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Culture - Page 377

  • Catherine de Sienne, "maître spirituel"

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    1474894168.jpgEn l’honneur de l’anniversaire, cette année,

    des 550 ans de sa canonisation

    les Amis de Sainte Catherine de Sienne - Belgique - vous invitent

    le lundi 9 mai 2011 à 20H00,

    à une Conférence du Fr . dominicain Eric de Clermont-Tonnerre (Paris)

    Lieu : La Viale Europe
    Chapelle du St-Sacrement,

    (en face de l’ancien UOPC, ch. de Wavre 203, 1050 BRUXELLES - Bus 34, 80, 95, 38 : Idalie - Métro Trône)

    Suivie des

    Vêpres de l’office de Ste Catherine de Sienne composées par A.Gouzes, op.

    Dir. du choeur P. Saussez

  • "Habemus papam", un film qui ne semble pas mériter le détour

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    Le site "Benoît et moi" consacre un petit dossier à ce film dont les commentateurs ne disent pas grand bien :

    "A une semaine de Cannes, où le film est en compétition, les critiques de Francesco Colafemmina (Fides et Forma) et Vittorio Messori (4/5/2011)

    Nous sommes à une semaine du festival de Cannes, la grand'messe du cinéma intello-barbant, qui se déroulera du 11 au 22 mai prochain.
    L'un des films-vedette en compétition est l' "Habemus Papam" de Nanni Moretti, que nous avons déjà évoqué à travers les "critiques" d'Andrea Tornielli (plutôt indulgent. Il semble soulagé de l'avoir trouvé moins méchant que ce qu'il attendait; il parle d'un film à ne pas prendre trop au sérieux), et de Salvatore Izzo, qui n'a pas vu le film, et n'ira pas le voir, estimant que ce n'est pas aux catholiques de lui faire gagner de l'argent... et surtout, que nous, les catholiques, le Pape, nous l'avons!)"

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  • Les huit cents ans de la Cathédrale de Reims

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    image0.gif.jpgLe site "Hérodote" consacre un dossier aux huit cents ans de la Cathédrale de Reims :

    "Il y a 800 ans, le 6 mai 1211, était posée la première pierre de la cathédrale de Reims. 

    Siège des sacres des rois de France, la cathédrale demeure l'un des plus beaux témoins de l'art gothique et de la statuaire médiévale, notamment à travers le fameux «ange au sourire» qui accueille les fidèles au-dessus de l'un des portails.

    À cette occasion, nous vous amenons à Reims, à la découverte d'une ville au riche patrimoine..."

     

    Reims, la «ville des sacres»                  Le sacre et la royauté
  • Quand Marie Noël dit le mystère de Marie

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    Un Ange a parlé tout bas dans la chambre
    Toi seule, ô Marie, entends ce qu'il dit.
    Toi seule dans l'ombre et le Paradis
    Il a semé Dieu tout grand dans tes membres.

    Je ne l'ai pas vu. Mais en s'en allant
    -J'étais sur le pas ému de la porte-
    Il a laissé choir dans mon coeur tremblant
    Un grain murmurant du Verbe qu'il porte.

    Il a fait tomber à la place en moi
    La plus ignorée et la plus profonde
    Un mot où palpite on ne sait quoi
    Un mot dans mon sein pour le mettre au monde.

    Ah!comment un mot sortira-t-il bien
    De moi que voilà qui suis peu savante?
    Mais le Saint Esprit-je suis sa servante-
    S'il veut qu'il me naisse y mettra du sien

    La Vierge Marie est dans son bonheur.
    La Vierge Marie est là qui se noie
    Dans le miel de Dieu. L'épine est en fleur
    Autour du jardin, autour de ma joie..

    Il y a dans toi Vierge, un petit Roi,
    Ton petit enfant, un Dieu! Trois ensemble!
    Et nul ne s'en doute. il y a dans moi
    Un petit oiseau dont le duvet tremble

    Un oiseau secret qui bat étourdi
    Dans le creux où j'ai l'âme la plus douce
    Et déjà j'entends son aile qui pousse...
    Midi! le repas! rien n'est prêt...Midi!

