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Enseignement - Education - Page 166

  • Homélie de l’Assomption hier à l’abbaye de Fontgombault : dire oui avec Marie

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    imagesCAHCEB44.jpgVoici un extrait de cette homélie prononcée par le TRP Dom Jean Pateau, Abbé de N.-D. de Fontgombault, une des plus grandes abbayes de France :

     « (…) Marie s’est appliquée à rechercher la volonté de Dieu et à l’accomplir. Aussi le Seigneur a-t-il fait de grandes choses pour Elle, avec Elle, grâce à Elle.

    Cette beauté, cette paix du cœur, cette union à Dieu, que Marie goûtait dès son pèlerinage sur la terre, n’ont pas aveuglé néanmoins la Mère de Dieu. Marie sait que sa vie et son mystère sont profondément liés aux membres de sa race, à ceux qui depuis le début des temps et jusqu’à la fin du monde ont peiné et peineront sur les chemins souvent tortueux de la terre.

    En face du OUI se trouve la triste réalité du NON :

    Les hommes, les sociétés mêmes, en ont tous fait l’expérience. Celle- ci se cristallise pour l’homme dans le refus de sa condition de créature et pour les sociétés dans le refus de la loi naturelle. L’ivresse d’une illusoire autonomie s’empare alors de l’homme et des sociétés, ouvrant la porte sur la spirale vertigineuse du mal, du mensonge, des guerres, de la souffrance, pain quotidien de notre humanité. (…)

    Le patronage de Notre Dame est aujourd’hui spécialement nécessaire à la France, menacée par des lois ou des projets de lois qui, au mépris de la nature humaine portent une grave atteinte à la famille et à la vie considérée de son début à sa fin naturelle.

    Il s’agit d’obtenir le respect du plan de Dieu annoncé dès la création du monde : « Homme et femme, il les créa » (Gn 1,27). Sur quels principes pourrait se fonder une société pour s’arroger le droit de modifier les concepts de mariage, de famille et finalement d’amour ? (…)

    Faudrait-il rappeler aux hommes et aux femmes de notre temps qu’ils ont été conçus à partir d’une cellule masculine et d’une cellule féminine ? que c’est, pour la plupart, grâce à la présence diverse, complémentaire et gratuite d’un papa et d’une maman que s’est construite leur personnalité ? Faut-il ignorer le drame de tant d’enfants déséquilibrés suite à des situations familiales difficiles ?

    Beaucoup se taisent. Beaucoup se désintéressent. L’enfant devient, toujours plus, un jouet que les adultes suppriment ou se disputent selon les besoins du moment. Paradoxe d’une société qui, à la fois, autorise l’avortement et qui remet l’enfant à des couples, désireux certes d’en posséder un, mais incapables, compte tenu de leur constitution, de lui offrir un lieu favorable à un développement harmonieux.

    Au fond, y-a-t-il vraiment paradoxe ?

    L’enfant a toujours été celui qu’il est facile de sacrifier sur l’autel du dieu du monde qui se nomme plaisir. Les enfants sont silencieux. Certains même ne pourront jamais parler. Mais d’autres, marqués par l’environnement dans lequel ils auront grandi, pourront un jour élever la voix. Au nom de tous, et comme il a déjà été fait, ils pourront construire un mémorial de leur holocauste. A leur tour, ils viendront en accusateurs faire valoir leurs droits devant les hommes et les sociétés qui les ont abandonnés.

    La guerre recouvre notre terre. Mais la plus injuste de toutes est celle qui se déroule dans le sein maternel, dans le sein familial.

    Ce soir, au cours de la procession solennelle, à laquelle vous êtes tous invités, nous prierons pour notre pays en récitant la prière proposée par son Éminence le Cardinal André Vingt-Trois.

    O Marie, Reine de la famille et Mère de tous les hommes, nous vous confions la grande famille humaine et en particulier les enfants. Que les hommes et les femmes de notre temps préfèrent au bonheur éphémère d’un plaisir stérile, la joie de pouvoir en vérité vivre le grand don de l’amour dans le petit Nazareth qu’est chaque famille humaine.

    Amen.

