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Défense de la Vie - Page 173

  • Les dérives de l'avortement légalisé en Grande-Bretagne

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    "Même dans un pays où l'avortement est aussi facile d'accès qu'en Grande-Bretagne, une enquête menée par le Daily Telegraph révèle que 20 % des cliniques spécialisées trichent pour « rendre service » à des femmes voulant mettre fin à leur grossesse, soit en falsifiant des données, soit en accordant des certificats signés en série par des médecins qui ne les ont même pas vues en consultation. C'est ce qui ressort d'une enquête officielle menée à la demande du Secrétaire à la Santé."

    Jeanne Smits rend compte des résultats de cette enquête et les commente ici : leblogdejeannesmits

  • Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique - 26 mars 2012

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    images (4).jpgSommaire

     

  • L’avortement divise toujours les Belges

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    De Christian Laporte dans « La Libre » de ce jour :

    "Deux manifestations l’ont montré, samedi et dimanche, au centre de Bruxelles. En Belgique, la loi ne devrait pas changer, mais c’est moins sûr ailleurs.

    Fin mars 1990, après des années de discussions souvent passionnées pour ne pas dire passionnelles, la Chambre votait la proposition de loi, déjà adoptée par le Sénat, qui dépénalisait partiellement l’avortement en Belgique. L’on pensait que ce vote mettrait un terme définitif aux polémiques, mais c’était compter sans l’objection de conscience très déterminée du roi Baudouin qui estima ne pas pouvoir signer et promulguer des mesures contraires à ses convictions religieuses et aussi morales profondes. L’on sait qu’il demanda cependant au gouvernement Martens de tout mettre en œuvre pour concrétiser l’application de la législation. Et il suspendit son règne le temps que le monde politique s’accorde.

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  • La Honte (avec un "H" majuscule)

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    2F5FEE33-E6E8-4A0D-9E59-C5D3AB51E08C.jpegC'est au Costa-Rica. Les gens attendent que les tortues soient venues pondre sur les plages pour aller voler leurs oeufs afin d'en faire un odieux trafic. De quoi vous soulever les tripes. Et en émouvoir la planète entière à coup de mails indignés.

    Imaginons un instant que nous fassions la même chose à propos de ces centaines de milliers de petits d'hommes arrachés au ventre maternel par des aspirateurs qui les déchiquètent, et que nous fassions appel à nos amis et connaissances pour qu'ils s'en indignent et relaient ensuite nos courriers électroniques, quelle serait la réaction? On stigmatiserait aussitôt notre manque de sens des convenances et notre militantisme importun... Cherchez où est l'erreur.

    Que l'ami très cher qui m'a forwardé cet appel en faveur des tortues ne m'en veuille pas et sache que je suis tout à fait prêt à compâtir au sort de ces malheureuses testudines.

  • Au Mexique, la ferveur et les foules sont au rendez-vous

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    A découvrir, sur ZENIT.org :

    Voyage au Mexique

    Documents

  • Une Marche pour la Vie réussie

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    IMG_3227.JPGNous étions à la Marche pour la Vie. L'ambiance était excellente et la manifestation s'est déroulée dans un climat familial et sympathique. Il y avait du monde, et contrairement à ce qu'a pu dire la presse, le nombre des manifestants était très certainement supérieur à 2500 (plus de 3500 nous dit le commissaire de police). Ce n'est peut-être pas la manifestation monstre dont on rêve mais le résultat est positif lorsqu'on sait que l'organisation de cette marche repose sur un petit staff d'étudiants qui ne peut guère compter sur des relais institutionnels. En revanche, la manifestation pro-ivg de samedi, organisée par un nombre important de groupes constitués n'a réuni que peu de monde si l'on songe à tous les milieux qui avaient été mobilisés avec des moyens considérables (ne serait-ce que le personnel des centres de planning familial et des centres pratiquant l'avortement). Bref, nous avons été heureux de marcher dans les rues de Bruxelles et d'y avoir fait entendre un message clair en faveur de la vie.IMG_3244.JPG

  • Marche pour la Vie, un soutien massif de l'Eglise ?

