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Spiritualité - Page 530

  • Fêter sainte Lucie ou sainte Odile? Les deux!

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    C'est la conclusion de missel.free :

    "Chaque année, le curé qui accorde de l’importance au sanctoral est mis en demeure de choisir entre sainte Lucie et sainte Odile et, quelle que soit celle qu’il choisit de présenter, il s’attire la déception d’une partie de ses paroissiens qui ont de bonnes raisons, familiales ou régionales, de célébrer l’autre.(...)

    Pourquoi ne pas célébrer ensemble sainte Lucie et sainte Odile ? En effet, pendant que l’Eglise chemine à travers l’Avent vers le fulgurent avènement du Soleil de Justice, toutes les deux sont, de singulière façon, les témoins de la lumière du Christ qui éclaire les nations, auquel elles ont parfaitement offert leur vie, l’une dans l’éclatant martyre sanglant et l’autre par l’obscure observance monastique. La brune vierge de Syracuse, Lucie, dont le nom est dérivé du latin lux (la lumière), qui préféra s’arracher les yeux pour goûter la lumière céleste plutôt que de jouir de la lumière terrestre annonce la blonde jeune fille d’Alsace, Odile, qui recouvra la vue lorsque, rejetée par ses parents des honneurs du monde, elle reçut, dans le baptême, la lumière de la foi. Si, pour la fête de la sicilienne, on allume des cierges qui annoncent l’approche du solstice et de la naissance du Christ, dans les attributs de l’alsacienne, on place un coq qui annonce le lever du jour et le triomphe de la lumière du Christ sur les ténèbres de la mort. Quand le propre de Syracuse, par l’intercession de sainte Lucie, nous fait demander à Dieu, d’être délivrés de tout aveuglement de l’esprit et du corps pour mériter plus facilement de contempler les biens célestes, le missel de Frissingue, par l’intercession de sainte Odile, supplie la clémence divine, de nous accorder la grâce de la lumière terrestre et la gloire de l’éternelle clarté. Jadis, au temps ténébreux de l’occupation allemande, l’Alsace espérait la lumière libératrice de la prière de sainte Odile qu’elle priait sur sur sa montagne, tandis que la Lorraine se confiait à sainte Lucie dont elle gardait les reliques à Ottange.

    Prions donc  ensemble sainte Lucie et saint Odile qui ne seront pas trop de deux, pour nous aider à bien recevoir le Divin Enfant de Noël. Puisse leur commune intercession nous obtenir davantage de grâces pour les pieux exercices de l’Avent : que leurs prières nous aident mieux voir les vérités que le Seigneur nous a révélées, à mieux observer les commandements qu’il nous a donnés et à mieux goûter les secours qu’il nous a préparés."

  • Noël à la chapelle Saint-Lambert de Verviers

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    NOËL 2011 EN MUSIQUE

     À LA CHAPELLE SAINT-LAMBERT DE VERVIERSclip_image001.jpg 

     

    À la Chapelle Saint-Lambert de Verviers, au cœur de la Cité  lainière, (rue du Collège, 80), la veillée et la messe de la nuit de Noël auront lieu le samedi 24 décembre à 23h30.


    Au programme de la liturgie : chants grégoriens, polyphonies anciennes du XIIe au XVIIIe siècles, un extrait du « Messie » de Haëndel, sans oublier les incontournables « Stille Nacht » et « Adeste Fideles » , interprétés par la Capella Verviensis, la Schola de Saint-Lambert et Patricia Moulan, alto solo. Albert Schäfer à la flûte  et Léonard Aussems à l’orgue joueront des œuvres françaises, allemandes et italiennes du XVIIIe siècle.

    (messe célébrée selon le missel de 1962)

  • La vraie joie : un don qui naît de la rencontre avec le Christ

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    Ce midi, après avoir rendu visite à la paroisse de Sainte-Marie des Grâces, le pape...

    "...a rappelé que la « vraie joie est liée au rapport avec Dieu. Qui a rencontré le Christ dans sa propre vie, éprouve dans le cœur une sérénité et une joie que ni personne ni aucune situation ne peuvent enlever ».

