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Sexualité - Page 78

  • La vie d'Adèle

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    La Vie d'Adèle, le zèle du désir

    A lire sur le Figaro, LA CHRONIQUE D'ÉRIC NEUHOFF:

    Palme d'or à Cannes, le film d'Abdellatif Kechiche raconte une histoire passionnelle entre deux filles. Les scènes d'amour s'étirent et se répètent.

    Il faudrait vraiment que quelqu'un offre une montre à Abdellatif ­Kechiche. Son film dure trois heures. Tout ça pour raconter quoi? La guerre de Sécession? La révolution russe? Vous n'y êtes pas: juste l'histoire d'amour entre deux filles dans le nord de la France.

    Soupçonnant la fragilité de son sujet, Kechiche l'étire, l'étale, confond ampleur et redondance. L'absence d'un producteur à la Selznick se fait cruellement sentir. Déçue par son expérience avec un garçon, une lycéenne jette son dévolu sur une demoiselle aux cheveux bleus. Ce détail prouve que cette dernière est une artiste. Elle sirote du lait fraise, parle de Sartre. La cadette l'écoute bouche bée. Elles se plaisent, se rapprochent. Leurs corps se découvrent dans des étreintes sonores, ponctuées de bruits d'évier. Elles s'épuisent dans des gymnastiques pas encore homologuées aux Jeux olympiques. Ces séquences n'en finissent pas. Au bout d'un moment, cela ressemble à un combat de catch de Borat. Ça n'était visiblement pas le but recherché.

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  • Quand Barilla plie malencontreusement devant le lobby gay

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    De Frédéric Brebant dans un assez surprenant article paru sur Trends-Tendances :

    Pourquoi Barilla n'aurait pas dû plier devant le lobby gay

    Non, les marques commerciales ne doivent pas nécessairement mettre en scène des couples homos dans leurs publicités. Au cœur de la polémique, Barilla a finalement cédé, au lieu de résister.

    La police de la pensée a encore frappé. Et une grande entreprise, une de plus, est à nouveau rentrée dans le rang. A un point tel qu'il convient aujourd'hui de se demander si une marque ne doit pas être obligatoirement «gay friendly» (traduisez : l'amie affichée des homos) pour continuer à exister sur un marché sans pitié. Et pour avoir «la paix», tout simplement.

    Petit rappel des faits. La semaine dernière, Guido Barilla, président de la célèbre marque de pâtes éponyme, participe à une émission sur une radio italienne. Au détour d'un débat sur l'homosexualité, le patron est invité à répondre à la question suivante : «Feriez-vous une publicité avec un couple gay ? ». Convaincu du positionnement qu'il a toujours donné à sa gamme de produits, Guido Barilla lance «Pas question. J'aime la famille traditionnelle», avant d'ajouter très maladroitement «Si les homosexuels ne sont pas contents, ils peuvent manger des pâtes d'une autre marque !».

    Bien sûr, le propos est déplacé et le président de la marque présentera d'ailleurs, dès le lendemain, ses excuses sur les réseaux sociaux, en ajoutant qu'il a «le plus profond respect pour la sensibilité de tous». Qu'à cela ne tienne, les homos les plus intégristes n'en démordent pas et continuent, encore aujourd'hui, à réclamer le boycott des produits Barilla dans tous les magasins du monde.

    Assumer ses valeurs

    Quel enseignement faut-il tirer de cet acharnement médiatique sur un patron qui a commis une boulette, certes, mais qui aurait pu malgré tout rester campé sur ses convictions stratégiques (et donc publicitaires) tout en affichant, dans le discours théorique, son plus grand respect pour la communauté homosexuelle ?

    «Il est dommage que Barilla n'ait pas conservé ses positions et se soit laissé influencer par les différents lobbies, constate Isabelle Schuiling, professeur de marketing à la Louvain School of Management (UCL). Il est quand même logique qu'une marque, en ligne avec sa stratégie de positionnement, continue à vouloir cibler la famille traditionnelle qui touche plus de 90% de la population. Il n'était pas question pour Guido Barilla de rejeter les gays, mais simplement de ne pas en faire une publicité spécifique. Car il faut tout de même rappeler que la segmentation est la base même du marketing !»

    A contre-courant du discours beaucoup trop «politiquement correct» qui inonde actuellement les réseaux sociaux, les marques en général et Barilla en particulier doivent en effet assumer leurs valeurs et leur identité. Si le positionnement stratégique du fabricant de pâtes (qui repose aussi sur des études de marché aiguisées) veut privilégier la famille traditionnelle «à l'italienne» où la «Mama» tient un rôle essentiel, c'est son droit et elle doit dès lors l'affirmer sans complexe, mais évidemment dans le respect des autres cibles (homos et autres) qui ne sont pas prioritaires à ses yeux.

