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Spiritualité - Page 531

  • Qui célèbre la liturgie ?

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    U2FsdGVkX180ZDRkMDEyOPF6z-99Bv-o2a4f-POFqzcXigz_jQbrHCUsaoQaKB7q4RFX1lBt6zoNc5L2WDYEgPxOJN_TC6MS-riOK0kmMHg=.jpgUne réflexion du P. Natale Scarpitta, prêtre de l’archidiocèse de Salerno-Campagna-Acerno, doctorant en droit canonique à Rome, à l’Université Pontificale Grégorienne publiée sur ZENIT.org ce 21 mars 2012 :

    « Reprenant la constitution conciliaire Sacrosanctum Concilium (n. 8), le Catéchisme de l’Eglise catholique (CEC) enseigne que « dans la liturgie terrestre nous participons par un avant-goût à cette liturgie céleste qui se célèbre dans la sainte cité de Jérusalem » (n. 1090). En repartant de cette conscience extrêmement théologique, il affirme ensuite que « ceux qui dès maintenant la célèbrent au-delà des signes sont déjà dans la Liturgie céleste, là où la célébration est totalement Communion et Fête » (n. 1136). Et il ajoute « C’est à cette Liturgie éternelle que l’Esprit et l’Église nous font participer lorsque nous célébrons le Mystère du salut dans les sacrements » (n. 1139).

    L’action liturgique ne s’épuise donc pas dans sa dimension purement historique. Elle est plutôt un avant-goût (cf. Jean-Paul II, Audience générale, 28.06.2000), un reflet pâle mais réel (cf. Benoît XVI, Homélie de la célébration des Vêpres dans la cathédrale Notre-Dame de Paris, 12.09.2008), de celle qui est célébrée sans fin au plus haut des cieux. La liturgie de l’Eglise ne constitue donc pas simplement une imitation plus ou moins fidèle de la liturgie céleste, et encore moins une célébration parallèle ou alternative. Elle signifie et représente plutôt une épiphanie sacramentelle concrète de la liturgie éternelle.

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  • Aujourd'hui, l'Helvétie fête son saint national

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    Sur un site suisse, on détaille la vie de saint Nicolas de Flue. Il s'agit d'une biographie due à un curé, l'abbé O.Knecht, parue en français à Fribourg en 1946. Le ton est assez caractéristique, antediluvien, c'est-à-dire pré-conciliaire :

    "La vie de notre saint national, Nicolas de Flue, ne saurait être trop connue, et quoique son souvenir soit dans tous les coeurs suisses, on nous pardonnera volontiers de publier encore cette petite biographie. Il est plus que jamais opportun de présenter aux populations, surtout à la jeunesse, le récit d'une existence laborieuse, austère et cachée, à qui Dieu donna pourtant un grand éclat public. Cette vie est pleine d'enseignements pour nos contemporains et elle jette de la lumière, non seulement sur le présent, mais encore sur l'avenir, qu'elle éclaire d'un rayon d'espérance. Que ces pages fassent connaître et aimer le saint protecteur de la Suisse ; qu'elles suscitent des imitateurs de sa foi, de sa sainteté et de son patriotisme ! Qu'elles recrutent de nouveaux membres pour la Ligue de prières en l'honneur du Bienheureux, à qui l'Eglise a décerné la couronne glorieuse des « saints » ! Que notre Helvétie, suivant l'exhortation de son saint pacificateur, conserve à jamais « sa vieille foi et ses vieilles bannières »"

    Pour découvrir cette biographie : http://www.abbaye-saint-benoit.ch

  • Retrouver le chemin du sacrement de la réconciliation

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    ROME, dimanche 18 mars 2012 (ZENIT.org Anne Kurian) – Benoît XVI encourage les catholiques à recevoir le sacrement de la réconciliation régulièrement pour faire l'expérience de "l'amour miséricordieux": c'est ainsi, fait-il observer, que  « l’on trouve la vraie paix et la vraie joie ».

    Avant l’angélus, le pape s’est en effet adressé aux milliers de visiteurs réunis sous le soleil de la place Saint-Pierre, ainsi qu’à tous ceux qui l’écoutaient sur les ondes, ce 18 mars 2012 à midi.

    C’est seulement en « s’ouvrant à la lumière », et « en confessant sincèrement ses fautes à Dieu », que l’on trouve « la vraie paix et la vraie joie », déclare Benoît XVI.

    C’est pourquoi, poursuit-il, « il est important de s’approcher avec régularité du sacrement de la pénitence », en particulier durant le Carême, pour « recevoir le pardon du Seigneur et accentuer notre chemin de conversion ».

    La confession n’est pourtant pas toujours un acte facile à poser : ainsi, quand l’homme est « lié » à ses péchés, constate le pape, il préfère « les ténèbres » à « la lumière ».

