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Livres - Publications - Page 152

  • Des jésuites hongrois sous le pouvoir communiste

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    Jésuites hongrois sous le pouvoir communiste

    (source :  http://www.jesuites.com/2013/02/jesuites-hongrois-communisme/)

    Éditions Lessius ; traduit du hongrois par Thierry Monfils s.j., en collaboration

    Postface : Rudolf Rezsohazy

    Coll. Au singulier , n° 23 - 26,50 € -  400 p.    

    Pour acheter le livre

    Recueil de témoignages sur la vie des jésuites en Hongrie, alors que les pratiques religieuses étaient fortement réprimées et les ordres religieux interdits. Ce volume contient également une analyse des procès de jésuites sous le régime communiste.

    À peine voilée par une législation qui, en principe, autorisait l’exercice de la liberté religieuse, la pratique du pouvoir socialiste hongrois installé par les Soviétiques après la Seconde Guerre mondiale allait faire preuve d’une intolérance rigoureuse à l’égard de la religion : confiscation des biens, arrestations, procès, assignations à résidence, emprisonnements ou travaux forcés. Il s’agissait pour les communistes d’entraver les activités de l’Église et de hâter la disparition du phénomène religieux. Ces événements marquèrent l’Europe centrale dans sa chair.

    Dès 1950, un décret interdit les instituts religieux. Bon nombre de jeunes jésuites hongrois allaient progressivement trouver refuge à l’étranger pour y recevoir leur formation religieuse, avant de travailler dans les différentes régions du monde. Mais qu’advint-il de ceux qui étaient restés en Hongrie ? Leur persécution fut sévère, féroce même.

    Dans leur vérité toute simple, les souvenirs et témoignages recueillis ici par Ferenc Szabó offrent des récits de vies poignants. Comment les jésuites ont-ils, au milieu de cette tourmente, vécu leur vocation ? Dans la foi en Jésus-Christ, l’amour de l’Église, le service de leurs contemporains, sans rancune à l’égard de leurs persécuteurs et, même parfois, avec humour.

    Auteur
    Père Ferenc Szabó, sj, né en Hongrie en 1931, étudie la philosophie et la théologie au scolasticat jésuite d’Eegenhoven (Belgique). Docteur en théologie de l’Institut catholique de Paris (1966), il est nommé successivement directeur de la section hongroise de Radio Vatican, responsable de la revue Távlatok (Perspectives) et professeur de théologie dans des écoles supérieures et à l’Université catholique Pázmány Péter à Piliscsaba.

  • A propos de l'Islam et de son fondateur : un article surprenant sur Libé

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    Enfin un article qui ose rompre avec la langue de bois de l'islamiquement correct et donner la parole à une historienne qui retrace les origines de l'Islam sans débiter servilement la vulgate habituelle : mahomet-le-prophete-posthume 

    (Via "le bloc-notes d'un journaliste chrétien")

    Qui est le fondateur de l’islam ? Comment vivait-il dans l’Arabie occidentale du VIIe siècle ? L’historienne Jacqueline Chabbi rassemble les rares pièces du puzzle de l’édification de sa légende.

    Par BERNADETTE SAUVAGET
    Au Mali, les guerriers jihadistes d’Al-Qaeda ont détruit mosquées et mausolées, symboles du soufisme. Pour imposer par la terreur leur vision de l’islam et de son fondateur. Cette lecture fondamentaliste s’impose de plus en plus. La figure de Mahomet, elle, alimente la controverse en faisant monter la tension entre l’Occident et le monde musulman. Depuis l’affaire des caricatures de Mahomet, publiées en septembre 2005 dans un journal danois, jusqu’au film l’Innocence des musulmans, diffusé cet automne sur Internet, les polémiques se succèdent. Pourtant, comme l’explique Jacqueline Chabbi, l’une des meilleures spécialistes françaises des origines de l’islam, cette «sacralisation» du prophète a une histoire, malheureusement trop méconnue.
  • Des religieux surdoués sur le front de l'économie

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    Gaël Giraud et Cécile RenouardShare on facebook

     De Jean-François Rod (ancien "pdg" de La Procure) sur le blog de cette maison d'édition :

    Gaël-Giraud-et-Cécile-Renouard

    "Une fois n’est pas coutume, je vous parlerai de deux auteurs, Gaël Giraud, jésuite, et Cécile Renouard, religieuse de l’Assomption, qui sont tous deux des économistes de haut niveau et qui appliquent leur réflexion d’éthique chrétienne au domaine économique, financier et social.

