Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Sexualité - Page 75

  • Quand des jeunes MR veulent imposer la distribution de préservatifs dans des collèges

    IMPRIMER

    Lu ICI, un incident qui en dit long à la fois sur la détermination de politiciens à ne pas respecter les prérogatives des directions d'écoles, et sur la pauvreté des arguments que leur opposent des directeurs d'écoles (dites) catholiques :

    BRUXELLES Le président des jeunes MR accuse un directeur d’école de refuser une action de prévention pour des raisons politiques

    À l’occasion de la Journée Mondiale de lutte contre le sida, les jeunes MR de Belgique, en partenariat avec l’association Sida’sos, ont décidé de lancer une grande campagne d’information et de prévention, notamment en distribuant gratuitement des préservatifs.

    Au niveau local, Stéphane Obeid, conseiller communal et président de la section locale des jeunes MR, avait prévu de relayer cette action auprès des élèves de Ganshoren : "On voulait les sensibiliser à cette maladie, sans aucun message politique derrière." Il a donc contacté les deux établissements secondaires de la commune - le Centre scolaire Notre Dame de la Sagesse et le collège Sacré-Cœur - afin d’obtenir leur autorisation.

    Cependant, le directeur du Collège du Sacré-Cœur de Ganshoren, Jean-Marc Zocastello, par ailleurs échevin CDH à Tubize, s’est opposé à cette initiative. "Il m’a répondu que cela ferait double emploi avec l’action du CPMS (Centre psycho-médico-social, NDLR). Alors que je peux certifier que rien n’est fait pour les 5e et 6e secondaires", regrette le conseiller MR, qui a autrefois été élève de l’établissement. "Pour moi, il s’agit d’un refus pour des raisons politiques. Le directeur de cet établissement est affilié au CDH. Et à Ganshoren, ce parti est dans l’opposition", déplore-t-il.

    Des accusations que l’intéressé nie en bloc : "Qu’est ce que j’ai à voir avec la politique de Ganshoren ? Même si le CDH était dans la majorité, ça ne changerait rien du tout à ma décision. Nous sommes tous les jours sollicités pour des actions au sein de notre établissement et nous sommes contraints de faire des choix. J’ai refusé qu’il vienne distribuer des préservatifs devant mon établissement parce que son initiative n’a rien d’innovant. (?!) Et les élèves sont par ailleurs en période d’examen. Ils doivent se concentrer sur leurs études", s’indigne le directeur de l’établissement.

    Jean-Marc Zocastello rappelle encore que des actions pour lutter contre le sida sont menées en interne. Une convention avec le Planning familial de Laeken a notamment été signée. (ce qui n'augure pas grand chose de bon, ndB)

  • Quand l'OMS édicte d'étranges normes d'éducation sexuelle

    IMPRIMER

    Les étranges « normes » d’éducation sexuelle de l’OMS avant l’âge de 4 ans… et ensuite

    source

    La section européenne de l’Organisation mondiale de la santé recommande de dispenser une initiation très particulière à la sexualité dès la plus tendre enfance. Dans un document intitulé Normes pour l’éducation sexuelle en Europe, elle prescrit officiellement l’apprentissage de « la jouissance et du plaisir quand nous touchons notre propre corps »… entre 0 et 4 ans ! Elle appelle cela « la masturbation infantile » : voilà qui est clairement dit !

    A 4 ans, d’après l’OMS, les enfants sont aptes à « exprimer besoins, désirs et limites », par exemple « jouer au docteur » (sic). Entre 4 et 6 ans, ce serait une période idéale pour étudier les « relations du même sexe » et « consolider l’identité de genre », et donc en route pour l’homosexualité… Entre 6 et 9 ans, les enfants doivent pouvoir se tenir prêts pour connaître et défendre les « droits sexuels des garçons et des filles ». En futurs citoyens embrigadés du Meilleur des mondes à la Huxley ? Qui sait ?