    Pourquoi la reconnaissance des péchés est-elle si importante ? Citant saint Augustin, le pape répond : « Quand ce que tu as fait commence à te déplaire, alors commencent tes œuvres bonnes, car tu condamnes tes œuvres mauvaises. Les bonnes œuvres commencent avec la reconnaissance des œuvres mauvaises ».

    En d’autres termes, de la même façon qu’il est nécessaire de « reconnaître que l’on est malade, pour pouvoir être guéri », fait observer Benoît XVI, ainsi il est nécessaire de reconnaître son péché « pour que le pardon de Dieu, déjà donné sur la Croix, puisse avoir un effet dans son cœur et dans sa vie ». Il en va donc de la conversion réelle du cœur.

    « Si l’amour miséricordieux de Dieu », ajoute-t-il, est « infini » jusqu’à même « donner son Fils unique en rançon pour notre vie », notre « responsabilité » aussi est « grande » dans cette démarche de demande de pardon.

  • Saint Joseph

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    1245.jpgCe 19 mars, on fête saint Joseph. La Belgique est placée sous son patronage. Il y aurait aujourd'hui tant besoin de se tourner vers celui qui fut le protecteur de Jésus et de Marie et de lui confier à nouveau ce malheureux pays en proie à un processus de reniement et d'apostasie sans précédent. Mais qui le fera?

    ci-contre : détail de la Présentation au Temple par Fra Angelico (Florence, San Marco)

    Evangile au Quotidien donne la signification de cette fête :

    Saint Joseph
    Époux de la Vierge Marie
    Patron de l'Église universelle
    (Solennité)

              Joseph, issu de la race royale de David, naquit à Bethléem. Il fut d'une condition modeste et gagna son pain comme simple ouvrier. Sa haute dignité se résume en ces mots : « Père nourricier de Jésus ». La Sainte Écriture ne raconte que peu de choses à son sujet. Elle nous dit seulement qu'il était « juste ». Pour la Bible, dire que quelqu'un est juste ou qu'il est saint, c'est exactement la même chose. C'est le titre le plus élogieux qui puisse être donné à un homme. Le juste est celui que sa rectitude, sa droiture, sa soumission et sa fidélité en toutes choses rendent agréable à Dieu. Le grand « juste » de l'Histoire du Salut est Abraham, le grand ancêtre : « Il crut dans la promesse et cela lui fut compté comme justice » (Gn 15, 7).

            Joseph s'acquitta fidèlement de son rôle sublime de gardien envers les deux plus grands trésors de Dieu sur la terre, Jésus et Marie. Les heures les plus amères de sa vie sont, sans doute, celles où il lui fallut douter de la fidélité de sa fiancée. Mais c'est justement dans le conflit entre ses droits et ses devoirs qu'il se montra grand. Il était nécessaire que cette souffrance, qui fait partie de l'œuvre rédemptrice, fût supportée en vue d'un grand bien : Joseph est le témoin le moins suspect de la naissance virginale du Rédempteur. Ensuite, dans l'histoire de la Rédemption, Joseph passe modestement au second plan. L'Écriture ne dit même rien de sa mort. Cependant, certaines indications nous font conclure qu'il était déjà mort au moment où commença la vie publique du Sauveur.

            Sa vie fut humble et cachée. Il resta aussi humble et caché, pendant des siècles, dans l'histoire de l'Église. Ce n'est que dans les temps modernes que l'Église l'a célébré.

  • Drame du tunnel de Sierre : l’Eglise aussi fait son devoir

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    La RTBF bruisse d’informations sur les psychothérapies et autres exercices mentaux utiles pour apaiser le traumatisme du drame. Et sur le plan spirituel ? Bien que les médias belges n’en fassent guère mention, la présence catholique au milieu des rescapés et des familles n’a pas failli non plus. Dans l’hebdomadaire « Famille chrétienne, voici le témoignage de l’abbé Zuber, curé de Sierre (Valais) où s’est produit l’accident dramatique :

    Mercredi 14 mars, la Belgique s’est réveillée traumatisée par la mort de 22 de ses enfants en classe de neige. La veille, leur car affrété par l’enseignement catholique flamand, a été victime d’un dramatique accident dans le Valais suisse. Sur place, dans la ville de Sierre, les parents ont été accueillis par les services de secours, la cellule de soutien psychologique et le curé de la ville, l’abbé Robert Zuber. Ce dernier nous raconte cette journée.