    Disons-le d’emblée, nous avons affaire à des personnes plutôt surdouées et surdiplômées ! Gaël Giraud a fait Normale Sup et a passé un doctorat de mathématiques. Son premier livre « Théorie des jeux » expose ses premières réflexions à l’intersection de l’économie et des mathématiques appliquées. Avant d’entrer dans la Compagnie de Jésus, il a travaillé dans une grande banque internationale et il connaît de l’intérieur l’esprit qui règne dans les salles de marchés. Il a aussi enseigné au Tchad et il s’est occupé des enfants des rues. Il est aujourd’hui chercheur au CNRS et membre de centre de réflexion internationaux. Cécile Renouard, elle, est venue à l’économie par la philosophie et par les études commerciales (ESSEC). Elle a publié aux Presses Universitaires de France « La responsabilité éthique des multinationales » en s’appuyant sur des enquêtes de terrain, en particulier au Kenya et au Nigeria. Elle a présenté aussi la pensée de Michaël Waltzer aux éditions Temps Présent. Elle est professeur à l’Ecole des Mines de Paris et à l’Essec. Tous les deux enseignent au Centre Sèvres à Paris.

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  • Pourquoi l'auteur de "la merditude des choses" est fier d'être belge

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    Auteur d'un nouveau roman intitulé "L'entrée du Christ à Bruxelles", Dimitri Verhulst accorde un entretien à Guy Duplat dans La Libre. Flamand vivant à Huccorgne, il se positionne plutôt en défenseur de la belgitude. Malheureusement, pas celle qui nous plaît. Il déclare notamment. "Je préfère dire que je suis fier d’être belge quand je vois que l’on vient de l’étranger chez nous grâce à nos lois généreuses sur l’avortement et l’euthanasie. Nous avons eu de vrais débats et de vraies lois pour répondre à la souffrance des gens." Quand l'empathie dérape, elle cautionne malheureusement le n'importe quoi. Mais, s'il n'était pas rallié au politiquement et culturellement correct, cet auteur aurait-il droit aux plateaux de télévision et à des interviews dans la Libre ? Il est toutefois intéressant d'acter cette impasse qu'il signale: "Mon combat, mon idéal, ce n’est pas d’attendre un dieu, qui d’ailleurs ne viendra pas, mais de réaliser déjà ce monde meilleur, aujourd’hui. Pourquoi faudrait-il un retour des religions, avec leurs diktats et leurs "conseils" pour qu’on se préoccupe enfin des autres ? Je n’aurais jamais cru qu’en 2013, des siècles après les Lumières, on ait encore besoin de l’arrivée d’un dieu sur terre pour se préoccuper du bien des hommes. Mais il est vrai qu’aujourd’hui, l’égoïsme domine et que trop de gens, quand ils croisent un SDF à la gare centrale se disent qu’ils s’en foutent car de toute manière c’est de sa faute." Donc ?

  • Rendez-nous le petit catéchisme ?

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    Lu sous la plume de Jean Madiran, sur le « Forum catholique » :

    • Le débat autour des conséquences directes ou indirectes de Vatican II semble continuer à ignorer le comment et le pourquoi de la longue disparition du catéchisme catholique.

    Ici comme ailleurs avait joué la rumeur, rapidement devenue opinion dominante, que ce qui était antérieur au Concile devait désormais être tenu pour périmé. Tous les catéchismes existants furent disqualifiés. 

