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Sexualité - Page 79

  • A propos des gay pride

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    Lu avec intérêt sur "le soupirail et les vitraux" :

    La Fabrique des homophobes

    Petite leçon LGBTQ à travers la Gay Pride de Lyon

    Au-delà de ce que j’ai ressenti comme une fête industrielle, débordante d’une joie factice, banale et triste, aux rythmes saturés, je crois discerner dans le phénomène de la Gay Pride un fait politique décisif. La mise en valeur de "fiertés" particulières dues à certaines pratiques sexuelles juxtaposées à la lutte proclamée contre les "phobies" correspondantes, elle-même mêlée à des réclamations de "droits" particuliers (en l’occurrence la PMA pour les couples de lesbiennes), tel est le principe étrange – et pour le moins paradoxal – de cette manifestation. Et c’est justement cet amalgame douteux qui est à mon sens le facteur le plus générateur d’"homophobie"…

    Fier d’être normal ou d’être marginal ?

    Chaque Gay Pride repose sur une contradiction fondamentale. Il s’agit de donner une visibilité à l’homosexualité, à la culture qu’elle est censée produire, mais surtout de faire de la pub au business gay-friendly qui ne manque jamais de déployer son "arsenal commercial" (Jean-Sébastien Thirard, ancien président de l’association Lesbian & Gay Pride Paris). Cette entreprise de "visibilisation" apparaît traversée par deux tensions contraires : la prétention à la normalité et l’affirmation d’une singularité. Proclamer une "fierté", c'est nécessairement poser un acte clivant, car qui dit fierté" dit "appartenance", c’est-à-dire distinction, voire exclusion, ce qui tendrait à légitimer les sentiments de "honte", "jalousie", "regret", consécutifs à la non-appartenance.

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  • Mariage gay : le cardinal Ruini tacle la Cour Suprême des Etats-unis

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    Le cardinal Camillo Ruini a été interviewé par Il Foglio (via Chiesa espresso (S. Magister). Le cardinal a été secrétaire puis président de la conférence des évêques d’Italie et pendant dix-sept ans vicaire du diocèse de Rome, d’abord sous le pontificat de Jean-Paul II puis sous celui de Benoît XVI. : 

    MARIEZ-VOUS COMME LE VEUT LA NATURE

    “L’égalité comprise comme étant la négation de toute différence est quelque chose qui va contre la réalité”, a affirmé au "Foglio" le cardinal Camillo Ruini, commentant la décision par laquelle la cour suprême des États-Unis a déclaré inconstitutionnelle une partie du "Defense of Marriage Act", la loi qui définissait le mariage comme étant exclusivement l’union d’un homme et d’une femme sous la juridiction fédérale.

    “Nous nous faisons des illusions si nous croyons pouvoir annuler la nature par une décision individuelle ou collective”, ajoute encore celui qui fut vicaire de Rome et président de la conférence des évêques d’Italie.

    Q. – La décision prise par la cour suprême semble confirmer que nous sommes confrontés à une avalanche impossible à arrêter qui va surmonter toute exception à propos de l’égalité entre mariage hétérosexuel et mariage homosexuel. Est-ce là le terrain sur lequel s’organisera le débat relatif au développement de la civilisation au XXIe siècle ?

    R. – Je pense vraiment que oui. Bien évidemment, la question des mariages homosexuels s’insère dans le problème plus vaste de la conception que nous avons de l’homme, c’est-à-dire de ce qu’est la personne humaine et de la manière dont elle doit être traitée.

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  • La propagande homosexuelle hors-la-loi en Russie

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    Lu ICI :

    Russie. Le parlement vote la loi contre la « propagande » homosexuelle

    La chambre haute du parlement russe a approuvé mercredi une loi controversée punissant tout acte de « propagande » homosexuelle devant mineur, dénoncée comme discriminatoire par les défenseurs des droits de l’Homme.

    Le texte, déjà approuvé par la Douma (chambre basse), a été voté par 137 voix au Conseil de la Fédération, et une abstention. Il prévoit des amendes pour les personnes qui feraient de la « propagande » homosexuelle.

    Les deux chambres du parlement russe ont également adopté une loi interdisant l’adoption d’enfants russes par des couples homosexuels ou des célibataires dans les pays ayant légalisé les unions entre personnes de même sexe, dont la France.