    Tout le texte ici :ASSOMPTION  

  • Au congrès charismatique de Bruxelles, Mgr Fisichella déplore l’analphabétisme religieux contemporain

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    Bruxelles, 28 juillet 2012 (Apic) "Les sociétés occidentales, qui ont été formées par la culture chrétienne, ne connaissent plus ni la présence du Christ ni les contenus fondamentaux de la foi", martèle Mgr Rino Fisichella. Pour le président du Conseil pontifical pour la nouvelle évangélisation à Rome, qui participait à la 27ème session du Renouveau charismatique qui se tient à la basilique du Sacré-Cœur de Koekelberg à Bruxelles du 25 au 29 juillet 2012, en matière de connaissance des contenus de la foi, "il y a un analphabétisme impressionnant et dramatique".

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  • La Fraternité Saint-Pie X fonde une école à Anvers

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    Et c'est Christian Laporte, dans La Libre, qui nous en informe :

    "Une école lefebvriste à Anvers

    (...) En Flandre, les traditionalistes catholiques n’attendent pas un retour au bercail romain, de plus en plus hypothétique, d’ailleurs, pour se profiler. Sous l’impulsion d’un jeune abbé, Mathias De Clercq, ordonné en juillet 2011 et qui avait dû célébrer sa première messe à l’extérieur parce que l’évêque de Gand lui avait refusé l’accès à l’église de Merelbeke d’où il était originaire, la branche flamande de la Fraternité Saint-Pie X va, en effet, lancer une nouvelle "école catholique flamande" dans la Métropole. Elle s’adressera aux enfants de fin de maternelle et du primaire, et tant les garçons que les filles.

    Pour attirer les chalands, les "tradis" ne manquent pas de citer Pie XI, qui a dit que "les parents sont responsables de l’éducation catholique de leurs enfants", mais ils citent aussi le Code de droit canon, en l’occurrence le canon1374 qui porte que "les enfants catholiques ne peuvent pas fréquenter d’écoles non-catholiques ou neutres ni des écoles mixtes accessibles à des non-catholiques". L’argumentaire de la future école insiste aussi sur ses originalités : "ce sera une école libre catholique romaine; la pédagogie y sera traditionnelle, on y enseignera l’histoire de manière chronologique et l’atmosphère sera familiale avec l’appui des familles". (...)"

  • La victoire de Chiara

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    Chiara Birilli, trisomique, et maître ès économie et commerce

    Une "victoire de la civilisation"

    ZENIT.org - Antonio Gaspari - Traduction d’Hélène Ginabat

    Faire en sorte que « le handicap ne soit pas une différence », accueillir tout le monde pour que « tous puissent atteindre les mêmes résultats » : c’est l’objectif atteint par l’université de Cassino, en Italie. Pour le recteur de cet établissement universitaire, Ciro Attaianese, c’est une marque de civilisation.

    Chiara Birilli, une jeune fille de 26 ans atteinte de trisomie 21, a passé sa maitrise d’économie et de commerce à l’université de Cassino, jeudi dernier, 19 juillet.
    C’est une belle et grande nouvelle, parce que Chiara a montré au monde que la diversité enrichit l’humanité et qu’il est vrai que les personnes trisomiques ne sont pas moins intelligentes. Chiara a brillamment défendu son mémoire sur  :« La valeur du positionnement correct d’une marque dans le temps : les cas de Coca Cola et de Nutella ».

    Avec une note de quatre-vingt sur cent, elle fait partie des premières personnes atteintes de trisomie 21, en Italie, qui obtiennent une maîtrise. Le professeur Raffaele Trequattrini, président de la Commission, a dit que « son travail a été très apprécié ». Son directeur de maîtrise, le M. Marcello Sansone a parlé d’un « mémoire très intéressant ; elle a produit un travail de qualité d’un profil très élevé ». Le recteur de l’université, Ciro Attaianese, a souligné au quotidien « Il Messaggero » : « Notre université s’est distinguée depuis toujours et s’efforce de faire en sorte que le handicap ne soient pas une différence. Nous essayons d’aller au devant de tout le monde afin que tous puissent atteindre les mêmes résultats. C’est un aspect des grandes civilisations ».

