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International - Page 271

  • Non à la "journée internationale d'action pour la dépénalisation de l'avortement" à l'ONU; je signe la pétition

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    Le lobby international pour l'avortement, au sein de l'Organisation des Nations-Unies, veut établir une « Journée mondiale de l'avortement » le 28 Septembre. S'il vous plaît, ne laissons pas cela passer. Il n’y a vraiment pas de quoi se réjouir, face à ce génocide déguisé en « droit de l’Homme qu'il conviendrait de défendre ».

    Il y a quelques semaines, une coalition de 430 groupes pro-avortement a adressé une lettre au Secrétaire général des Nations-Unies, Monsieur Ban Ki-moon, ainsi qu’aux responsables  d'ONU-Femmes, du Programme de développement des Nations Unies, de l'Organisation mondiale de la Santé, du Fonds des Nations Unies, de l'ONUSIDA et de l'UNESCO, en demandant la création d’une « fête spéciale avortement», au niveau mondial. Ce procédé est infâme. De nombreux pays ne reconnaissent pas le meurtre des enfants dans le sein de leur mère, comme un droit fondamental. Et heureusement. Mais comme il s’agit des pays les plus pauvres, les pays riches risquent de passer en force…

    Selon cette lettre, le 28 septembre sera déclarée « journée internationale d'action pour la dépénalisation de l'avortement ».

    Une fois de plus, le lobby de l'avortement utilise des euphémismes pour pousser son ordre du jour. La journée ne serait pas ouvertement « pro-mort » mais « contre la pénalisation de l’infanticide ». Mais nous savons, nous, ce qu’est l’avortement. Dans 100% des cas, un bébé innocent meurt ; et dans presque autant de cas, la mère est profondément choquée sinon désespérée.

    La lettre du lobby de l'avortement fait valoir, "Nous ne sommes pas des criminels. Aucun d'entre nous devrait être poursuivi pour quelque chose qui est un évènement normal de la vie d’une femme (...) L'avortement sans risque est un service de santé essentiel pour les femmes ". Mais « sans risque » pour qui ? Pas pour l’enfant, en tous cas.

    Leur objectif est clair: faire pression pour la légalisation de l'avortement dans les pays où il est illégal, et établir un «jour de fête» qui sera utilisé pour déployer une propagande pro-avortement.

    Le lobby de l'avortement est uni pour tuer des enfants par dizaines de millions. Maintenant, il nous faut, nous aussi, nous unir, afin que la vie soit plus forte que la mort. Nous devons adresser un message clair à l'ONU : il n'y a pas d'avortement sans risque pour la femme. Cela n’existe pas. Et pour ce qui est de célébrer le meurtre d'êtres humains innocents, il en va franchement à l'encontre d’un droit fondamental : le droit à la vie.

    Si vous signez cette pétition, votre message sera directement adressé au Secrétaire Ban Ki-moon. S'il vous plaît rejoignez-nous pour que cette monstrueuse demande ne soit pas retenue par l’ONU.

    La pétition se trouve ici : http://www.citizengo.org/fr/lf/37036-lonu-organise-une-journee-mondiale-lavortement?

  • Nouvelles attaques de talibans contre des quartiers chrétiens au Pakistan

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    ASIE/PAKISTAN - Mort d’un laïc catholique dans le cadre d’une attaque des talibans contre un quartier chrétien de Peshawar

    Peshawar (Agence Fides) – Quatre militants talibans ont attaqué ce matin vers 05.30 locales la Christian colony, quartier chrétien de Peshawar, ville du nord du Pakistan. Un laïc catholique, Samuel Masih, père de famille, a été tué et deux protestants, employés comme agents civils de sécurité ont été blessés. C’est ce qu’indique à Fides le Père Yunis Riaz, Curé de la Paroisse Saint Michel, sur le territoire de laquelle se trouve la Christian colony. Dans une fusillade intervenue par après, deux militaires et un agent de police ont été blessés alors que les quatre talibans auteurs de l’attaque sont morts.

    Le Père Riaz, Curé à Peshawar depuis cinq ans, raconte, dans le cadre d’un entretien accordé à Fides, ces moments agités : « Les quatre militants étaient embusqués hors de la Colonie. Ils ont attendu que la barrière s’ouvre pour faire sortir Samuel, qui devait se rendre au travail. A ce point, ils ont ouvert le feu, tuant Samuel et pénétrant dans la colonie. Dans la fusillade, nos deux agents de sécurité civils ont été blessés. Ils ont cependant donné l’alarme et appelé des renforts. Les militaires sont arrivés et ont poursuivi l’affrontement avec les terroristes. Deux d’entre eux ont été tués par l’armée. Deux autres se sont fait exploser, attendus que tous les quatre portaient des ceintures explosives, détruisant une habitation dans laquelle ils s’étaient barricadés mais sans pour autant faire d’autres victimes ».

