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Défense de la Vie - Page 72

  • Nations Unies : le Saint-Siège défend le droit à la vie des enfants nés de viols de guerre

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    De Vatican News :

    ONU: le Saint-Siège défend le droit à la vie des enfants nés de viols de guerre

    Le Conseil de sécurité de l’ONU a approuvé mercredi 24 avril une résolution contre le viol comme arme de guerre, un fléau répandu dans les conflits armés qui touchent en premier les femmes et les enfants. Mgr Bernardito Auza, observateur permanent du Saint-Siège près de l’ONU à New York, est intervenu en particulier au sujet des enfants.
     
    La question des enfants conçus par des viols de guerre a été l'un des sujets abordés par Mgr Bernardito Auza, Observateur permanent du Saint-Siège, lors du débat qui a précédé le vote et auquel le secrétaire général António Guterres, et les lauréats du prix Nobel de la paix, Nadia Murad et Denis Mutwege, ont pris part.Mgr Bernardito Auza a réitéré sa ferme condamnation de ces «atrocités inacceptables» commises par des bandes armées, des terroristes, mais également des armées régulières, y compris, dans certains cas, des militaires envoyés par les Nations Unies «au service de la noble cause de la paix et de la sécurité».L’observateur permanent a également attiré l’attention sur le problème des enfants résultant de violences sexuelles dans les zones de conflit: «Les droits humains de ces enfants doivent être respectés et garantis, Selon le Saint-Siège, ces jeunes vies innocentes devraient être accueillies, aimées, non stigmatisées ni rejetées. On ne devrait pas non plus leur refuser le droit de naître», a-t-il soutenu.

    Aider les victimes à trouver la guérison et l'espoir

    Mgr Auza a ensuite conclu en souhaitant que l'attention évoquée par le débat ouvert à l'ONU sur ce thème dramatique puisse aider les survivants et les victimes à trouver la guérison et l'espoir et à servir «la mise en place de mécanismes plus solides permettent de traduire en justice ceux qui ont commis cette violence ».Après cette déclaration le Conseil de sécurité des Nations Unies a approuvé une résolution visant à lutter contre le viol en temps de guerre par 13 votes favorables. La Chine et la Russie se sont abstenues. Dans ce projet figurait un paragraphe impliquant d'offrir «une gamme complète de soins de santé, notamment sexuelle et procréative» prévoyant l'avortement après un viol. Après échanges, le texte a finalement été adopté sans référence abortive.
  • # C’ESTPASLAMORT : une campagne publicitaire pour les soins palliatifs

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    Du Bulletin d'Information de l'Institut Européen de Bioéthique :

    # C’ESTPASLAMORT : une campagne publicitaire pour les soins palliatifs

    Une campagne publicitaire relayée par l’hashtag « #C’ESTPASLA MORT » et sous-titrée « 10 euros pour redonner le sourire à quelqu’un qui souffre » est diffusée partout en France depuis le 10 avril dernier.

    Cette campagne d’appel aux dons pour les soins palliatifs est une initiative de l’incubateur de projets « Fonds pour les soins palliatifs ». Il s’agit de la première campagne d’affichage nationale d’un tel genre. « En invitant au don, le Fonds pour les soins palliatifs rappelle la contribution essentielle que chacun peut avoir dansl’amélioration de la qualité de vie et du bien-être des personnes gravement malades ainsi que de leurs proches. » a indiqué le Fonds dans un communiqué de presse.

    Le Fonds pour les soins palliatifs existe depuis 2011 et soutient différents projets pour promouvoir et développer les soins palliatifs. Il développe des partenariats entre d’une part des grandes entreprisesmécènes et d’autre part des acteurs engagés en soins palliatifs (médecins, hôpitaux…) qui ont besoin de moyens pour mettre en place leurs projets. La collecte de dons se fait également auprès des particuliers. 76 projets ont pu être ainsi développés depuis 2011.

