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Enseignement - Education - Page 162

  • Une fiche didactique sur l'avortement

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    L'Institut Européen de Bioéthique vient de publier une fiche didactique sur l'avortement (également disponible en néerlandais):

    Fiche didactique n°7 : avortement

    Fiche didactique :  1 sujet traité de façon objective - 1 recto verso  pour comprendre en peu de temps

    Des définitions, des chiffres, des idées clés, en seulement 1 feuille.

    Outil didactique pour  enseignants et étudiants.

    Fiche n° 7 : L’AVORTEMENT PROVOQUÉ

    I – BREVE PRESENTATION - II. QUE DIT LE DROIT ?- III.  APPRECIATION CRITIQUE - IV.  LES CHIFFRES - ANNEE 2011

    • Embryon ‘’amas de cellules’’ ou être humain ?
    • La femme a le droit de disposer de son corps ...
    • Le droit mis au service du fort ?
    • L’avortement légalisé parce qu’il a toujours existé ?
    • Les problèmes matériels - La femme est-elle vraiment libre de son choix ?
    • Les conséquences psychologiques.
    • Après un avortement, se faire aider ?
  • Un curieux exercice de rédaction

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    source

    "Vous venez d'avoir 18 ans. Vous avez décidé d'en finir avec la vie. Votre décision semble irrévocable. Vous décidez dans un dernier élan de livrer les raisons de votre geste. En dressant votre autoportrait, vous décrivez tout le dégoût que vous avez de vous-même. Votre texte retracera quelques événements de votre vie à l'origine de ce sentiment".

    Ce sujet de rédaction a été donné à deux classes de 3e du collège de Montmoreau. C'était le 22 octobre dernier. Ce sont des parents choqués, qui, anonymement, ont communiqué à Charente Libre la copie du courrier qu'ils viennent de faire parvenir au principal et à l'inspection académique. «Nous sommes révoltés que l'on puisse proposer ce genre de sujet à des enfants qui ont entre 13 et 14 ans», écrivent-ils. «De par notre éducation, nous n'avons pas l'habitude de remettre en question ce qui se passe à l'école, mais il y a des limites». Ils interrogent: «Quel va être le prochain sujet? "Que ressentez vous lorsque vous vous piquez?" On aimerait comprendre».

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  • Le piège des drogues dites douces

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    L'interview éclairante de Dominique Morin (via petrus.angel) :

    Damien Meerman : Après être sorti de la drogue, de la violence et de l'errance sexuelle, vous avez appris que vous étiez malade du sida. Aujourd'hui, vous dénoncez le piège des drogues dites " douces " . Quelle a été votre première expérience de la drogue ?

    Dominique Morin : J'ai d'abord découvert le cannabis dans des concerts de rock. A l'époque, je vivais un certain mal-être : absence de père, échec scolaire et angoisses existentielles. Le cannabis était proposé par les groupes de rock comme une expérience nouvelle et faisait partie d'une panoplie de rebelle, ce qui suffit à tenter un adolescent de 17 ans en crise. Et de fait, avec le cannabis, je me suis senti bien, au moins en apparence et à courte vue et j'ai eu l'impression d'exister. Je devenais subitement le héros d'un film. Fumer un joint me permettait de ressentir des sensations, d'apaiser mes tensions et d'oublier mes inhibitions. Ensuite, j'ai fréquenté d'autres fumeurs, je n'étaits plus seul. Puis, je suis entré dans un monde marginal avec ses rites et ses voyages initiatiques.

    Damien Meerman : Pourquoi s'agit-il d'un piège ?

    Dominique Morin : Contrairement à l'héroïne, le cannabis n'est pas une drogue qui a une image négative. On a le sentiment de pouvoir quand même assumer sa vie. De plus, le cannabis paraît une sorte de " médicament miracle " contre le mal de vivre. Il donne l'impression d'un bien-être, d'avoir des amis, alors que si ses effets anesthésient le malaise, qu'il rapproche ponctuellement et par intérêt égoïste les fumeurs, il empêche de chercher la solution à ses problèmes en permettant de les fuir et d'oublier la vie réelle. L'illusion paraissant plus belle que la réalité pourquoi se heurter à une vie avec ses combats, aux succès fragiles et aléatoires?

    Damien Meerman : Mais le cannabis n'est-il pas officiellement classé comme une drogue "douce" ?