    Entre 9 et 12 ans, comme l’OMS est scientifiquement prévoyante, il faut alerter d’avance les enfants du problème des grossesses imprévues, et donc en route pour le « planning » familial, le choix d’un projet de vie, la contraception et l’avortement.

    Dès l’âge de 9 ans, on recommande que les enfants sachent où trouver des produits contraceptifs et où pratiquer une « interruption » plus ou moins volontaire de grossesse, autrement dit un avortement.

    Entre 9 et 15 ans, on conseille aux gouvernements de faire une mise en garde contre un danger : l’adversaire idéologique constitué par la religion chrétienne, obstacle pour la jouissance et le plaisir sexuel…

    A l’âge de 15 ans, grand départ pour les aventures tous azimuts, en particulier homosexualité, bisexualité et autres pratiques diversifiées, sans compter les relations sexuelles tarifées et la pornographie, pour les futurs citoyens de base de l’Europe des loisirs où on aura oublié le chômage, ayant les mains occupées ailleurs et l’esprit dans d’épais et fumeux nuages.

    Et qu’on se rassure ! L’Etat grand gérant des activités ludiques est la « source formelle » et « scientifique » de l’éducation des enfants. Les parents, devenus citoyens de seconde zone d’un grand Tout indifférencié, ne seront plus que des « sources informelles ».

    Et la famille, là-dedans ? Sous les auspices de cet individualisme anticonceptionnel et abortif, il n’en est simplement plus question. D.L.

  • Suisse : l'éducation sexuelle et la "SexBox" font problème

    IMPRIMER

    Suisse : Les cours d’éducation sexuelle et la « SexBox » en question (source : Aleteia - Solène Tadié)

    Cela fait quelques temps déjà que les cours d’éducation sexuelle à l’école publique provoquent d’importants remous chez nos voisins helvétiques.

    Il y a deux ans déjà, la pétition contre « la sexualisation de l’école publique » recueillait près de 92 000 signatures en Suisse alémanique. C’est notamment l’utilisation de pénis en bois et de vagins en peluche qui a été durement mise en cause par de nombreux parents, pédagogues ou simples citoyens. 

    Le fameux Plan d’enseignement 21, devant entrer en vigueur dès 2014 outre-Sarine, s’est attiré les foudres d’une large partie de la population, à commencer per les jeunes UDC lucernois (qui sont du reste à l’origine de la pétition).

    L’initiative conjointe du Office fédéral de la Santé Publique et du Ministère de l’instruction publique vise ainsi à instaurer des cours obligatoires d’éducation sexuelle, et ce dès le jardin d’enfants.  Pour ce faire, une livraison de « kits de formation » très spéciaux devrait être effectuée auprès des  enseignants de l’école maternelle et de primaire : ce n’est rien de moins que des «Basler Sexboxen» («SexBox») qui doivent être distribuées.

    Lire la suite

  • La réalité corporelle de l’homme et de la femme est un facteur essentiel de l’identité

    IMPRIMER

    Lu sur La Libre, dans la rubrique "opinions", cette mise au point très pertinente :

    Quel "genre" de monde se prépare pour nos enfants?

    Une opinion de Jean-Benoit Casterman (éducateur), Bénédicte Gillis (fondatrice du mouvement "Respect Youth Love"), Anne Schaub-Thomas (psychothérapeute) et Jean-Pierre Vandenschrick (ancien directeur d'école secondaire).

    Il y a plus de 60 ans, nos grands-pères se lavaient «en chemise », dans leurs salles de bains pourtant bien fermées à clef. Enfants, nous pouvions voir des femmes très blondes et presque nues étalées sur les grands panneaux publicitaires du chemin de l’école. Depuis peu, les hommes figurent aussi sur les affiches. Ce doit être un effet collatéral de la parité.