    Source :  Fondssoinspalliatifs.fr

  • USA : la Caroline du Sud et le Texas légifèrent pour protéger les bébés survivant à un avortement

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    USA : DEUX ETATS LÉGIFÈRENT POUR PROTÉGER LES BÉBÉS SURVIVANT À UN AVORTEMENT

    sur genethique.org

    Aux Etats-Unis, lundi et mardi dernier, la Chambre des représentants, puis le Sénat de la Caroline du Nord ont voté un projet de loi imposant aux médecins et infirmières de soigner les bébés nés vivants après un avortement tardif, comme tout nouveau-né, sous peine de sanctions pénales.

    Un porte-parole du gouverneur démocrate Roy Cooper, a critiqué la mesure. Ce qui laisse à penser que le gouverneur pourrait opposer son veto à la loi. Pourtant, les républicains, favorables à cette mesure, ont déclaré que cela dépassait le cadre de l'avortement puisqu’il s’agit de protéger un bébé né vivant.

    Au Texas, la semaine dernière, un projet de loi semblable intitulé the Texas Born Alive Protection Act,destiné à « renforcer les protections accordées aux bébés qui survivent à un avortement », a été approuvé par 93 voix contre 1 à la Chambre des représentants, et par 21 voix contre 10 au Sénat.

    Pour aller plus loin :

  • L’Ohio est le sixième état américain à avoir adopté la loi de l’ heartbeat bill

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    HEARTBEAT BILL : L’OHIO RESTREINT À SON TOUR LES DÉLAIS POUR UN AVORTEMENT

    de genethique.org

    L’Ohio est le sixième état américain à avoir adopté la loi de l’ heartbeat bill, qui interdit l’avortement à partir du moment où les battements du cœur du bébé sont détectables. Le gouverneur Mike DeWine a signé et promulgué la loi hier. Le gouverneur précédent avait déjà opposé deux fois son veto à des lois similaires. Mike DeWine a déclaré qu’il s'était engagé à soutenir les femmes enceintes et les personnes vulnérables : « Je veux juste que ce soit très très clair, notre préoccupation ne concerne pas que les enfants à naître, mais également toutes les personnes qui ont besoin de protection. Je crois que c’est notre devoir et une fonction essentielle du gouvernement que de protéger ceux qui ne peuvent pas se protéger eux-mêmes ».

    L’ACLU[1] de l’Ohio a déjà annoncé qu’elle ferait appel auprès des tribunaux pour non constitutionnalité de la loi. Les défenseurs de la loi « espèrent provoquer une contestation judiciaire susceptible de renverser l’arrêt rendu en 1973 par la Cour suprême des États-Unis », légalisant l’avortement jusqu’à la viabilité, vers 22 à 24 semaines. « L'Ohio a tracé une ligne et continue de faire progresser la protection des bébés à naître », s’est réjoui Mike Gonidakis, président de Right of Life en Ohio.

    Pour aller plus loin :

  • Portrait intérieur de Jérôme Lejeune

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    Du site de France Catholique : un ENTRETIEN AVEC AUDE DUGAST

    Jérôme Lejeune, portrait intérieur

    propos recueillis par Aymeric Pourbaix

    Fruit d’une étude de dix années sur le professeur Lejeune (1926-1994), une nouvelle biographie écrite par Aude Dugast, très documentée, révèle des facettes méconnues de la vie du savant défenseur des plus fragiles.

    Vous êtes postulatrice de la cause de béatification de Jérôme Lejeune à Rome, et vous avez eu accès à des documents inédits. Qu’avez-vous découvert ?

    Aude Dugast : Lors de la phase d’instruction du dossier à Paris, nous avons dû réunir les documents et témoignages permettant de juger de l’héroïcité des vertus du «  candidat  » à la sainteté. Pour Jérôme Lejeune, homme public de réputation mondiale, cela signifie des dizaines de milliers de documents : les lettres qu’il a échangées avec Birthe, son épouse – ils s’écrivaient chaque jour quand ils étaient éloignés l’un de l’autre –, les courriers scientifiques avec des chercheurs du monde entier, les lettres amicales avec les familles de patients, la correspondance avec les serviteurs de la Vie de très nombreux pays, les lettres avec le Vatican, dont certaines de Jean-Paul II ou du cardinal Ratzinger. À cela il faut ajouter son Journal intime et les 500 articles qu’il a publiés, et enfin ses conférences. Tous ces documents ont été précieusement gardés par Madame Lejeune et présentent une source d’information considérable.