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  • Un petit catéchisme des c...

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    http://kehlkarjan.unblog.fr/

  • Les méthodes d'apprentissage de la lecture et de l'écriture

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    A découvrir sur lire-écrire.org :

    Sommaire

    1 - Ce que sont la lecture et l'écriture
    2 – Comparaison des méthodes d'apprentissage
               Méthodes globales
               Méthode alphabétique
               Méthodes mixtes
               Facteurs intervenant dans les comparaisons entre méthodes
               Observations sur les comparaisons
                               Départ global et départ alphabétique

                               Faut-il parler français avant d'apprendre à lire ?
                               L'exemple anglais
    Annexe – Le dernier état de l'art d'instruire en mixte.

  • Pédagogie : l'imposture des "compétences"

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    Tous les enseignants connaissent cette notion de "compétences" au nom de laquelle ils sont contraints de pratiquer une pédagogie absurde qui conduit à la crétinisation des élèves qui leur sont confiés. Voilà une publication salubre susceptible de nourrir leur résistance :

    L'imposture scolaire

    La destruction organisée de notre système éducatif par la doctrine des (in)compétences


    Alain PLANCHE - Presses universitaires de Bordeaux – 2012


    Présentation de l'éditeur :

    Pour les parents, le mot  "compétence" évoque d'abord  des livrets aux termes étranges, parlant de tout, sauf des points forts et des faiblesses des élèves dans les disciplines fondamentales.


    Alain Planche, mathématicien et économiste, annonce dès l'abord ses convictions : il condamne, non pas la compétence (comment serait-ce possible?) mais l'usage que fait de ce mot l'Education nationale. Pour lui, la nouvelle acception, qui se réfère à une certaine conception de l'éducation et de l'enseignement, a été adoptée et généralisée dans un but très clair : masquer l'échec scolaire massif. On peut juger que, de la part des pédagogistes, c'est du perfectionnisme, tant l'Education nationale a fait preuve de virtuosité dans l'art de défigurer examens et résultats, même pour les savoirs les plus élémentaires. 


    Alain Planche montre et démontre qu'aujourd'hui cette notion de compétence est creuse, et qu'il est impossible de lui donner une signification rationnelle. Son ouvrage, riche en informations, met en question le socle commun de compétences et les épreuves PISA. Il reprend à son compte l'expression « démocratisation ségrégative » pour qualifier le résultat de toutes ces initiatives mortifères, promues avec persévérance au nom de l'Egalité. 


    À lire, pour ceux qui veulent comprendre et ne pas se contenter de dire « comment est-ce possible ? ».


    Relire aussi le "Bienheureux Chaboteau" qui reste d'actualité.

  • Anvers accueillera le grand évènement de la "communauté LGBT" en 2013

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    On apprend dans Le Soir que les worldOutgames se dérouleront en 2013 à Anvers et devraient réunir de 6.000 à 8.000 participants pour cette manifestation à la fois sportive, culturelle et politique de la communauté holebi.

    "La présentation de l’événement s’est déroulée ce mardi à Bruxelles en présence du Premier ministre Elio Di Rupo et de l’ancien Premier ministre et actuel député européen Guy Verhofstadt. (...)

    Les worldOutgames sont un événement mondial organisé tous les quatre ans par la communauté LGBT (lesbiennes, gays, bisexuels et transgenres) et ouvert à tous. Les jeux 2013 se dérouleront à Anvers du 31 juillet au 11 août 2013, principalement dans la ville elle-même. Les précédentes éditions ont été organisées à Montréal et Copenhague.

    L’événement repose, selon les organisateurs, sur trois piliers : Sport, Culture et Droits de l’homme. De 6.000 à 8.000 sportifs sont attendus et environ 650 professionnels assisteront à la conférence de trois jours consacrée aux droits de l’homme et qui doit aboutir à une "Déclaration d’Anvers". Près de 250.000 visiteurs sont attendus à Anvers. (...)

    Tant l’organisateur qu’Elio Di Rupo ont rendu hommage au rôle de Guy Verhofstadt en la matière pendant ses neuf ans à la tête du gouvernement. «Guy Verhofstadt entrera dans l’histoire comme un des Premiers ministres les plus actifs dans la défense des droits des homosexuels», a dit M. Di Rupo. La Belgique est un exemple international. Nous avons été parmi les premiers pays à avoir une loi antidiscrimination et à permettre le mariage entre personnes du même sexe», a-t-il rappelé.