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    Lors du débat sur l'avortement à l'émission "Et Dieu dans tout ça?" du 18 mars dernier, il a été fait état d'un "soutien massif de l'Eglise catholique" à l'organisation de la Marche pour la Vie. Cette affirmation paraît bien exagérée lorsqu'on sait que seule la participation de deux évêques est annoncée, lorsqu'on constate que les médias catholiques n'ont fait qu'annoncer timidement l'organisation de cette marche, lorsqu'on s'aperçoit que l'agenda de dimanche prochain n'a pas été libéré pour inciter les fidèles à y participer, lorsque - la plupart du temps - les affiches pour la marche ne sont pas présentes au fond des églises, etc. Affirmer que les clercs, même mitrés, se sont mobilisés avec beaucoup de conviction pour participer à cette Marche et/ou pour la soutenir constitue, à notre sens, une appréciation peu conforme à la réalité.

    Mais il y a d'heureuses exceptions allant jusqu'à des prises de position courageuses : http://minisite.catho.be/ericdebeukelaer/

  • L'avortement serait-il rentable ?

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    Lu sur Liberté Politique :

    Le 28 février dernier, le gouvernement Obama a donné son assentiment : Pepsi pourra utiliser des cellules d'enfants avortés dans l'élaboration de sa recette. Après tout, c'est un produit comme un autre, un ordinary business.

    Un certain nombre d'associations américaines, canadiennes, polonaises, britaniques, irlandaises, écossaises, espagnoles, portugaises, australiennes et néo-zélandaises ont décidé de bouder la boisson gazeuse.

    En France, la société civile s'organise plus pour nous déconseiller le Coca-cola (parce qu'il prive les Keralais du sud de l'Inde, d'eau potable) que le Pepsi qui finira par nous faire boire des morceaux d'enfants morts.

    Source : lifesitenews.com

  • Les suites psychologiques de l'avortement

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    Nous avons fait écho, hier au débat sur l'avortement qui s'est déroulé dimanche dernier sur la Première (RTBF) dans le cadre de l'émission "Et Dieu dans tout ça". La question des suites psychologiques de l'avortement y a été abordée. La synthèse de presse de généthique.org vient utilement compléter la réflexion à ce sujet :

    Dans le quotidien Libération, deux tribunes consécutives relatives au rapport du Pr  Israël Nisand sur la sexualité des mineurs ont été publiées en mars 2012. Dans une première tribune, du 1er mars 2012, deux sociologues, Mmes Bajos et Ferrand, et trois médecins, Mmes Meyer, Moreau et Warszawski, affirmaient que ce rapport est "moralisateur" quant à la question de l'IVG. Suite à celle-ci, le Pr Israël Nisand et Brigitte Letombe, gynécologues, et la psychanalyste Sophie Marinopoulos ont publié une réponse dans ce même quotidien, le 9 mars 2012 (Cf. Synthèse de presse du 09/03/12). Ils faisaient part de leurs observations, liées à leur expérience clinique, selon lesquelles des femmes restent douloureusement marquées après avoir eu recours à l'avortement.

    Le 20 mars 2012, Libération a publié de nouvelles réactions. Pour Mmes Bajos, Ferrand, Meyer, Moreau et Warszawski, "affirmer que le recours à l'avortement augmente les troubles psychiques est une assertion fausse, réfutée par les recherches scientifiques".

    Pour le collectif "Les filles des 343", composé de militantes féministes, il n'existerait pas de lien entre avortement et souffrances psychiques. Pour ce collectif, avorter est une "décision qui doit être respectée", et la pression mise sur les "épaules" et les "ventres [des femmes] contribue à les rendre [...] malheureuses". Selon un groupe de médecins, gynécologues et obstétriciens, qui publient également un article dans Libération, "Nul ne peut se prévaloir du monopole du psychisme des femmes", et c'est le "regard condescendant, culpabilisant de la société relayé par trop de médecins [...] qui produit tant de ravages". Ils affirment qu'ils continueront résolument "à oeuvrer pour que cet acte [l'IVG] soit, comme c'est souvent le cas, un acte structurant de leur vie".Suite à ces réactions,  le Pr Israël Nisand, Brigitte Letombe et Sophie Marinopoulos ont publié une tribune le 22 mars 2012 dans Libération. Selon eux, à la question de savoir si "l'IVG constitue ou non un moment bénéfique dans la vie d'une femme", la réponse est "négative". En faisant "croire que l'IVG n'aurait aucune conséquence psychique sur les femmes", l'objectif majeur est ici de "protéger le droit à l'IVG". Or, "la meilleure IVG, surtout pour une jeune femme, est celle que l'on a pu prévenir". Ils ajoutent qu'en publiant ce rapport sur la sexualité des mineurs, l'objectif est également de "trouver des solutions qui permettraient d'inverser la courbe, croissante depuis vingt-cinq ans, des 90 000 IVG par an chez les moins de 25 ans".