    Pour cela, il faut un certain courage médiatique. Barilla ne l'a pas eu et ses concurrents ont tiré rapidement profit de la maladresse du président pour occuper le terrain, campagnes réactives à l'appui. Dommage.

  • Les dix clefs pour grandir en couple

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    Dix clés pour grandir en couple

    Sur Didoc.be - Écrit par P. Guembe et C. Goñi le 1 octobre 2013.

    L’amour n’est pas une chose abstraite. Il a peut-être commencé par un cœur gravé sur un tronc d’arbre (une icône est le dessin de l’abstraction), mais il n’est devenu réalité qu’au moment de configurer un projet de vie qui se développe à partir des petits exploits de la vie quotidienne. Ils sont sans doute minuscules, mais décisifs, pour entretenir la flamme de cet amour, né pour exister à jamais.

    La vie de couple fait partie de ces réalités qui, à défaut de grandir, meurent. Il ne suffit pas de repasser de temps en temps avec la pointe du couteau sur ce cœur gravé, bien qu’il faille le faire aussi, mais il faut surtout arroser l’arbre tous les jours, lui donner de l’engrais périodiquement, le tailler de manière saisonnière, et le soigner constamment. 

    Il est essentiel de veiller attentivement au trésor de notre vie, à ne jamais le négliger : il en va ni plus ni moins de notre bonheur et de celui de nos enfants. C’est pourquoi il vaut la peine d’avoir en tête les dix « clés » que nous proposons ici : 

    1. Avoir des objectifs de vie communs. Depuis que nous nous sommes unis, nous avons entrepris un même projet de vie qui ne grandit pas si chacun vit de son côté. La vie de couple n’est pas un jeu de sokatira [N.d.T. : jeu de rue où deux équipes tirent dans des sens opposés sur une même corde] mais bien une barque avec deux rames qu’il faut synchroniser. 
    2. Profiter ensemble de moments privilégiés. Le tourbillon quotidien peut nous éloigner progressivement l’un de l’autre si nous ne profitons pas de certains moments pour être à deux, pour aller au restaurant ou passer quelques jours ensemble exclusivement dédiés l’un à l’autre. 
    3. S’entendre sur l’éducation. Bien que nous ayons reçu des éducations différentes, nous devons savoir comment éduquer nos enfants, travailler de concert et éviter qu’ils nous voient nous disputer à leur propos. 
    4. Gérer les relations avec la famille moléculaire. La famille nucléaire (parents et enfants) est inscrite dans une famille moléculaire (beaux-parents, grands-parents, oncles et tantes, cousins) qui peut être source de conflits si on ne prend pas la distance adéquate, mais qui peut aussi apporter beaucoup de choses positives sur le plan de l’affection et de l’aide mutuelle. 
    5. Toujours se respecter. Il n’y a pas d’amour sans respect. S’il vient à manquer, les étincelles de la jalousie peuvent jaillir, le sens de la justice s’évaporer, l’incompréhension surgir ; même la menace de mauvais traitement peut poindre à l’horizon. 
    6. Veiller aux relations intimes. La santé d’une relation se décide dans l’intimité de l’alcôve qui ne doit jamais accueillir deux étrangers dans la nuit, mais favoriser un dialogue transparent et profond. 
    7. Gérer le temps libre. Beaucoup de problèmes de couple viennent d’une mauvaise gestion du temps libre qui peut être, si pas la cause, du moins l’occasion d’une raréfaction de l’ambiance familiale. 
    8. Admirer l’autre. Par habitude on tend à sous-entendre beaucoup de choses, on peine à prononcer un « je t’aime ! » ou un « comme tu es joli(e) ! », car on trouve cela évident. Mais si l’on regarde avec les yeux, il faut se rappeler qu’on admire avec les mots. 
    9. Partager les tâches domestiques. La répartition équitable du travail est un élément important pour transformer la maison en un foyer où tous collaborent à une tâche commune. 
    10. Communiquer. C’est la clé de toute relation : savoir écouter et parler avec franchise. Pour cela, il faut contribuer à la communication, c’est-à-dire nous efforcer de comprendre et de nous faire comprendre.

    Ne laissons pas ce cœur s’arrêter de battre. 

