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Livres - Publications - Page 155

  • Fondamentalisme, évolutionnisme, créationisme, la Bible face à la science

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    La Bible et les savants : confrontation toujours explosive 

    par Joel Prieur

    texte paru dans "Monde&Vie" n°865 d’octobre 2012 - via Metablog

    Deux enseignantes catholiques. Une même passion pour la pédagogie. Un même sérieux dans le travail d’information et de présentation des données. Une scientifique. Une philosophe. Le résultat : un livre très abouti, présenté sous forme de manuel, mais d’une grande limpidité d’écriture, intitulé Les formes de la vie et la question de l’évolution. Un petit bijou pour les chercheurs de vérité, aussi éloigné du fondamentalisme stupide que de la servilité vide envers une absurde déesse Science.

    Dominique Spisan et Eva Dejoie, vous venez de publier un ouvrage de synthèse sur Les formes de la vie et la question de l’évolution. Qu’est-ce qui vous a poussées à écrire ce nouveau livre sur un sujet qui a déjà fait couler beaucoup d’encre?

    E. D.: Le fait justement que si on a beaucoup écrit, on a rarement vu où se situaient les questions réelles, ce qui rend problématiques les conclusions de la plupart des livres consacrés à l’évolution, qu’ils soient pour ou contre celle-ci : en effet, c’est un sujet qui se situe au croisement de trois domaines fondamentalement différents et distincts, la science, la philosophie et la théologie. Or, dans l’immense majorité des cas, les plans sont mélangés ; des présupposés philosophiques ou religieux, qui relèvent parfois d’a priori inconscients, interviennent dans les débats scientifiques sans se présenter comme tels. Deux écueils sont ainsi à éviter : mélanger les niveaux ou réduire a priori la question à une seule de ses dimensions, en déniant la légitimité d’approches complémentaires. L’intention était donc d’offrir au grand public une vision d’ensemble des questions qui sont en jeu, à la fois en distinguant soigneusement les domaines, en respectant la complexité des problèmes et en donnant la synthèse la plus claire possible. En même temps, il permet aux élèves du collège et du lycée de disposer d’un cours de biologie sur l’évolution répondant aux exigences des programmes officiels qui abordent le sujet de la sixième à la terminale.

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  • La lettre de l'Observatoire Sociopolitique du Diocèse de Fréjus-Toulon

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    L'OSP porte aussi la pétition Tous pour le mariage : n'hésitez pas à y participer ! Et ce dimanche 13 janvier 2013, tous à La Manif Pour Tous contre le projet de loi de "mariage pour tous" !

    Appel : Tous à Paris ! Tous à La Manif Pour Tous

    Analyse : Mariage homosexuel : le salut vient (vraiment) des Juifs ! Par le Père Louis-Marie Guitton, Responsable de l'OSP

    Bioéthique : Fabrication d'enfants pour tous Par Pierre-Olivier Arduin, Commission Bioéthique

    Environnement et modes de vie : Intérêt général et bien commun Par Philippe Conte, Commission Environnement

    Chronique : Ah, si j'étais Russe... ! Par la Mouche du Coche

    Document : Heureux les artisans de paix ! Message de Benoît XVI pour la Journée mondiale de la paix

    La collection de l'OSP propose aussi des publications aux éditions Lethielleux - Parole et Silence.

    Premier titre paru : La Théorie du Gender. N'hésitez pas à le commander !

  • Le dialogue interreligieux à la lumière du concile

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    imagesCA6MTDQ9.jpg…Vatican II, of course. Voici comment la docte Commission Théologique  Internationale (CTI), instituée par le Saint-Siège en 1969, développe le message conciliaire confronté au paradigme traditionnel : « extra ecclesiam, nulla salus » : hors de l’Eglise point de salut. L’expression est de saint Cyprien de Carthage (IIIe siècle), interprétant en ce sens la double sentence de Jésus à Nicodème, dans l’Evangile selon saint Jean, chapitre 3 :  « Dieu n'a pas envoyé le Fils dans le monde pour juger le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui » (verset 17) ; « mais celui qui ne croit pas est déjà jugé, parce qu'il n'a pas cru au nom du Fils unique de Dieu. » (verset 18) :

    A titre documentaire (et non scientifique) nous reproduisons ci-après quelques extraits d’une lecture cursive de l’exposé de la CTI, figurant dans les publications vaticanes officielles  (tous les développements ici  CTI 1997. ) :