  • Parlement européen, 26-29 mars : "Week for Life"

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    cliquer sur l'image pour accéder aux informations

  • Une journée internationale de la trisomie 21

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    La Fondation Jérôme Lejeune nous fait parvenir le communiqué reproduit ci-dessous. Dommage que nous ne l'ayons pas reçu un peu plus tôt pour mobiliser en temps voulu nos amis présents sur les réseaux sociaux.

    Pour la première fois en 2012, la Journée internationale de la trisomie 21 a été reconnue par une résolution de l’ONU instituant la "Journée mondiale de la trisomie 21" le 21 mars. Cette date du 21/03 est hautement symbolique : elle fait référence aux 3 chromosomes 21 à l'origine de la maladie. Le but de cette Journée est de sensibiliser et d’informer sur la trisomie 21.

    A l’occasion de cette Journée, la Fondation Jérôme Lejeune est partenaire d'une campagne pour sensibiliser sur la trisomie 21 et interpeler la société.

    Cette campagne soulève une interrogation fondamentale à propos de la place accordée à la personne trisomique, et plus largement à la personne handicapée et aux plus faibles.

    « Trisomique, et alors ? »

    Cette campagne est portée par un groupe de parents d’enfants trisomiques souhaitant faire entendre un message fort de sensibilisation et véhiculer une image positive auprès de la société. La campagne « Trisomique… Et alors ? » vise à démystifier la trisomie 21 et à interpeler le grand public sur le regard posé sur celle-ci, afin de permettre une réelle intégration des personnes qui en sont atteintes.

    La question du regard porté sur la trisomie 21 est une question de société de première importance, et il devient plus que jamais urgent d’y répondre, aussi bien pour les malades, les familles que pour la société tout entière. Interpeler sur cet enjeu, informer et former sur la réalité de cette maladie sont indispensables en France.

    Des annonceurs et d’autres acteurs ont permis la réalisation de cette opération : un bel élan de générosité témoignant d’une mobilisation possible et d’une volonté partagée de faire changer le regard sur la trisomie 21.
    Plus d’informations : www.trisomiqueetalors.com

    La Fondation Jérôme Lejeune invite toutes les personnes souhaitant s'associer à cette cause, au moins le temps d'une journée, à remplacer leur photo de profil sur les réseaux sociaux par une des affiches de la campagne. Les visuels sont disponibles sur la page Facebook ou sur le site de la Fondation.

    Par ailleurs, à l’occasion de cette Journée mondiale de la trisomie 21, la Fondation Jérôme Lejeune rappelle que la recherche en vue d’un traitement de la déficience intellectuelle de la trisomie 21 a considérablement avancé : cinq essais cliniques sont actuellement en cours dans le monde : cf Information Presse du 1er mars 2012  : « Traiter la trisomie 21 : l’ère des essais cliniques »

    Contact  E-influence
    François JEANNE-BEYLOT
    francois@inmediatic.net

    A propos de la Fondation Jérôme Lejeune : fondation scientifique de recherche médicale pour le traitement des déficiences intellectuelles d’origine génétique, reconnue d’utilité publique, et 1er financeur en France de la recherche thérapeutique sur la trisomie 21, la Fondation Jérôme Lejeune développe ses propres programmes de recherche et finance chaque année des dizaines de projets de recherche en France et dans le monde. Elle poursuit trois missions : chercher un traitement, soigner les patients et défendre la vie et la dignité des patients.

    Il y a 50 ans, un chercheur français, le Pr Jérôme Lejeune, découvrait la cause de la trisomie 21. Plus de 15 ans après sa généralisation, le dépistage prénatal conduit quant à lui à un taux de 96% d’enfants trisomiques avortés. En 2012, alors que l’ère des essais thérapeutiques est arrivée, un choix politique s’impose pour favoriser l’accueil des enfants handicapés, mettre fin à la discrimination et promouvoir la recherche thérapeutique.

    www.fondationlejeune.org