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Culture - Page 303

  • Pour parler aux jeunes, connaître les jeunes...

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    Cite du Vatican, 31 janvier 2013 (VIS). Ce matin près la Salle de Presse du Saint-Siège, le Cardinal Gianfranco Ravasi, Président du Conseil pontifical pour la culture, assisté de Mgr.Carlos Alberto de Pinho Moreira Azevedo, Délégué, du P.Enzo Fortunato, OFM.Conv, Directeur du bureau de presse du couvent St.François d'Assise, d'un étudiant italien et d'une étudiante malgache (Alessio Antonielli et Farasoa Mihaja Bermahazaka), a présenté l'assemblée plénière de ce dicastère, consacrée à l'émergence culturelle dans la jeunesse. Dans un texte récemment prononcé à Assise, le Cardinal se penchait sur l'image de jeunes qu'on rencontre dans les rues écouteurs aux oreilles, qui symbolise leur coupure de cette société d'une insupportable complexité relationnelle, politique et religieuse que nous avons créée. "D'un certaine façon, ils baissent la visière pour y échapper, d'autant que nous les avons exclus par la corruption et l'incohérence, la précarité, le chômage et la marginalisation. Notre génération, leurs parents et leurs enseignants, les prêtres et la classe dirigeante, devrions tous faire un examen de conscience. Ce caractère de diversité de la jeunesse n'est pas que négatif car il abrite de surprenants germes d'authenticité et de fécondité comme le volontariat dans lequel s'impliquent nombre d'entre eux. Pensons à leur passion pour la musique, le sport et l'amitié, dans laquelle ils nous disent que l'être humain ne vit pas que de pain. Pensons aussi à l'originalité de leur spiritualité, qui se cache derrière la liberté ou l'indifférence. Parmi tant d'autres, voici pourquoi" a dit le Cardinal Ravasi, "je m'intéresse à la jeunesse qui sont le présent et l'avenir de l'humanité. Des cinq milliards de personnes vivant dans les pays en voie de développement, les moins de 25 ans représentent 88% des jeunes de la planète. Mettant de côté les analyses socio-psychologiques relatives à la foi dans la jeunesse, à leur perception du spirituel, je préférerais évaluer la confiance qu'il ont dans un potentiel, souvent enfoui sous une indifférence impressionnante de prime abord".

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  • Conférences 2013 Quelle âme pour l'Europe ?

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    Première conférence Les racines de l'identité chrétienne par Gérard-François Dumont de l'Université Paris IV le lundi 11 février 20h00 à Louvain-la-Neuve le mardi 12 février 20h00 à Bruxelles.

    L’Europe a-t-elle des racines spirituelles, et plus précisément des racines chrétiennes ?

    Les invasions germaniques qui ont suivi la chute de l’Empire romain ont bouleversé l’Europe. Le christianisme, et plus spécifiquement l’Église latine, s’est alors affirmé comme fondement de valeurs créatrices d’une culture commune, enracinée dans une histoire des peuples où la mémoire biblique et l’héritage chrétien jouent un rôle majeur. De multiples questions émergent de ce constat : la référence au christianisme est-elle d’abord affaire de foi ou affaire de valeurs ? Quelle est dans ce contexte la place de la culture antique, grecque et romaine ? Quel est le rôle d’autres religions, tels le judaïsme et l’Islam ? Quel rapport y a-t-il entre la spiritualité et l’expansion mondiale de l’Europe, à partir de l’an mil et des croisades ? Quel est le rôle du développement du rationalisme et de la laïcité ? Qu’est-ce qui a déclenché la naissance de l’Union européenne ?

    Pour répondre à ces questions, la Fondation Sedes sapientiae, de la Faculté de théologie de l’UCL (Université catholique de Louvain), organise un cycle de quatre conférences, qui seront données chacune à Louvain-la-Neuve (le lundi) et à Bruxelles (le mardi), en février-mars 2013. Le cycle fera l’objet d’une publication aux éditions Lumen Vitae.

