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Spiritualité - Page 529

  • Guillebaud pourfend les fantasmes du transhumanisme

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    Sur le site de la Vie, Jean-Pierre Denis présente le dernier livre de Jean-Claude GUILLEBAUD ("La vie vivante. Contre les nouveaux pudibonds"), dans un article intitulé "L'homme, une expérience ratée?"

    Mères porteuses, nanotechnologies, intelligence artificielle, refus de l’enfant, fabrication de chimères, quête d’immortalité… Le corps humain serait-il has been ? En tout cas, avec les prouesses toujours plus ébouriffantes de la science et le grand bond en avant de la technique, voici venue l’époque des "technoprophètes". Chercheurs talentueux, joyeux apôtres d’une dématérialisation de l’homme, ils annoncent une ère radicalement nouvelle. Un temps où l’on n’aura plus besoin de l’être humain, cette vieille chose prisonnière d’un corps de chair et enserrée dans d’étroites limites biologiques et sociales. Loin de demeurer d’aimables utopistes, ces experts préparent activement, avec l’aide de puissants lobbies scientifiques et industriels, l’avènement de la posthumanité.

    Avec La vie vivante, Jean-Claude Guillebaud livre un essai courageux, engagé, inquiétant. À contre-courant de toutes les bien-pensances. Puisant aux meilleures sources, l’essayiste et chroniqueur à La Vie rapproche les faits épars. C’est sans faux-semblant qu’il prend au sérieux ces nouveaux courants de pensée, avant d’y distinguer le retour insidieux d’une nouvelle forme de "domination" parée des couleurs du progrès. Contre toutes les pudibonderies – autrement dit toutes les haines et les peurs du corps humain –, il est urgent de retrouver une nouvelle forme d’incarnation.

    On trouvera sur le site de La Vie des extraits exclusifs de La vie vivante, le nouveau livre de Jean-Claude Guillebaud en cliquant ici : lavie.fr/jean-claude-guillebaud

    La vie vivante. Contre les nouveaux pudibonds, de Jean-Claude Guillebaud. Editions des Arènes. Parution le 10 mars 2011, 22 €

  • Mgr Moraglia : « nous aimons plus nos filets que l’objet de la pêche »

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    Moraglia_ingresso_La_Spezia-2008-03-01.jpg Lu sur le « Forum Catholique »  cet extrait d’une homélie du nouveau Patriarche de Venise nommé par Benoît XVI :

     « Jeudi 19 mars, hier donc SER le patriarche de Venise s'est adressé à ses prêtres, dans la basilique cathédrale de San Marco. Messainlatino extrait de son exhortation quelques phrases significatives de l'esprit dans lequel Monseigneur Moraglia entend désormais oeuvrer:

     "Nous aimons plus nos filets et nos barques que la fatigue et l'objet de la pêche. Au delà des métaphores, nous risquons plus d'aimer nos œuvres, nos titres académiques, nos publications, les structures que nous avons échafaudées, qui nous entourent et servent à notre activité pastorale que la fin ultime pour laquelle ces choses ont été établies, c'est à dire le bien des âmes. Le risque est de devenir entrepreneurs, doyens, intellectuels, psychologues, assistants-sociaux mais pas des pasteurs ! Ce qui nous éloigne de la charité pastorale, c'est de nous servir de la chaire pour prêcher autre chose ou des choses qui ont peu ou rien à voir avec l'Evangile..."

    Monseigneur ne perd pas de temps et à son premier discours il n'hésite pas à exprimer de façon claire la doctrine de l'Eglise en matière de sacerdoce et de ministère presbytéral (NB: photos extraites de la Messe de Dimanche) ».

     L'esprit de dépossession de nos œuvres est le meilleur signe de celui de la dépossession de soi et ceci ne concerne pas que les prêtres…

  • Les richesses de notre foi face aux misères du libéralisme

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    Une publication de la fraternité des chrétiens indignés, avec un magnifique texte fleuve de Anne Josnin, critique du libéralisme en forme de prose poétique, sur Liberté Politique.