    Joseph va rentrer et ma mère crie...
    Où mets-tu le bois? Je souffle le feu.
    -L'Ange aurait bien pu nous aider un peu....
    Voici l'eau, le pain... Hâtons-nous Marie!

    Poème de Marie Noël

  • Pour en finir avec la liturgie du n'importe quoi...

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    LA FOI AU RISQUE DES LITURGIES  - Nicola BUX
    18,00 €, 2011, Artege, 232 pages

    Présentation de l'éditeur

    Dès le début de son pontificat, Benoit XVI a réaffirmé sa volonté d’œuvrer à une « réforme de la réforme » liturgique. Certains, au sein même de l’Église, accusent depuis le pape de trahir le concile Vatican II et son esprit.

    Fin connaisseur de la liturgie de l’Église et ami de longue date de Benoît XVI, Mgr Nicola Bux conteste cette vision et montre au contraire combien la réforme voulue par Vatican II a pu être détournée et déformée.

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  • Le réalisme moral en politique

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    couv-lp52x200.jpgLiberté Politique publie son numéro de printemps
    (N° 52)
    LE REALISME MORAL EN POLITIQUE : La responsabilité politique des chrétiens s’inscrit aujourd’hui dans un contexte d’enfermement de la conscience morale occidentale. Dans un système qui se fonde sur la privatisation des principes communs, on ne peut plus se contenter de vouloir remonter la pente politique sans s’attaquer aux causes du mal. Une société ne peut tenir longtemps sans principes substantiels sur le vrai et le bien. Ce défi, plus moral que politique, condamne-t-il les chrétiens à la position d’idéalistes minoritaires ? La seule réponse consiste à se soustraire à l’horizon politicien : la vraie victoire des chrétiens, c’est l’enrichissement du débat public par un peu plus de vérité et l’orientation de la politique vers plus de bien et moins de mal.

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  • Drôle de prose sur un site "catholique" français

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    "Lorsque l’Europe des poux de Bruxelles nie ses origines chrétiennes, elle dénonce du même coup les nations qui la composent. Ironie du sort : la Belgique, capitale Bruxelles, création anglaise et maçonnique, est du reste à l’agonie. La même logique antichrétienne qui caractérise ses fabricants concerne les nations. Il s’agit de créer un supermarché quantitatif réglé par la cybernétique ; et donc de nier les forces vives du monde et de l’Esprit."

    C'est écrit par un dénommé Nicolas Bonnal et cela figure sur un site qui s'intitule "les quatre vérités". Nous n'aurons pas la méchanceté d'ironiser sur la France républicaine, fille de 1789 et des idées des Lumières propagées dans les loges maçonniques... Mais il y a des sites affichés catholiques où l'on se rend vite compte que ce sont le nationalisme étroit et une propension à stigmatiser "l'autre" qui prévalent.

  • Les fêtes chrétiennes seront reprises dans le prochain agenda européen

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    Une dépêche Cathobel :

    Les fêtes chrétiennes figureront dans l'agenda édité par l'Union européenne. John Dalli, le Commissaire européen en charge de l'agenda Europa Diary, s'y est engagé en recevant la pétition munie de plus de 54.000 signatures, qui avait été lancée dans toute l'Europe par le parti Chrétien-Démocrate.

    Comme le rappelle l'équipe de la pétition, dans l'agenda 2010-2011, distribué à trois millions d'exemplaires par la Commission européenne, figuraient de nombreuses fêtes religieuses, à l'exception des fêtes chrétiennes.

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  • Le prix Lyssenko attribué à Philippe Meirieu

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    Philippe Meirieu, prix Lyssenko 2011

    Le Prix Lyssenko, un anti-prix

    Le samedi 30 avril 2011, à 15 heures, en l'Espace Léopold Bellan, 64 rue du Rocher, à Paris VIIIe, le Club de l’Horloge remettra à Philippe Meirieu le prix Lyssenko.