    « Protéger les enfants »

    Ces deux lois doivent désormais être promulguées par le président Vladimir Poutine. « Il ne s’agit pas d’introduire des sanctions pour l’homosexualité […], mais de protéger les enfants », a déclaré mardi le chef de l’Etat, depuis la Finlande, où il est en déplacement.

    (...) Selon un sondage de l’institut Vtsiom publié en juin, 88 % des Russes soutiennent l’interdiction de la « propagande » homosexuelle. Par ailleurs, 54 % des Russes pensent qu’il faut punir l’homosexualité.

  • Ne dites plus "il" ou "elle"; dites "hen"

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    Substituer un pronom "neutre" aux pronoms "il" ou "elle" qui nous enferment dans une stupide identité sexuelle, voilà la solution! C'est ce qui est préconisé en Suède, ce pays qui nous précède dans les allées d'un avenir prometteur.. A découvrir, dans Slate.fr :

    Hen: le nouveau pronom neutre qui fait polémique en Suède

    La Suède tente de se débarrasser de ses «il» et «elle» en les remplaçant par le pronom neutre «hen». À tort ou à raison?

    Pour la plupart des gens, la Suède est un paradis pour femmes libérées. On y trouve le taux d'emploi féminin le plus important au monde et environ 2/3 des diplômes sont obtenus par des femmes. Le congé parental y dure en moyenne 480 jours, dont 60 exclusivement réservés aux papas, ce qui fait que, pour certains, ce pays a ouvert la voie à un nouveau type de masculinité nourricière. En 2010, le Forum économique mondial avait désigné la Suède comme le pays le plus sexuellement égalitaire du monde.

    Mais pour de nombreux Suédois, l'égalité des sexes ne suffit pas. Beaucoup font pression pour que la nation nordique ne soit plus simplement sexuellement égalitaire, mais devienne sexuellement neutre.

    Selon cette idée, le gouvernement et la société ne devraient plus tolérer la moindre distinction entre les sexes. Plus spécifiquement, la société devrait prendre davantage en considération les individus pour qui l'identité ne relève ni du masculin ni du féminin, y compris en autorisant n'importe quel type de couple à se marier.

    Mais c'est là le côté le moins radical du projet. Pour de nombreux militants de la neutralité sexuelle, la société devrait viser à effacer totalement les stéréotypes et les rôles sexuels traditionnels, y compris aux niveaux les plus terre-à-terre.

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    Lire aussi (J. Smits) : Interdire les toilettes à un garçon que ses parents croient fille? discrimination!

  • SIDA : les Mutualités Chrétiennes persistent et signent

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    Les Mutualités Chrétiennes persistent et signent. Pour parler des maladies sexuellement transmissibles, elles continuent à relayer tels quels les slogans de Info Sida, du type : « Le sexe, c’est où, avec qui, comme vous voulez. Mais toujours protégés ». Or, avec ce genre de slogan, on propage de plus en plus les maladies sexuellement transmissibles, ce que prouvent les statistiques en Belgique.

    Voir : http://www.enmarche.be/Actualite/Echos_actualite/2013/Echos1499.htm#t2

    Il est donc renversant qu'une Mutualité (se prétendant chrétienne en plus) se fasse le simple porte-voix de slogans qui ont comme seul résultat la propagation de maladies graves depuis des années. La sexualité est une trop belle chose que pour la confier aux seuls idéologues du sexe « où, avec qui et comme vous voulez ».

    Nous avions déjà évoqué cela ICI

  • Mgr Léonard pour les unions civiles homosexuelles ? Intox

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    Sur son blog, Jeanne Smits confirme ce que nous avions déjà dit sous le « post » : La prudente imprudence du Cardinal Danneels .

    Extrait de la note de Jeanne Smits :

    "Le blog de Sandro Magister évoquait ce matin le cas des quelque six prélats (comme le cardinal émérite Danneels, le cardinal Schönnborn et le cardinal Ruben Salazar de Bogota) qui ont, de diverses manières, approuvé les unions civiles pour les homosexuels.

    Ces prélats, dans la mesure où ils adhèrent vraiment à cette reconnaissance légale des unions homosexuelles, seraient alors en contradiction totale avec le point de vue de l’Eglise sur l’activité homosexuelle, qui est objectivement un péché grave et qui n’ouvre aucun droit civil en tant que telle.