    Nous entendrons, dans le texte qui suit, par libéralisme ce fond commun aux conceptions politiques et sociales modernes, d'où sont issus les partis de droite comme de gauche. Nous n'avons donc pas pour objectif de donner des éléments de discernement pour les prochaines élections. Nous cherchons ici à rendre manifestes les erreurs cachées de ce libéralisme. Ses conceptions philosophiques de la connaissance, de la nature, de l'homme, de la politique sont emprunts d'un néo-paganisme dont il est l'heure de se détacher. C'est du moins ainsi que nous comprenons l'appel de Benoît XVI à quitter la civilisation de l'avoir pour entrer dans celle de l'être. Nous sommes appelés à un travail de refondation dans notre vie personnelle, sociale et politique,   notamment  en dégageant et promouvant les vertus propres à cette nouvelle civilisation, comme celles de l'amitié ou de la sobriété. Dans cette tâche immense et enthousiasmante, notre Eglise nous invite à nous laisser enseigner aussi , sans crainte, par d'autres cultures. Il s 'agit donc bien d'un appel à refonder, ou plus précisément, christianiser intégralement les fondations  pour un nouvel art, à l'échelle mondiale, du vivre ensemble. Ensuite il sera encore temps de discuter de  ce que les penseurs de notre modernité, Hayek comme Proudhon, peuvent apporter de leurs génies propres.

    Vous trouverez ici une réflexion personnelle, non universitaire, fruit d'une méditation mûrie au fil des années, de mon expérience humaine, comme femme, comme mère et comme professeur de philosophie, fruit aussi de mes lectures passionnées, de mes réflexions partagées et de mon dialogue intérieur.

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  • Dieu est-il à l’image de l’homme ? quelques réflexions

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    Resurrection Weyden.jpgUne méditation au seuil de la semaine sainte :

    « Si Dieu nous a faits à son image, nous le lui avons bien rendu. » Cette boutade du Sottisier (XXXII), qui ne la connaît ? Ce serait toutefois faire preuve de beaucoup de légèreté, et d’ignorance, que de s’en tenir à un mot d’esprit en cette matière, qui mérite un peu plus d’attention.

    Certes, dans tout ce qui nous est dit de Dieu, les expressions ne manquent pas où il apparaît semblable à ce que nous sommes. L’est-il ? A-t-on le droit d’en parler de la sorte ?

    Pour avoir atteint à une conception assez pure de l’Etre, Parménide déjà en était arrivé à préconiser de n’en rien dire, sinon que « l’Etre est » ...

    Que l’homme imagine Dieu à son aune, le peut-il éviter, dès lors que toute appréhension se fait selon le mode de celui qui appréhende ?

    Qu’il y ait danger d’abus à imaginer Dieu, la chose est indéniable, puisque le caractère sensible de l’image n’est pas directement compatible avec un être que les sens ne peuvent nullement percevoir.

    Qu’il faille donc user de prudence dans les représentations que nous nous faisons de Dieu, et particulièrement quand nous lui attribuons nos façons d’être, de penser et d’agir, cela va — ou devrait aller — de soi.

    Qu’il soit possible de parler de Dieu en termes humains, à quelles conditions, en vertu de quoi, et dans quelle mesure, c’est ce que nous allons tâcher d’examiner.