    Personne jusqu’à ce jour n’avait pu se plonger dans tous ces documents. Le procès de canonisation nous en a donné l’opportunité. L’immense majorité des documents qui m’ont servi pour écrire cette biographie sont donc inédits, je crois même pouvoir préciser qu’ils n’avaient été lus par personne depuis la mort de Jérôme Lejeune. Madame Lejeune, dans la postface, raconte qu’elle-même a découvert des événements et des lettres et redécouvert beaucoup de vieux souvenirs. Qu’ai-je découvert ? Une vie lumineuse qui se déploie dans le champ de la science et de la foi. L’épanouissement de la vie d’un saint. Une vie qui ressemble à un roman, mais qui est vraie, pleine de suspens : on voit que Jérôme, à travers sa vie d’époux, de père, de médecin, et de grand témoin de la beauté de la vie, n’est pas né saint mais qu’il l’est devenu. Cela montre que la sainteté est à notre portée.

    J’emploie ce terme de sainteté, sans préjuger de la décision finale de l’Église bien sûr ! L’enquête de canonisation en est à sa phase romaine, et ne s’est pas encore prononcée sur l’héroïcité de ses vertus.

    Vous parlez de lui comme d’un «  roi mage  » des temps modernes…

    Comme les trois premiers Rois mages, Jérôme a contribué par sa science à la révélation du Verbe incarné. Il a su voir en chacun de ses patients le visage du Christ, petit enfant, abandonné dans sa fragilité à la protection des adultes. Avec toute sa science, qui est immense, il s’est incliné devant l’enfant, avec humilité. Comme les Mages qui suivirent les indications des prêtres d’Hérode pour trouver le lieu de la naissance de l’enfant, Jérôme n’a pas hésité à enrichir sa connaissance scientifique des vérités révélées par la foi. Avec l’humilité du savant qui sait que toute sa science est peu de chose au regard de l’Univers insondable. Enfin, comme ces savants venus d’Orient, Jérôme a refusé de servir les mauvaises intentions du pouvoir à l’égard des enfants. Il est passé par un autre chemin. Il a usé de son savoir, 2 000 ans après la première Épiphanie, pour manifester au monde la beauté de toute vie humaine. De chaque enfant. Même le plus fragile. N’oubliant jamais le mot qui a guidé toute sa vie : «  Ce que vous avez fait au plus petit d’entre les miens c’est à moi que vous l’avez fait  » (Mt, 25, 40).

    Quelles ont été les sources intellectuelles et spirituelles de sa formation ?

    Jérôme a eu la chance d’avoir un père qui voulait transmettre à ses fils l’amour de la Sagesse et l’attachement aux valeurs chrétiennes de la France. En 1939, le collège étant désorganisé par la guerre, Pierre décide que ses fils étudieront à la maison : ils peuvent puiser à loisir dans sa bibliothèque qui est d’un goût extrême, tant par la qualité des auteurs que par leur diversité, latine, grecque et française. Jérôme y fait deux découvertes qui le marqueront pour le reste de ses jours : Pascal et Balzac. La tradition familiale veut que ce soit le héros de Balzac, le Docteur Benassis, qui ait fait naître la vocation de médecin de Jérôme. Quant à Pascal, Jérôme est séduit par la vigueur et la subtilité de cet esprit philosophique et scientifique et découvre avec intérêt ce discours apologétique. De là à dire que Pascal fut son maître à penser, je ne crois pas. Jérôme n’avait aucune tentation janséniste. Mais il tira grand profit à le lire et en garda certainement un goût prononcé pour les aphorismes qu’il pratiqua aussi avec talent. Dans un style tout à fait pascalien. Dans cette formation de l’esprit, à la fois intellectuelle et spirituelle, il faut aussi souligner l’influence de saint Thomas d’Aquin, qu’il jugeait le meilleur rempart contre le matérialisme. Il lui semblait que cette intelligence, tout à fait extraordinaire, inspirée et rigoureuse, avait réfuté, par anticipation, toutes les contradictions de l’homme moderne.