    « La vraie joie n’est pas le fruit du divertissement, qui implique d’échapper aux obligations de la vie et à ses responsabilités, elle est liée à quelque chose de plus profond. » Certes, a déclaré le Pape, « dans les rythmes de la vie quotidienne, souvent frénétiques, il est important d’avoir du temps pour le repos, pour la relaxation mais la vraie joie est liée au rapport avec Dieu. »

    « La vraie joie, a ajouté Benoît XVI, n’est pas un simple état d’esprit passager, ni quelque chose que l’on obtient avec ses propres forces, c’est un don qui naît de la rencontre avec Jésus. Le chrétien est donc invité à vivre l’Avent sans se laisser distraire par les lumières, par l’environnement extérieur qui propose les habituels messages de type commercial, mais en sachant donner leur juste valeur aux choses, pour que ses yeux soient capables de reconnaitre dans le Christ la vraie lumière du monde. »

    Le Pape a également salué les représentants du Mouvement pour la vie de plusieurs pays européens, rappelant que le premier des droits de l’Homme, était le droit à la vie."

    source : Radio Vatican

  • "Homme et prêtre", le livre d'un prêtre qui dérange et qui réveille

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    9782940402946.gifSuivant La Procure, le père N.-M. Zanotti-Sorkine est...

    "...Un prêtre hors du commun, à la personnalité forte et sensible, au parcours atypique, à la foi tenace et à la parole décidée : le père Michel-Marie Zanotti-Sorkine dérange ou réveille et fait parler de lui à Marseille (où il vient de relever une église moribonde), mais ailleurs aussi... Il évoque avec franc-parler, dans ce livre d'entretiens, sa jeunesse, son chemin vers le sacerdoce, le secret de son ministère et ses convictions profondes. Décapant !"

    Homme et prêtre : tourments, lumières et confidences : entretien avec Jean-Robert Cain, Zanotti-Sorkine, Michel-Marie; Ad Solem (mai 2011),  Prix : 32,30 €

    Quatrième de couverture présentation de l'éditeur) :

    "Homme et prêtre

    En quelques années, le père Michel-Marie Zanotti-Sorkine a Transformé l'église Saint-Vincent-de-Paul en une des paroisses les plus fréquentées de Marseille. La foule se presse pour prier dans la beauté et faire rayonner la lumière du Christ autour d'elle. Conversions et baptêmes se multiplient, les vocations aussi, et les non-chrétiens franchissent les portes de l'église pour découvrir quel mystère se cache dans ce lieu. Comment expliquer un tel phénomène dans une Église dont on stigmatise les faiblesses et prédit constamment la disparition ?

    Michel-Marie Zanotti-Sorkine répond à toutes ces questions dans cet entretien avec Jean-Robert Cain, membre de l'Académie de Marseille et officier des Arts et des Lettres. Après avoir évoqué sa jeunesse et les différentes étapes qui l'ont conduit à la vie religieuse, puis au sacerdoce, il dévoile ce qui est pour lui le secret de son ministère : le primat de la prière, la disponibilité du prêtre dans son église, la vigueur de la prédication, l'attention à la dignité de tout ce qui touche à Dieu. Beauté et vérité sont mises ensemble au service de la sainteté dont le prêtre doit éveiller le désir, par son attitude, par son habit aussi. Et derrière tous ces moyens, on trouve la présence discrète et forte de Marie, à qui le père Michel-Marie a confié la fécondité de son ministère, et toute sa vie. Un livre exceptionnel."

    On lira avec intérêt une analyse approfondie sur "le temps d'y penser"

  • Banneux : foule imprévue à l’enterrement de Mariette Beco

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    Selon l'agence Cathobel, près de 2.000 personnes ont assisté ce 7 décembre aux funérailles de Mariette Beco. La voyante de Banneux repose désormais au cimetière du village, dans le caveau familial.