    Le plus apparemment emblématique, parce que réputé plutôt conservateur, des prélats cités est Mgr André-Joseph Léonard de Bruxelles. En précisant tout de même que le porte-parole de celui-ci avait démenti les propos attribués à cet évêque par un quotidien belge. (…) Jeroen Moens a fait une mise au point le 5 juin dernier auprès de LifeSite en assurant qu’il avait bien affirmé que Mgr Léonard « n’est pas homophobe ». « Il n’a aucun problème par rapport aux homosexuels et il n’est pas opposé à un engagement légal », a-t-il précisé à propos de l’évêque, ajoutant que cela n’impliquait pas d’approbation par rapport au comportement homosexuel ni par rapport à  la loi belge sur le « mariage » des homosexuels, de quelque manière que ce soit.

    L’argumentation de l’évêque telle que rapportée par son porte-parole est intéressante : c’est celle qui aurait pu et dû être mise en avant contre le mariage gay et l’union civile fondée sur un pseudo droit né de l’activité sexuelle (alors que naguère c’est le mariage et lui seul qui ouvrait droit à l’union conjugale).

    « Il n’y a rien à redire par rapport aux arrangements civils entre deux personnes en ce qui concerne leur propriété » : « Il est tout à fait permis d’avoir un accord entre n’importe quelles deux personnes. Il ne s’agit ni d’une union civile ni d’un mariage. Tout le monde est libre de trouver un accord quelconque à propos de sa propriété », a précisé Jeroen Moens, en insistant sur le fait qu’il peut s’agir là d’un « engagement entre n’importe quel type de personnes ; ce n’est pas une “relation” et ce n’est pas le mariage. Une tante peut faire un arrangement avec sa nièce, un prêtre peut le faire avec une personne de confiance » en vue de disposer de leur propriété personnelle et d’en organiser l’usage.

    De fait, si les contrats civils n’ont pas de connotation sexuelle et se bornent à rendre possible une transmission d’héritage plus sûre et moins onéreuse, par exemple pour une personne n’ayant ni descendance ni famille, en vue d’assurer l’avenir d’une personne proche avec qui elle aurait partagé des aspects matériels de la vie, il n’y a là aucun problème moral. Le contrat n’est pas signe d’une union et il s’agirait plutôt de rendre possible une solidarité humaine dans un monde éclaté (…)"

    Tout l’article ici : Mgr Léonard pour l’union civile ? Mise au point

    Et c’est très exactement ce que nous avions entendu de la bouche  même de l’actuel archevêque-primat  répondant à une question qui lui fut posée lors d’une conférence donnée à l’Université de Liège le 24 avril dernier,  et dont nous possédons d’ailleurs l’enregistrement. Aucun rapport avec les propos étranges de son prédécesseur, décidément bien bavard depuis l’élection du nouveau pape

     

  • Unions homosexuelles : les silences du pape François

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    Le site « Chiesa » de Sandro Magister nous remet en mémoire ce 10 juin 2013 la position de l’Eglise définie en son temps par les cardinaux Ratzinger (SC pour la doctrine de la foi) et Amato (SC pour la cause des saints) et approuvée  par Jean-Paul II  le 28 mars 2003. Elle fut rendue publique le 3 juin de la même année :

     "L’Église enseigne que le respect pour les personnes homosexuelles ne peut en aucune façon conduire à l'approbation du comportement homosexuel ou à la reconnaissance juridique des unions homosexuelles".

    En effet :

    "Le bien commun exige que les lois reconnaissent, favorisent et protègent l'union matrimoniale comme base de la famille, cellule primordiale de la société".

    Donc :

    "Reconnaître légalement les unions homosexuelles ou les assimiler au mariage signifierait non seulement approuver un comportement déviant et par conséquent en faire un modèle dans la société actuelle, mais aussi masquer des valeurs fondamentales qui appartiennent au patrimoine commun de l'humanité".

    C’est pourquoi :

    "L'Église ne peut pas ne pas défendre de telles valeurs, pour le bien des hommes et de toute la société".