    Retrouvez l’intégralité de l’entretien dans notre magazine

  • Dakota du Nord : stop à l'avortement par démembrement humain

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    RESTRICTION À L’AVORTEMENT PAR « DÉMEMBREMENT HUMAIN » DANS LE DAKOTA DU NORD

    de genethique.org :

    Hier, le gouverneur du Dakota du Nord, Doug Burgum, a signé un projet de loi interdisant, au deuxième trimestre de la grossesse, l'avortement par « dilatation et évacuation », c’est-à-dire, « par démembrement humain ».

    Sauf en cas d'urgence, les médecins pratiquant la procédure pourront être jugés pour crime passible d'une peine maximale de cinq ans d'emprisonnement et de 10 000 dollars d'amende. La femme qui subit l'avortement ne fera en revanche pas l'objet d'accusation.

    Les lois du Mississippi et de Virginie-Occidentale interdisent également cette procédure, tandis que des procédures judiciaires ont suspendu des lois similaires en Alabama, en Arkansas, au Kansas, au Kentucky, en Louisiane, en Ohio, en Oklahoma et au Texas.

    Sources: Washington Times, James MacPherson (10/04/19)

  • Deux évêques américains dénoncent la pratique barbare de l'avortement tardif

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    AVORTEMENTS TARDIFS : DEUX ÉVÊQUES AMÉRICAINS RÉAGISSENT

    de genethique.org :

    Monseigneur Joseph Naumann, archevêque de Kansas City et responsable des activités « prolife » de la Conférence des évêques américains a réagi suite à l’audience du 9 avril de la commission judiciaire du Sénat sur les avortements tardifs, demandant la promulgation de la loi sur la protection des enfants non nés : « Ce projet de loi [sur les avortements tardifs] attire l'attention du public sur la réalité honteuse du fait que les États-Unis sont l'un des sept pays au monde autorisant la pratique barbare de l'avortement tardif, lorsqu'un enfant ressent probablement de la douleur et peut même vivre en dehors de l'utérus avec une assistance médicale appropriée. De telles procédures d'avortement après le milieu de la grossesse posent également de graves dangers physiques pour les femmes. La grande majorité des américains soutenant fermement l'interdiction des avortements tardifs, il est temps que le Congrès adopte ce projet de loi [sur la protection des enfants non nés]. Je prie également pour que l'examen de ce projet de loi rapproche notre pays de la reconnaissance de tous les bébés à naître en tant que personnes morales dignes de notre amour et de notre respect ».

    De son côté, le cardinal Sean O’Malley, archevêque de Boston et président de la Commission pontificale pour la protection des mineurs, a décrié le projet du Massachusetts d’élargir l’accès à l’avortement jusqu’à la naissance : « Collectivement, ces changements ont des conséquences radicales pour la société. Dans la législation proposée, l'avortement est décrit comme «tout traitement médical destiné à entraîner l'interruption d'une grossesse clinique, sauf dans le but de parvenir à une naissance vivante». Même si « de nombreuses procédures cliniques peuvent être décrites de manière satisfaisante en termes purement médicaux », ce n’est pas le cas de l’avortement. « En dépersonnalisant la réalité, la législation déshumanise la décision à laquelle sont confrontées les femmes, leurs familles et leurs médecins ». Le cardinal a précisé qu’il « ne cherchait pas à imposer les enseignements de l’Église catholique à une société diversifiée, mais souhaitait contribuer à la construction d’une société qui protège la vie humaine de sa création à sa mort naturelle». Son objectif n’est pas de juger ou de blâmer les femmes et les familles confrontées à des grossesses extrêmement difficile, mais bien « d'examiner les implications de la législation proposée, qui, parmi ses dispositions, supprime toute limite à l'avortement au cours du troisième trimestre de la grossesse.»