    Source: http://blogs.aceprensa.com/familiaactual/diez-claves-para-crecer-en-pareja/. Les auteurs de ce blog se consacrent depuis plus de vingt-cinq ans à l’enseignement, ce qui leur a permis de bâtir une grande expérience dans les relations tant avec les parents qu’avec les élèves. Pilar est pédagogue et travaille comme professeur et comme conseil. Carlos est docteur en philosophie et écrivain. A deux, ils écrivent des livres, donnent des conférences et sont consultants dans le domaine éducatif. Ils sont parents de deux enfants. Cet article a été traduit de l’espagnol par Carine Therer.

  • BXL, 18 novembre : Parlez-vous gender ?

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  • Quand l'homosexualité choisit de s'afficher dans les églises

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    Le Vatican a protesté contre la présentation de clichés photographiques montrant des personnes homosexuelles s'embrassant dans des églises. Le Saint-Siège y voit "une offense à la spiritualité du lieu" et a ainsi obtenu que ces photos soient retirées mais elles circulent dans un diaporama largement diffusé par leur auteur, un "artiste" espagnol qui feint de ne pas comprendre la réaction des autorités de l'Eglise. Ce n'est évidemment pas un hasard si le photographe a choisi à chaque fois de faire poser ses sujets en plein milieu des églises, de façon bien provocatrice devant les maître-autel un peu à la façon des femen. En attendant, la publicité de l'artiste qui se prétend catholique est assurée et on peut s'attendre à ce que tout le microcosme gay relayé par des médias complaisants dénonce l'attitude homophobe du Vatican... Une ixième version du scenario bien connu : à la provocation des uns répond la réaction des autres soulevant la tempête de protestations escomptée.

    On peut aller voir comment les journaleux répercutent cette intervention du Vatican et constater le niveau de mauvaise foi des commentaires  : 

  • La reconnaissance des unions homosexuelles : un séisme d'après l'archevêque de Bologne

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    S'exprimant lors d'une conférence magistrale au Théatre Manzoni de Bologne, le cardinal Caffarra a qualifié de « séisme » le résultat de la reconnaissance des unions homosexuelles. Jeanne Smits propose sa traduction de ce discours d'une grande clarté, en deux parties :

  • Gender à Bruxelles : La Manif Pour Tous en alerte

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    Gender à Bruxelles : La Manif Pour Tous en alerte

    Demain, 18 septembre, la commission « Droits de la femme et égalité des genres » du Parlement Européen soumettra au vote le rapport sur la Santé et les Droits Sexuels et Reproductifs. 

     

    Tous nés d’un homme et d’une femme

    Paris, le 17 septembre 2013 

    Communiqué de presse

    Parlement Européen - Rapport sur la santé et les droits sexuels et reproductifs

    L’Europe, l’éducation sexuelle et le genre :

    La Manif Pour Tous en alerte 

    sur un projet d’enseignement obligatoire dès le primaire

    Demain, 18 septembre, la commission « Droits de la femme et égalité des genres » du Parlement Européen soumettra au vote le rapport sur la Santé et les Droits Sexuels et Reproductifs. La Manif Pour Tous est particulièrement inquiète des dispositions envisagées en matière d’éducation sexuelle, de lutte contre les stéréotypes et d’éducation à l’égalité des genres. Elle dénonce fermement la volonté affirmée dans l’amendement 151 de promouvoir l’égalité de genre dans les programmes et manuels scolaires.

    Une nouvelle menace pour l’enfant et les libertés fondamentales

    La Manif Pour Tous dénonce l’amendement 151 de la députée européenne Barbara Matera (PPE) qui propose de rendre obligatoire des cours d’éducation sexuelle pour tous les élèves des écoles primaires et secondaires des Etats membres. De tels cours n’ont certainement pas leur place en primaire, et d’autant moins qu’ils aborderaient notamment la question de « l’égalité des genres ». La Manif Pour Tous dénonce ce projet de promotion de l’identité de genre, notion qui fait débat chez les spécialistes et qui n’est pas un sujet pertinent à l’âge de l’école ! Imposée aux écoles, cet enseignement serait ainsi décidé sans concertation avec les parents, sans respect de leur rôle de premiers et principaux éducateurs de leurs enfants.

    L’amendement 151 est une grave atteinte à l'article 26 (§3) de la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme qui stipule que le droit d'éducation est reconnu prioritairement aux parents. Il met en danger la liberté et le droit des parents à s'opposer à l'interférence d'acteurs étatiques ou non étatiques dans cette éducation. La défense d'un droit d'accès de l’enfant à une information scientifique et dégagée de tout jugement en matière de sexualité ne doit pas se faire sans l’implication des parents et l’assurance que les contenus contribuent à l’équilibre de l’enfant. Par ailleurs les concepts de genre n’entrent pas dans le champ « d’une information scientifique » et n’ont donc pas de place dans ce cadre.