    Le Curé poursuit : « Je me suis rendu sur place. Les gens ont peur. Nous sommes en deuil suite à la mort de Samuel. Dans la colonie, vit une trentaine de familles chrétiennes dont dix sont catholiques. Il s’agit de personnes simples, en majeure partie travaillant au nettoyage de bureaux de l’administration. Ce sont des gens dotés d’une foi forte. Nous surmonterons cela également ».

    « Les talibans – conclut le Père Riaz – frappent de manière indiscriminée des objectifs civils et militaires, des écoles et des familles. Ils veulent détruire la paix et jouir de visibilité en menaçant les institutions. Nous resterons unis pour protéger la paix sociale et religieuse. En tant que chrétiens, nous ferons ce qui nous appartient de faire, en priant et en travaillant pacifiquement, construisant chaque jour la paix dans notre vie quotidienne ». (PA) (Agence Fides 02/09/2016)

  • Surprise : le premier ministre indien fait publiquement l’éloge de Mère Teresa

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    Lu sur "Eglises d'Asie" (Agence d'Information des Missions Etrangères de Paris) :

    A quelques jours de la canonisation de Mère Teresa, le Premier ministre dresse un portrait élogieux et inattendu de la future sainte

    « Mère Teresa a consacré sa vie entière à servir les plus pauvres et les plus démunis en Inde. Quand une telle personne se voit attribuer le titre de sainte, il est tout naturel que les Indiens se sentent fiers. » Tels ont été les propos tenus par le Premier ministre Narendra Modi, lors d’un message radio, le 28 août dernier, durant lequel il a expliqué que même si Mère Teresa n’était pas née en Inde, elle avait, durant toute sa vie, servi les Indiens.

    C’est la première fois que Narendra Modi, plus connu pour ses critiques et son hostilité à l’égard de l’action de Mère Teresa et des Missionnaires de la Charité, fait publiquement l’éloge de l’action de la bienheureuse de Calcutta en Inde. Son parti, le RSS, le cœur idéologique du parti nationaliste hindou (BJP) au pouvoir actuellement, soupçonne en effet régulièrement les chrétiens de s’occuper des plus pauvres en vue de les convertir au christianisme.

    Les propos élogieux de Modi envers la future sainte : une première

    Il faut dire que l’engouement en Inde pour l’événement que représente la canonisation de Mère Teresa dépasse largement la simple sphère catholique et prend une réelle dimension nationale et interreligieuse. Le gouvernement indien, bien qu’issu du BJP, se devait donc d’y participer, bien que le Premier ministre ne se rende pas en personne à la cérémonie de canonisation au Vatican, le 4 septembre prochain. Le gouvernement indien enverra à Rome une délégation gouvernementale officielle composée de onze membres, avec, à sa tête, la ministre des Affaires étrangères, Sushma Swaraj. Deux autres délégations indiennes seront également présentes, celles des Etat de Delhi et du Bengale-Occidental, conduites par leur ministre-président.

    Une délégation gouvernementale indienne au Vatican pour une canonisation

    C’est également la première fois qu’une délégation gouvernementale indienne se rendra au Vatican pour une canonisation, le plus surprenant étant que cette délégation provienne d’un gouvernement issu du BJP, le parti nationaliste hindou, connu pour être hostile voire agressif envers les minorités religieuses, particulièrement les chrétiens et les musulmans.

    En 2014, lors des canonisations à Rome par le pape François du bienheureux P. Chavara Elias Kuriakose (1805-1871) et de la bienheureuse Sr Euphrasia du Sacré-Cœur de Jésus (1877-1952), tous deux originaires du Kerala, aucune délégation du gouvernement indien ne s’était rendue au Vatican ; seule une délégation officielle conduite par un ministre de l’Etat du Kerala s’était déplacée pour l’occasion.

    Un évêque catholique au sein de la délégation officielle gouvernementale indienne

    Autre point surprenant : la présence, parmi la délégation gouvernementale indienne, de Mgr Theodore Mascarenhas, secrétaire général de la Conférence des évêques catholiques d’Inde (CBCI). Selon lui, la présence d’un membre de la CBCI au sein de la délégation officielle gouvernementale est la preuve que le gouvernement actuel reconnaît la Conférence des évêques catholiques comme la voix officielle de l’Eglise catholique en Inde. « C’est un honneur de faire partie de la délégation gouvernementale. Nous avons hâte de travailler étroitement avec le gouvernement sur les questions de l’Eglise et des chrétiens en Inde. C’est une évolution très positive », a-t-il déclaré à l’agence Ucanews, le 29 août dernier.