    Sources: Zenit (9&10/04/2019)
  • Je n’arrivais pas à croire que quelqu'un me recommandait de mettre fin aux jours de mon bébé uniquement parce qu'il était porteur de trisomie 21

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    ENCEINTE D’UNE PETITE FILLE PORTEUSE DE TRISOMIE 21, LE MÉDECIN LUI PROPOSE L’AVORTEMENT

     

    « Le médecin m'a demandé si ce bébé était prévu et m'a dit: ‘Vous êtes jeune, alors pourquoi voudriez-vous garder ce bébé alors que vos chances d'avoir un autre bébé porteur de trisomie 21 sont vraiment faibles ? Vous pourriez essayer de nouveau, pour en avoir un normal.’ » Lucas et Emily McCain sont les heureux parents de Lily, 10 ans et Ollie, 6 ans. Ils habitent Perth, en Australie. Lily, l’ainée, qui est porteuse de trisomie 21, « n’a jamais eu un seul problème de santé » depuis la naissance. Sa trisomie a été détectée dès la grossesse, à la suite d’une amniocentèse. Emily a alors été confrontée à des médecins qui l’ont poussée à avorter : « Je n’arrivais pas à croire que quelqu'un me recommandait de mettre fin à ses jours uniquement parce que mon bébé était porteur de trisomie 21 ». Elle ajoute : « nous n'avions aucune raison de considérer la trisomie 21 comme une raison de mettre fin à ses jours », d’autant plus qu’ « elle était en parfaite santé » se souvient la maman, qui avait éclaté en sanglots, « dévastée » face à l’indélicatesse du médecin. Son pédiatre, heureusement, « était très informatif et comprenait parfaitement [leur] décision ».

    Aujourd’hui, Lily est une petite fille de 10 ans pleine de vie. Si sa légère déficience intellectuelle lui a fait prendre du retard dans l’apprentissage de la lecture et de l’écriture, sa mère reste confiante : « Je suis convaincue que c'est quelque chose qu'elle finira par atteindre, mais que cela pourrait lui prendre un peu plus de temps. ». Lily est aussi mannequin pour la marque de vêtements Target, une marque « ouverte à la diversité ». Elle « vit dans l’instant » et « adore être devant les caméras ». « Évidemment, nous nous tournons vers l'avenir pour Lily, mais nous n'essayons pas de nous attarder sur quoi que ce soit, nous essayons simplement de tirer le meilleur parti de chaque jour », conclut Emily, sa maman.

    Sources: Daily Mail, Emilia Mazza (01/04/2019)

  • "Prions Pour La Vie" : une nouvelle application vient d'être lancée afin de propager une grande chaîne d’adoration perpétuelle

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    Du site Aleteia.org :

    Une app au service de la vie disponible sur iOS et Androïd

    © Marko Vombergar / Aleteia

    Si les écrans prennent souvent une trop grande place dans notre quotidien, l’essor du numérique permet aussi de développer de belles initiatives. C’est le cas de cette nouvelle application "Prions Pour La Vie" lancée afin de propager une grande chaîne d’adoration perpétuelle…

    Alors que plus de 200.000 IVG sont réalisées chaque année, il peut sembler vain de réaffirmer aujourd’hui la beauté de la vie dès sa conception. Pour autant, le Christ nous invite à ne pas nous résigner et à lui adresser une prière confiante et renouvelée. C’est l’origine de l’application Prions Pour La Vie. Fédérant une communauté de priants, elle rassemble des personnes individuelles, des groupes de prière et des congrégations religieuses ayant à cœur d’adorer le Saint Sacrement pour défendre et promouvoir la cause de la vie. Ergonomique et facile d’utilisation, directement accessible depuis son smartphone (App Store et Androïd) ou sur le site internet, chacun peut s’inscrire à des heures de prières, gérer ses créneaux et les notifications qu’il souhaite recevoir), l’appli permet aussi de visualiser sur une carte de France le nombre et la localisation des fidèles.

