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Culture - Page 381

  • Le "Parvis des Gentils" inauguré aujourd'hui

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    arton1051.gif"Faire dialoguer croyants et athés en terrain neutre. C’est la volonté de Benoît XVI. À l’occasion de ses vœux adressés à la curie, le pape affirmait en 2009 : « Je pense qu’aujourd’hui l’Église devrait aussi ouvrir un espèce de “Parvis des Gentils” où les hommes puissent en quelque sorte s’accrocher à Dieu, sans le connaître et avant d’avoir trouvé l’accès à son mystère, au service duquel est la vie interne de l’Église. » Conformément à ce souhait et sous l’égide du Conseil pontifical pour la culture ce « lieu de rencontres » sera inauguré le jeudi 24 mars sous forme d’événement à Paris.
    Trois sites hautement symboliques sont concernés: la Sorbonne, l'Unesco et l'Académie française où auront lieu des débats. Le pape s’adressera aux fidèles par message vidéo diffusé lors d’une veillée sur le parvis de Notre Dame de Paris le vendredi 25 mars au soir"

    source : Radio Vatican

  • Pour une Europe selon saint Benoît

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    De Rome (22 mars), l’agence Zenit rapporte cette déclaration du nouveau préfet de la Congrégation du Clergé :

    Si l'Europe ne retrouve pas son identité chrétienne, elle risque de ne plus exister. C'est le dur constat posé par le cardinal Mauro Piacenza, préfet de la Congrégation pour le clergé, dans l'homélie de la messe qu'il a célébrée, le 21 mars dernier à l'abbaye du Mont Cassin, en l'honneur de saint Benoît, patron de l'Europe. Le texte de son homélie a été publié par L'Osservatore Romano.

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  • 1917, l'année des occasions perdues

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    1917 L’année des occasions perdues
    F.G. Dreyfus - Editions De Fallois - 415 pages 24€

    "Un livre à lire absolument. Le professeur François-Georges Dreyfus nous propose dans son dernier ouvrage une étude de référence sur « 1917, l’année des occasions perdues ».

    Cette année fut un tournant décisif dans l’histoire de l’Europe en guerre, car deux événements vont tout bousculer : les révolutions Russes et l’entrée en guerre des Etats-Unis. Le professeur Dreyfus analyse cette guerre maintenue coûte que coûte et les conséquences engendrées."

    (suite de la présentation de ce livre ICI)

     

  • Jane Russell, des studios de cinéma au combat pour la vie

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    Il y a une quinzaine de jours, on annonçait le décès, à 89 ans, de l'actrice américaine Jane Russel, "brune incandescente qui donna la réplique à Marilyn Monroe dans "Les hommes préfèrent les blondes". Les médias y ont fait largement écho en se gardant bien, la plupart du temps, de faire écho à son combat contre l'avortement.

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  • Jacques Attali : "La France n'est pas spécialement chrétienne"

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    images.jpgRéagissant aux propos du chef de l'Etat français au Puy-en-Velay qui avait fait référence aux racines chrétiennes de la France, Jacques Attali a prononcé cette phrase étonnante : "la France n'est pas spécialement chrétienne".

    Ne s'agit-il pas d'une forme de révisionnisme? Mais aujourd'hui, on peut tout affirmer tant l'ignorance de l'histoire est grande. On le voit bien dans notre pays où, faute d'une formation historique digne de ce nom, le sentiment d'appartenance à une communauté belge a été complètement "déprogrammé" et débouche sur la quasi disparition d'un vouloir vivre ensemble...

    Revenons à Jacques Attali qui s'est attiré les foudres de Jacques de Guillebon sur "le Causeur"

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  • Quand Jan Fabre réclame des héros...

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    Nous aussi, nous sommes en quête de saints et de héros, en cette époque de grande médiocrité. Mais quand Jan Fabre recherche ses héros, cela donne ceci :

    "...Sur la scène, avant le lever du rideau, un acteur quasi nu est ligoté sur une chaise. Lorsque le rideau se lève, on voit l’acteur Kurt Vandendriessche, crucifié par des cordes, en plein ciel devant des images fortes de soleil rouge, de lune noire ou de mer bleue. Il ne bougera pas de cette situation inconfortable tout le temps du spectacle (1h40). Devant lui, et en parallèle, avec les textes tirés d’Eschyle, c’est le grand tohu-bohu fabrien : mélange de beauté, de désordre et de provocation. Jan Fabre assume sa volonté de provoquer comme moyen d’impliquer le spectateur. Le feu jaillit partout, y compris par la masturbation. Les officiants avec des chapeaux de doctorants représentent les religions (l’opium du peuple) ou le savoir qui assèche l’esprit de révolte contre la tragédie de la vie. Ils passent leur temps à éteindre les feux (y compris les "dangereux" feux sexuels) avec des seaux remplis de sable ou des extincteurs grands comme des personnes. Mais ils agissent en vain car, sans cesse, les individus cherchent des occasions de mettre leur âme ou leur corps en feu."

    Guy Duplat, dans laLibre, à propos de la création de ce spectacle intitulé "Prometheus Landscape II" (Février 2011)

  • L'Italie a 150 ans; le pape adresse un message au Président Napolitano

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    drapeau-italien.gif.pngVoici la synthèse de ce message telle qu'elle a été mise en ligne par  - E. S. M.

    Aujourd'hui a été rendu public le message de Benoît XVI au Président italien, à l'occasion du 150e anniversaire de l'unité du pays. Remis par le Cardinal Secrétaire d'Etat au Président Napolitano, il souligne la contribution du christianisme "à la constitution de l'identité italienne grâce à l'action de l'Eglise, de ses institutions éducatives et assistancielles, de son influence sur le comportement des personnes et les principes institutionnels, sur les relations sociales et la créativité artistique.