    L’absence notoire de la ministre-présidente du Bengale-Occidental dans la délégation gouvernementale

    La ministre-présidente de l’Etat du Bengale-Occidental, Mamata Banerjee, pourtant annoncée comme faisant partie de la délégation officielle gouvernementale, a créé la surprise, le 26 août dernier, en annonçant qu’« [elle] ne se rendrait pas au Vatican avec la délégation gouvernementale, mais en tant qu’invitée des Missionnaires de la Charité ». Selon le quotidien indien, The Indian Express, ce serait Sr Prema, en tant que supérieure des Missionnaires de la Charité, qui aurait invité la ministre-présidente à la cérémonie.

    Selon des sources politiques issues de l’opposition indienne, la décision de Mamata Banerjee de ne pas s’afficher officiellement avec la délégation gouvernementale au Vatican a pour but de ménager à la fois les susceptibilités des extrémistes hindous, tout en courtisant les chrétiens du Bengale-Occidental, qui représentent une minorité importante dans l’Etat. « La violence que subissent les Indiens convertis au christianisme de la part des groupes extrémistes hindous, liés au BJP, est devenu un problème international et Mamata en a bien conscience », a expliqué un responsable de l’opposition, membre du parti politique All India Trinamool Congress (AITC ou TMC), du Bengale-Occidental.

    Ces derniers jours, les protestations des extrémistes hindous sont allées bon train. Pour Surendra Jain, secrétaire général du Vishwa Hindu Parishad (Conseil mondial hindou), composante centrale de la mouvance idéologique dont est issue le BJP, « le Premier ministre indien aurait dû prendre en considération l’aspect des conversions [au christianisme], avant de décider d’envoyer une délégation au Vatican. La canonisation de Mère Teresa est le signe annonciateur de nouvelles vagues de conversions en Inde et de l’arrivée de fonds étrangers supplémentaires visant à convertir », a-t-il affirmé à l’agence indienne IANS.

    La Poste indienne commercialisera, à partir du 1er septembre, soit trois jours avant la canonisation de Mère Teresa, une série limitée d’enveloppes en soie – une première – contenant une pièce de cinq roupies frappée à l’effigie de la future sainte.

  • Un jeune homme tente d'assassiner un prêtre en pleine messe à Sumatra

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    Lu sur le site des Missions Etrangères de Paris (Eglises d'Asie) :

    Sumatra : tentative d’assassinat d’un prêtre catholique en pleine messe

    Dimanche 28 août, le P. Albert Pandiangan, un prêtre capucin âgé de 60 ans, a été la cible d’une attaque terroriste alors qu’il célébrait la messe en son église Saint-Joseph de Medan, ville située sur la côte nord-est de l’île de Sumatra. Une attaque probablement inspirée de l’attentat commis le 26 juillet dernier à Saint-Etienne-du-Rouvray, près de Rouen, en France, attentat au cours duquel le P. Jacques Hamel avait trouvé la mort, égorgé par deux terroristes se réclamant de l’organisation Etat islamique.

    Dimanche, le P. Pandiangan prononçait son sermon lorsqu’un jeune homme s’est précipité sur lui. Après avoir vainement tenté de faire exploser la bombe artisanale qui était dans son sac, Ivan Armadi Hasugian, jeune musulman de 17 ans, s’est jeté sur le prêtre catholique en brandissant une hache et un couteau. Des paroissiens ont toutefois pu intervenir et le stopper dans son élan. Le prêtre s’en est sorti avec une simple blessure au bras gauche et le garçon a été arrêté par la police.

    L’enquête suit son cours pour connaître les motivations d’Ivan Armadi Hasugian. Le garçon a déclaré à la police qu’une récompense de 10 millions de roupies (132 000 euros) lui avait été promise par deux hommes rencontrés quelques jours avant l’attaque, pour faire exploser la bombe dans l’église. Des paroissiens assurent effectivement avoir vu deux hommes fuir l’église Saint-Joseph, après l’échec manifeste de l’attentat. La police de Medan les recherche toujours.

    Un bout de papier portant le symbole de l’Etat islamique (Daech) et l’inscription en arabe « La ilaha illa Allah » (‘nulle divinité sinon Allah’) a été retrouvé dans le sac d’Ivan Armadi Hasugian après son arrestation. Selon Mardiaz Kusin Dwihananto, chef de police de Medan, les actes de violence de ce jeune musulman auraient été inspirés par l’assassinat du P. Hamel en l’église Saint-Etienne-du-Rouvray, près de Rouen, le 26 juillet dernier. Cette fois-ci cependant, l’attentat n’a pas été revendiqué par l’Etat islamique. D’après la police, citée par Reuters, l’assaillant était bien « obsédé » par Daech sans pour autant être entré en contact avec les réseaux djihadistes.

    Muliawan Margadana, président du Mouvement des intellectuels catholiques en Indonésie, y voit toutefois un message de la part de l’organisation islamiste. Celui d’être en mesure de semer la terreur dans les lieux les plus paisibles, comme dans une église paroissiale près de Rouen ou à proximité de Medan. Margadana a appelé le gouvernement à prendre des mesures pour protéger les croyants et leurs lieux de culte.