    Ces phrases figurent dans la conclusion du document “Considérations à propos des projets de reconnaissance juridique des unions entre personnes homosexuelles” publié par la congrégation pour la doctrine de la foi (CDF) et facilement consultable sur le site internet de ce dicastère :

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  • La prudente imprudence du Cardinal Danneels

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    À la suite des déclarations du Cardinal Danneels dans la presse concernant le mariage gay, nos amis du « Forum Laïc Catholique Romain (FLCR) » viennent de publier la déclaration suivante :

    « L’historien d’Eglise Jürgen Mettepenningen attribue à notre ex-archevêque une « fermeté tranquille ». C’est tout à fait son  droit, comme c’est le droit de fidèles plus critiques d’assimiler les déclarations nébuleuses qui ont toujours caractérisé notre ancien primat plutôt à de la « désinvolture permissive ».

    La veille de son 80ème anniversaire, le Cardinal fut interviewé par le journal De Tijd et son équivalent wallon « L’Echo ». Ses déclarations furent reprises dans divers autres journaux, qui en ont fait leurs choux gras. Même notre pape actuel et Mgr. Léonard y furent tirés par les cheveux pour soutenir ses affirmations. Nous citons ici quelques passages très remarquables, plus spécialement sur le mariage homo, attribués par notre presse à Mgr. Danneels (et indirectement à Mgr. Léonard).

    -         BELGA, 01-06-2013: Dans une interview avec De Tijd et L’Echo, le cardinal Godfried Danneels prend ouvertement le parti du mariage homo.

    Citation: “Je trouve que c’est une évolution positive que des états soient libres d’ouvrir le mariage civil aux homos si ils le veulent.”

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  • Belgique : la Cour de Cassation donne raison à l’Eglise

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    Le mardi 14 mai, la cour de cassation se penchait sur le dossier des perquisitions menées en 2010 à l’archevêché de Malines et au domicile privé du cardinal Danneels dans le cadre de l’Opération « Calice », à la recherche de preuves de couverture d’actes de pédophilie cléricale par la hiérarchie ecclésiastique belge.  La cour a rendu son jugement ce 28 mai, établissant que les perquisitions étaient bien irrégulières.  

    C’est ce que nous lisons sur le site infocatho.be :

    « A la suite du jugement rendu ce jour:, l’avocat du cardinal Danneels, Me Fernand Keuleneer, a réagi par communiqué de presse. « La Cour de cassation confirme ce jour l’arrêt de la Cour d’appel de Bruxelles, daté du 18 décembre 2012. Cet arrêt stipulait que les perquisitions du 24 juin 2010 (“opération calice”) dans les bureaux de l’Archevêché de Malines-Bruxelles et chez le cardinal Danneels, portaient atteinte au droit des concernés à un procès équitable, et ceci de façon irréparable ».  Me Fernand Keuleneer, poursuit : « Comme nous l’avons avancé dès le début, la Cour considère elle aussi que le juge d’instruction est allé à la pêche (‘fishing expedition’).  Notamment, il a intentionnellement  tenté, en saisissant de manière arbitraire un nombre invraisemblable de documents, de rassembler des preuves à propos de délits supposés sans avoir aucun indice de leur existence, tout ceci en transgressant la loi.  Les  documents illégalement saisis doivent dès lors être écartés du dossier.  L’Archevêché et le cardinal Danneels se déclarent satisfaits de cet arrêt, qui met un point aux discussions à propos des perquisitions de juin 2010.  Ils continueront, tout comme par le passé, à coopérer à une instruction judiciaire correctement menée ».

    Retrouvez ici l’article qui revenait sur cette « saga » judicaire belge.

    Cette affaire spectaculaire fit grand bruit à l’époque. Aujourd’hui, quelques lignes discrètes dans la presse. Ainsi va le monde des médias.

  • La « Vie » et « Radio-Vatican » : à qui la palme d’or ?

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    La palme d'or du Festival de Cannes est non seulement exaltée par La Vie mais aussi par la radio qui se dit "la voix du Pape et de l'Eglise". Réflexion de Riccardo Cascioli, pour la Bussola (27/5/2013). Traduction parue sur le site « Benoît et moi » :

    « Festival de Cannes, la palme va au film «La vie d'Adèle », qui le jour de sa projection a fait surtout parler de lui pour la scène longue et détaillée d'amour lesbien entre les deux protagonistes. Je n'ai pas vu le film, mais je n'ai aucun doute sur le fait qu'il est bien fait et bien joué - certains disent que parfois même des films pornos le sont - mais entendre Radio Vatican exalter aussi le contenu du film laisse sans voix. Voici ce qu'a dit le correspondant de Cannes: «Adèle lit Marivaux et s'interroge sur l'amour. Elle ressent le besoin d'un sentiment fort qui habit son corps, mais pas encore l'attraction fatale, l'affinité qui la lie à un autre être humain. En attendant elle essaie - elle met à l'épreuve les autres, et elle-même - peut-être comprend-elle qu'elle peut trouver ce qu'elle cherche dans la sexualité féminine. Puis l'amour vient à travers un regard, un plaisir partagé, un vague désir de vivre l'autre personne en profondeur ».