    « Tout est possible à celui qui croit »

    Derrière cette innovation spirituelle, une petite équipe de jeunes professionnels. « Avec des amis, nous avons organisé une chaîne de prière dans l’hôpital dans lequel je travaillais, demandant au Seigneur qu’il n’y ait plus d’avortements, même si cela semblait impossible à vue humaine. Ils ont pourtant baissé de façon régulière et significative sans explication particulière, alors-même que, durant cette période, le nombre d’accouchements est resté stable. Cela m’a fait prendre conscience de la force de la prière» assure Gabriel, 40 ans, cadre hospitalier à l’initiative du projet. Face à ce signe « hyper encourageant », ces amis issus d’un groupe d’évangélisation se tournent vers le père Florian Racine, curé du diocèse de Fréjus-Toulon et responsable des Missionnaires de la Très Sainte Eucharistie promouvant l’adoration perpétuelle dans les paroisses, afin qu’il porte avec eux le projet. Ils choisissent le 8 décembre 2018, fête de l’Immaculée Conception, comme date de lancement. Une grande chaîne d’adoration ou de prière du Rosaire est depuis proposée jour et nuit. Elle réunit déjà presque 500 inscrits. Si 60 à 70% des heures sont régulièrement pourvues, le père Racine compte bien sur le soutien des habitants d’Outre-Mer, « avec le décalage horaire, ils pourront facilement remplir les créneaux de nuit ! » Face à la banalisation de l’avortement, les menaces sur la clause de conscience des professionnels de santé, la tentation de résignation devant une irréversible évolution de la société, saluons et rejoignons cette initiative pleine de foi et d’espérance nous rappelant que « Tout est possible à celui qui croit ».

    10 citations de Jean Paul II sur les valeurs essentielles de la vie :
  • Un film anti-avortement américain arrive au Top 5 du box-office malgré la censure sur Twitter et dans les médias

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    Lu sur epochtimes.fr :

    Un film pro-vie américain arrive au Top 5 du box-office malgré la censure sur Twitter et dans les médias

    Un film pro-vie américain arrive au Top 5 du box-office malgré la censure sur Twitter et dans les médias

    Une image fixe du film « Unplanned ». (Pure Flix)

    Unplanned, qui pourrait être traduit par « non planifié », est l’histoire d’une employée du Planned Parenthood (un des principaux regroupements de planification familiale aux États-Unis) qui a vécu une expérience ayant changé sa vie alors qu’elle a été témoin d’un avortement. Le film a rapporté un peu plus de 5,4 millions d’euros au box-office alors qu’il n’a été présenté que dans certains cinémas à l’échelle nationale.

    Le succès est de plus venu après que le film a été classé « pour adultes », malgré un contenu relativement sobre.

    Selon le magasine américain The Hollywood Reporter, le film du distributeur confessionnel Pure Flix n’allait rapporter qu’environ 2,7 millions d’euros.

    « Doté d’une mention convoitée A+ par CinemaScore (une société qui étudie la fréquentation d’un film afin d’évaluer, avec des notes-lettres, le nombre de fois qu’un film a été vu), le drame controversé anti-avortement Unplanned a été diffusé dans 1 059 salles de cinéma aux États-Unis, générant un montant d’un peu plus de 5,4 millions d’euros, malgré une empreinte relativement modeste », a-t-il été déclaré.

    Vidéo intégrée
    UnplannedMovie@UnplannedMovie

    In theaters everywhere March 29. is the true story of one woman’s journey of transformation. Abby Johnson was one of the youngest Planned Parenthood clinic directors in the nation.Until the day she saw something that changed everything. http://Unplanned.com 

    [Traduction du post ci-dessus : « Dans les théâtres partout le 29 mars. #Unplanned est l’histoire vraie du parcours de la transformation d’une femme. Abby Johnson était l’une des plus jeunes directrices de la clinique du Planned Parenthood au pays, jusqu’au jour où elle a vu quelque chose qui a tout changé. http://Unplanned.com« ]

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  • Avortement : le « Heartbeat bill » voté en Géorgie

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    AVORTEMENT : LA « LOI DU BATTEMENT DE CŒUR » VOTÉE EN GÉORGIE

     de genethique.org

    Les députés de l’Etat de Géorgie, au sud des Etats-Unis, ont voté le 30 mars dernier l'interdiction de l’avortement « dès la détection d'un rythme cardiaque chez l'embryon », soit dès la sixième semaine de grossesse. Une exception est prévue en cas de complications médicales, ou si la vie ou la santé de la mère est en danger. « La Géorgie attache une grande valeur à la vie. Nous défendons les innocents et parlons au nom de ceux qui ne peuvent pas parler pour eux-mêmes », a déclaré le gouverneur républicain de l'Etat, Brian Kemp, qui s’apprête à promulguer la loi qui entrera alors en vigueur.