    « L’appréciation théologique des religions a été rendue pendant longtemps impossible à cause du principe « extra Ecclesiam nulla salus », entendu dans un sens exclusiviste. Avec la doctrine sur l’Église comme « sacrement universel du salut » ou « sacrement du Royaume de Dieu », la théologie essaie de répondre à la nouvelle manière de poser le problème

    La question première aujourd’hui n’est plus de savoir si les hommes peuvent atteindre le salut même s’ils n’appartiennent pas à l’Église catholique visible ; cette possibilité est considérée comme théologiquement certaine. La pluralité des religions… nous interroge sur la possibilité de parler encore de la nécessité de l’Église pour le salut, et sur la compatibilité de ce principe avec la volonté salvifique universelle de Dieu…

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  • La catéchèse vingt ans après le Catéchisme

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    FIC70446HAB40.jpgLa catéchèse vingt ans après le Catéchisme

    Christian Gouyaud

    Livre, 264 pages - 

    Prix : 
    18,00 €

    Présentation de l'éditeur

    En proclamant une « Année de la foi », le pape Benoît XVI a voulu non seulement marquer le cinquantième anniversaire de l’ouverture du Concile Vatican II mais aussi le vingtième anniversaire de la publication du Catéchisme de l’Église catholique. 

    L’auteur analyse la situation actuelle de la catéchèse en la situant dans l’histoire complexe du mouvement catéchétique français. Il présente les documents romains de référence en soulignant le rôle de Joseph Ratzinger/Benoît XVI dans ce domaine.  Après plusieurs années de crise, l’enseignement catéchétique retrouve petit à petit une nouvelle dynamique. En s’appuyant sur les fondamentaux de la foi, plus que sur des méthodes ou des expériences, certains parcours de catéchèse participent à cette dynamique et ce renouveau voulu par le Pape.

    L'auteur :  L’abbé Christian Gouyaud, curé de paroisse à Strasbourg, est docteur en théologie. Il a publié L’Église, instrument du salut (Téqui, 2005), Pour Benoît XVI (ouvrage collectif, La Nef, 2009), Le sacerdoce selon Benoît XVI (La Nef, 2010), Quelle prédication des fins dernières aujourd’hui? (ouvrage collectif, La Nef, 2011), collabore au mensuel La Nef et enseigne la théologie fondamentale et l’ecclésiologie dans divers instituts de formation.

  • Pour croire aujourd'hui

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    Jean Borella : pour croire aujourd'hui

    Chez L'Harmattan, la collection Theoria dirigée par Pierre-Marie Sigaud a entrepris une réédition complète de l'Oeuvre de Jean Borella, qui en profite pour nous livrer chaque livre dans une nouvelle édition corrigée et augmentée. Un travail de... Romain, pour une oeuvre à la fois profondément catholique et profondément libre, qu'il faut faire lire, sans hésiter à tous les chercheur de sens. La trêve des confiseurs vous laisse du temps ? Courrez chez L'Harmattan ou commandez sur Internet le livre qui me semble le plus accessible et le plus touchant. Jean Borella l'a intitulé Le sens du surnaturel. Il était introuvable depuis vingt ans. Le voici de nouveau disponible, augmenté de plusieurs chapitres. Vous bénéficierez aussi d'une longue postface intitulée Symbolisme et réalité, dont j'extrais ce résumé du dessein de Borella, par lui-même :
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  • La loi peut-elle dire l'histoire ?

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    9782802738152FS.gifVia un site d'histoire, nous trouvons la recension d'un ouvrage paru récemment et qui soulève cette intéressante question : La loi peut-elle dire l'histoire ?

    La loi peut-elle dire l'histoire?

    Droit, Justice et Histoire

    Sous la direction de : Bertrand Favreau

    Editeur : Bruylant

    Présentation de l’éditeur :

    Pourquoi des « lois mémorielles » censées déclarer, voire imposer, un point de vue officiel sur des événements historiques ? En France, la loi dite «Gayssot «du 13 juillet 1990 est la première «loi mémorielle». Son but était de lutter contre ce négationnisme et de reconnaître la douleur des survivants et des descendants des victimes face à ces remises en cause. Les lois suivantes ont repris ces objectifs de lutte contre la négation de faits historiques avérés (génocide arménien, esclavage, traite négrière) et de reconnaissance des mémoires blessées (Arméniens, habitants des départements d’outre-mer, anciens colonisés, rapatriés, harkis).