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  • Le livre « Jésus » de Jean-Christian Petitfils

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    Le doyen Eric de Beukelaer écrit sur son blog :

    Plus de 70000 exemplaires vendus, dont plus de 15000 en Belgique. Le livre « Jésus » de Jean-Christian Petitfils (éditeur Fayard) est un succès de librairie auquel sont peu habitués les spécialistes de la Bible. Aujourd’hui, il fut gratifié d’une pleine page dans le quotidien « le Soir » (p.15) – nullement moqueuse.

    Suite à une interview de l’auteur dans « le Point », je suis justement en train de lire ce bouquin et ne suis pas déçu. Non, il ne s’agit pas d’un ouvrage de critique historique pointue. Mais ce n’est pas non plus une œuvre romancée ou un livre de piété. Petitfils est chrétien, mais écrit en historien. Seulement, il a l’audace de celui qui n’a pas à craindre le peer review (le regard des confrères). Ainsi, aucun exégète (théologien spécialiste de la Bible) ne baserait une partie de ses écrits sur le suaire de Turin. Petitfils, lui, ose.

    Je ne dis pas que tout dans son livre est « parole d’évangile », mais son regard est rafraichissant. C’est un peu ce que j’exprimais dans mon dialogue sur l’économie mondiale avec Bruno Colmant (« La bourse et la vie » éd. Anthémis) : Quand l’économie est laissée au soin exclusif des économistes, quelque chose finit par coincer. Il faut y adjoindre le regard neuf et frais d’un outsider qui ramène à quelques évidences fondatrices. Les anglo-saxons appellent cela : to think out of the box.

    Il en va de même pour les biographies de Jésus. Sans nullement discréditer les experts, il est bon et sain que des non-théologiens secouent quelque peu la poussière de l’érudition, afin de renouveler notre regard sur le Fils de l’Homme.

     Nous avons déjà fait largement écho sur Belgicatho au « Jésus » de Jean-Christian Petitfils, qui bénéficie d’un succès certainement mérité et salutaire pour le public. Naturellement, pour la rigueur et la profondeur des vérités à croire, il est permis de  préférer le « Jésus de Nazareth » de Benoît XVI, dont le troisième tome (consacré aux récits évangéliques de l’enfance du Christ) devrait paraître cet automne.

  • Création et évolution: quand Darwin secoue la foi

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                                           (http://www.institutsophia.org).

    Chers amis,

    C'est demain, mardi 13 mars, qu'aura lieu la conférence du Pr. Dominique Lambert.
    Elle s'intitule:

    "Création et évolution : quand Darwin secoue la foi"

    Ouvert à tous
    PAF : 3 €

    Où ? :
    Institut d’Etudes Théologiques (auditoire 2e étage)
    24, Bd St-Michel – 1040 Bruxelles

    Inscription souhaitée :
    cycledesoireessophia@gmail.com
    ou 0477/04.23.67

    Nous vous y attendons nombreux !


    Astrid, Jean-Baptiste, Lorène, Louise, Marie-Madeleine et Véronique

    L’équipe organisatrice

    Prochaine date à retenir : le jeudi 10 mai de 9h à 15h30: Journée ouverte à tous de 7 à 77 ans: "Bonjour l'Europe!". Découverte sur le terrain et au sein des Institutions européennes des enjeux qui s'y jouent.

     

  • Les scouts sans Dieu : réaction du CJC

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    On a déjà pu lire les timides réactions de Mgr Kockerols, l’évêque « référendaire  pour la  pastorale  de la jeunesse » et le théorème du P. Delhez s.j. tendant à démontrer que contrairement aux apparences le cercle est aussi un carré. Voici un autre son de cloche publié sur « Cathobel » (extraits) :

    « Le Conseil de la Jeunesse Catholique (CJC) a tenu a réagir aux récentes décisions de la Fédération des Scouts Baden-Powell de Belgique. Julien Bunckens, le secrétaire général, prend position et revendique l’identité chrétienne, qu’il considère comme « une force face à nos missions d’éducation »

    « La place de l’Eglise institutionnelle dans la vie des Belges ou le rapport qu’ils ont à la religion ont considérablement changé au cours des décennies précédentes, tout comme les autres dimensions de la vie en société d’ailleurs. Pour autant, « l’Eglise » ou la « foi » ne sont qu’une partie d’une « identité chrétienne » qui reste largement répandue dans la société. Cette identité a marqué et marque encore le rapport des gens entre eux, dans leurs rapports individuels et institutionnels. Pour en pointer quelques éléments, relevons que cette identité passe par une attention particulière à l’autre, à l’impact des actes que nous posons sur les autres, par l’empathie et l’altérité. Elle suppose également une reconnaissance de l’unicité et de l’importance de chaque personne, quelles que soient ses caractéristiques.  Elle se caractérise par une vision de la construction de la personne qui passe par le groupe, par le fait d’intégrer l’identité de ceux avec lesquels on vit, au-delà de nos seules expériences personnelles. Elle se traduit par le choix d’une éthique solidaire, vécue en priorité avec les plus pauvres et précarisés. Elle passe par un rapport aux institutions qui vise à rapprocher le plus possible l’action publique de la réalité de vie des gens, des entités et niveaux de pouvoirs proches d’eux, ce qu’on appelle la subsidiarité. (…)