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  • Jean Climaque dresse une échelle vers le Ciel

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    saint-Jean-Climaque-2.jpgSAINT JEAN CLIMAQUE (525-605) est fêté le 30 mars

    "Il venait de Palestine quand il se rendit au monastère Sainte-Catherine du Sinaï. Il avait 16 ans et il y restera dix-neuf ans sous la direction d'un moine vénérable qui lui apprend la vie parfaite. Un jour, ce dernier l'emmène auprès d'abba Jean le Sabaïte, ascète respecté. Celui-ci verse de l'eau dans un bassin et lave les pieds de Jean, et non pas du vénérable vieillard. Interrogé pourquoi, Jean le Sabaïte répond : « J'ai lavé les pieds de l'higoumène du Sinaï. »

    La prophétie devait se réaliser quelques décennies plus tard. En attendant, son maître étant mort, Jean se retire au désert durant quarante  ans. Il ne refuse jamais de donner quelques conseils et quelques enseignements quand on vient le trouver. Des envieux le traitant de bavard, Jean comprend qu'on enseigne plus par les œuvres que par les paroles. Il rentre alors dans le silence. On devra le supplier de reprendre ses enseignements, ce qu'il fera par miséricorde. Après avoir longuement visité les monastères de l'Égypte, il revient au Sinaï et c'est à ce moment qu'il est élu higoumène du monastère Saint- Catherine.

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  • Quand un "amnésique" retrouve la mémoire...

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    Nous reprenons ici une note de Michel Janva, sur le Salon beige, intitulée : L'amnésie sidérante et collective, même chez les catholiques

    "En mars 2008, Jean-Marc Potdevin, entrepreneur, ancien CTO de Kelkoo.com, ancien vice-président de Yahoo ! Europe, traverse la crise de la quarantaine. Il décide d’interrompre toute activité et de partir seul vers St Jacques de Compostelle. Sur le chemin, il fait une expérience mystique qui bouleverse totalement son existence. Il raconte dans "Les mots ne peuvent pas dire ce que j'ai vu" :

    P"j'étais en fait un mal-croyant. Comment avais-je pu passer au travers de mon éducation chrétienne dans une école catholique dite "du Sacré-Coeur", entouré par une famille croyante et pratiquante, sans avoir perçu l'immense richesse de cette littérature mystique qui sonde et expérimente la relation directe entre l'homme et son Dieu ? Avais-je bouché mes oreilles, ou étais-je victime de l'oubli collectif, y compris au sein de nos communautés catholiques, de la perte de ces richesses inestimables, joyaux des racines chrétiennes, de notre culture ? Ce sujet est pourtant tellement central pour la vie de l'homme dont l'aspiration intime au bonheur est infinie et légitime ! Comment se fait-il qu'il ait été oublié par l'homme moderne, effacé de nos mémoires, de nos librairies, de nos cours de catéchismes, de nos écoles ?

    Cette amnésie collective est sidérante, et contraste de façon autant radicale qu'incompréhensible avec la beauté infinie et l"extase de l'homme libre renoué et vivifié en son Dieu, de l'homme divinisé dans l'amour uni à son Créateur et, enfin, extrait de son tas de cendre, l'instant d'une rencontre revenu à l'état originel, sans blessure, divin et lumineux. Comment le XXe siècle avait-il si méthodiquement et si scientifiquement tenté d'éradiquer toute trace de cette sagesse religieuse ? [...] Les fruits mortifères produits sont notamment ces campas de la mort, d'Auschwitz au Goulag, de Marx à Mao en passant par Pol Pot, et qui perdurent bien malheureusement aujourd'hui sous couvert de nos hypocrites "démocraties commerciales, confortables et souriantes" dans de nouveaux types de charniers médicalisés et aspetisés produits par l'industrie de l'avortement qui vient arracher la vie de centaines de millions d'êtres humains en l'aspirant directement dans le ventre même des jeunes mères. Démocraties du sourire qui proposeront bientôt un peu partout l'eugénisme de masse sponsorisé par l'état et la sécurité sociale en éliminant directement les malades handicapés avant la naissance (tri d'embryons, "dépistage préimplantatoire"), ou l'euthanasie des plus faibles sous toutes ses formes, des plus vieux aux plus souffrants, en leur expliquant que c'est pour leur bien, pour leur "liberté et au nom de leur "dignité" (quelle sinistre maîtrise du sophisme !). cette société profondément violente, sans repères, est à la fois dopée aux excitants et calmée aux anxiolytiques. Toutes ses tranches d'âge enregistrent des records taux de suicide, fruits moisis de cette perte du lien avec son Roy [NSJC]. Elle est minée par la progression rampante dans les bas-fonds de la "culture de mort", comme l'a si bien qualifiée Jean-Paul II."