    L’émotion qu’a suscitée l’annonce du décès de Mariette Beco a été très vive parmi les pèlerins de Banneux. De très nombreux témoignages de sympathie ont ainsi été reçus au Sanctuaire, au lendemain du 2 décembre, et beaucoup de personnes sont venues se recueillir dans la Chapelle de Marie-Médiatrice où le corps de la voyante reposait avant les funérailles. Envisagées dans un premier temps à la chapelle du Message, ces dernières ont finalement eu lieu ce mercredi 7 décembre, dans l’église de la Vierge des Pauvres, seule capable d’accueillir les quelques 2.000 personnes qui s’étaient déplacées pour l’occasion. Ces funérailles étaient présidées par Mgr Aloys Jousten, évêque de Liège, à côté de qui une vingtaine de prêtres, dont le Recteur du Sanctuaire, Léo Palm, avaient pris place ainsi que Mgr Gapangwa (évêque émérite d’Uvira -sur la rive congolaise du lac Tanganyika- et résidant aujourd’hui à Banneux, ndlr).

    Lire l’information complète ici : Banneux: Le dernier hommage à Mariette Beco

    Ce qui frappe, au-delà des discours ecclésiastiques de circonstance, c’est la foi populaire qui s’est exprimée par la présence massive (et sous-estimée au départ par les autorités religieuses) d’un peuple simple, croyant et recueilli. Un peuple à l’image de Mariette Beco elle-même.

  • Benoît XVI expose le dogme du péché originel

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    4328_benoit-xvi_440x260.jpgLe mystère de l’Immaculée Conception de Marie que nous célébrons le 8 décembre  nous rappelle deux vérités fondamentales de notre foi: d’abord le péché originel, puis la victoire qu’a remportée sur lui la grâce du Christ, victoire qui resplendit de façon sublime en Marie la très sainte. La fête du  dogme de Marie préservée de toute inclination au mal est  l’occasion de revenir sur son corollaire : celui du péché originel. Pour Benoît XVI, ce dogme du péché originel, l’un des plus négligé et nié aujourd’hui, est d’une « évidence écrasante »: sans lui, a-t-il dit, la rédemption chrétienne "perdrait sa base"  Voici un large extrait de sa catéchèse sur ce point :

     « Il suffit de regarder autour de nous et surtout en nous. L’expérience du mal est si concrète qu’elle s’impose d’elle-même et nous amène à nous demander: d’où vient le mal? Pour un croyant, en particulier, la question va encore plus loin: si Dieu, qui est la Bonté absolue, a tout créé, d’où vient le mal? A cette question fondamentale, qui interpelle chaque génération humaine, les premières pages de la Bible (Genèse 1-3) répondent justement par le récit de la création et de la chute de nos premiers parents. Dieu a tout créé pour l’existence, il a notamment créé l’homme à son image. Il n’a pas créé la mort, elle est entrée dans le monde à cause de la jalousie du diable qui, révolté contre Dieu, a aussi entraîné les hommes dans le piège en les incitant à la révolte (cf. Sagesse 1, 13-14; 2, 23-24). C’est le drame de la liberté, que Dieu accepte jusqu’au bout par amour, mais en promettant que le fils d’une femme écrasera la tête à l’antique serpent (Genèse 3, 15).  (…)

    L’enjeu ? «  Beaucoup de gens, note Benoît XVI, pensent que, à la lumière de l'histoire de l'évolution, il n'y a plus de place pour la doctrine d'un premier péché qui se serait ensuite répandu dans toute l'histoire de l'humanité. Dès lors, la question de la Rédemption et du Rédempteur perdrait aussi son fondement. (…) » 

    « On ne peut donc pas nier le pouvoir du mal dans le cœur humain et dans l'histoire humaine. La question est: comment ce mal s'explique-t-il ?" Voici:

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  • BXL, 11 décembre : Concert de Noël au Couvent Sainte-Anne (Boitsfort)

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    Concert de Noël

    par le chœur « Capilla del Mistral »

    en soliste la soprano Cristina Sevilla.

    le dimanche 11 décembre à 18h00 

    en l’église du Couvent Sainte Anne de  Boitsfort 

    (avenue Léopold Wiener, 28 à 1170 Boitsfort).

    chants de Noël d’époque Renaissance, baroques ou traditionnels,

    Noëls espagnols et sud-américains.