    Corps caché, corps revendiqué, notre rapport au corps varie selon les époques. Difficile d’être bien dans sa peau, à l’aise avec ce corps qui nous sert, qui nous encombre parfois, bref qui nous révèle. Aujourd’hui, nombreux sont les adultes qui courent les formations coûteuses pour être « en harmonie avec soi-même ». Le rapport au corps et à l’identité sexuée est devenu trouble et mouvant. « Oublie le corps avec lequel tu es né et comporte-toi selon ce que tu veux être », clament certains. Ils utilisent de façon idéologique le concept de « genre » ou « gender ». Un concept qui a plusieurs sens : les universitaires le définissent comme une construction culturelle de la dimension sexuée, différenciée de sa réalité concrète et biologique.

    Il est indéniable que la dimension sociale de la sexualité existe. Il est important de s’interroger sur les vieux réflexes qui, bêtement parfois, imposent à un homme de planter un clou tandis qu’une femme plantera un géranium. Il est tout aussi essentiel de promouvoir sans relâche la dignité de chacun. La personne humaine ne se réduit pas à un sexe, ni à un comportement.

    Lire la suite sur La Libre

  • Parlement Européen : le retour bien peu démocratique du rapport Estrela

    IMPRIMER

    Europe : le retour bien peu démocratique du rapport Estrela

    de Maria Hildingsson, sur Liberté Politique :

    Renvoyé il y a deux semaines, le rapport Estrela revient à l’ordre du jour du 26 novembre de la Commission des droits de la femme et de l’égalité de genre (FEMM), selon une procédure particulièrement rapide et  ne laissant aucune possibilité aux députés de le débattre, ni de déposer des amendements. Les familles représentées par la Fédération européenne des associations familiales catholiques appellent leurs députés au respect de la procédure démocratique de l’examen du rapport.

    LE 22 OCTOBRE, le Parlement européen renvoyait le rapport de la portugaise Edite Estrela sur « la santé et les droits reproductifs et sexuels » à la Commission des droits de la femme et l’égalité des genres (FEMM). L’événement était inhabituel : il est en effet très rare qu’un rapport initié par le Parlement lui-même soit renvoyé en commission.

    Le nombre d’amendements déposés sur ce texte pour le vote en plénière était également exceptionnel. Très divisés, les députés avaient notamment critiqué le contournement du principe de subsidiarité, en rappelant que la “santé et les droits reproductifs et génésiques” ne concerne pas le mandat de l’UE.

    Or le texte qui sera examiné le 26 novembre ne change pas.

    Lire la suite

  • Est-on homme ou femme à la naissance ou le devient-on ?

    IMPRIMER

    La Libre publiait hier un entretien avec Maria Hildigsson, secrétaire générale de la FAFCE (Fédration des Associations de Familles Catholiques en Europe) :

    Un enfant va toujours naître de l’union des corps de l’homme et de la femme. Donc, le milieu naturel de l’enfant est d’être élevé par son père et par sa mère. Si on prend le raisonnement des partisans de la "théorie du genre", il s’agit de permettre à tous types de relations d’êtres considérées comme une famille.

    - Vous avez participé lundi à une conférence-débat sur le "gender" (genre). Comment, de votre côté, définissez-vous cette théorie très à la mode ? 

    On peut parler de théorie alors que d’autres vont parler d’idéologie. En fait, c’est une construction purement intellectuelle. Ce sont des sociologues américains qui ont commencé à travailler sur ces idées dans les années soixante. Elles se sont ensuite répandues dans des milieux universitaires, notamment en Europe. Mais le concept va faire son entrée politique lors de la conférence mondiale sur les femmes, organisée par l’Onu, qui s’est tenue à Pékin en 1995. Il s’agit alors d’une distinction artificielle entre le sexe biologique et l’identité sexuelle. La notion de genre est liée à des représentations psychiques qui renvoient à des représentations sociales. Et donc, selon moi, il s’agit là d’une intrusion dans l’identité profonde de la personne humaine. Or, on naît dans un corps qui est sexué, homme ou femme. Et le "genre" ne reconnaît pas cette dualité et cette complémentarité. 