  • Benoît XVI à Cuba : le Seigneur Jésus est le Chemin, la Vérité et la Vie

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    Lors de l'homélie prononcée à Cuba devant plusieurs centaines de milliers de fidèles, le 28 mars, le pape a donné cet enseignement fort à propos de la vérité :

    (...) « Si vous demeurez dans ma parole, vous êtes vraiment mes disciples ; vous connaîtrez la vérité et la vérité vous affranchira » (Jn 8, 31). Dans ce texte de l’Évangile qui a été proclamé, Jésus se révèle comme le Fils de Dieu le Père, le Sauveur, le seul qui puisse dévoiler la vérité et donner l’authentique liberté. Son enseignement provoque résistance et inquiétude parmi ses interlocuteurs, et il les accuse de chercher sa mort, faisant référence au suprême sacrifice de la croix, déjà proche. Même ainsi, il les exhorte à croire, à demeurer dans sa Parole pour connaître la vérité qui libère et rend digne.

    En effet, la vérité est un désir de l’être humain et la chercher suppose toujours un exercice d’authentique liberté. Nombreux sont ceux, en revanche, qui préfèrent les raccourcis et qui essaient d’échapper à cette tâche. Certains, comme Ponce Pilate, ironisent sur la possibilité de pouvoir connaître la vérité (cf. Jn 18, 38), proclamant l’incapacité de l’homme à l’atteindre ou niant qu’existe une vérité pour tous. Cette attitude, comme dans le cas du scepticisme ou du relativisme, provoque un changement dans le cœur, le rendant froid, hésitant, loin des autres et enfermé en soi-même. Des personnes qui se lavent les mains comme le gouverneur romain et laissent filer le cours de l’histoire sans se compromettre.

    D’autre part, il y a les autres qui interprètent mal cette recherche de vérité les portant à l’irrationalité et au fanatisme, les enfermant dans « leur vérité », et qui entendent l’imposer aux autres. Ils sont comme ces légalistes aveuglés qui, en voyant Jésus frappé et en sang, crient, furieux : « Crucifie-le ! » (cf. Jn 19 , 6). Cependant, qui agit irrationnellement ne peut pas parvenir à être disciple de Jésus. Foi et raison sont nécessaires et complémentaires dans la recherche de la vérité. Dieu a créé l’homme avec une vocation innée à la vérité et pour cela, l’a doté de raison. Ce n’est certainement pas l’irrationalité, mais le désir de vérité qui promeut la foi chrétienne. Tout homme doit être chercheur de vérité et opter pour elle quand il la rencontre, même s’il risque d’affronter des sacrifices.

    De plus, la vérité sur l’homme est un présupposé inévitable pour atteindre la liberté, car nous découvrons en elle les fondements d’une éthique avec laquelle tous peuvent se confronter, et qui contient des formulations claires et précises sur la vie et la mort, les droits et les devoirs, le mariage, la famille et la société, en définitif, sur la dignité inviolable de l’être humain. Ce patrimoine éthique est ce qui peut rapprocher toutes les cultures, tous les peuples et toutes les religions, les autorités et les citoyens, et les citoyens entre eux, les croyants dans le Christ et ceux qui ne croient pas en lui.

    Le christianisme, mettant en évidence les valeurs qui sous-tendent l’éthique, n’impose pas mais propose l’invitation du Christ à connaître la vérité qui rend libre. Le croyant est appelé à l’offrir à ses contemporains, comme le fit le Seigneur, avant même le sombre présage du rejet et de la croix. La rencontre personnelle avec Celui qui est la vérité en personne nous pousse à partager ce trésor avec les autres, spécialement par le témoignage.