    Un cycle, deux localisations :

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  • Verviers, 8 février : Concert par le King's School de Canterbury

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    La Chorale Madrigalia du King’s School de Canterbury revient à Verviers pour donner un concert gratuit avec la participation des petits chanteurs de la Chorale Sainte-Julienne de Verviers :


     à l’église Sainte-Julienne, avenue Léopold II, à Verviers 

    le vendredi 8 février à 20.00 H.


    par la chorale Madrigalia accompagnée par un petit orchestre de chambre du King's School  (Canterbury)                          

    avec la participation des petits chanteurs de la Chorale Sainte-Julienne


    au programme : 

    des extraits des Passions selon saint Matthieu
    et selon saint Jean de J.S. Bach, 
    des extraits du Messie de G.F. Haendel,
    des motets de Monteverdi, Tallis et Byrd.
  • Turquie : Sainte-Sophie redeviendra-t-elle une mosquée ?

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    Nous lisons sur orthodoxie.com :

    Le Parlement turc examine une demande visant à reconvertir la basilique Sainte-Sophie de Constantinople en mosquée

    C’est avec surprise que l’on a appris que le Parlement turc (la grande Assemblée nationale) a accepté d’examiner la demande de reconvertir la basilique Sainte-Sophie de Constantinople en mosquée. Ladite demande a été soumise par un citoyen turc du nom de Talip Bozkurt, de la ville de Kahramanmaraş en Anatolie, lequel voudrait que Sainte-Sophie redevienne un lieu de prière islamique. Sainte-Sophie a été transformée en mosquée immédiatement après la chute de Constantinople en 1453. Depuis 1935, elle fonctionnait comme musée. La commission parlementaire qui a accepté d’examiner la proposition demandera l'avis de diverses organisations et institutions.

    Cette demande se produit après la décision du gouvernement turc actuel de reconvertir en mosquéel’église Sainte-Sophie de Nicée, (1) qui était jusqu’à maintenant un musée, tandis que l’été dernier était initié le processus visant à reconvertir l’église Sainte-Sophie de Trébizonde en mosquée.

  • Expositions parisiennes : quand la culture véhicule des lieux communs sur Dieu

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    Lucetta Scaraffia, dans l'Osservatore Romano, s'attarde sur deux expositions qui se tiennent actuellement et qui sombrent dans les lieux communs du culturellement correct :

    Lieux communs sur Dieu

    Dans le dernier numéro de la revue française « Esprit », consacré à la question de Dieu dans la philosophie contemporaine, on constate un fait : l’expérience que les contemporains partagent la plus intensément est l’absence presque absolue de Dieu dans le quotidien, une non-existence qui se fait presque sensible dans l’espace public ou privé. Ils sont toutefois un certain nombre à avoir la sensation que cette exclusion appauvrit la pensée. Ainsi Dieu retourne-t-il dans l’espace public de la culture d’une grande ville sécularisée comme Paris. Non plus, toutefois, grâce au crible de la théologie, mais à travers celui des plus modernes sciences humaines. Ce sont l’anthropologie et l’histoire, en effet, les lentilles sous lesquelles est affronté le thème de Dieu dans deux expositions : Dieu(x), Modes d’emploi au Petit Palais et Entrée des médiums. Spiritisme et art de Hugo à Breton à la Maison de Victor Hugo.

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  • Un regard catholique sur la foi chrétienne

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    CHRISTUS, un excellent site que nous vous recommandons : http://christus-web.com/

    "À la suite de l'appel de la première lettre de Pierre invitant le chrétien à rendre compte de l'espérance qui est en lui,Christus, website chrétien catholique, cherche à donner des éléments de réponse aux interrogations que toute personne peut se poser sur la foi chrétienne sans toujours savoir où chercher."

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  • L'idéologie du genre, une nouvelle forme de colonialisme

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    L'alarme pour la diffusion de l'idéologie du genre dans le rapport sur la doctrine sociale de l'Eglise

    C'est la colonisation de la nature humaine (Osservatore Romano)

    Trieste, le 28 janvier.

    « L'idéologie du genre » représente « un nouveau colonialisme de l'Occident sur le reste du monde ». Telle est la donnée alarmante la plus significative présente dans le quatrième rapport de l'Observatoire international cardinal Van Thuân sur la doctrine sociale de l'Eglise, présenté le samedi 26 janvier dans le chef lieu du Frioul par son président, l'archevêque-évêque de Trieste Giampaolo Crepaldi.

