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Lu dans La Gazette de Liège (La Libre) de ce 24 avril :
« Le Mystérieux Visage de Sierck-Les-Bains », in 8°, 16 pp., couv. en quadrichromie, est disponible au prix de 3 euros (+ frais de port 1 €) au siège de l’asbl « Sursum Corda », rue Vinâve d’île, 20 bte 64 à B- 4000 Liège. Cpte IBAN BE58 0003 2522 9579. BIC BPOTBEB1: avec la mention: "le mystérieux Visage". Les commandes peuvent aussi se faire par téléphone : 04.344.10.89 ou e-mail : sursumcorda@skynet.be
Sur lefigaro.fr (Figaro Vox - Eugénie Bastié), un article très intéressant sur l'idéologie nazie et sur son antagonisme frontal avec le christianisme :
Comment l'utopie mène au crime : une nouvelle enquête sur le nazisme
FIGAROVOX/GRAND ENTRETIEN - Le caractère monstrueux du nazisme prend racine dans l'utopie. Tel est le propos du dernier livre Crime et utopie, de Frédéric Rouvillois. L'écrivain y montre comment le rêve d'un homme parfait a entraîné la Shoah et mis l'Europe à feu et à sang.
Frédéric Rouvillois est professeur de droit public et écrivain. Il a publié de nombreux ouvrages sur l'histoire des idées, notamment L'invention du Progrès, aux origines de la pensée totalitaire (CNRS éditions, 2010), ainsi que des essais sur la politesse, le snobisme et les institutions, et plus récement Une histoire des best-sellers (Flammarion, 2011).
Votre thèse est à première vue déconcertante: le nazisme, une utopie! Qu'y a-t-il de commun entre l'utopie de Thomas More, l'Abbaye de Thélème de Rabelais, le socialisme utopique d'un Fourier et la barbarie nazie?
L'utopie, ce n'est pas seulement un gentil projet difficile à réaliser, une amélioration impossible. Ce n'est pas passer des 35h aux 22h. Si on s'en tenait à cette définition simpliste, on ne pourrait évidemment pas parler d'utopie nazie. Mais il faut rappeler que cette acception de l'utopie, où l'adjectif «utopique» s'oppose simplement à «scientifique», est assez tardive, ayant été popularisée par Marx et Engels au XIXème siècle dans leur combat contre les socialismes utopiques à la française.
L'utopie, c'est la disparition du conflit et du hasard: c'est un monde intégralement fluide, ce qui suppose une mainmise sur les choses, les êtres, la nature et l'histoire. Or, le noyau dur du nazisme, c'est moins le racisme que cette dimension utopique.
Rédigée par Jean-Pierre Snyers et éditée par l’asbl Sursum Corda, une brochure vient de paraître présentant le mystérieux visage de Sierck-Les-Bains.
Le 4 septembre dernier, nous avons publiéiciune note de l’auteur faisant état de cet étrange phénomène.
Il s’agit, là où il n’y avait qu’une tache d’humidité, de l’apparition d’un visage sur le pignon d’une maison, visage dont les traits évoquent très précisément celui du Christ tel que nous le connaissons à travers l’iconographie chrétienne.
Ce visage qui n’est manifestement pas l’œuvre d’une main humaine est apparu en 1985 et résiste étrangement aux outrages du temps et du climat. Sincère et digne de foi, Paul Huther témoigne de ces évènements.
Grâce à cette nouvelle publication abondamment illustrée, le lecteur pourra se faire une idée plus précise au sujet de cette image et des questions qu’elle soulève. L’image de Sierck est-elle un signe qui nous serait adressé tandis que nous traversons l’obscurité d’un monde de plus en plus indifférent à notre destinée spirituelle ?
Pour commander cette brochure :
« Le Mystérieux Visage de Sierck-Les-Bains », in 8°, 16 pp., couv. en quadrichromie, est disponible au prix de 3 euros (+ frais de port 1 €) au siège de l’asbl « Sursum Corda », rue Vinâve d’île, 20 bte 64 à B- 4000 Liège. Cpte IBAN BE58 0003 2522 9579. BIC BPOTBEB1: avec la mention: "le mystérieux Visage". Les commandes peuvent aussi se faire par téléphone : 04.344.10.89 ou e-mail : sursumcorda@skynet.be
Est-il moderne de croire en Dieu ? Croire à une seule vérité est-il intolérant ? Les chrétiens sont-ils ringards ? Le père Matthieu Rougé, qui vient de faire paraître L'Eglise n'a pas encore dit son dernier mot ! (Robert Laffont) est l'ancien responsable du Secrétariat pastoral d'études politiques du diocèse de Paris. Aujourd'hui, curé de Saint-Ferdinand-des-Ternes, il secoue les chrétiens de leur torpeur et nous propose une petite leçon d'optimisme face au défaitisme ambiant. Mais, pour changer le cours des évènements, "les chrétiens doivent se former humainement, politiquement et spirituellement"...