    Chers amis, n’hésitez pas à suivre Jésus-Christ. Nous trouvons en lui la vérité sur Dieu et sur l’homme. Il nous aide à vaincre nos égoïsmes, à abandonner nos ambitions et à vaincre ce qui nous opprime. Celui qui fait le mal, celui qui commet un péché en est esclave et n’atteindra jamais la liberté (cf. Jn 8, 34). Ce n’est qu’en renonçant à la haine et à notre cœur dur et aveugle, que nous serons libres, qu’une nouvelle vie jaillira en nous.

    Convaincu que le Christ est la vraie mesure de l’homme et sachant que c’est en lui que l’on trouve la force nécessaire pour affronter toutes les épreuves, je désire vous annoncer ouvertement que le Seigneur Jésus est le Chemin, la Vérité et la Vie. Vous trouverez tous en lui la pleine liberté, la lumière pour comprendre avec profondeur la réalité et la transformer par le pouvoir rénovateur de l’amour. (...)

  • Un nouveau monastère bénédictin dans le Var

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    [Dom Aidan - Le Baptistère] Une nouvelle fondation bénédictine dans le Var

    SOURCE - Dom Aidan - Le Baptistère (n°63) - 24 mars 2012

    En décembre 2011, Monseigneur Dominique Rey, Evêque de Fréjus-Toulon, a érigé le Monastère Saint-Benoît, une nouvelle communauté monastique selon la règle de Saint Benoît qui célèbre la liturgie sacrée selon les formes classiques et anciennes du rite monastique romain. Le supérieur, Dom Aidan, a donné cet entretien au site New Liturgical Movement et à notre demande d’interview nous en a donné une traduction française.

    Révérend Père Prieur, pouvez-vous nous raconter les origines de ce monastère?
    Les origines de notre monastère trouvent leurs racines dans notre désir de vivre une vie monastique selon la Règle de Saint Benoît. Certains d’entre nous ont été formés et professés moines bénédictins par le passé mais nous nous sentions frustrés de devoir vivre notre vocation dans des circonstances dont nous n’avions pas le contrôle. D’autres ont également rencontré cette difficulté mais souhaitaient tout de même être moines. Il en a résulté une vie menée loin de la vie monastique qui, bien que pénible, a renforcé notre désir de vivre la vie monastique traditionnelle et, chaque jour, son harmonie naturelle dans le rite liturgique classique et l’office. Dans des circonstances qui se sont avérées tout à fait providentielles, nous avons pu exprimer notre désir à Monseigneur Rey.

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  • "Le Roi que les jeunes triomphalement acclament"

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    « Le Roi que les jeunes triomphalement acclament », par le P. Daniel-Ange

    Se préparer au Dimanche des Rameaux et à la JMJ !

    ROME, mardi 27 mars 2012 (ZENIT.org) –  Le P. Daniel-Ange propose aux lecteurs de Zenit de participer à l’entrée du Christ à Jérusalem, en la contemplant et revivant de l’intérieur, en préparation au Dimanche des Rameaux, dimanche prochain, 1er avril, qui est aussi la Journée mondiale de la jeunesse 2012 et le grand porche de la Semaine Sainte.

    Le Roi que les jeunes triomphalement acclament

    [Lc 19, 28-44 ; Mt 21, 1-11 ; Mc 11, 1-11]

    La joyeuse entrée dans sa Cité

    Viens et vois Jésus tout embaumé, prenant sa dernière nuit de repos chez ses amis. La dernière de ces nuits qui ont si souvent refait ses forces durant ses courses apostoliques.

    Tôt le lendemain, la petite troupe reprend la route de Jérusalem. Ils gravissent ces quelques centaines de mètres qui les séparent du sommet du mont des Oliviers : le petit hameau de Bethphagé. Et là-haut, tout à coup, en ce dimanche matin : la Ville sainte dans son éclatante splendeur ! Cette Ville sainte, telle que Jésus – de ce même endroit – l’avait découverte avec ses yeux émerveillés d’enfant de 12 ans.

