire. Et pourtant il respecte ces lois. (…)  L’Église catholique est affectée profondément par les conditions d’isolement qui sont imposées, dans cette juste finalité bien entendu de freiner la propagation du virus et de ne pas submerger les services hospitaliers. L’absence de liturgie blesse l’identité même de l’Église catholique, il ne m’appartient pas de parler pour les autres Églises chrétiennes. En effet, ce qui engendre l’Église et la fait vivre, ce sont les sacrements. (…) Certes, nourris aussi de la Parole, de l’Écriture sainte, mais celle-ci ne saurait aller sans la vie sacramentelle, eucharistique avant tout. Il est bon de lire l’Écriture, il est bon de prier seul et en famille, mais comment avancer sans le pain de la route ? (…) La laïcité ne permet pas de prendre en compte cette originalité de l’Église catholique, comme certainement ce qui est propre aux autres cultes ; et le jacobinisme suppose une Église nationale, qui n’existe pas, seules existent les Églises locales, diocésaines. Puisque l’État ne reconnaît aucun culte, il est de mon rôle de rappeler aux catholiques quels ils sont.

  • Coronavirus et déconfinement des messes en France : Mgr Matthieu Rougé, évêque de Nanterre et membre du Conseil permanent de la Conférence épiscopale française s’exprime sans ambages

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    JPSC

  • Saint Louis-Marie Grignion de Montfort (28 avril) raconté par le Père Michel-Marie Zanotti-Sorkine

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  • Des pistes concrètes pour réorganiser la reprise des messes

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    En France, mais c'est facilement transposable dans notre pays...

    Du Père Olivier de Saint-Martin o.p. sur le site de l'hebdomadaire La Vie :

    Quelles pistes concrètes pour organiser la reprise des messes ?

    Lire la suite

  • Temps pascal en confinement; mardi (28 avril) de la 3e semaine : mettre en pratique l'union totale à Jésus (Mgr Van Thuan)

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