    Pendant vingt-sept années, de 1965 à 1992, l’Eglise s’est trouvée sans catéchisme officiel. L’espace d’une génération, il y eut une vacatio catechismi. Et de 1965 à aujourd’hui, l’absence de petit catéchisme pour enfants baptisés est une vacatio de quarante-huit ans dont on n’aperçoit pas la fin.

    -Le plus grand nombre des catholiques le sont parce que leurs parents les ont fait baptiser à leur naissance et ont veillé sur leur éducation catholique romaine : 

    « Une âme de petit enfant baptisé, écrivait Henri Charlier, a besoin d’un enseignement chrétien constant pour nourrir le germe que le baptême a déposé dans son âme. Sans quoi le germe s’étiole et meurt.

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  • En hommage au Père Pierre Defoux, jésuite et artiste

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    source : http://www.jesuites.com/2012/01/pierre-defoux/

    Le père Defoux nous a quittés ce 3 février.

  • L'attentat contre Jean-Paul II : les affabulations d'Ali Agça

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    Le P. Lombardi démonte les affirmations d'Ali Agça (ZENIT.org)
    Nouveau livre, cinq déclarations fausses - Anita Bourdin

    ROME, 2 février 2013 (Zenit.org) - Les versions de l’attentat contre Jean-Paul II que Mehmet Ali Agça a données jusqu’ici sont trop nombreuses – plus d’une centaine – « pour que l’on puisse y croire », déclare le père Lombardi au terme d’une contre-enquête précise sur le nouveau livre de l’ancien terroriste des « loups gris ».

    « Ils m’avaient promis le paradis. Ma vie et la vérité sur l’attentat contre le Pape » : c’est en effet le titre de l’autobiographie que Ali Agça a publiée le 31 janvier 2013 en italien (« Mi avevano promesso il Paradiso. La mia vita e la verità sull’attentato al Papa ») aux éditions Chiarelettere et qui sortira en France à L’Archipel.

    Au cœur du livre du Turc Ali Agça, aujourd’hui âgé de 55 ans, et alors âgé de 23 ans, se trouve cette affirmation que le commanditaire de l’attentat contre le pape Jean-Paul II, le 13 mai 1981, place Saint-Pierre, serait l’Iran de l'ayatollah Khomeiny. Le père Lombardi démontre la « fausseté » de 5 affirmations centrales.

    Le directeur de la salle de presse du Saint-Siège, le père Federico Lombardi, a fait une mise au point pour la presse, ce 1er février 2013. Radio Vatican en italien en publie le texte dont voici notre traduction :

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  • Cette nuit j’ai su que tu existais: une goutte de vie échappée du néant

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    De la chair et de l’esprit (Osservatore Romano)

     

    « Cette nuit j’ai su que tu existais: une goutte de vie échappée du néant ». Tel est le célèbre incipit d’un des plus beaux chants sur la maternité qui n’ait jamais été écrit au cours des derniers siècles. Le livre commence par un refus (« Tu t’es glissé en moi comme un voleur, et tu m’as dérobé mon ventre, mon sang, mon souffle. Maintenant tu voudrais me dérober tout mon existence »), avec la volonté d’éloigner une présence minuscule et fracassante, capable de précipiter la femme dans un puits où tout n’est qu’« incertitude et peur ».


    galeotti.jpgEt pourtant, ligne après ligne, la fermeture de la journaliste laïque florentine a la force et le courage de se transformer. Et, ainsi, la lamentation devient un chant d’amour.

    La mère n’est pas seulement celle qui accouche d’un enfant. La mère est la femme qui nourrit, qui accueille, qui berce, qui tranquillise, qui soulage, qui soutient, qui aide, n’importe quel enfant. C’est n’importe quelle femme qui se charge de son prochain dans l’ouverture inconditionnée qui ne recherche aucun retour. Sécher les larmes, encourager les succès, panser les blessures, fêter la beauté, courir derrière de petites jambes que l’on craint voir trébucher: gestation et éducation sont aussi – ou peut-être surtout – caractéristiques de l’esprit. Elles sont la capacité de ressentir et, donc, de laisser de la place à la force bouleversante en mesure de transfigurer toute chose.