  • Apparitions de Banneux : une mise au point opportune du Rédacteur en Chef de la Gazette de Liège

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    Paul Vaute, dans la Gazette de Liège, réfute des affirmations gratuites selon lesquelles les responsables religieux n'auraient donné leur approbation aux apparitions de Banneux que de façon tardive et du bout des lèvres :

    "Entre les faits et leur reconnaissance, seize ans pour juger l’arbre à ses fruits

    Le message de Mariette a fini par convaincre, tant il dépassait ses capacités.

    Si les apparitions de Banneux figurent parmi celles, très peu nombreuses, qui ont été validées par l’autorité ecclésiale, c’est sur la base d’enquêtes qui ne furent pas menées à la légère. La conviction de l’évêque de Liège Mgr Kerkhofs, qui autorisa le culte de la Vierge des pauvres en 1942 et reconnut la réalité des événements en 1949, s’appuya notamment sur les travaux de deux commissions diocésaines (1935-1937, 1942-1945) ainsi que sur les investigations menées par les pères Pierre Scheuer, Edouard de Moreau et René Rutten, de formation scientifique. On procéda à la reconstitution exacte des faits et des propos, à l’interrogation des témoins et à la confrontation de leurs réponses, à l’analyse des paroles attribuées à la Vierge et des déclarations de Mariette Beco, toujours d’une cohérence théologique stupéfiante de la part d’une enfant peu instruite, sans oublier la vérification des conversions et guérisons survenues sur place dès le début.

    Comme ses prédécesseurs, Mgr Aloys Jousten, évêque actuel de Liège, a réaffirmé solennellement le caractère authentique des apparitions à l’occasion du 60è anniversaire de leur reconnaissance officielle, en 2009.

    Oui, il existe bien pour l’Eglise une sorte de "sixième sens" qui permet à certaines personnes de percevoir, un certain temps, une irruption de l’éternel dans le temporel, de l’invisible dans le visible. Les apparitions ne sont certes pas des dogmes, mais il est de bien peu de foi, celui qui décrète que le surnaturel ne peut pas se manifester."

  • Liège, 16 décembre : Noël russe à Saint-Jacques

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  • « Patience et longueur de temps font plus que force et que rage »

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    1657203293.jpg« Patience et longueur de temps font plus que force et que rage » (morale d’une fable de Jean de La Fontaine)

    À partir du dimanche 26 février 2012, on assistera au retour de la messe traditionnelle en latin, à Malmédy : ce sera à l’église des  Capucins (photo), rue J. Steinbach, 3, un dimanche par mois, à 18 heures (heure défiinitive à confirmer). Les médias locaux et régionaux ont consacré à cette nouvelle une importance…extraordinaire, montrant que parmi les chrétiens la question liturgique demeure encore très sensible quarante ans après les réformes du pape Paul VI.

    La restauration de l’ « usus antiquior » à Malmédy fait suite à la demande introduite le 29 mars 2009 par un groupe d’une soixantaine de fidèles, conformément aux procédures établies par le motu proprio de Benoît XVI (2007) libéralisant l’usage du missel romain de 1962.

    Leur requête s’étant heurtée au refus du curé-doyen de Malmédy, M. l’abbé Henri Bastin (15 mai 2009) et de l’évêque de Liège, Mgr Aloys Jousten (28 juillet 2009), un recours contre la décision de ceux-ci fut formé à Rome devant la commission pontificale « Ecclesia Dei » (28 juin 2010) et réitéré un an plus tard (16 août 2011). Peu après ce rappel, l’évêque de Liège accéda à la demande des requérants (25 octobre 2011), après les avoir rencontrés, avec leur doyen, dans un véritable esprit de paix liturgique.

    La messe sera célébrée par trois prêtres que l’évêque a désignés conformément aux souhaits des demandeurs. Il s’agit des abbés Claude Germeau (Liège), Jean Schoonbroodt (Banneux) et du père Jos Vanderbruggen, o. praem. (Tancrémont).

    Dans l’esprit même de la lettre du Saint-Père accompagnant la promulgation du motu proprio « Summorum Pontificum », cette restauration du missel de 1962 à Malmédy peut contribuer à enrichir l’ « ars celebrandi » dans toute la région. La sacralité et la théologie du sacrifice si bien exprimées dans la messe traditionnelle aideront, espérons-le, à les manifester aussi toujours davantage dans les autres liturgies eucharistiques. Loin d’opposer une forme liturgique à l’autre, cette messe peut être, au contraire, un facteur de réconciliation et d’unité dans la charité du Christ.