    Cette nomination apparaît comme la réparation d’une injustice. Car dès l’origine du Prix Lyssenko en 1990, Philippe Meirieu méritait d’être couronné. C’est en effet ce doctrinaire des pédagogies nouvelles qui a inspiré les méthodes actuellement en vigueur dans l’Education nationale : Philippe Meirieu a mis l’élève au centre de l’école et relayé les savoirs au second plan ; Philippe Meirieu a promu le pédago-ludisme au détriment de l’effort d’apprentissage ; Philippe Meirieu a inspiré les Instituts de formation des maîtres (IUFM), aujourd’hui remplacés mais dont l’esprit demeure ; Philippe Meirieu a contribué à imposer toutes les pédagogies de rupture visant à éloigner les parents de l’éducation de leurs enfants ; le tout avec un vocabulaire pédant visant à sacraliser le pédagogiquement correct.

    Voir la suite sur POLEMIA

    A lire également : Les fondements idéologiques du « pédagogisme », par Henri Nivesse

  • "L'Agence", un nouveau film inspiré de l'univers de Philippe K. Dick

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    images.jpgSous le titre "Damon contre le Démon" - "L'Agence, un film augustinien mais sans la grâce", Isabelle Marchandier publie cette critique sur Causeur.fr

    "Qui tire les ficelles du monde ? Les agences de notation ? Les as du storytelling politique ? Les wikileaks et autres big brothers numérisés ? Pas du tout. Vous n’y êtes pas. Qui donc alors ? Pour le savoir, vous n’avez qu’à courir aussi vite que Matt Damon, attention vous êtes prévenu, le gars a du souffle et l’entraînement de Jason Bourne derrière. Alors pour le suivre, n’oubliez pas de vous munir d’un chapeau melon. C’est très utile pour ouvrir les portes à New York et passer du MOMA au stade de baseball des Yankees. Non, sérieusement, vous n’êtes pas dans le monde de Lewis Carroll, et vous ne suivez pas le lapin d’Alice. Vous rentrez dans le premier film de Georges Nolfi, L’Agence qui, après Blade runner de Ridley Scott etMinority report de Spielberg, est le nouveau film inspiré de l’univers de Philippe K. Dick..." lire la suite ICI

  • Plus moderne que la modernité

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    La Tradition est plus moderne que la modernité

    Didoc.be nous propose cette réflexion de Fabrice Hadjadj


    On oppose souvent conservatisme et progressisme, tradition et modernité. Fabrice Hadjadj nous explique qu’on ne peut être vraiment « moderne » qu’en accueillant la tradition.

        "La modernité de l’époque de Péguy avait encore des ambitions humanistes. Or tout cela est fini. Le siècle passé entre le temps de Péguy et notre temps a posé les conditions d’une complète sortie de l’humanisme. Le fait nouveau, c’est notre conscience de la finitude non plus individuelle, mais collective de l’espèce humaine. Le XXe siècle avec Kolyma, Auschwitz et Hiroshima (j’emploie des noms propres parce qu’ici les noms communs sont insuffisants à désigner ces événements), le XXe siècle fut à la fois le temps de l’apothéose puis de la mort des idéologies du progrès. Pourquoi cela ? Parce que le progressisme fut au pouvoir, et, au lieu de faire une société plus juste, il produisit le totalitarisme. Dès lors, comme dit Rimbaud dans Une saison en enfer : « Pourquoi un monde moderne, si de pareils poisons s’inventent ! ». Si vous mettez par-dessus ces catastrophes le darwinisme qui nous explique que l’humanité n’est qu’un bricolage dû au hasard et à la concurrence, il devient difficile de croire en l’avenir, à l’histoire et à la postérité." découvrir la suite ICI

     

  • Il vaut mieux qu'un seul homme meure...

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    René Girard et la théorie du bouc émissaire

    Philippe Chevallier (dans L'Express, publié le 02/02/2011) se penche sur la théorie du bouc émissaire développée par René Girard, philosophe encore trop méconnu et dont l'approche anthropologique jette une grande clarté sur le mystère de la Rédemption.

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