    Pays très majoritairement musulman (85 % des 240 millions d’habitants) où vivent d’importantes minorités religieuses (dont 10 % de chrétiens), l’Indonésie a connu ces dernières années des épisodes terroristes importants. Un traitement policier de ces violences a éloigné cette menace, sans toutefois jamais la faire complètement disparaître. Les 29 et 30 juillet derniers, une dizaine de temples bouddhistes ont été attaqués à Tanjung Balai, au sud de Medan, sans faire de victimes mais provoquant des dégâts matériels importants. Par ailleurs, la Commission nationale des droits de l’homme, une instance indépendante à Djakarta, dénonce la montée du radicalisme au sein de la population musulmane, tendance qui s’est traduit ces trois dernières années par une hausse des atteintes à la liberté religieuse pour les minorités.

    Publié début août par l’Institut des Hautes études islamiques, institut fondé par l’ancien président de la République Abdurrahman Wahid, un rapport estime que 8,1 % des adultes musulmans du pays, soit un groupe de 12 millions de personnes, sont soit radicalisés soit susceptibles de le devenir. L’Institut appelle notamment le gouvernement central à exercer un contrôle plus fort sur les autorités locales, communales, régulièrement impliquées dans les actes d’intolérance religieuse, et à continuer la lutte contre le radicalisme et ainsi que contre les groupes tels l’Etat islamique, qui ne cachent pas leur volonté de s’implanter en Indonésie. Des campagnes de prévention anti-extrémisme ont été mises en place par les autorités.

    Mgr Ignatius Suharyo Hardjoatmodjo, archevêque de Djakarta et président de la Conférence des évêques catholiques d’Indonésie, a qualifié d’« inhumaine » l’attaque visant le P. Albert Pandiangan. « La terreur et la violence ne règleront rien. Elles ne sont qu’une source de souffrance », a-t-il précisé. L’archevêque de Medan, Mgr Anicetus Bongsu Sinaga, a quant à lui déclaré que l’affaire allait être traitée sans préjugés, et a appelé les catholiques des différents diocèses de la région à l’ordre et à la paix.

  • Rien ne permet d’affirmer qu’un accord est en passe d’être conclu entre la Chine Populaire et le Saint-Siège

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    Lu sur le site des Missions étrangères de Paris (Eglises d'Asie) :

    A quand un accord entre le Saint-Siège et la Chine populaire ?

    A en juger par le volume des publications parues ces dernières semaines sur Internet et dans la presse au sujet des relations sino-vaticanes, il semblerait que Pékin et Rome se rapprochent en vue de conclure un accord concernant sinon la normalisation de leurs relations du moins le mode de nomination des évêques en Chine. Toutefois, en l’absence de communiqué officiel de l’une ou l’autre partie en présence, rien ne permet d’affirmer qu’un accord est en passe d’être conclu.

    Ce 24 août, le journal catholique italien L’Avvenire a publié une longue interview du cardinal Pietro Parolin, secrétaire d’Etat du Saint-Siège, dans laquelle le prélat aborde, parmi d’autres sujets, les relations du Vatican avec la Chine. Le cardinal y confirme ce qui, ces derniers temps, était devenu quasi-officiel, à savoir le fait que Rome et Pékin négocient. Mais le secrétaire d’Etat utilise toutefois le mot « contacts » pour qualifier le dialogue qui s’est établi entre les deux parties et précise que ceux-ci se poursuivent « dans un esprit de bonne volonté des deux côtés ». Le cardinal prend également soin de rassurer ses éventuels lecteurs du gouvernement chinois sur le fait que les catholiques chinois sont« entièrement chinois » et que le Saint-Siège est attentif au fait qu’ils puissent « vivre positivement leur appartenance à l’Eglise et, dans le même temps, être de bons citoyens et contribuer à renforcer l’harmonie de l’ensemble de la société chinoise ». Quant à un éventuel accord, nulle déclaration, sinon que « le chemin de la connaissance et de la confiance mutuelles prend du temps, nécessite de la patience et appelle à une hauteur de vue des deux côtés ».

    Une longue dépêche de l’agence Reuters

    La séquence médiatique de cet été avait débuté par une longue dépêche de l’agence Reuters publiée ce 14 juillet. Intitulée « Special Report – After decades of mistrust, Pope pushes for breakthrough with China », l’enquête présentait un travail fouillé et bien informé de ce qui constitue très certainement le cœur des pourparlers en cours entre Pékin et Rome, à savoir le mode de nomination des évêques de l’Eglise catholique en Chine. Le gouvernement chinois voit dans la nomination des évêques par le pape une ingérence dans ses affaires intérieures sous prétexte de religion, tandis que l’Eglise défend l’unité du corps épiscopal, laquelle est notamment scellée par le fait que les évêques, successeurs des apôtres, sont nommés par le pape, successeur de saint Pierre. La dépêche de Reuters se penchait, entre autres, sur le cas des huit évêques de la partie « officielle » de l’Eglise illégitimes aux yeux des fidèles car consacrés sans l’accord de Rome, en évoquant une possible légitimation de ces évêques par le pape François à la faveur de l’année de la Miséricorde. Les journalistes donnaient aussi à voir la complexité des négociations, non seulement entre les deux parties mais aussi sein de l’Eglise et de la Curie romaine.