    La Manif Pour Tous en alerte

    Le 18 septembre prochain, La Manif Pour Tous suivra avec attention les débats de la commission « Droits de la femme et égalité des genres » du Parlement Européen. Elle se prépare à se mobiliser et à mener toutes les actions nécessaires si cet amendement devait être adopté. La Manif Pour Tous demande aux députés européens de cette  commission permanente de prendre concrètement position à l’occasion de ce vote pour défendre les intérêts de l’enfant, le rôle de ses  parents et la neutralité des instances nationales d’éducation gravement mis en danger par ce rapport. Elle leur rappelle que :

    1. La Manif Pour Tous s’oppose fermement à la diffusion à l’école du concept de genre, notion floue et non scientifique conduisant notamment à la remise en cause des identités sexuelles homme/femme.

    2. Les parents sont les premiers éducateurs de leurs enfants. La liberté d’éducation des parents est un droit fondamental et inaliénable qu’aucune institution ne peut retirer et que toutes les conventions internationales garantissent.

    3. La Manif Pour Tous défend les droits de l’enfant. Elle est prête à agir aussi bien au niveau français qu’au niveau européennif Pour Tous est un mouvement spontané, populaire et divers qui s’oppose à la généralisation de la PMA, à la GPA (mères Contact presse

      Tel : 06 43 90 35 81    /    contact-presse@lamanifpourtous.fr  

  • Derrière le célibat des prêtres se pose la question de la foi

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    Mgr Rey, évêque de Fréjus-Toulon depuis 2000, a accepté de revenir pour Boulevard Voltaire sur la polémique occasionnée par les propos de Mgr Pietro Parolin sur le célibat des prêtres qui, selon lui, n’est pas un « dogme » et dont le principe « peut être discuté ». Quelles sont les principales objections vis-à-vis du célibat du prêtre ?

    « Le célibat a mauvaise presse : on objecte que, dans l’Évangile, Jésus n’a pas exigé le célibat pour ses apôtres ; on souligne aussi que le sacerdoce conféré à des hommes célibataires est source de désordres, car c’est une violence faite à l’homme et à son équilibre. Dans une société marquée par l’érotisation des relations, la continence relèverait d’une prouesse ou témoignerait de troubles affectifs. Dans un autre ordre d’idée, on compare le prêtre catholique au statut du rabbin ou du pasteur qui peuvent, eux, se marier. Mais surtout dans une société qui promeut la revendication des choix individuels et la libre disposition de soi, en particulier de son corps, le célibat semble être un verrou moral qu’il faut faire sauter.

    Pensez-vous que ce soit la volonté du nouveau Pape d’ouvrir ce débat ? Rien ne le suppose. Dans un livre récent (« Je crois en l’homme ») le Cardinal Bergoglio, futur Pape François déclarait : « À l’heure d’aujourd’hui, je souscris à la position de Benoît XVI : le célibat doit être maintenu […] J’en suis convaincu. » Cette prise de position n’est pas nouvelle. Elle s’inscrit dans la droite ligne de la tradition de l’Église. Les évêques du monde entier, lors du second concile du Vatican, ont confirmé le choix du célibat sacerdotal pour les prêtres et après eux, les Papes Paul VI, Jean-Paul II et Benoît XVI ont rappelé cette position.

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  • Pierre Palmade : "mon homosexualité, je ne l'aime pas"

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    Lu ici

    Pierre Palmade : "je suis triste d'être homo"

    Pierre Palmade a accordé un entretien à Nikos Aliagas, bien loin des propos LGBT :

    - Mon homosexualité ressemble de moins en moins à ce que je peux voir autour de moi. Je ne l'aime pas en fait, mon homosexualité. Je suis vraiment triste. Avant, j'étais en colère. Maintenant, je suis triste d'être homo. [...]

    - Vous n'êtes pas "politiquement correct".

    - Non, car je ne revendique rien. Je ne suis ni pro homo, ni anti homo. Je ne revendique rien pour la cause. Qu'ils se démerdent. (rires) Moi, je fais en sorte d'être libre."

    A écouter sur le site de Europe 1, à 3mn55.

  • Les origines de l'idéologie homosexualiste

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    Les racines marxistes de l’"homosexualisme”

    Sur son blog, Jeanne Smits propose la traduction d'un nouvel article d'Hylary White, correspondante de LifeSite à Rome "pour comprendre les vrais enjeux d’une lutte qui est loin d’être finie" :

    On m’a demandé récemment ce qu’est l’« homosexualisme ». C’est un terme que j’ai commencé à utiliser dans mes articles à propos de ces questions il y a quelques années, lorsqu’il est devenu évident que nous avions à faire non à un groupe de personnes, mais par une idéologie spécifique dont les tenants sont souvent des personnes qui ne sont pas homosexuelles.