    En effet, au cours d'une seule année, 2011 – période à laquelle se réfère l'étude – « est apparu dans toute sa force subversive le phénomène de la "colonisation de la nature humaine" », c'est-à-dire un ensemble d'immenses pressions internationales afin que les gouvernements changent leur législation traditionnelle sur la procréation, sur la famille et sur la vie. Ce sont surtout les pays d'Amérique latine qui sont visés. En particulier, le cas emblématique de l'Argentine est cité, où, comme l'a souligné Mgr Crepaldi, au cours d'une brève période de douze mois, « ce grand pays de tradition chrétienne a eu une loi sur la procréation artificielle qui a dénaturalisé la procréation, une loi sur la reconnaissance de l' "identité du genre" qui a dénaturalisé la famille et une modification du Code civil pour permettre la "location d'utérus" qui a dénaturalisé la parentalité ».

    L'idéologie du genre, souligne-t-on, « s'est diffusée, sans rencontrer de véritable opposition, dans les pays développés et est désormais également enseignée dans les manuels scolaires des écoles publiques sans que cela suscite de grandes contestations ». La donnée nouvelle est qu'« elle est à présent exportée de façon systématique dans les pays émergents et pauvres ». Il s'agit d'« une idéologie subtile et envahissante, qui fait appel aux "droits individuels", dont l'Occident a fait son dogme, et à une prétendue égalité entre personnes asexuées, c'est-à-dire abstraites, pour conduire à une déconstruction de tout l'ordre social ».

  • La novlangue; quand la réalité rejoint la fiction

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    Dans son roman d'anticipation "1984", George Orwell imagina une langue nouvelle créée pour conditionner les esprits par la manipulation du vocabulaire; en voici les principes :

    Le novlangue a été la langue officielle de l’Océania. Il fut inventé pour répondre aux besoins de l’Angsoc, ou socialisme anglais.

    En l’an 1984, le novlangue n’était pas la seule langue en usage, que ce fût oralement ou par écrit. Les articles de fond du Times étaient écrits en novlangue, mais c’était un tour de force qui ne pouvait être réalisé que par des spécialistes. On comptait que le novlangue aurait finalement supplanté l’ancilangue (nous dirions la langue ordinaire) vers l’année 2050.

    Entre-temps, il gagnait régulièrement du terrain. Les membres du Parti avaient de plus en plus tendance à employer des mots et des constructions grammaticales novlangues dans leurs conversations de tous les jours. La version en usage en 1984 et résumée dans les neuvième et dixième éditions du dictionnaire novlangue était une version temporaire qui contenait beaucoup de mots superflus et de formes archaïques qui devaient être supprimés plus tard. (la suite se trouve ICI)

    La réalité d'aujourd'hui a-t-elle rejoint la fiction ? On peut le penser en consultant le "Dictionnaire de novlangue" (suivi de "La Bataille du vocabulaire") que Polemia vient de remettre à jour. Il est accessible : http://www.polemia.com/pdf/Novlangue_mise_a_jour_K.pdf

  • Chantal Delsol à "Noms de dieux"

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    Sur la RTBF : Edmond Blattchen reçoit Chantal Delsol (27 janvier 2013)

    pour voir la video : http://www.rtbf.be/latrois/emission/detail_noms-de-dieux?id=56

    présentation sur le site de la RTBF :

    Née en 1947, Chantal DELSOL est philosophe, historienne des idées politiques, romancière, éditorialiste et Professeur de Philosophie politique à l'Université de Paris-Est (Marne-la-Vallée). Elle est aussi membre de l'Institut (Académie des Sciences morales et politiques). Catholique fervente, elle se définit comme « libérale néoconservatrice ». C'est en ce sens une véritable intellectuelle de droite, profondément anticommuniste et totalement réfractaire à « l'esprit de 68 ». On lui doit de nombreux essais sur ce qu'elle appelle « la modernité tardive » (la postmodernité) : Le Souci contemporain, Eloge de la singularité, et, plus récemment, L'Âge du renoncement (Cerf, 2011). Dans ce dernier ouvrage, Chantal DELSOL constate que nos contemporains, du moins en Occident, délaissent de plus en plus la religion au profit des sagesses, antiques et asiatiques. Pour elle, cette évolution risque d'entraîner un panthéisme diffus et un retour du paganisme. Dans cette perspective, selon Chantal DELSOL, notre conception de l'Homme est sérieusement menacée.