    Aux pieds de la représentation de Marie d’Isabella Ducrot, à côté d’Oriana Fallaci et de sa merveilleuse lettre à l’enfant jamais né, nous déposons aussi les paroles d’une jeune juive hollandaise morte à Auschwitz le 30 novembre 1943.

    Dans les pages qu’elle nous a laissées, Etty Hillesum raconte un itinéraire intérieur, silencieux et étonnant. Le début est celui d’une jeune fille confuse et renfermée sur elle-même. Dix mois plus tard, le 12 octobre 1942, du camp de Westerbork elle écrivait: « J’ai partagé mon cœur comme si c'était du pain et je l’ai distribué aux hommes. (…) Ils étaient tellement affamés, et depuis longtemps ». Cette transformation radicale – advenue en peu de mois et guidée uniquement par le désir intime d’entrer en communion avec Dieu et avec le prochain – qu’est-elle d’autre, sinon une maternité?

  • Les croisades n'ont pas fait l'unanimité

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    • Des Chrétiens contre les croisades
    • Martin Aurell
    •  
    • Fayard - 30/01/2013
    • 24,00 € - 416 
      • pages

    Présentation de l’éditeur :

    Pour de nombreux historiens et écrivains, les croisades auraient été une pulsion unanime des Occidentaux pour conquérir les territoires des religions concurrentes et imposer partout leur culture. Encore récemment des films et des discours politiques ont véhiculé ce mythe. Ce livre rompt définitivement avec le fantasme d’un consensus autour des guerres des croisés, ces pèlerins armés partis conquérir les lieux saints, soutenir les royaumes chrétiens d’Orient, voire rétablir la foi catholique dans des provinces dissidentes, en particulier contre les Cathares.Au terme d’une enquête minutieuse à travers les archives et les chroniques médiévales, Martin Aurell fait resurgir les puissantes voix des chrétiens qui se sont élevés contre le pape et les princes prétendant libérer Jérusalem par la force, alors même que Jésus avait refusé à Pierre le droit de prendre le glaive pour se défendre en ce même lieu. Il révèle comment des prêtres, des moines et même des troubadours se sont dressés contre les exactions des hommes d’armes.Ils ont condamné les pogroms en Allemagne, les violences des chevaliers envers des populations désarmées, le pillage des villes, l’avidité des grands ordres militaires, dont les Templiers, les Hospitaliers ou les Teutoniques. En réhabilitant les grandes consciences qui ont plaidé avec une étonnante précocité pour la tolérance, l’auteur réhabilite un humanisme ancré dans la foi. Ce livre constitue donc une première.
    Grâce aux auteurs critiques, il dévoile des pages sombres et méconnues de l’histoire des Croisades. Il modifie notre regard sur la violence au Moyen Age.

    Professeur d’histoire du Moyen Age à l’université de Poitiers, membre de l’Institut universitaire de France, Martin Aurell dirige la revue Cahiers de civilisation médiévale. Il est notamment l’auteur chez Fayard du Chevalier lettré (2011).

    Via "Le blog de l'histoire"

  • L'argent du pape pour combattre le nazisme

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    On se souvient aujourd'hui d'un 30 janvier sinistre qui vit Hitler accéder à la chancellerie. Certains médias, comme le Guardian s'acharnent, au mépris de la réalité historique, à alimenter la "légende noire" selon laquelle le Vatican se serait compromis avec les dictatures fasciste ou nazie. Le moment n'est pas mal choisi pour souligner l'engagement du pape Pie XII dans la lutte contre le régime nazi. Un article, paru en anglais sur le site de l'Osservatore Romano développe cette nouvelle information :