    Par ailleurs, le Premier ministre a aussi souligné que le combat n’était pas terminé. "Nous vivons dans une société que l’on pourrait croire décrispée et pacifiée. Et pourtant, chaque jour ou presque, des lesbiennes, des gays, des bisexuels et des transgenres sont discriminés et sont victimes d’agressions verbales et/ou physique. L’impensable s’est produit à au moins deux reprises ces derniers mois avec des meurtres particulièrement odieux." M. Di Rupo a aussi affirmé "qu’on ne naissait pas homophobe mais qu’on le devenait par des propos dégradants entendus dans la famille, par les clichés qui circulent dans la société, par certains discours religieux ou conservateurs méprisants, voire qui incitent à la haine. Nous devons être attentifs à ces mécanismes, qui font intervenir de nombreux rouages. D’où l’importance du plan d’action national auquel travaille le gouvernement fédéral. Nous voulons faire en sorte que demain, l’homophobie recule dans les têtes comme dans les actes quotidiens."

    Le tout étant de savoir à partir de quand on peut taxer quelqu'un d'homophobie. Le fait de défendre le mariage comme étant une alliance entre un homme et une femme et/ou de réserver l'adoption aux couples hétérosexuels relève-t-il de l'homophobie ? A-t-on encore réellement le droit de s'exprimer à ce sujet ? Quels sont ces "discours religieux" visés par le premier ministre? En tout cas, la vigilance s'impose face à la détermination de nos responsables politiques à imposer un mode de pensée censé éliminer l'homophobie mais qui risque bien de présenter l'homosexualité et l'hétérosexualité comme de simples variantes de la sexualité humaine et d'imposer à tous l'idéologie du genre ("gender"). 

  • L'acharnement du ministre Marcourt contre le réseau libre

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    Alice Dive, dans la Libre de ce 4 décembre, revient sur le projet de restructuration de l'enseignement supérieur ("Une réforme à la nord-coréeenne").

    Elle fait état des réactions de plusieurs responsables de grandes écoles qui "viennent de prendre chacune "en urgence" une motion de méfiance contre l’avant-projet de décret du ministre. Pour rappel, le potentiel futur paysage de l’enseignement supérieur s’articulerait autour d’une structure faîtière unique et de cinq pôles géographiques respectivement centrés sur l’ULB, l’UCL, l’ULg, l’UMons et l’Université de Namur."

    Ainsi, l'administrateur général de l'IHECS, Jean-François Raskin, déclare "refuser fermement que le gouvernement impose, via cette logique géographique, la conclusion d’alliances avec certaines institutions plutôt qu’avec d’autres". Il s’explique :

    "Cela fait plus de 15 ans que l’Ihecs a des accords avec l’UCL. Expliquez-moi pourquoi il faudrait que l’on interrompe cela ? Pourquoi faudrait-il que l’on passe des accords avec l’ULB alors qu’aucun membre des hautes sphères de cette dernière ne nous a jamais proposé quoi que ce soit ?".

    Selon lui, le projet du ministre propose précisément l’inverse de ce qu’il faudrait pour notre enseignement supérieur. "C’est un modèle basé sur l’hyper-centralisation et la perte d’autonomie totale des institutions qui gravitent autour de quelques gros morceaux, une sorte d’immense machine bureaucratique où les pouvoirs publics ont une mainmise totale sur l’enseignement supérieur. C’est digne d’un modèle à la nord-coréenne".

    Dans ce projet de réforme, il dit constater également "un acharnement du ministre contre le réseau libre. On a vraiment l’impression que la volonté de M. Marcourt est d’affaiblir le pôle autour de l’UCL et de scléroser les énergies à l’intérieur des institutions ". Et le même d’insister : "Qu’on laisse les hautes écoles et universités s’organiser, évoluer, et échanger avec le monde entier en toute liberté".

  • Éduquer autrement

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    Eduquer autrement : le regard d’un père sur l’éducation de ses enfants

    Ce livre est né de l’expérience d’un jeune père impliqué dans l’éducation de ses enfants. Les conseils que l’on trouvera dans Éduquer autrement découlent d’une réflexion sur le sens même de leur devenir. Il ne s’agit donc ni de recettes, ni d’idées toutes faites.