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  • Les chrétiens nigérians inquiets pour leur sécurité

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    De Radio Vatican :

    Les chrétiens du Nigeria s'inquiètent pour leur sécurité

    (RV) Au Nigeria, huit chrétiens ont été brûlés vifs à Talatu Mafara, dans l’État de Zamfara, au nord-ouest du pays. Un étudiant chrétien accusé de blasphème s’est réfugié dans la maison d’une famille chrétienne pour échapper à une horde de musulmans en colère. Ces derniers ont mis le feu à l’habitation, ne laissant aucune possibilité à la famille de s’en sortir, La scène d’horreur a été filmée, provoquant une vive réprobation dans le pays.

    La section jeunesse de l’Association chrétienne du Nigeria a condamné ce crime. Selon l’association, la primauté du droit ne peut pas être respectée dans un pays où règne une dualité entre la Constitution fédérale du Nigeria et la charia islamique en vigueur dans 11 États musulmans du nord. Cette confusion ouvre la voie à la persécution et au meurtre des chrétiens au Nigeria.

    Les séniors de l’association se sont publiquement inquiétés cette semaine du basculement progressif du pays vers un État islamique. Ils s’en sont pris à un projet de loi en instance devant l'Assemblée nationale, sur la réglementation des ONG. Projet qui vise à les faire taire, et en particulier l'Association chrétienne du Nigeria. Ils sont également préoccupés par le fait que le président Buhari, un ancien général musulman, ait choisi de nommer essentiellement des musulmans au sein du comité de sécurité et de renseignement, en charge de la sécurité et de l’ordre public.

    (CV-MD)

  • Quand Georges Soros et la fondation "Open Society" s'attaquent aux lois protégeant la vie dans les pays catholiques

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    D'Anne Dolhein sur reinformation.tv :

    La fondation “Open Society” de George Soros veut la suppression des lois provie par la promotion de l’avortement dans les pays catholiques

    Un document secret des « Open Society Foundations » (OSF) de George Soros récemment mis au jour révèle que le milliardaire a décidé de participer à la promotion de l’avortement et à la suppression des lois provie en finançant un plan de trois ans taillé sur mesure pour s’attaquer d’abord aux pays catholiques. Le document a été rendu public par DCLeaks.com, un site qui publie depuis le début de cette année des courriels piratés et qui a prêté une attention particulière aux organismes financés par Soros et à leur politique de subventions.

    La fondation du milliardaire hongrois, homme lige des Rothschild, a ainsi, selon le document piraté, exposé sa stratégie 2016–2019 en faveur des « droits des femmes ». L’Irlande, où la législation reste largement favorable à la vie, est présentée comme lapremière cible à frapper. Une fois ce bastion tombé sous les coups des promoteurs de l’avortement, il s’agirait d’utiliser l’Irlande comme modèle pour démanteler les protections de la vie « dans d’autres pays fortement catholiques ».

    Les pays catholiques pro-vie dans le viseur de George Soros

    Selon le document d’OSF, « alors qu’elle connaît l’une des lois anti avortement les plus restrictives au monde, y obtenir une victoire pourrait avoir un impact sur d’autres pays fortement catholiques d’Europe, telle la Pologne, et fournir la preuve bien nécessaire que le changement est possible, même dans des lieux très conservateurs ».

    L’Irlande peut s’enorgueillir encore de sa belle Constitution amendée en 1983 pour affirmer « le droit de vivre de l’enfant à naître, en tenant dûment compte de légal droit à la vie de la mère » : elle garantit que ses lois « respectent et autant que possible défendent et font valoir ce droit ».

    C’est bien l’abrogation de ce 8e amendement que la fondation de George Soros voit comme la première urgence : bénéficieront de ses largesses, selon le document fuité, l’Abortion Rights Campaign, Amnesty International Irlande et l’association irlandaise du Planning familial qui devront « travailler de concert pour faire révoquer l’amendement constitutionnel irlandais ».