    Lire la suite sur La Libre

  • Luxembourg (ville), 22 novembre : conférence sur le gender

    IMPRIMER

    Lu ICI

    22 novembre : conférence sur le gender à Luxembourg

    G

    Adresse : Maison Vatelot 7, rue André Duchscher L-1424 LUXEMBOURG

    L'entrée est libre et le débat sera suivi d'une séance de dédicaces. La Maison Vatelot se situe près de la clinique Zitha à Luxembourg-ville. Un parking gratuit est à disposition et l'accès en bus pourra se faire depuis l'arrêt Place de Paris.

  • La pilule du lendemain ou quand règne l'hypocrisie

    IMPRIMER

    Lu sur le Huffington Post :

    par Thérèse Hargot, sexologue, éducatrice en milieu scolaire :

    Pilule du lendemain: le bal des hypocrites a assez duré!

    Elles sont quatre fois plus nombreuses à la demander qu'il y a dix ans. Le recours à la pilule du lendemain explose chez les ados suscitant l'inquiétude de leurs aînés.

    Après tout, l'acte n'est pas si anodin, pour la santé bien entendu. Avec une dose d'hormones quarante fois supérieure à celle d'une pilule contraceptive régulière, elle n'est pas dépourvue de potentiels effets secondaires. Mais pour rassurer tout le monde, on persiste à le dire: elle n'est pas dangereuse pour la santé. Voilà des propos bien imprudents par les temps qui courent où les dégâts de simples pilules contraceptives sont exposés au grand jour... 

    En ce qui concerne la tentative d'empêcher la grossesse, on les entend se réjouir. Les jeunes filles semblent en effet bien informées sur leurs droits et profitent allègrement de son accès gratuit, sans ordonnance et sans accord parental. Alors si elles en abusent, ayons au moins la décence de ne pas s'en offusquer. Le bal des hypocrites a assez duré!

    L'hypocrisie, c'est d'abord les appellations données pour désigner ce comprimé: "contraception d'urgence", "pilule du lendemain". Elles permettent de dissimuler l'action réelle qui consiste à mettre un terme au cycle en cours dans l'espoir d'empêcher soit l'ovulation, soit la fécondation, soit la nidation.

    En fait, on ne peut pas savoir si le produit a permis d'éviter un début de grossesse ou d'y mettre un terme. Techniquement parlant, ces hormones n'ont pas qu'une action contraceptive (contre la fécondation) mais aussi contragestive (contre la nidation). Par le jeu des mots, on entretient le flou pour tromper les consciences des femmes et banaliser l'intention pour faire passer la pilule en somme. Qu'on ne s'étonne pas alors que de plus en plus de jeunes filles l'utilisent comme moyen de contraception banal et ne cherchent pas à se protéger en amont.

    Lire la suite

  • Sûr le stérilisant Essure ? Ce n'est pas l'avis d'Erin Brockovitch...

    IMPRIMER

    Du blog de Jeanne Smits :

    Erin Brockovich part en guerre contre le stérilisant Essure

    Le ressort Essure

    Essure, des laboratoires Bayer, est cet implant qui s'insère, ni vu ni connu comme je le racontais ici, dans les trompes de Fallope pour obtenir une stérilisation facile, rapide, peu invasive, irréversible et insoupçonnable. Son mode d'action? En irritant la trompe, il provoque la scarification des tissus ce qui au bout d'un délai de trois mois aboutit à leur bloquage. Cela se fait en 10 minutes, de manière beaucoup plus simple que la ligature des trompes, et ne nécessite même pas un arrêt de travail : en une pause déjeuner, c'est plié.

    Oui, mais… Outre les inconvénients moraux, Essure présente aussi des problèmes sur le plan médical. C'est en tout cas l'avis d'Erin Brockovich, la célèbre avocate des consommateurs incarnée au cinéma par Julia Roberts dans son combat contre la Pacific Gas and Electric dans les années 1990. Et elle est partie en guerre contre Essure sur la foi de près de 1.000 plaintes déposées auprès de la Food and Drug Administration visant des effets indésirables de toutes sortes constatés lors de son utilisation aux Etats-Unis : saignements excessifs, organes perforés, douleurs chroniques, nombre d'hystérectomies d'urgence et peut-être une mort pour laquelle une enquête est en cours.