    Un certain nombre d’acteurs américains, dont Ben Stiller, Alec Baldwin et Alyssa Milano, ont considéré ne plus pouvoir venir travailler « en toute conscience » en Géorgie, une destination populaire pour les tournages. Les opposants dénoncent un texte interdisant l'avortement « avant que la majorité des femmes n'apprennent leur grossesse » et ont menacé de la contester en justice.

    Aux Etats-Unis, chaque Etat est libre de restreindre ou interdire les avortements, dès lors que la vie ou la santé de la mère n’est pas en danger. La « loi du battement de cœur » a déjà été votée dans plusieurs Etats américains, comme le Kentucky et l'Iowa ; elle a été bloquée par les juges. Le 20 mars dernier, le Parlement du Mississippi l'a également adoptée.

    Pour aller plus loin :

  • 2000 personnes ont marché pour la Vie ce dimanche 31 mars à Bruxelles

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    Communiqué de presse 

    Ce dimanche 31 mars 2019, La Marche pour la vie a rassemblé 2000 personnes dans les rues de Bruxelles, afin de promouvoir le respect de la vie humaine depuis la conception jusqu’à la mort naturelle.

    C’est la dixième année consécutive que La Marche pour la vie a lieu en Belgique. Son objectif est de défendre publiquement le droit à la vie de toutes les victimes d’avortements, de l’euthanasie, et de toutes les pratiques qui portent atteinte ou marchandent la vie humaine (gestation par autrui, destruction d’embryons humains, ...). La Marche pour la vie veut aussi soutenir les personnes et associations qui œuvrent pour la protection de la vie, qui proposent des alternatives à l’avortement, assistent les mères en détresse, et entourent les personnes en fin de vie. Elle souhaite enfin et surtout, proposer une société véritablement solidaire des personnes plus vulnérables.

    Le rassemblement a eu lieu à la Place Poelaert, aux pieds du Palais de Justice. La marche s’est déroulée en silence, en hommage aux victimes des atteintes à la vie humaine. A l’arrivée, les participants ont écouté les prises de parole d’invités de poids : Denise Mountenay, lobbyiste canadienne pour la protection de la vie aux Nations Unies et fondatrice de « Canada Silent No More », une association qui aide les femmes enceintes en difficulté. Florence, une jeune femme belge, a témoigné de son expérience avec sa petite sœur porteuse de trisomie 21. Un médecin belge a pris la parole pour inviter les soignants à répondre à leur véritable mission, qui ne peut être de provoquer la mort d’un être humain. La porte-parole de La Marche pour la vie, Constance du Bus, a ensuite invité les participants à voter « pour la vie », en prêtant attention aux programmes électoraux en matière de bioéthique. La présidente de La Marche pour la vieElisabeth Théry, a conclu l’évènement par ces mots : « Travaillons chacun où nous sommes, dans nos familles, à notre travail, auprès d’associations, avec nos amis, à faire triompher une véritable culture de Vie. »

    Une nouveauté de cette année était la grande collecte de vêtements et de matériel de grossesse et de petite enfance, afin que les participants puissent allier la marche à l’action solidaire. La Marche pour la vie s’occupera de déposer l’ensemble de cette collecte auprès de maisons maternelles, pour les soutenir dans l’accompagnement des femmes enceintes en difficulté et de leurs familles. Une tente d’exposition, intitulée « Montrer la vie », a mis à l’honneur des œuvres d’art réalisées par quatre jeunes artistes, représentant l’enfant dans le sein de sa mère, et le soutien aux personnes âgées.

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    https://www.facebook.com/enmarchepourlavie/videos/408701763010404/