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  • Paris : 24-25 mars : "Parvis des Gentils"

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    Le Conseil pontifical de la culture organise, avec l’Institut catholique de Paris, le lancement d’une nouvelle structure de dialogue entre croyants et non croyants, appelée le Parvis des Gentils. Celle-ci, sur une suggestion du pape Benoît XVI, est destinée à construire un espace de dialogue « avec ceux pour qui la religion est une chose étrangère, pour qui Dieu est inconnu, et qui, cependant, ne voudraient pas rester simplement sans Dieu, mais l’approcher au moins comme Inconnu ».

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  • Italie : « Le crucifix dans les lieux publics ne lèse pas la laïcité de l’Etat »

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    Nous reprenons telle quelle cette dépêche de Zenit.
    Une sentence de la Cour de Cassation italienne sur L’Osservatore Romano

    ROME, Mardi 15 mars 2011 (ZENIT.org) - « Le crucifix dans les lieux publics ne lèse pas la laïcité de l'Eat » : cette sentence de la Cour de Cassation italienne est saluée par L'Osservatore Romano en italien du 16 mars, veille de l'anniversaire des 150 ans de l'unité italienne.

    « Le crucifix est l'unique symbole religieux admis dans les salles des tribunaux italiens et il ne lèse pas la laïcité de l'Etat. C'est ce qu'a répété la Cour de Cassation dans la sentence qui confirme la radiation de l'ordre judiciaire du juge de paix du tribunal de Camerino, Luigi Tosti, qui avait refusé de tenir une audience dans des salles où un crucifix était exposé. Selon la Cour suprême, pour exposer dans les bâtiments publics d'autres symboles religieux, il faudrait « un choix discrétionnel du législateur, qui, en ce moment, ne subsiste pas ». De la Cassation arrive donc un avis favorable au verdict disciplinaire émis par le Conseil supérieur de la magistrature qui, le 25 mai dernier, avait destitué le juge », explique L'Osservatore Romano.

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  • Le "Parvis des gentils"

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    « Le Parvis des Gentils », initiative du Conseil pontifical de la culture
    Benoît XVI pose la « question de Dieu » aux nations

    ROME, Lundi 14 mars 2011 (ZENIT.org) - « Le Parvis des Gentils », sera le thème de deux jours de dialogue à Paris, à l'UNESCO les 24 et 25 mars prochains, à l'initiative du Conseil pontifical de la culture : Benoît XVI pose la « question de Dieu » aux nations.

    L'événement sera présenté au Vatican vendredi prochain 18 mars par le président du dicastère romain, le cardinal Gianfranco Ravasi, et par le directeur exécutif du « Parvis des Gentils », le P. Laurent Mazas, de la Communauté Saint-Jean.

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  • Tout un symbole !

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    Un lecteur attentif nous communique cette réflexion :

    « "Trait d'union" est le bulletin de liaison des membres du RWF. C'est aussi le nom de la feuille paroissiale distribuée en toutes-boîtes. J'y lis que les confirmands de cette année ont dû choisir un objet symbolique pour illustrer leur foi catholique. On cite : un paquet de chips, une marmite, une poupée russe... (...)

    Quand les symboles chrétiens ne suffisent plus ou ne sont plus compris, la porte est grande ouverte à l'imagination et à la subjectivité. Et tout ceci en présence de l'évêque, garant supposé de la foi héritée du Messie et des apôtres... Quand une religion en arrive à ce stade du blasphème tranquille, on peut affirmer que l'apostasie collective est en bonne voie."

    Il suffit de regarder les campagnes de publicité organisées ces dernières années par l’évêché de Liège pour promouvoir (avec le succès que l’on sait) les vocations sacerdotales diocésaines : là, il s’agit d’un sachet de frites.

    Lorsque le niveau du symbole tombe aussi bas, il n’y a plus rien à dire. Faut-il rappeler que le mot "symbole" dérive des termes grecs "sun" (avec) et "bollein" (jeter) signifiant « mettre ensemble, joindre, comparer » ?

    Le Credo est éminemment un Symbole. Il réunit, il met ensemble les Chrétiens, il emboîte les tessons de leur foi en un signe supérieur indubitable de reconnaissance.

    Qu’une feuille paroissiale s’intitule « trait d’union » pourrait donner le sens de ce mot mais lorsqu’elle l’illustre par des images aussi médiocres, il est douteux qu’elle relie encore quoi que ce soit. A fortiori s’agissant de religion (re-ligare en latin, relier) qui a pour objet d’exprimer un lien indicible.

    Mais au regard de la religion sécularisée, les catégories classiques n’ont plus aucun sens.

  • "Une apocalypse molle et médiocre"

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    "Nous sommes dans une apocalypse molle et médiocre, une apocalypse moribonde et sans grandeur. Il ne nous reste qu’à vieillir, à compter nos sous et notre immobilier, et à espérer ne pas être euthanasiés tout en désirant rester le plus jeune possible le plus longtemps possible. En réalité, depuis que je suis adolescent, je n’ai vu qu’empirer l’Europe ou l’occident en général, mais dans une douce et grasse atmosphère, celle que justement déjà dénoncent Poe, Tocqueville, Flaubert et les grands écrivains russes et chrétiens du XIXème siècle. Bloy attendait les cosaques et le Saint-Esprit, nous aurons eu les oligarques et le feint-esprit."

    extrait d'une interview à découvrir ICI