  • Une superstition illicite, prohibée depuis l'an 35

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    Tous les historiens savent que le fondement juridique des persécutions antichrétiennes de la part de l’Empire romain est une déclaration rendant le christianisme illicite. Mais de quand date ce fondement ? Quelle est son origine juridique ?

    Un fragment de l’auteur latin Porphyre (fragment 64 von Harnack) confirme la notice de Tertullien que l’on trouve dans son Apologie (5,2) à propos d’un « sénatus-consulte » décrété au temps de Tibère. Ce décret du Sénat faisait du christianisme une « superstitio illicita », dont les adeptes pourraient être mis à mort en tant que tels. Or, les lois sénatoriales pouvaient se prévaloir d’une portée perpétuelle. Ce décret fonda ainsi la législation antichrétienne et les persécutions à venir, jusqu’à ce qu’en 313, Constantin le supprime et établisse la liberté religieuse.

    A découvrir sur eecho.fr

  • La mort de Jacques Heers

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    Nous lisons sur le blog de l'Histoire :

    Le médiéviste Jacques Heers est mort à Angers le 10 janvier à l’âge de 88 ans.

    Né à Paris, Jacques Heers a été élevé à La Ferté-Bernard dans la Sarthe, où ses parents tenaient un commerce. Après un bon parcours scolaire, il devient instituteur en 1945. Tout en accomplissant sa fonction, il prépare la licence d’histoire à la Sorbonne. Il réussit successivement le Capes puis l’agrégation d’histoire en 1948 et 1949. Entre 1949 et 1951, il devient professeur au Mans, puis à Alençon, et enfin au Prytanée national militaire.

    À partir de 1951, il est rattaché au CNRS. Dès lors, il côtoie Fernand Braudel qui l’envoie en Italie préparer un doctorat d’État consacré à Gênes au XVe siècle. Il soutient sa thèse à la Sorbonne en 1958. À son retour d’Italie, il devient l’assistant de Georges Duby à la faculté des Lettres d’Aix-en-Provence. En 1957, il est nommé professeur à l’Université d’Alger où il exerce pendant cinq ans jusqu’en 1962. Par la suite, il est successivement professeur à Caen, Rouen, Université Paris X et à la Sorbonne.

    Professeur honoraire de l’Université de Paris IV, il avait été vice-président de la SHMESP (Société des Historiens Médiévistes de l’Enseignement Public) de 1971 à 1973.

    Jacques Heers fut un historien indépendant qui ne sacrifia pas au "politiquement et culturellement correct". Ses ouvrages font autorité, par leur rigueur, leur sérieux et leur honnêteté. C'est une référence incontournable pour ceux qu'intéresse l'histoire du Moyen Age et de la Renaissance.

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  • ZENIT.org informe... (24/1)

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    Vietnam: refonte de la Constitution, décryptage de EDA
    Déjà 800 signatures pour une lettre ouverte

    Réseaux sociaux: présentation du Message de Benoît XVI
    "Dans la dynamique de la nouvelle évangélisation"

    Jordanie : plus de 10.000 réfugiés syriens en danger dans le désert
    Secourus par les soeurs comboniennes

    Pologne : le card. Glemp s'est éteint
    Benoît XVI salue "un homme juste dans l'esprit de saint Joseph"

    Réseaux sociaux : Benoît XVI positif mais pas naïf
    Analyse du message du pape par Mgr Celli

    Evangéliser le numérique : authenticité, cohérence, discrétion
    Expertise de Benoît XVI sur les réseaux sociaux

    Benoît XVI rend hommage à un entrepreneur chrétien
    La foi profonde de Giovanni Agnelli

    Emirats Arabes Unis : une loi sur la protection des enfants
    Après la fin tragique d'une petite fille de 8 ans

    Turquie: 15 ans de prison pour l'assassin de Mgr Padovese
    Un geste encore inexpliqué

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