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  • "Soyez toujours dans la joie du Seigneur", le message du pape aux jeunes du monde entier

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    Message de Benoît XVI aux jeunes du monde entier pour la Journée mondiale de la Jeunesse 2012 (dimanche des Rameaux)

    ROME, mardi 27 mars 2012 (ZENIT.org) – « Soyez toujours dans la joie du Seigneur ! » : ce verset de l’Epître de saint Paul aux Philippiens est le thème du message de Benoît XVI pour la Journée mondiale de la Jeunesse 2012, dimanche des Rameaux, 1er avril.

    Message de Benoît XVI :

    « Soyez toujours dans la joie du Seigneur ! » (Ph 4, 4)

    Chers jeunes,

    Je suis heureux de pouvoir à nouveau m’adresser à vous à l’occasion de la XXVIIème Journée Mondiale de la Jeunesse. Le souvenir de la rencontre de Madrid, en août dernier, reste très présent à mon esprit. Ce fut un temps de grâce exceptionnel au cours duquel Dieu a béni les jeunes présents, venus du monde entier. Je rends grâce à Dieu pour tout ce qu’il a fait naître lors de ces journées, et qui ne manquera pas de porter du fruit à l’avenir pour les jeunes et pour les communautés auxquelles ils appartiennent. A présent nous sommes déjà orientés vers le prochain rendez-vous de Rio de Janeiro en 2013, qui aura pour thème « Allez, de toutes les nations faites des disciples ! » (cf. Mt 28, 19).

    Cette année, le thème de la Journée Mondiale de la Jeunesse nous est donné par une exhortation de la lettre de saint Paul apôtre aux Philippiens : « Soyez toujours dans la joie du Seigneur ! » (Ph 4, 4). La joie, en effet, est un élément central de l’expérience chrétienne. Et au cours de chaque Journée Mondiale de la Jeunesse, nous faisons l’expérience d’une joie intense, la joie de la communion, la joie d’être chrétiens, la joie de la foi. C’est une des caractéristiques de ces rencontres. Et nous voyons combien cette joie attire fortement : dans un monde souvent marqué par la tristesse et les inquiétudes, la joie est un témoignage important de la beauté de la foi chrétienne et du fait qu’elle est digne de confiance.

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  • Benoît XVI au Mexique et à Cuba

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    ZENIT.org met en ligne les compte-rendus des moments importants de ce voyage ainsi que des textes des discours prononcés :

    Voyage à Cuba

    Voyage au Mexique

    Documents

  • Le Foyer Saint-Paul inauguré à Louvain-la-Neuve

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    image003.jpgInauguration du Foyer Saint-Paul à Louvain-la-Neuve

    Une Maison Étudiante de l’Emmanuel www.foyersaintpaul.be

    - Communiqué de presse -

    Louvain-la-Neuve, mardi 27 mars --- Un nouveau foyer pour 44 étudiants et étudiantes à Louvain-la-Neuve est inauguré ce 27 mars. Entourant le cloître de l’ancien séminaire Saint Paul de Louvain-la-Neuve, ce foyer ouvre de nouvelles perspectives pour la vie étudiante. Unifier études, développement personnel et chemin de vie chrétienne. En collaboration avec la paroisse universitaire interdiocésaine, les évêques francophones en ont confié la responsabilité à la communauté de l’Emmanuel. Le recteur de l’UCL, Mr Bruno Delvaux, ainsi que Mgr Léonard et Mgr Hudsyn feront des allocutions.

    Bruno Vermeire, directeur du Foyer :

    « Le Foyer Saint-Paul, dans les bâtiments de l’ancien Séminaire Saint-Paul, est une Maison Étudiante de l’Emmanuel. Les Évêques de Belgique, après le regroupement des séminaristes francophones à Namur, souhaitaient que pareil endroit conserve sa vocation de pôle de vie chrétienne au cœur du plus grand campus universitaire de Belgique francophone.

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