    Les media locaux rapportent cet événement un grand enthousiasme. Chiara Birilli, de son côté, a expliqué qu’elle avait dédié son mémoire à sa famille : « A mes parents, à ma sœur, à mes grands-parents et surtout à ceux de mes grands-parents qui sont déjà morts car, étant donné qu’ils ne sont plus parmi nous, je les ai sentis encore plus proches ».

    Lucia, sa mère, a dit au « Messaggero » : « Elle a été très bonne. J’avais la gorge nouée pendant qu’elle parlait. Nous nous sommes beaucoup battus, mais maintenant, ce que je désire et qu’elle puisse continuer sur sa lancée ». Son père, Alfredo, a raconté que la veille de la soutenance, « la route qui mène à Cassino n’avait jamais semblé aussi longue, j’avais l’estomac noué et aucune parole ne sortait de ma bouche ». « Le trajet semblait très long, a-t-il poursuivi, quand nous sommes partis, nous étions extrêmement émus mais maintenant, nous sommes tellement heureux ; c’est la journée de Chiara, c’est sa victoire, et je souhaite que ce soit un grand point de départ ». La grand-mère, Concetta, qui a aussi assisté à la soutenance, a déclaré avec fierté : « C’est ma petite-fille ; j’ai toujours été contente qu’elle décide d’étudier et quand ma fille m’a dit que le jour de la maîtrise était arrivé, j’étais aux anges ; ma petite-fille est forte, elle ira loin ».

  • L’université de Lima s’autoproclame pontificale et catholique

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    La prestigieuse Université pontificale et catholique du Pérou (PUCP), berceau de la théologie de la libération, a assuré lundi qu'elle continuerait à utiliser son nom malgré la décision du Vatican qui veut la priver de ses titres de "pontificale" et "catholique".

    "Nous avons le droit de continuer à utiliser les deux termes tant que nous le considérerons pertinent. Toute décision à ce sujet relève de l'autorité des organismes de direction de l'université", a déclaré le recteur de l'établissement, Marcial Rubio, dans un communiqué.

    Samedi, le Saint-Siège a annoncé par "mandat pontifical et décret du Secrétaire d'Etat (numéro deux du Vatican)" qu'il retirait à l'Université péruvienne "les qualificatifs de pontificale et catholique, ainsi que leur usage selon le droit canon".

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  • Comment faire de votre enfant un bon délinquant...

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    Douze conseils pour faire de votre enfant un bon délinquant (source)

    La direction de la police de Seattle (Washington) vient de publier les Douze règles à appliquer pour faire de son enfant un « bon » délinquant :

    1° Dès l’enfance donnez-lui tout ce qu’il désire. Il grandira ainsi en pensant que le monde lui doit tout

    2° S’il dit des grossièretés, riez, il se croira très malin.

    3° Ne lui donnez aucune formation morale. Quand il aura 18 ans « il choisira lui-même »

    4° Ne lui dites jamais : c’est mal ! Il pourrait faire un complexe de culpabilité. Et plus tard, lorsqu’il sera arrêté pour vol de voitures, il sera persuadé que c’est la société qui le persécute.

    5° Ramassez ce qu’il laisse traîner. Ainsi, il sera sûr que ce sont toujours les autres qui sont responsables.

    6° Laissez-lui tout lire. Stérilisez sa vaisselle, mais laissez son esprit se nourrir d’ordures.

    7° Disputez-vous toujours devant lui. Quand votre ménage craquera, il ne sera pas choqué.

    8° Donnez-lui tout l’argent qu’il réclame. Qu’il n’ait pas à le gagner. Il ferait beau voir qu’il ait les mêmes difficultés que vous

    .9° Que tous ses désirs soient satisfaits : nourriture, boisson, confort, sinon, il sera « frustré »

    .10° Prenez toujours son parti. Les professeurs, la police lui en veulent à ce pauvre petit !

    11° Quand il sera un vaurien, proclamez vite que vous n’avez jamais rien pu en faire.

    ...

  • Un plaidoyer en faveur de l'enseignement séparé pour garçons et filles

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    Les avantages de l'école non mixte - Rosemary Salomone | Lundi, 23 Juillet 2012

    source : didoc.be

    Une professeur de droit américaine prend la défense de l’enseignement séparé pour garçons et filles. Elle va jusqu’à proposer ce modèle à l’école publique.