    Après quoi les autres pays catholiques pourront tomber comme des dominos…

    L’“Open Society Foundation” finance les campagnes pro-avortement en Irlande

    L’Irlande est en effet une « épine dans le pied » des sectateurs de l’avortement, comme le souligne Cara Sherlock du Pro-Life Campaign irlandais : « Les excellentes statistiques irlandaises en matière de sécurité des grossesses sans recours à l’avortement constituent une gêne pour les partisans de l’avortement dans la mesure où elles sapent totalement leur argument selon lequel l’avortement aide les femmes d’une façon ou d’une autre. » Selon les Nations unies, rappelle une militante du Life Institute d’Irlande, Niamh Ui Bhriain, ce pays « est l’endroit le plus sûr au monde pour une mère mettant au monde son bébé », et ce sans avortement légal.

    La loi irlandaise a sauvé des milliers de citoyens irlandais, a souligné de son côté Cara Sherlock.

    Elle a ajouté que les plans de Soros, en tant qu’ils constituent une ingérence étrangère, sont une insulte aux citoyens d’Irlande : un « signe de mépris total », dit-elle.

    « Une chose est certaine. Ceux qui font la promotion de l’avortement en Irlande ont des ressources énormes dont ils ne disposaient pas il y a quelques années encore », a-t-elle souligné : ce sont les gros moyens de la culture de mort.

    Soros : promotion de l’avortement en Irlande pour faire « tomber » les autres pays catholiques

    Selon le document de la fondation de George Soros, la récente légalisation du « mariage » des couples de même sexe en Irlande fournit « des occasions intéressantes et opportunes afin de faire avancer la campagne » pour l’avortement, ce qui montre bien à quel point toutes ces choses sont liées.

    Si l’Irlande est en première ligne dans le plan de Soros, le document de l’OSF annonce également des subventions en faveur de l’activisme pro-avortement en Europe, au Mexique, en Zambie, Nigéria, en Afrique du Sud, en Tanzanie et en Amérique latine : « Afin que les femmes puissent pleinement prendre leur place de citoyens, elles doivent avoir le contrôle de leur corps », affirme-t-il.

    Soros, ce milliardaire de gauche, est la 16e personne la plus riche des Etats-Unis, avec une fortune estimée à près de 25 milliards de dollars par Forbes Magazine. Il n’est cependant qu’un riche financier parmi d’autres à débourser de l’argent pour faire progresser le faux « droit » à l’avortement en Irlande : le milliardaire américain Chuck Feeney en fait partie, tout comme les multinationales Google, Microsoft, la Ford Foundation, Pfizer, JP Morgan et Goldman Sachs.

  • L'Eglise luthérienne de Suède et l'ONU unis contre la famille et la vie

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    Du site "Benoît-et-moi" :

    ONU ET ÉGLISE LUTHÉRIENNE ALLIÉS CONTRE LA VIE

    ...pour se faire une idée de la situation qui attend le Pape dans le pays qui héberge "la deuxième plus importante dénomination luthérienne au monde", voici le résumé, paru sur la Bussola, d'un article paru sur le site anglophone pro-vie C-Fam.

    ÉGLISE LUTHÉRIENNE ET ONU ENSEMBLE CONTRE LA FAMILLE ET LA VIE

    Ermes Dovico (20/08/2016) www.lanuovabq.it; traduction sur le site "Benoît-et-moi"

    Une alliance singulière pour faire pression sur les chefs religieux et les convaincre qu'il n'y a pas d'incompatibilité entre la foi et les nouveaux "droits de l'homme" propagés aujourd'hui, la contraception, l'avortement, l'éducation sexuelle dès l'enfance et la reconnaissance juridique des unions homosexuelles.

    Comme le rapporte Rebecca Oas, de C-Fam, une ONG engagée dans la défense de la vie à naître et de la famille naturelle, les alliés en question sont le Fonds des Nations Unies pour la population (FNUAP), dont le contrôle des naissances est l'un des objectifs (caché derrière l'expression plus large et plus vague "droits sexuels et de santé reproductive"), et l'Eglise de Suède, qui, avec ses sept millions de membres - selon les chiffres annoncés sur son site Web - est la deuxième plus importante dénomination luthérienne au monde (ndt: article de C-fam ICI).

    Lire la suite sur le site "Benoît-et-moi"

  • Le Grand Ayatollah iranien salue les propos du pape sur l’islam

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    De Marina Droujnina sur zenit.org :

    Le Grand Ayatollah iranien salue les propos du pape sur l’islam

    Une lettre au pape rapportée par Radio Vatican

    Grand Ayatollah de Qom © Radio Vatican

    Grand Ayatollah De Qom © Radio Vatican

    Le Grand Ayatollah de Qom, en Iran, salue les « considérations » « sages et logiques » du pape François « sur l’islam qui dissocient la religion des actions inhumaines et des atrocités perpétrées » par des terroristes. Naser Makarem Shirazi a ainsi publié sur son site officiel une lettre adressée au pape, rapportée par Radio Vatican le 23 août 2016.