    En Belgique, la loi du 23 mars 1995 tend à réprimer la négation, la minimisation, la justification ou l’approbation du génocide commis pendant la Seconde Guerre mondiale par le régime national-socialiste allemand. La question de l’efficacité de ces dispositifs est en débat. Plusieurs conceptions des rapports entre la loi et l’histoire s’affrontent. Les partisans de telles lois soulignent qu’il ne s’agit pas de dicter l’histoire mais de lutter contre (le négationnisme ?); les opposants à la loi disent que celle-ci instaure une «vérité officielle».

    Certains affirment aussi qu’elles seraient contraires à la liberté d’expression et aux droits de l’homme et donc contraire à plusieurs instruments internationaux. Les «lois mémorielles» n’incitent-elles pas à une « guerre des mémoires » et à une «concurrence des victimes» ? Ces lois ne remettent-elles pas en cause les frontières entre histoire et mémoire ? Faut-il une multiplication de tels textes ou bien au contraire une abrogation totale ou partielle de ces lois ?

    Un intervenant, sur le site en question, précise : "Il s’agit de la parution plusieurs fois différée des actes d’une journée d’études à la Maison des avocats de Paris."

  • Pour vos cadeaux de fin d'année...

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    ... offrez des livres, des bons, par exemple le récent ouvrage du pape consacré à l'Enfance du Christ, Croire et "Au diable la tiédeur" du Père Zanotti-Sorkine, le Catéchisme expliqué de Mgr Centène, le Jésus de Jean-Christian Petitfils, sans oublier les dernières publications de notre archevêque... Consultez le catalogue des éditions Artège :

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  • Les moines et le monde selon Dostoïevski

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    Un ami, occupé à lire "Les frères Karamazov", nous en communique l'extrait ci-dessous dont l'actualité le frappe par certains de ses aspects :

    Extrait de: Fyodor Mikhailovich Dostoyevsky. « Les Frères Karamazov. » Feedbooks, 1880. iBooks.

    e) Du religieux russe et de son rôle possible.

    Pères et maîtres, qu’est-ce qu’un religieux ? De nos jours, dans les milieux éclairés on prononce ce terme avec ironie, parfois même comme une injure. Et cela va en augmentant. Il est vrai, hélas ! qu’on compte, même parmi les moines, bien des fainéants, sensuels et paillards, bien d’effrontés vagabonds. « Vous n’êtes que des paresseux, des membres inutiles de la société, vivant du travail d’autrui, des mendiants sans vergogne. » Cependant, combien de moines sont humbles et doux, combien aspirent à la solitude pour s’y livrer à de ferventes prières. On ne parle guère d’eux, on les passe même sous silence, et j’étonnerais bien des gens en disant que ce sont eux qui sauveront peut-être encore une fois la terre russe ! Car ils sont vraiment prêts pour « le jour et l’heure, le mois et l’année » . Ils gardent dans leur solitude l’image du Christ, splendide et intacte, dans la pureté de la vérité divine, léguée par les Pères de l’Église, les apôtres et les martyrs, et quand l’heure sera venue, ils la révéleront au monde ébranlé. C’est une grande idée. Cette étoile brillera à l’Orient.

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  • Un BD sur saint Augustin

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    Dominique BAR, Saint Augustin, 40 pages (BD pour les jeunes de plus ou moins 12 ans), Editions du Triomphe, 14,70 € 

    Présentation de l'éditeur : 

    Augustin, fils de Monique, s'intéresse à toutes les philosophes et théories religieuses qui fleurissement dans l'Empire romain, avant de se convertir au christianisme.

    Un long cheminement vers le mystère du Salut, de la Grâce et de l'amour de Dieu qui influencera les plus grands penseurs et suscitera aussi de nombreuses controverses religieuses.

    Une BD intégralement réalisée par Dominique Bar, à la fois dessinateur et scénariste, qui rend ainsi cette figure de Père de l'Église humaine et proche de nous, par ses tâtonnements dans la Foi et sa recherche de Vérité.

  • A CONTRETEMPS : REGARDS POLITIQUEMENT INCORRECTS

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    Le 21 janvier 2011, nous avions signalé la parution du livre suivant :

    Mutien-Omer Houziaux. À contretemps. Regards politiquement incorrects, 288 pp., 15x20,50 cm., Editions Mols, coll. Autres regards. Wavre, 2010,  prix librairie  22,50 €

    Quelques exemplaires de ce livre qui n'a rien perdu de son actualité sont encore disponibles et seront adressés aux amateurs, dédicacés par l'auteur, aux conditions figurant au bas de cette note.