    Il y a quelques jours dans le Guardian, Peter Tatchell a bien décrit non seulement les buts de cette idéologie, mais ses origines. C’est cette idéologie politique, volontiers appelée la « théorie queer » par ses partisans dans le monde universitaire, qui est promue, désormais de manière assez ouverte, par le mouvement pour les « droits gays ». Elle vise à réécrire les concepts fondateurs de notre société tout entière. Je prédis qu’il ne faudra plus beaucoup de temps avant que la prétendue lutte pour l’« égalité » soit abandonnée : elle aura atteint son but.

    Bien des gens se grattent la tête en se demandant comment nous avons tout d’un coup pu en arriver au point où deux hommes peuvent être « mariés », où une femme peut être appelée « mari » et un homme, « épouse », où les enfants ne sont plus qu’une monnaie d’échange politique dans les guerres d’adoption, alors qu’il nous semble qu’hier encore on ne parlait que d’égalité de droits. Depuis quand l’« égalité des droits » signifie-t-elle la déconstruction, le démantèlement de ces concepts sociaux fondateurs ?

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  • France : l'ABCD de l'égalité à l'école en janvier 2014

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    De la Synthèse de Presse quotidienne de Gènéthique.org

    "L'ABCD de l'égalité" à l'école en janvier 2014

     En janvier prochain, de la grande section de maternelle au CM2, les élèves se verront imposer "un programme de lutte contre les stéréotypes sexistes dès l'école appelé 'ABCD de l'égalité' ". Mis en place par le gouvernement sous l'impulsion du ministère des droits des femmes, "l'ABCD de l'égalité" sera expérimenté dans dix académies (1), soit 600 classes au total, et une généralisation de cette expérimentation est déjà prévue, au printemps 2014. 

    Le programme sera adapté à l'âge et abordera la question des préjugés dans différentes matières telles que le sport, les sciences, les arts plastiques, le français ou encore l'histoire. L'objectif? "Sensibiliser les élèves aux représentations, aux rôles assignés aux filles et aux garçons [...] et aux limites que les enfants se fixent eux-mêmes, terreau des inégalités hommes-femmes". 

    Justifiant ce programme, Najat Vallaud-Belkacem, ministre du droit des femmes précise: "alors que l'école est censée être neutre dans le traitement des filles et des garçons, les études montrent que ce n'est pas le cas, en dépit de la bonne volonté des enseignants". Mais l'instauration d'un tel programme inquiète. Ainsi, Jean-Marie Andrès, un des responsable des Associations familiales catholiques (AFC) redoute " 'une démarche de déconstruction' des repères, notamment ceux transmis par les parents". Il estime que " 'les stéréotypes ont bon dos' et la vigilance doit être de mise devant ce type d'initiative". 

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    (1) Académies de Bordeaux, Clermont-Ferrand, Créteil, Corse, Guadeloupe, Lyon, Montpellier, Nancy-Metz, Rouen, Toulouse

    (La Croix (Marine Lamoureux) 06/09/2013 - Valeurs Actuelles (Fabrice Madouas) 05/09/2013)

    Lire également : http://www.libertepolitique.com/Actualite/Decryptage/Le-gender-pour-tous-contre-le-droit-des-parents

  • Homosexualisme : 70 organisations de défense des droits de l'homme soutiennent la Russie

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    Friday-Fax-Header-French.jpgLes associations de défense des droits de l’homme soutiennent la Russie

    NEW YORK, August 30  (C-FAM) Des organisations de défense des droits de l’homme du monde entier viennent d’exprimer leur soutien en faveur des efforts de la Russie, qui tente de protéger ses enfants contre la propagande homosexuelle.

    Une déclaration de la société civile affirme que la loi récemment adoptée par la Russie, et qui prévoie des amendes à l’encontre de tout individu ou groupement qui ferait la promotion de l’homosexualité auprès des mineurs, est un pas important dans la direction d’un respect des obligations internationales de protection de la famille et des mineurs.

    D’après Profesionales por la Etica, l’association espagnole qui a coordonné le mouvement, ces organisations des quatre coins du monde n’ont pas tardé à exprimer leur soutien. En une semaine seulement, plus de 71 organisations se sont manifestées.

    D’après la déclaration, la Russie protège « des droits de l’homme véritables et universellement reconnus  contre de fausses valeurs, artificielles et fabriquées », telles l’orientation sexuelle et l’identité de genre.

    Lire la suite