    Le Grand Ayatollah qualifie d’ «admirables» les propos du pape qui a refusé d’identifier islam et terrorisme lors de la conférence de presse dans l’avion de retour des JMJ de Cracovie, le 31 juillet dernier.

    Naser Makarem Shirazi déclare aussi que chaque leader religieux doit prendre une position « claire et forte » contre la violence « en particulier lorsque ces actes sont commis au nom de la religion ».

    Il redit sa condamnation de l’assassinat du père Jacques Hamel, tué le 26 juillet, lors de la célébration de la messe dans l’église de Saint-Étienne-du-Rouvray en France, et affirme que la majorité des musulmans soutiennent cette condamnation.

    Le Grand Ayatollah souligne que les groupes terroristes comme Daesh représentent « la pire crise de l’ère moderne ». « De tels actes barbares n’ont rien à voir avec les religions et leurs différentes écoles de pensée, insiste-t-il, mais sont plutôt le résultat d’une conception matérialiste de quelque superpuissance corrompue qui ne cherche rien d’autre que l’augmentation des richesses illicites. »

    «Heureusement, poursuit Naser Makarem Shirazi, l’opinion publique prend de plus en plus conscience de ces groupes extrémistes et terroristes, et nous pouvons espérer que leurs actions prendront un jour fin.»

  • Congo : le pape dénonce le « silence honteux » qui entoure les massacres à Beni (Nord-Kivu)

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    Lu sur le site de l’agence Zenit :

    massacre-BENI2.jpgAprès le nouveau massacre qui a fait 42 morts en République démocratique du Congo (RDC), le pape François a dénoncé le « silence honteux » de l’opinion mondiale. Lors de l’angélus du 15 août 2016, place Saint-Pierre, le pape a aussi déploré les « conflits persistants » dans diverses parties du monde.

    Après l’angélus de la fête de l’Assomption de la Vierge Marie, le pape a confié à la Reine de la paix « les inquiétudes et les douleurs des populations qui dans de nombreuses parties du monde sont victimes innocentes de conflits persistants. »

    « Ma pensée va aux habitants du Nord-Kivu, a-t-il ajouté, dans la République démocratique du Congo, récemment touchés par de nouveaux massacres qui sont perpétrés depuis longtemps dans un silence honteux, sans même attirer notre attention. »

    « Ils font malheureusement partie des nombreux innocents qui n’ont pas de poids sur l’opinion mondiale », a insisté le pape François. Et de formuler ce vœu : « Que Marie obtienne pour tous des sentiments de compassion, de compréhension et un désir de paix, de concorde. »

    Le massacre perpétré à Beni, à l’est de la RDC, dans la nuit du 13 au 14 août, a fait au moins 42 victimes selon les derniers bilans. Les autorités militaires ont désigné des rebelles islamistes ougandais, les Forces démocratiques alliées (ADF), comme responsables de cette attaque.

    Ref. RDC: le pape dénonce le « silence honteux » qui entoure les massacres

    Aujourd’hui les ADF islamistes, hier la Lord’s Army , avant-hier les mulélistes ou les maï-maï et ainsi de suite : des guérillas endémiques déstabilisent l’Est du Congo depuis plus d’un demi-siècle : la RDC ne s’est jamais remise de l’effondrement de cet Etat au lendemain même d’une indépendance octroyée par la Belgique dans des conditions inadmissibles. Et, depuis lors, les appels à la compassion pour les « innocents qui n’ont pas de poids sur l’opinion mondiale » se répètent comme une histoire qui bégaie sous les yeux de la MONUSCO. Pour mémoire, la première "implication" des Nations-Unies date du mois de juillet 1960. 

    JPSC

  • Les chrétiens d'Orient ou la tragédie des derniers oubliés de l'histoire

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    Du Figaro Vox sur lefigaro.fr :

    Chrétiens d'Orient : la tragédie des derniers oubliés de l'histoire

    L'exode de la population yazidie de la ville de Sinjar (Crédits photo: STRINGER Iraq/reuters)FIGAROVOX/ANALYSE -En cette fête de l'Assomption, Patrick Karam rappelle que la survie des Chrétiens d'Orient est désormais compromise en ce début de XXIe siècle par l'émergence en Syrie et en Irak de mouvements jihadistes.

    Patrick Karam est docteur en science politique, président de la Coordination des Chrétiens d'Orient en Danger (CHREDO), vice-président du conseil régional d'Ile-de-France


    En cette fête de l'Assomption, au son des clochers de nos églises répondent encore les cloches des églises d'orient. Mais cet écho s'affaiblit, se désespère et son étouffement fait craindre son prochain effacement.

    Le XXème siècle avait vu l'érosion progressive mais irrésistible de la présence des derniers Chrétiens qui atteignaient encore dans les années 50 entre 15 et 20% des populations d'Orient pour ne plus représenter que 3 ou 4% à la fin du siècle. Le début du troisième millénaire va-t-il signer leur disparition sur les terres qui ont vu naître et se développer le christianisme?