    Aux Etats-Unis, l’éducation mixte dans les écoles publiques était un principe intangible jusqu’aux années nonante et elle était protégée par des lois fédérales. En 1996, une journaliste millionnaire créa la Young Women’s Leadership School à l’est de Harlem, à New York. Il s’agissait d’une école destinée à des filles — seulement des filles — de familles pauvres, présentant un taux élevé d’abandon scolaire, de grossesses prématurées, etc. Des groupes féministes et de défense des droits civils attaquèrent le centre. Les experts du gouvernement se demandèrent s’il était légal que cette école reçoive de l’argent public. Mais les résultats académiques furent indiscutables : 100 % des élèves accédèrent à l’Université. C’est alors qu’éclata aux Etats-Unis le débat sur la question de savoir si l’éducation non mixte devait faire son entrée dans l’école publique. Rosemary Salomone, Professeur de Droit Constitutionnel de l’Université St. Johns de New-York et féministe déclarée, défend ces collèges lorsqu’on prétend réduire leurs droits à recevoir des subventions.

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  • L'Université de Lima : ni catholique, ni pontificale...

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    L'Université du Pérou n'est plus catholique ni pontificale

    source : radio vatican

    Parce qu’elle ne refuse de se conformer à la loi canonique, l’université de Lima se voit privée de deux de ses titres par le Saint-Siège. Elle ne pourra plus désormais utiliser les adjectifs « pontificale et catholique » pour se définir. Le cardinal Tarcisio Bertone, le Secrétaire d’état du Saint-Siège a signé un décret en ce sens, rapporte ce samedi la Salle de presse du Saint-Siège.

    Depuis 1967, l’université fondée en 1917 et érigée canoniquement par décret en 1942, a en effet modifié ses statuts provoquant « de graves préjudices pour l’intérêt de l’Eglise ». Dans un communiqué, le Saint-Siège précise avoir sollicité , à plusieurs reprises depuis 1990 et sans succès, les recteurs de l’université afin qu’ils rendent l’établissement conforme à la constitution apostolique de Jean Paul II, Ex Corde Ecclesiae (15 aout 1990). En 2011, une visite canonique a précédé en février dernier, la venue du Secrétaire d’état du Saint-Siège en personne à Lima afin de relancer un dialogue.

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  • Lesbiennes et gays : un communiqué des "Scouts"

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    Sur le site "Les Scouts"

    Toute personne qui se définit comme lesbienne ou gay est la bienvenue chez Les Scouts

    Différents articles ont été publiés dans la presse belge le 18 juillet 2012 au sujet des Boy Scouts of America. L’association a déclaré publiquement que les gays ne sont pas admis comme animateurs au sein de leur association.

    Les cinq fédérations scoutes et guides de Belgique tiennent à réagir et à affirmer clairement leur position : chaque jeune et chaque adulte a sa place dans le mouvement. Tout refus d’une personne sur base de son orientation sexuelle est totalement inacceptable.

    En 2001, à l’initiative des délégués des Guides et Scouts de Belgique, une résolution contre la discrimination des lesbiennes et des gays a été approuvée par l’ensemble des associations réunies à la conférence européenne du scoutisme. Les scouts et guides de Belgique restent aujourd’hui encore, très attentifs à promouvoir l’ouverture au niveau mondial.

    Voir également : lalibre.be/les-mouvements-de-jeunesse-belges-disent-non-a-la-discrimination-des-homosexuels.html

    Il s'agit en fait d'une réaction à la position des Boy Scouts of America exprimée ainsi :

    "Bien que nous n'essayons pas d'en savoir plus sur l'orientation sexuelle de nos membres, nous n'acceptons pas des personnes dont l'homosexualité serait ouverte et déclarée ou qui se livreraient à des comportements qui pourraient distraire des missions du scoutisme."