L'édition religieuse en France a pour principales caractéristiques d'être ramifiée en autant de chapelles, cénacles et groupes qu'il y a de sensibilités au sein de l'Eglise catholique
L'édition religieuse en France a pour principales caractéristiques d'être ramifiée en autant de chapelles, cénacles et groupes qu'il y a de sensibilités au sein de l'Eglise catholique. Et d'avoir a un poids économique faible : moins de 2 % des 2,77 milliards d'euros du chiffre d'affaires total des éditeurs. Mais elle a toujours intéressé de généreux mécènes.
Mercredi 19 mars, le choix du tribunal de commerce de Paris de valider, la reprise du prestigieux groupe Desclée de Brouwer (DDB), fondée en 1877 - et qui fut un temps la propriété du Monde -, par les éditions Artège, peu connues du grand public, ressemble en quelque sorte à une tempête… dans un bénitier.
Fondées en 2005 à Perpignan, par Bruno Nougayrède et Loïc Merian, deux chefs d'entreprise qui placent la foi catholique au coeur de leur démarche, Artège est présent dans la presse, l'édition et la vente par correspondance. Ce petit groupe, qui édite la revue Parole et Prière, diffusée à 25 000 exemplaires, emploie 15 salariés et réalise 3 millions d'euros de chiffre d'affaires par an.
TRANSFORMATION DANS LES ANNÉES 1980
Or, dans la corbeille de la mariée, outre DDB, Artège a récupéré un chapelet de petites maisons religieuses : Le Sénevé, Lethielleux et François-Xavier de Guibert, mais aussi les Editions du rocher. Fondées en 1943 par Charles Orengo à Monaco, les Editions du rocher ont d'abord publié de la poésie, avant d'acquérir une certaine notoriété littéraire, puis de retourner dans un certain oubli.
L’indien Juan Diego et Notre-Dame de Guadalupe(source)
Auteur :
Jean Mathiot
Editeur :
TEQUI
Paru en :
mars 2014
15.50 €
Résumé
Le sanctuaire de Guadalupe, au Mexique, est le plus grand pèlerinage du monde : chaque année, plus de vingt millions de personnes viennent prier la Sainte Vierge, apparue en 1531 à un Aztèque parmi les plus humbles, Juan Diego.
Pourquoi Marie a-t-elle choisi d’apparaître à un modeste Indien de 57 ans ? Qui était-il et quelle fut la mission qui lui fut confiée, à lui, un simple laïc récemment converti ? Dans quel contexte historique et comment se sont déroulées ces apparitions, qui ont lancé en Amérique latine une immense vague d’évangélisation - neuf millions de baptêmes durant les neuf années qui suivirent ? Quels sont les mystères insondables de l’Image que la Vierge laissa sur la tunique de Juan Diego ? Quels miracles fait encore aujourd’hui sainte Marie de Guadalupe ?
Cet ouvrage, à la fois instructif et empreint de spiritualité, répond à toutes ces questions, avec clarté et simplicité. Par le témoignage de Juan Diego, il montre combien est immense le rôle apostolique des laïcs dans la vie de l’Église.
Cette nouvelle édition revue et augmentée intègre un encart photos couleur et donne aussi des explications sur le dernier miracle à Guadalupe, le 24 avril 2007.
De la nécessité de Dieu, par Christophe Geffroy Pourquoi faut-il qu’il y ait des hommes ?, par
Christophe Geffroy Les enfants de l’espérance, par Jacques de Guillebon
VIE CHRÉTIENNE Abbé Poppe : la vraie joie existe, par Guillaume
d’Alançon Question de foi : Les mots qui tuent, par l’abbé
Hervé Benoît
CULTURE Jaurès, la « guerre pour la paix », par Pierre Mayrant Au fil des livres : Joseph Malègue, par Philippe Maxence Notes de lecture, chroniques musique, sortir, cinéma, Internet, livres jeunes Un livre, un auteur : Mgr Tony Anatrella Portrait : Albéric de Serrant, par Marine Tertrais
La procréation médicalement assistée est une bonne nouvelle pour les couples stériles ; mais l’est-elle également pour les embryons surnuméraires ? Il est précieux de pouvoir poser un diagnostic prénatal permettant de procurer des soins à l’enfant dès le sein de sa mère ; mais que dire des examens qui à la moindre anomalie, conduisent à l’avortement dit « thérapeutique » ? La traque de l’enfant handicapé n’est-elle pas une forme d’eugénisme par élimination du plus faible ? Comment s’assurer que le diagnostic préimplantatoire ne devienne une pratique eugénique par sélection du plus fort ? Le « droit » à l’enfant idéal semble faire partie des fantasmes de notre société, qui dénonce officiellement l’eugénisme, tout en incitant les citoyens à le pratiquer individuellement.