    Lire la suite sur le blog de Jeanne Smits

  • Un rapport européen sur homophobie et discrimination fondée sur l'orientation sexuelle et l'identité de genre divise le Parlement Européen

    IMPRIMER

    Homophobie et discrimination fondée sur l’orientation sexuelle et l’identité de genre : un rapport européen qui divise (Maria Hildingsson sur Liberté Politique)

    A quelques mois des élections européennes, la Commission des libertés civiles, justice et affaires intérieures (LIBE) du Parlement européen prépare un rapport controversé puisqu’il dépasse clairement les compétences de l’UE et piétine ainsi le principe de subsidiarité.

    Le député européen autrichien Ulrike Lunacek, vice-président de l’intergroupe du Parlement européen sur les droits LGBT est le rapporteur d’un rapport proposant “une feuille de route de l’UE contre l’homophobie et la discrimination fondée sur l’orientation sexuelle et l’identité de genre”. Le titre semble familier puisqu’il rappelle le nom d’une étude publiée par le Parlement européen en 2012, rédigée avec la contribution active du lobby LGBT européen ILGA Europe, intitulé “Vers une feuille de route de l’UE pour l’égalité fondée sur l’orientation sexuelle et l’identité de genre”.

    Le projet de rapport récemment publié reste encore à être développé par des amendements. Néanmoins, il est désormais évident que le rapport vise à introduire un agenda sur lequel il n’existe aucune position commune entre les Etats membres de l’UE, à savoir l’agenda promu par le lobby LGBT ainsi qu’un groupement de 150 membres du Parlement européen.

    Le rapport « appelle la Commission européenne, les Etats membres et les agences concernées à travailler conjointement sur une politique pour protéger les droits fondamentaux des personnes LGBT sur une période de cinq à dix ans, c’est-à-dire une feuille de route, une stratégie ou un plan d’action ». Les domaines annoncés comprennent : Dispositions générales dans le domaine de la non-discrimination; Non-discrimination dans les domaines de l’emploi, l’éducation, la santé, les biens et services ; Action spécifique relative aux personnes transgenre et intersexe ; Citoyenneté, familles et liberté de circulation ; Liberté de réunion et expression ; Discours et crimes de haine ; Asile ; Elargissement et action externe.  

    Différence des approches

    Le projet de rapport souligne que “le Parlement européen a demandé par dix fois un instrument politique global de l’Union européenne pour l’égalité fondée sur l’orientation sexuelle et l’identité de genre » (considération I). Cependant, un tel constat est plutôt la preuve de la différence des approches à l’égard de ces réclamations de la part des Etats membres de l’UE, ces derniers étant les acteurs compétents dans la plupart des domaines inclus dans le projet de rapport, notamment en ce qui concerne les questions relatives au droit de la famille.

    On sait par exemple qu'aucun des anciens Etats membres du Pacte de Varsovie ou de l’URSS – désormais des Etats membres de l’UE – n’ont introduit ce type de législation dont le rapport du Parlement européen fait la promotion… Un fait à prendre en considération. 

    Le président de la Fédération européenne des Associations familiales catholiques, Antoine Renard, rappelle que “l’Union européenne fait actuellement face à beaucoup de défis" et que la catégorisation des styles de vie individuels sur lesquels personne n'est d'accord n'est une solution :

    La présentation du projet de rapport à la Commission LIBE est prévue le 5 novembre.