    Leur situation avait certes connu depuis l'aube de l'islam des périodes compliquées mais les Chrétiens étaient toujours parvenus à survivre et à s'accommoder des différents régimes, à défaut de pouvoir bénéficier d'un traitement égalitaire. Leur présence n'avait finalement jamais été menacée avant la fin du 19 ème siècle avec le massacre des Chrétiens de Damas en 1860 ou encore au début du 20 ème siècle avec le génocide des Arméniens et des Assyriens par l'Empire Ottoman en 1915.

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  • Affluence aux messes de l'Assomption

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    Aux journaux télévisés de la mi-journée ce quinze août 2016, la RTBF et RTL signalaient l’affluence aux célébrations de l’assomption de Marie en Belgique francophone.  Et il semble qu’Outre-Quiévrain on ne soit pas en reste : extrait de l'homélie de Dom Coureau, père abbé de l’abbaye bénédictine de Triors, dans la Drôme, publié sur le blog « Salon beige » :

    "La piété populaire est plus tenace qu’il n’y paraît, toute fragile qu’elle soit et parfois même bien ambiguë. Elle devance souvent la réflexion de la sagesse théologique qui sort enfin de sa léthargie. Malgré les apparences, la fête de ce jour reste bien ancrée au cœur des masses, plus chrétiennes qu’il n’y paraît. Le journal « La Croix » le reconnaissait récemment (12 août) : près d’un Français sur deux déclare prier la Vierge Marie, indice d’une réelle popularité mariale du pays. Cette popularité n’a jamais cessé, soutient un prêtre, spécialiste en la matière. Elle n’a pratiquement pas suivi les fluctuations de la pratique religieuse qui, elle, s’est affaissée. Les pratiques de piété mariale restent vivaces, chapelet des groupes du Rosaire, pèlerinages et processions de la Vierge vers les hauts-lieux mariaux qui sont considérables et extraordinaires. On pense bien sûr à Lourdes ou à Fourvière, mais aussi à tant de sanctuaires et d’églises, où la Vierge Marie rassemble enfants, adolescents, hommes, femmes, grands-parents, personnes d’origine populaire ou bourgeoise. Marie rebat les cartes des inégalités sociales, souligne encore cet article, avec le fait significatif que Marie apparaît le plus souvent à des gens qui ne sont généralement pas admirés par la société civile : des enfants, des malades, des personnes d’origine sociale plutôt populaire. Avec elle, les petits deviennent grands, conclut-il avec bonheur. 

    Récemment les évêques de France ont prescrit de jeûner, avant d’instaurer une neuvaine de prière pour la paix, clôturée ce matin par la sonnerie des cloches de nos églises. Cet humble acte de foi et de confiance entend arracher les fidèles à la peur panique que cherche à instaurer le terrorisme actuel : Prière et pénitence, prescrivait déjà Notre Dame à Lourdes. L’archevêque de Rennes voit là une nécessaire réponse à cette « guerre mondiale par morceaux » dont parle souvent le pape François. Prier pour la France, poursuit Mgr d’Ornellas, c’est prier pour que se lèvent des prophètes qui maintiennent en éveil la conscience de la dignité de l’être humain et de sa dimension religieuse. Prier pour la France signifie s’inscrire dans une tradition chrétienne multiséculaire de charité, pour que celle-ci continue d’irriguer les manières de relever de nouveaux défis. La charité n’est pas naïve : elle appelle à un surcroît d’intelligence créatrice et d’engagement social et politique. Charité et justice sont la trace concrète de l’œuvre de l’Esprit en notre histoire chaotique. 

    Prier Marie dans sa gloire est donc le réflexe de beaucoup en ce temps de menace. Il faut l’entretenir. De même il faut adorer le Saint-Sacrement, surtout là où il est exposé à la piété des fidèles. N’ayez pas peur, continue de nous y dire Jésus. Prions pour nos persécuteurs potentiels, prions pour leur conversion, afin que notre doux Père des cieux leur fasse connaître son Fils tel qu’il est et non tel qu’ils l’imaginent. Il se peut d’ailleurs que les musulmans de bonne foi soient légion, aptes à être intégrés dès lors dans la communion des saints, spécialement ceux d’entre eux qui seraient au Purgatoire ; aptes à être intégrés alors dans l’unique plan du salut, car il n’y a pas d’autre nom que Jésus pour nous sauver (Act. 4,10). Avec eux alors, nous supplions le Bon Dieu par sa Mère glorieuse que le monde ne devienne pas un enfer, car tel n’est pas du tout le plan de Dieu. Par sa miséricorde, il veut au contraire que nous désirions aller au ciel avec Marie qui voit et adore Jésus, amen."

    Ref. La popularité de la Sainte Vierge en France n'a jamais cessé

    JPSC