    Le nombre des célébrations publiques hebdomadaires selon la forme liturgique traditionnelle autorisées dans le diocèse de Liège  s’élève actuellement à une dizaine (contre deux, au début des années 1980). Il faut maintenant y ajouter cette célébration mensuelle à Malmédy.

  • Le pape incite les chrétiens à s'inspirer du style de Jean le Baptiste

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    Radio Vatican se fait l'écho des paroles du pape à l'Angelus de ce dimanche midi (4 décembre) :

    A l’Angélus, ce dimanche, Benoît XVI a implicitement invité les fidèles à renoncer au luxe et à la richesse : le style de Jean le Baptiste devrait inciter les chrétiens à opter pour la sobriété, surtout en ce temps liturgique qui précède Noël. Jésus lui-même - a-t-il relevé - s'est fait pauvre pour nous enrichir de sa pauvreté. A l’occasion du II° dimanche de l’Avent, le Pape rappelé que deux figures ont joué un rôle prééminent dans la préparation de la venue historique de Jésus : la Vierge Marie et Saint Jean-Baptiste, le Précurseur, qui exhorte à la conversion, dont le baptême est un appel ardent à changer sa manière de penser et d’agir, un changement intérieur qui passe par la reconnaissance et la confession de son propre péché. Benoît XVI a donc encouragé les fidèles à profiter de ce temps liturgique pour rentrer en eux-mêmes et faire une introspection sincère de leur vie.
    Le Pape a résumé son allocution en plusieurs langues dont le français. A écouter ici : http://www.radiovaticana.org/fr1/Articolo.asp?c=543422

    Texte de l'allocution du Pape en français

    Chers pèlerins francophones, la prière de l’Angélus me donne la joie de vous accueillir. À la suite de Jean-Baptiste, n’ayons pas peur de vivre dans l’espérance. Dans notre monde traversé par l’incertitude et la violence, que ce temps de l’Avent et de l’attente de la venue du Prince de la Paix, nous donne de méditer la Parole de Dieu. Évitons de nous endormir et préparons avec détermination le chemin du Seigneur, source de paix et de joie, d’amour et d’espérance, qui vient sans cesse consoler son peuple. Avec la Vierge Marie, soyons les messagers impatients de l’espérance dont notre monde a tant besoin ! Bonne et sainte préparation à la fête de Noël

    Après l’Angélus, le Pape a évoqué une fois encore la situation des migrants et des réfugiés. Trois anniversaires seront célébrés ces jours prochains : le cinquantenaire de l’institution de l’Organisation mondiale des Migrations, le 60° anniversaire de la Convention sur le statut des réfugiés et le cinquantenaire de la Convention sur la réduction des cas d’apatridie. Benoît XVI confie à Dieu ceux qui sont contraints de quitter leur pays et ceux qui n’ont pas de nationalité légale ; il invite à se montrer solidaires avec eux et il prie pour tous ceux qui s’efforcent de les protéger et de les assister, en s’exposant parfois à des vicissitudes et à des dangers.

  • Une homélie d'Origène pour le 2e dimanche de l'Avent

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    source : http://www.catho.org/

    Homélie d'Origène (+ 253)

    Homélies sur saint Luc, 22, 1-4, SC 67, 300-302...

    Examinons comment l'avènement du Christ est proclamé, et d'abord ce qui est écrit au sujet de Jean: A travers le désert une voix crie: Préparez le chemin du Seigneur, aplanissez sa route. Ce qui suit concerne en propre le Seigneur notre Sauveur, car ce n'est pas par Jean Baptiste que tout ravin sera comblé, mais par le Seigneur notre Sauveur. Que chacun se considère soi-même, ce qu'il était avant de croire, et il découvrira qu'il a été une vallée basse, une vallée en pente rapide, plongeant vers les bas-fonds. Mais le Seigneur Jésus a envoyé l'Esprit Saint, son remplaçant. Alors toute vallée a été comblée, par les bonnes oeuvres et les fruits de l'Esprit Saint.

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