    C’est du belge. Et même du liégeois. Mutien-Omer Houziaux, romaniste, ancien maître de conférence à l’Université de Liège, auteur de nombreuses publications touchant à la linguistique, à l’informatique appliquée, à la pédagogie et à la musicologie (il fut titulaire des orgues de la cathédrale de Liège) vient de publier aux éditions Mols (diffusion Desclée en France) un essai critique des mœurs contemporaines : un autre regard sur la bioéthique, la spiritualité et le scientisme ambiants.

    Familles recomposées, homoparentalité, mort dans la dignité, la parole est aujourd'hui au politiquement correct. Né en 1980, au pays de l'american way of life, le politiquement correct n'a pas tardé à franchir l'Atlantique. Son discours, qui se réclame de la démocratie, est -en réalité- l'arme principale d'une pensée dominante, voire unique. Arme redoutable, la parole, notait déjà Talleyrand, a été donnée à l'homme pour déguiser sa pensée.

    Sous prétexte de promouvoir le "vivre ensemble", la société, qui prône le libre arbitre individuel, devient en réalité liberticide. Pis encore, de contrainte sociétale, le politiquement correct se mue parfois, sournoisement, en contrainte légale: toute opinion politiquement incorrecte est alors bâillonnée par un pouvoir civil "démocratique".

    Avec un humour parfois corrosif, Mutien-Omer Houziaux dénonce sans détour quelques-uns des effets délétères d'une dictature qui s'avance sous le masque du dialogue et de la tolérance comme dans le « meilleur des mondes » prédit par Aldous Huxley.

    La préface de l’ouvrage a été rédigée, peu avant sa mort, par le regretté Mgr Michel Dangoisse,  Elle condense excellemment la portée de cet ouvrage lucide et impertinent.

    L’Union, Cercle royal des étudiants catholiques de Liège, tél.+32 (0)4.344.10.89 ou +32 (0)4.223.54.11, a contribué à cette publication et met l'ouvrage en vente au prix de faveur de 22,50 euros (port compris)Pour le recevoir à votre adresse postale, il suffit de verser cette somme au compte IBAN BE15 2400 0748 1330  BIC GEBABEBB de l'Union, Cercle Royal des Etudiants Catholiques de Liège asbl, Rue Vinâve d'île, 20 bte 64 à B- 4000 Liège, avec la mention "A contretemps".

  • Un petit catéchisme des c...

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    http://kehlkarjan.unblog.fr/

  • Pédagogie : l'imposture des "compétences"

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    Tous les enseignants connaissent cette notion de "compétences" au nom de laquelle ils sont contraints de pratiquer une pédagogie absurde qui conduit à la crétinisation des élèves qui leur sont confiés. Voilà une publication salubre susceptible de nourrir leur résistance :

    L'imposture scolaire

    La destruction organisée de notre système éducatif par la doctrine des (in)compétences


    Alain PLANCHE - Presses universitaires de Bordeaux – 2012


    Présentation de l'éditeur :

    Pour les parents, le mot  "compétence" évoque d'abord  des livrets aux termes étranges, parlant de tout, sauf des points forts et des faiblesses des élèves dans les disciplines fondamentales.


    Alain Planche, mathématicien et économiste, annonce dès l'abord ses convictions : il condamne, non pas la compétence (comment serait-ce possible?) mais l'usage que fait de ce mot l'Education nationale. Pour lui, la nouvelle acception, qui se réfère à une certaine conception de l'éducation et de l'enseignement, a été adoptée et généralisée dans un but très clair : masquer l'échec scolaire massif. On peut juger que, de la part des pédagogistes, c'est du perfectionnisme, tant l'Education nationale a fait preuve de virtuosité dans l'art de défigurer examens et résultats, même pour les savoirs les plus élémentaires. 


    Alain Planche montre et démontre qu'aujourd'hui cette notion de compétence est creuse, et qu'il est impossible de lui donner une signification rationnelle. Son ouvrage, riche en informations, met en question le socle commun de compétences et les épreuves PISA. Il reprend à son compte l'expression « démocratisation ségrégative » pour qualifier le résultat de toutes ces initiatives mortifères, promues avec persévérance au nom de l'Egalité. 


    À lire, pour ceux qui veulent comprendre et ne pas se contenter de dire « comment est-ce possible ? ».


    Relire aussi le "Bienheureux Chaboteau" qui reste d'actualité.