    Une étude réalisée par Patricia M. McGoldrick publiés dans "The Historical Journal» retrace les détails sur les finances du Vatican lors de la Seconde Guerre mondiale

    Les dollars du Pape contre Hitler

    De nouveaux documents provenant des archives anglaises nationales révélent comment Pie XII a également combattu le nazisme par des investissements aux États-Unis

    ... Il s'agit d'une histoire d'espionnage, de contacts secrets, de documents très sensibles - qui sont restés ensevelis pendant 70 ans et c'est seulement maintenant qu'ils surgissent des archives. Au coeur de cette histoire : Bernardino Nogara, un membre du conseil d'administration de la Banca Commerciale Italiana, ami de la famille Ratti (famille du pape Pie XI), qui, en 1929, a été nommé conseiller financier auprès du Saint-Siège. C'est lui qui, en concertation avec la Curie, sera le protagoniste de la stratégie financière du Vatican qui se révéla être d'une importance capitale pour la victoire des Alliés sur les nazis et les fascistes lors de la Seconde Guerre mondiale.

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  • 14 repères sur la Foi

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    14 repère sur la Foi - Ces Vérités qui sauvent (Abbé Alphonse Vidal)

    Le Laurier (2012)

    128 pages - ISBN : 9 782864 953418 - 10 €

    Quelle est notre foi ? Quelles sont ses implications dans la vie quotidienne ? Comment approcher de cette porte qui ouvre sur la vie éternelle ? Voici des questions auxquelles l'auteur, Alphonse Vidal, ingénieur, docteur en théologie et prêtre, a voulu répondre. L'objectif principal du livre est de faire grandir en nous la foi et de nous aider ainsi à tirer le plus grand profit de l'Année de la Foi promulguée par Benoît XVI. S'appuyant sur des textes de la Sainte Écriture, et du Catéchisme de l'église catholique, ces méditations pratiques et concrètes s'attachent à montrer l'impact de la foi sur la vie quotidienne du chrétien.

    L'abbé Vidal exerce son ministère à Paris. Il prêche notamment des retraites et assure l'accompagnement spirituel de nombreuses personnes.

  • Pour la catéchèse des plus jeunes : un cahier de baptême

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    Mon Cahier de baptême

    Dans la ligne de ses précédents albums à succès pour la préparation des enfants aux sacrements de l'Eglise, Transmettre vient de publier Mon Cahier de Baptême.

    Mon Cahier de baptême s’adresse à des enfants en âge scolaire, (de 7 à 11 ans environ) qui désirent recevoir le sacrement du baptême. Il propose une préparation en 4 étapes, conformément à la pratique prescrite par l’Eglise et décrite dans le Rituel du Baptême des Enfants en âge de scolarité (RBE).

    Ce cahier s’applique à fournir aux enfants les éléments indispensables pour comprendre le sens et la richesse du baptême, dans le plan du salut de Dieu, selon une progression qui suit au plus près ces 4 étapes. Elles leur sont présentées dans leur dimension spirituelle, les compléments pratiques ou autres, pouvant leur être donnés de manière plus détaillée à partir du RBE et des choix pastoraux propres à chaque paroisse.

    L’enfant est invité à lire et à comprendre les exposés, à faire les activités qui lui sont proposées à la suite, afin d’approfondir et de mémoriser ce qui a été vu, et ceci, sous la conduite d’un accompagnateur (parent ou catéchiste). Ce cheminement peut être fait en groupe, lorsque l’on aura pu réunir plusieurs candidats progressant au même rythme.

    Au sommaire :

    •  En route vers la première étape : l’appel au Baptême. Comment Dieu se fait-il connaître ? Le Notre Père.
    • En route vers la 2e étape : La foi de l’Eglise : le Credo
    • En route vers la 3e étape : la liturgie du Baptême
    • En route vers la 4e étape, ou Baptême : la vie dans le Christ. Les dons surnaturels du Baptême
    • Après le baptême.

    Seulement 7,90 euros

    Pour commander en ligne 

    www.transmettre.fr