Joseph-Marie VERLINDE, ancien chercheur en chimie nucléaire, l’auteur entre en religion sous le nom de Père Joseph-Marie VERLINDE, et fonde LA FAMILLE DE SAINT JOSEPH (règle bénédictine – Archidiocèse de Montpellier). Professeur émérite de philosophie à l’université catholique de Lyon, de théologie fondamentale au Séminaire d’Ars et au STIM (Studium Intermonastique de France), il se consacre à l’étude critique des nouveaux courants de religiosités, puis des nouvelles idéologies contemporaines qui se multiplient. Ses conférences de Carême 2002 à Notre Dame de Paris l’ont rendu célèbre. Le témoignage de son retour à la foi chrétienne (en 1975), après une immersion dans l’hindouisme et un passage dans l’ésotéro-occultisme, a été publié aux éditions St-Paul :L’Expérience interdite, 1998, 5e éd. - Quand le voile se déchire, 2000, 3e éd. - La déité sans nom sans visage, 2001, 2e ed.. Il est actuellement responsable d’un important Centre spirituel dans le Midi de la France (Saint Joseph de Mont-Rouge, 34-Puimisson), où il prêche des retraites et anime des sessions de guérison intérieure. Il est égalementcuré de paroisse. Le Père Verlinde est une des personnalités les plus atypiques de l’Église de France
Xavier, trente-deux ans, journaliste à Paris, ne supporte plus la vie qu'il mène. Usé par son rythme trépidant, lassé des amours éphémères, déçu par la médiocrité des liens, vidé de tout élan et ne sachant plus où trouver de la force pour éclairer sa vie, il décide, sur un coup de tête, de passer quelques jours dans un ermitage auprès d'un vieux moine, haut en couleur, à la stature spirituelle et humaine hors du commun. Il s'installe au creux d'un monastère perdu dans la montagne. Partageant la vie de prières et les travaux des moines, il dort dans une cellule et prend un repas par jour. Sa cure de silence est entrecoupée par des conversations à la fois chaleureuses et exigeantes menées souvent par le père supérieur et parfois avec les autres moines dont les différentes personnalités le surprennent, mais moins toutefois que le bonheur qu'ils respirent. À la fin de sa retraite, il remonte à Paris en partie lavé de son mal-être et rencontre une jeune femme. Un voyage initiatique aussi dense qu'inattendu, ponctué de dialogues revigorants, riche de sagesse et de bon sens, plein d'émotion et parfois d'humour où la source du christianisme jaillit comme un leçon de vie.
A propos de ce livre, auquel nous avons déjà consacré une présentation, le P. Lombardi, directeur de la salle de presse du Saint-Siège et de Radio-Vatican a déclaré (extraits) :
« L’ouvrage mérite de sérieuses critiques, lorsque, à plusieurs occasions, il prend pour cible des personnes précises, en les nommant, en leur attribuant explicitement des responsabilités très graves, sans un fondement certain ou – tout au moins dans certains cas – sans aucun fondement. (…) L’Auteur laisse entendre qu’il se base sur les témoignages qu’il a recueillis et ajoute, à la fin de l’ouvrage, une longue liste de remerciements à l’égard de personnalités influentes, dont de nombreux cardinaux. Mais, alors que l’identité des auteurs des témoignages positifs est clairement indiquée, les déclarations négatives et les accusations les plus graves restent anonymes même lorsqu’elles sont placées entre guillemets. En outre, plusieurs personnalités qui sont remerciées à la fin du livre ont pris leur distance par rapport à cet ouvrage dans lequel elles ne se reconnaissent pas.
Finalement, l’impression qui en ressort est que Benoît XVI était entouré de démons. L’auteur semble avoir identifié quelques adversaires auxquels il pense avoir le droit d’adresser non seulement des critiques compréhensibles pour leurs erreurs ou pour des faits certifiés, mais aussi les accusations les plus atroces de trahison, en allant au-delà de ce qui a été prouvé, de ce qui est plausible et licite (…).
L’auteur du livre, qui est à coup sûr un grand admirateur du Pape Benoît, ne semble pas en revanche en être un bon disciple (…). Permettez-moi de dire que quand le Pape François fustige les bavardages, qui peuvent aller jusqu’à la calomnie – il le fait souvent, comme on le sait, et il l’a fait à plusieurs reprises avec une fermeté particulière le dimanche 16 février – il pense aussi à ce type d’ouvrages et de discours.
Dommage ! Ce que l’Auteur dit de Benoît XVI est beau. Pourquoi le gâcher de cette façon?