    "La popularité [de l'UE] auprès des citoyens européens n’est pas à son apogée. Faire la promotion d’un agenda basé sur des choix de style de vie individuels et qui divise clairement les Etats membres ne peut être la meilleure solution pour accroître la cohésion sociale au sein de l’UE. Tous les citoyens de l’Union ont le droit de vivre en paix, et la dignité de chaque personne doit être respectée. Toutefois, la tendance à catégoriser les droits de l’homme n’est pas la voie à emprunter : chaque personne, chaque homme et chaque femme, sont bénéficiaires des droits de l’homme et égaux en dignité. Néanmoins nous ne devons pas oublier que ces droits ne sont pas conditionnés par un type de désir sexuel individuel mais par le bien commun. Le mariage est par exemple une institution destinée à fournir du soutien et de la protection pour un homme et une femme qui fondent une famille et élèvent leurs enfants, leur contribution à la société par l’éducation de leurs enfants est protégée par la loi".

    Maria Hildingsson est secrétaire générale de la FAFCE-Fédération européenne des Associations familiales catholiques.

  • Théories du genre : téléchargez le petit manuel de Gènéthique (Fondation Lejeune)

    IMPRIMER

    Bioéthique : Théorie du genre

    fjl-manuel-theorie-du-genreDans la lignée du Manuel Bioéthique des Jeunes, et suite à l’introduction des notions de genre dans les ouvrages scolaires de SVT (Sciences de la Vie et de la Terre) de 1ère, la Fondation Jérôme Lejeune met à disposition Théorie du genre et SVT : décryptage des manuels de 1ère.

    Ce livret d’une quarantaine de pages propose une enquête argumentée et étayée sur le contenu et le sens du fameux chapitre « Devenir femme ou homme » intégré dans les manuels scolaires.

    Il met à disposition des jeunes une analyse visant à faire la part des choses entre ce qui relève de la « science de la vie », légitime dans les ouvrages de SVT, et ce qui relève d’une idéologie.

     Théorie du genre et SVT : décryptage des manuels de 1ère commente également les exercices et commentaires proposés aux élèves, ainsi que les visuels et leur légende.

    Des illustrations du célèbre dessinateur Brunor facilitent la compréhension.

     Pour commander vous pouvez envoyer votre demande (les manuels sont gratuits, mais les frais de port sont à votre charge.  N'hésitez cependant pas à participer en faisant un don) :

    Fondation Jérôme Lejeune - 37 rue des Volontaires - 75725 Paris cedex 15

    Courrier :  flj@fondationlejeune.org

    Téléchargez et imprimez le Bon de commande

    Télécharger le manuel en PDF

     

  • L'affaire Barilla emblématique d'un changement de civilisation

    IMPRIMER

    On ne plaisante pas dans les camps de rééducation LGBT !

    Marie d'Armagnac, journaliste résidant en Italie, analyse, sur Boulevard Voltaire, le "recadrement" de Guido Barilla :

    « Nous ne ferons jamais de spots publicitaires avec des familles gays, nous sommes pour la famille traditionnelle » expliquait benoîtement Guido Barilla, président de la marque éponyme, le 26 septembre dernier, sur les ondes de radio24. Il ne se doutait pas qu’il allait déclencher contre lui une bronca internationale : le jour même, toutes les associations LGBT du monde et d’ailleurs ont appelé sur les réseaux sociaux au boycott de la marque. Cette petite phrase qui relevait sans doute autant d’une conviction personnelle que d’une logique commerciale, a été jugée l’expression de la plus noire homophobie.

    Dès le lendemain, l’indéboulonnable Dario Fo écrivait une lettre ouverte à l’infortuné Guido lui réclamant, de toute son autorité de Prix Nobel, de renouveler sa communication et de devenir le porte parole de l’intégration et de la modernité. Dès le 28 septembre, la machine à repentance est mise en branle. Dans une video largement diffusée, on voit Guido Barilla, les traits tirés, abattu, le regard fuyant, s’excuser à plusieurs reprises « d’avoir heurté la sensibilité de nombreuses personnes dans le monde entier. Les très nombreuses réactions, dans le monde entier, m’ont touché et profondément attristé parce qu’elles m’ont fait comprendre que, sur la question de l’évolution de la famille j’ai beaucoup à apprendre. »

    Lire la suite