    Cette identité « chrétienne » concerne évidemment aussi, mais donc pas seulement, le rapport à la religion, à Dieu, à la spiritualité et au sens. Sur ces dimensions, le CJC et ses membres ont une position totalement libre, critique et franche. Le choix d’une approche chrétienne de ces dimensions signifie faire le choix de poser la question de Dieu à partir de l’Evangile tout en acceptant des réponses différentes à la question; le choix d’un rapport non possessif à la vérité qui permette d’être davantage chercheurs que détenteurs de celle-ci. (…)

    Le choix d’une identité chrétienne dans nos organisations de jeunesse nous pousse à aborder ces questions et à les traiter au regard de l’apport de la tradition chrétienne. Il ne s’agit pas de dire ce qui est vrai et ce qui est faux mais d’interroger, avec force et ténacité, le Bon, le Beau, le Bien, le Juste ou encore la Responsabilité. Il s’agit de chercher ce qui transcende l’homme pris individuellement pour mettre des mots sur ce qui fait la particularité de l’Homme et de sa destinée à travers les millénaires. (…) Nous sommes convaincus que la tradition chrétienne, au-delà de la question de la foi, est riche d’enseignements dans la construction de nos identités individuelles, collectives, politiques et sociales. Nous sommes également convaincus que vivre cette tradition chrétienne aujourd’hui laisse le libre choix et ouvre l’esprit. »

    http://www.cjc.be/ 

  • Troisième Marche pour la vie à Bruxelles : un appel convaincant de l’Association pour la Famille

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    Action pour la famille soutient la Marche pour la vie organisée par un collectif d’étudiants qui partira le dimanche 25 mars à 14h du Mont des Arts (près de la statue du roi Albert I) à Bruxelles. Pour plus d’informations http://www.marchforlife.be

    Malgré les campagnes en faveur de l’usage des contraceptifs et des cours d’éducation affective et sexuelle dans les écoles, le nombre d’avortements ne cesse de progresser en Belgique. Selon les chiffres du dernier rapport de la commission d’évaluation sur l’interruption de grossesse, nous sommes passés de 13 474 avortements en 2003 à 19 421 en 2009, alors que le nombre de femmes en âge d’avoir des enfants est en diminution constante. Plus inquiétant encore : la proportion de jeunes femmes (moins de 25 ans) qui subissent une IVG ne cesse d’augmenter.

    Ne nous voilons pas la face : que l’on soit pro-choice ou pro-life, nous devons admettre qu’il y a un problème de l’avortement en Belgique. Plusieurs décennies d’utilisation de plus en plus répandue et efficace de méthodes contraceptives nous montrent qu’elles sont impuissantes à enrayer cette tendance à la hausse.

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  • La plus délicieuse figure de la geste de Don Bosco

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    Source : abbaye-saint-benoit.ch

    "Dominique est la plus délicieuse figure de la geste de don Bosco" (Daniel-Rops). C'est le deuxième enfant d'une famille qui devait en compter dix. Domenico naît en 1842 à Riva presso di Chieri, à une vingtaine de km à l'est de Turin. Sa famille est pauvre, ce qui oblige son père à exercer à tour de rôle les métiers de forgeron ou de paysan suivant les nécessités et à changer plusieurs fois de lieu d'habitation. Deux ans après la naissance de Dominique, ses parents retournent dans leur pays d'origine, le hameau de Murialdo, village natal de Don Bosco. Dès l'âge de cinq ans, Dominique suit la messe quotidiennement et lorsque, parfois l'église n'est pas encore ouverte, il s'agenouille à la porte et prie, quel que soit le temps. Le curé raconte: "Encore très jeune et de petite taille, il ne pouvait transporter le missel; c'était curieux de le voir s'approcher de l'autel, se hausser sur la pointe des pieds, tendre les bras tant qu'il pouvait, faire tout son possible pour atteindre le porte-missel. Si le prêtre ou quelqu'un d'autre voulait lui faire un plaisir immense, il devait, non pas transporter le missel, mais le lui rapprocher suffisamment, et alors, tout joyeux, il le portait de l'autre côté de l'autel." Il n'est pas étourdi et dissipé comme les garçons de son âge. Très pieux, on n'a pas besoin de lui rappeler ses prières. C'est plutôt lui qui les rappelle à ses parents quand, pressés par la tâche, ils les oublient.

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