    Dans une société déstructurée comme la nôtre, les parents se retrouvent trop souvent seuls. Seuls et contraints à pallier les insuffisances du système scolaire. Ils doivent expliquer ce qu’on n’enseigne plus en classe, apprendre aux enfants à résister à l’injonction hyper-consumériste et pseudo-libertaire de l’environnement médiatique. Résister au culte de la pulsion et de l’immédiateté qui sabote le travail difficile sur la maîtrise de soi. La transmission des règles du savoir-vivre et de la civilité est un autre chantier, immense.

    L’auteur n’est pas loin de penser que si nos enfants n’étaient éduqués que par la société, ils seraient à peu près infréquentables.

    Pierre-Henri d’ArgensonEduquer autrement : le regard d’un père sur l’éducation de ses enfants. 2012. Ed. L’œuvre.

    (via "Veille Education")

  • Enseignement supérieur en Belgique francophone : les découpages géo-politiques du ministre Marcourt

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    Selon Frédéric Chardon, dans « La Libre » de ce jour (extraits) :

    (…) Décidément, l’UCL n’arrive pas à digérer la réforme de l’enseignement supérieur que concocte Jean-Claude Marcourt (PS), le ministre compétent au niveau du gouvernement de la Communauté française. En effet, selon nos informations, Bruno Delvaux, le recteur de l’UCL, vient d’envoyer un mail aux principaux ministres communautaires pour exprimer son opposition à l’avant-projet de décret défendu par Jean-Claude Marcourt. Le timing n’est pas innocent : le gouvernement des francophones doit examiner à nouveau le projet de texte ce jeudi. (…)

    Dans son mail envoyé ce mardi, Bruno Delvaux exprime (en termes choisis) toute sa tiédeur à l’égard de l’avant-projet de décret. "Notre université est très concernée par l’avant-projet de décret car nous restons convaincus que le texte actuel ne permettra pas à notre université de contribuer pleinement au développement scientifique, social et économique de nos régions tout en restant compétitive au niveau européen et mondial", précise-t-il.

    (…) En annexe au courrier électronique, le recteur transmet aux ministres du gouvernement de la Communauté française la vision de l’UCL sur la réforme, validée tout récemment par le conseil rectoral. Entre autres, la logique géographique du regroupement des établissements d’enseignement supérieur est à nouveau attaquée. Le tout sur fond de soupçons implicites que le plan Marcourt vise à détricoter l’organisation de l’UCL

    Il faut lire ici entre les lignes : "Le critère géographique n’est visiblement pas le seul utilisé puisqu’on sépare Bruxelles et le Brabant wallon alors que l’on regroupe, au sein d’un même pôle, Liège et Arlon, Charleroi, Mons et Tournai, bien plus éloignés que ne le sont Bruxelles et Louvain-la-Neuve. Le pôle Bruxelles-Brabant wallon est insécable car il correspond à un seul bassin de vie. Séparer Bruxelles du Brabant wallon a en outre le défaut de séparer le secteur des sciences de la santé de l’UCL de sa maison mère, alors même qu’en termes d’étudiants et d’enseignants-chercheurs, ce seul secteur est de taille supérieure à l’UMons et aux FUNDP (facultés universitaires Notre-Dame de la Paix), sans prise en compte des cliniques universitaires Saint-Luc." (…)

    Ici : L'UCL rejette le plan Marcourt

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  • Une démarche religieuse d'un autre temps ?

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    Christian Laporte, dans La Libre, nous informe du passage d'une relique de Don Bosco en Belgique, et se demande s'il ne s'agit pas là d'une "démarche de religiosité d'un autre temps" (!) :

    La “tournée mondiale” du saint italien passe par Louvain-la-Neuve et Liège.