  • La livraison de La Nef de juillet-août

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    Voici le sommaire de cette excellente publication; certains articles en lignes sont accessibles (cliquer sur les liens) :

    SOMMAIRE DU N°239 DE JUILLET-AOÛT 2012

    ÉDITORIAUX
    Abandonner le politique ?, par Christophe Geffroy
    La pornographie, par Jacques de Guillebon

    ACTUALITÉ
    Rome recadre la théologie, par l’abbé Christian Gouyaud
    Développement durable : Rio ne répond plus, par Falk van Gaver
    « Vatileaks » : esquisse de bilan, par Pierre Mayrant
    Milan, capitale de la famille, par Robert Chermignac
    Vie de l’Église : Un pape serein, par Loïc Mérian
    Syrie et Égypte : vers le chaos ?, par Annie Laurent
    Série Vatican II (7) : Le concile et les clercs, par l’abbé Laurent Spriet
    Chronique : Lady Gaga et l’islam, par Marc Fromager
    Chronique Vie : Dieu et la bioéthique, par Pierre-Olivier Arduin

    ENTRETIEN
    « La foi doit être fortifiée »,
    entretien avec le Père Dominique-M. de Saint Laumer

    DOSSIER : RÉFLEXIONS POST-ÉLECTORALES
    L’impuissance du politique, par Jacques de Guillebon
    Une classe politique usée, par Thomas Hude
    Un cœur intelligent, par François-Xavier Bellamy
    Une forme supérieure de la charité, par Falk van Gaver
    Chrétiens et postmodernité, entretien avec le P. Thierry-D. Humbrecht, op
    La droite fantôme, par Michel Toda

    VIE CHRÉTIENNE
    « Tu ne voleras pas », par Guillaume de Lacoste Lareymondie
    Proclamer l’Évangile, par le Père Pavel Syssoev, op
    Question de foi : « Combinazioni », par l’abbé Hervé Benoît

    CULTURE
    Gustave Thibon, mystique et réaliste, par Jacques de Guillebon
    Au fil des livres : P.D. James, par Philippe Maxence
    Notes de lecture, chroniques musique, cinéma, sortir
    Internet, livres jeunes
    Un livre, un auteur : abbé Gérald de Servigny

    BRÈVES
    Toutes nos annonces du mois en ligne

  • France : faire le pari de la vie

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    Communiqué de l’Observatoire sociopolitique du diocèse de Fréjus-Toulon

    La Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (Drees) révèle dans son dernier rapport que 225 000 interruptions volontaires de grossesse (IVG) ont été réalisées en France en 2010[1].

    Contrairement aux pouvoirs publics qui semblent se satisfaire d’un « nombre stable d’IVG depuis 2006 », l’Observatoire sociopolitique du diocèse de Fréjus-Toulon s’alarme d’un taux de recours à l’avortement qui plafonne à un niveau très élevé, soit plus du double de celui observé en Allemagne (15,1 femmes âgées de 15 à 49 ans pour 1000 contre 6,5 de l’autre côté du Rhin). D’après la Drees, « 36,2% des Françaises auront au moins une IVG au cours de leur vie féconde » et ce « malgré la généralisation de la contraception ».

    L’Observatoire sociopolitique du diocèse de Fréjus-Toulon rappelle que c’est justement l’injonction contraceptive qui pèse sur les Françaises, et ce dès le collège pour les adolescentes, qui rend précisément plus forte la propension à recourir à l’avortement en cas de « grossesse non désirée » : « la vie qui pourrait naître de la relation sexuelle devient l’ennemi à éviter absolument, et l’avortement devient l’unique réponse possible en cas d’échec de la contraception [2]».

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  • Surréaliste...

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    Nous lisons sur le site de "Tetu" : "Uruguay: une rectrice d'université écartée pour homophobie"

    Pour Mercedes Rovira, l'homosexualité est une «anomalie». Pas pour l'université privée et catholique de Montevideo, dont l'Opus Dei est pourtant «le garant moral».

    A la veille de sa nomination comme rectrice d'un des établissements les plus côtés d’Uruguay, Mercedes Rovira avait déclaré dans la presse que l'homosexualité était une «anomalie» et que l'orientation sexuelle d'un professeur postulant «jouait évidemment» au moment de son embauche car celui-ci devait être «un référent» pour ses étudiants. Elle aura finalement été écartée avant sa prise de fonction…

    En lisant la suite, on verra que l'Opus Dei peut adopter de singulières postures...