    En somme, pour Radio Vatican - qui s'auto-définit «la voix du pape et de l'Eglise » - il n'y a absolument aucun problème, rien d'étrange dans le fait qu'une fille s'ouvre à l'amour avec une autre fille: hétérosexuel ou homosexuel, cela ne fait aucune différence, l'important c'est l'amour, l'important c'est d'essayer. Certainement un beau message pour les adolescents: si même la radio du pape se plie à l'idéologie homosexualiste, à quoi devons-nous encore nous attendre?

    Radio Vatican continue, en affirmant que le film est «joué par deux actrices (Léa Seydoux et Adèle Exarchopoulos), mis en scène avec une fluidité qui fait qu'on ne voit pas le temps passer (ndt: le film dure trois heures), plein de scènes inoubliables d'explosion des sentiments »

    Explosion de sentiments? Voici ce qu'explique le journal Repubblica: «Très longues scènes explicites entre les actrices Léa Seydoux et Adèle Excharchopoulous qui s'aiment avec une extrême variété, voracité, fantaisie de positions, quantité d'orgasmes. Moments qui sont "nécessaires pour raconter l'enchantement de leur relation", explique le réalisateur ».

    Ce n'est pas une question de moralisme, mais de jugement: un fruit empoisonné peut être joliment présenté, de la façon la plus attrayante possible, mais il reste un fruit empoisonné. Cela doit être dit clairement, mais désormais, le jugement semble être une denrée rare, même là où l'on s'attendrait à trouver le dernier point d'appui, la dernière résistance à la mentalité du monde. »

    L'article de radio Vatican ici: http://it.radiovaticana.va/ (mais Riccardo Cascioli se réfère à un texte plus détaillé

    Référence: Palmarès de Cannes: dérapage de Radio Vatican

  • Genre : la tragique histoire d'un petit garçon dont on a voulu faire une petite fille

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    Tragique destin du premier cobaye de la théorie du genre (source)

    1966. Suite à une opération chirurgicale ratée, le petit Bruce Reimer, âgé de neuf mois, a le pénis irrémédiablement endommagé.

    Ses parents, ne sachant que faire, finissent par se tourner vers le Pr. John Money qui avait acquis une certaine notoriété grâce à son travail sur les enfants « intersexes » au sein du centre universitaire John Hopkins de Baltimore.

    Le Pr. Money pensait que l’identité sexuelle des enfants, garçon ou fille, était suffisamment plastique, durant les premières années de la vie, pour permettre de réassigner un nouveau genre à un enfant grâce à un suivi médical (pris d’hormone), psychologique (une thérapie) et culturel (rôle de l’environnement et des parents).

    Il finit donc par convaincre les parents du petit Bruce qu’il était tout à fait possible de changer le sexe/genre de leur enfant et que celui-ci serait plus heureux, du fait de son infirmité au pénis, en petite fille.

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  • Liège, 23 mai : Le gender, il ou elle ? par Olivier Bonnewijn

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    Le gender, il ou elle ?  23 mai 2013  
    "Le gender il ou elle ?" - les nouvelles conceptions de l'humain. Par le Chanoine Olivier Bonnewijn, professeur à la faculté jésuite de théologie de Bruxelles (IET).
    Date(s), horaire(s) et lieu(x)
      Le 23/05/2013 à 20:15 
    Où ?: Presbytère St Jacques, Place St Jacques, Liège
    Personne de contact Jeunes de l'Emmanuel de Liège
    Téléphone de contact 04 94 69 36 82
    E-mail de contact jeunes.emmanuel.liege@gmail.com
    Site web (URL) http://www.emmanuel.info/pays/europe/belgique/belgique-jeunes/jeunes-liege/jeunes-de-l-emmanuel-liege

    source : liege.diocese.be