    Si tu ne vas pas au saint, le saint viendra à toi" : on paraphrase volontiers la réplique célèbre de Paul Féval à propos de Don Bosco dont la main droite sera ce mercredi 28 novembre à Louvain-la-Neuve et le jeudi 29 novembre à Liège. Ce n’est pas le premier saint à venir par relique interposée en Belgique : on se souvient de visites de restes de sainte Thérèse de Lisieux, il y a quelques années. Si Don Bosco vient chez nous pendant deux jours, cela s’inscrit dans une vaste tournée mondiale qui a commencé en juin 2009 en Amérique du Sud et qui se terminera au Moyen-Orient en janvier 2014. C’est à l’initiative du P. Pascual Chávez, neuvième successeur du saint et pédagogue piémontais que se déroule ce tour de la planète. C’est qu’en 2015, le fondateur des Salésiens aurait eu 200 ans. "Don Bosco a laissé à toute la société un trésor, celui de sa pédagogie basée sur la confiance, explique-t-on du côté des promoteurs de l’initiative. Les deux jours en Belgique après un séjour de deux semaines en France sont l’occasion pour tout qui le souhaite d’aller plus loin, de goûter à sa spiritualité qui demeure bien vivante dans le monde des Salésiens et de leurs réseaux d’enseignement et d’action sociale.

    Des êtres de chair et de sang

    On peut évidemment se demander si vénérer de la sorte une relique n’est pas une démarche de religiosité qui n’est plus vraiment de ce temps."Il n’en est rien, s’exclament les organisateurs. La vraie mission de la relique est de nous reconduire à Don Bosco pour que nous vivions aujourd’hui de son esprit mais aussi pour que nous nous interrogions sur le présent et envisagions le futur."Et d’ajouter qu’"il ne faut évidemment pas tomber dans l’idolâtrie ! Le concile de Trente en 1545 précisait déjà qu’on ne croit pas qu’il y ait du divin ou des vertus qui justifieraient leur culte ou que l’on doit leur demander quelque chose. C’est ce qui arrivait aux païens qui mettaient leur espérance dans les idoles. L’honneur qu’on rend aux reliques nous renvoie aux personnes qu’elles représentent. En fait, à travers la relique de Don Bosco, c’est le Christ que nous adorons" Et puis, les reliques c’est aussi l’occasion de se repencher sur les vies des saints qui furent souvent loin d’être des longs fleuves tranquilles car avant d’être élevés à la dignité des autels ils et elles étaient aussi des êtres de chair et de sang, avec leurs défauts, leur sale caractère, etc. Ce mercredi à LLN et jeudi à Liège, le programme sera assez identique respectivement aux églises Saint-François d’Assise et Saint-François de Sales : le matin, les Salésiens aidés par les équipes paroissiales accueilleront les enfants de 6 à 11 ans et l’après-midi ce sera au tour des adolescents de s’initier à sa vie notamment à travers la bande dessinée dont l’une restée célèbre de Jijé. En fin de journée, se déroulera de part et d’autre une eucharistie festive. A LLN, elle sera présidée par Mgr Hudsyn et par Mgr Van Looy, l’évêque de Gand qui est lui-même Salésien. Et cela se terminera par une double veillée.

    Renseignements : www.catho.be

  • Quand Stéphanie prend congé de son école

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    Enseignons.be relate l'histoire de Stéphanie :

    La mésaventure vécue par la jeune Stéphanie aura beaucoup fait jaser sur la toile. Cette étudiante verviétoise de 23 ans a récemment fait la Une de la presse régionale après avoir été exclue de son école – l’IPES de Verviers – suite à des commentaires laissés sur son mur Facebook, commentaires formulés en réponse aux déclarations du porte-parole de Sharia4Belgium, Fouad Belkacem, relatives à l’arrestation d’une femme portant la burqa. L’homme disait des musulmans qu’ils n’avaient pas« un gramme de respect » envers les Belges de conviction différente de la leur. Et d’ajouter : « On a notre religion : supérieure à la vôtre. On a notre système : supérieur à votre système. On a nos valeurs : supérieures à vos valeurs. » Amusée, Stéphanie avait partagé le reportage sur le réseau social, expliquant que cela lui faisait quand même un peu peur car, dans sa classe, deux filles – qu’elle ne nomme pas – tenaient à peu près le même discours. Le lendemain, les deux élèves en question se montrent agressives et vont jusqu’à la menacer physiquement. Durant un cours, des coups sont échangés… et les trois filles sont convoquées par la direction. La sanction tombe alors : un jour de renvoi pour chacune. La jeune femme ne comprend pas bien ce qui lui est alors reproché. Après avoir vainement tenter d’annuler la punition, dégoutée, elle décide finalement de quitter cette école pour poursuivre sa scolarité dans de meilleures conditions.

    Enseignons.be a rencontré Stéphanie : http://www.enseignons.be/actualites/2012/11/25/exclue-facebook-stephanie/