Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Témoignages - Page 232

  • Sexualité avant le mariage : le courage d'aller à contre-courant

    IMPRIMER

  • Moyen-Orient : les trois leçons des martyrs

    IMPRIMER

    Du Cardinal-Archevêque de Milan, Angelo Scola, sur le site Oasis (oasiscenter.eu) :

    Les trois leçons des martyrs

    Il n’existe qu’un mot pour dire ce qui arrive aux chrétiens au Moyen-Orient : martyre. Le témoin désarmé démasque le contre-témoignage du djihadiste et met à nu le virus qui a détruit des pays entiers, de la Syrie à l’Irak : la recherche de la victoire à tout prix, par l’anéantissement de l’autre. L’Europe, distraite, trop longtemps repliée sur son propre narcissisme, se découvre, aujourd’hui, impuissante

    « L’histoire de l’Église, la véritable histoire de l’Église, est l’histoire des saints et des martyrs : les martyrs persécutés ». C’est en ces termes que le pape François1 rappelait récemment, avec une force singulière, tout le « cas sérieux » de l’existence chrétienne : le témoignage auquel chaque baptisé est appelé, même devant la persécution, même – si Dieu le lui demande – jusqu’à l’effusion du sang. C’est une réalité, prévue sans ambages dans le discours missionnaire du chapitre 10 de l’Évangile de Matthieu, et confirmée par 2 000 ans d’histoire. Mais la toucher de la main aujourd’hui parmi les réfugiés d’Erbil, comme j’ai pu le faire en juin dernier à l’invitation des Patriarches Béchara Raï et Louis Sako, est une expérience qui reste gravée dans la mémoire et dans le cœur. Elle confère une lumière nouvelle pour regarder les évènements tragiques du Moyen-Orient – les flammes d’une guerre qui ne semble pas s’apaiser – et leurs retombées sur une Europe trop apathique et repliée sur elle-même, qui ne semble que récemment se réveiller de la torpeur dans laquelle elle a sombré.

    Saint Maxime le Confesseur, reprenant une expression paulinienne (1Co 2,16), affirme qu’avoir « la pensée du Christ » signifie penser selon le Christ, mais surtout « Le penser en toutes choses »2 : tel est le sens de l’Incarnation, tel est le génie du Christianisme. Que signifie alors avoir la pensée (la mens) du Christ devant ce qui se passe au Moyen-Orient ? Je crois que cela signifie, avant même toutes les considérations géopolitiques, économiques ou stratégiques, se trouver devant une simple constatation : sur ces terres, c’est un martyre qui se consume. Ce fait, que nous avons du mal à regarder en face, a une importance énorme, j’en suis convaincu, non seulement pour l’Église, mais aussi pour une compréhension plus profonde à la fois des racines de la conflictualité persistante au Moyen-Orient, et de l’impuissance dans laquelle se débat l’Occident. La pensée du Christ est un principe qui explique le réel, tout le réel, et il me semble qu’elle nous confie ici au moins trois leçons.

    Lire la suite

  • La béatification de Juste Takayama Ukon, un samouraï chrétien, martyr (1552-1615)

    IMPRIMER

    samurai.jpgLu sur le site des Missions Etrangères de Paris :

    Béatification d’un samouraï chrétien, martyr : Juste Takayama Ukon (1552-1615)

    Le pape François a autorisé, le 21 janvier, la Congrégation pour les causes des saints à promulguer le décret de béatification comme martyr du « Serviteur de Dieu » Justo Takayama Ukon (1552-1615), laïc japonais, samouraï converti au christianisme.

    Cette annonce est l’aboutissement d’une décision de la Conférence des évêques catholiques du Japon qui remonte à 1930, d’introduire à Rome le dossier de béatification de Takayama Ukon. Reprise à la fin de la guerre en 1946, elle fut relancée en mai 1963, deux ans avant la commémoration du 350e anniversaire de sa mort. Elle fut officiellement reprise en 1965, l’année de la clôture du concile Vatican II, car cette demande avait une valeur particulière pour l’Eglise du Japon du fait que jusqu’alors les martyrs japonais avaient été reconnus en groupe : les 26 martyrs de Nagasaki mis à mort le 25 février 1597 et canonisés en 1862 et 205 autres martyrs, morts entre 1617 et 1632 et béatifiés par Pie IX en 1867 (sans omettre les 188 martyrs morts entre 1603 et 1639 et béatifiés par Jean-Paul II le 20 novembre 2008). Juste Ukon deviendra donc le premier martyr béatifié à l’occasion d’une cérémonie à lui seul dédiée.

    Selon Mgr Kikuchi, évêque de Niigata, « Ukon n’a pas été mis à mort comme on pu l’être les autres martyrs du Japon. Nombreux sont les catholiques japonais aujourd’hui à penser que le martyre n’a rien à voir avec leur vie dans le Japon contemporain car ils ne risquent pas d’être mis à mort au nom de leur foi en Christ. Mais ce que nous dit la vie d’Ukon, c’est que la mort ‘in odium fidei’ n’est pas la seule voie vers le martyre : une vie de martyr, c’est aussi une vie par laquelle on donne tout à Dieu, on renonce à tout pour l’amour de Dieu ».

    Lire la suite

  • J'ai osé le christianisme...

    IMPRIMER

    Au-delà du charme et de la beauté de ses chansons, voici le message profond, étonnant, lumineux, rafraichissant, vivifiant, apaisant, doux, réconfortant que Michel Delpech nous a laissé en rejoignant le Ciel. Une parole d'homme, parole d'artiste, parole de chrétien... Un cadeau !

    «J’ai cru guérir de ce cancer de la langue qui m’a touché en février 2013. Je me suis trompé. Il est revenu. Il y a une guerre au fond de ma gorge. Je me bats, je travaille à guérir. Pour un chanteur, perdre sa voix, c’est la pire épreuve. Depuis l’âge de 18 ans, la chanson est toute ma vie. Deux cents chansons en cinquante ans de carrière, dont trente “tubes”.
     
    Curieusement, alors que je vis pour ma voix et par ma voix, je n’ai pas interpellé Dieu, je ne me suis jamais dit que ce qui m’arrivait était injuste. Peut-être parce que je commence à vivre non plus par ma voix, mais par la foi ? Pour parodier le titre d’une mes chansons – “Le Loir et Cher” –, je dis aujourd’hui : “La foi m’est chère”.

    Mon premier cancer avait mis ma vie spirituelle en veilleuse. Je ne pouvais plus lire, ni me nourrir intellectuellement, moi qui suis féru de théologie. Cette rechute me révèle que la vie spirituelle ne se loge pas dans l’intellect, mais qu’elle est la VIE même – la vie de Dieu qui irradie tout l’être, et pas seulement la tête.

    Je suis profondément croyant. J’ai vécu un jour un “choc religieux” à Jérusalem, où j’ai rencontré le Christ. Je visitai le Saint-Sépulcre avec ma femme, et là, pressé pourtant par de nombreux pèlerins, soudain, devant le Tombeau, je m’agenouille et me voilà chrétien. Un peu comme Frossard, Claudel, Clavel – d’un coup. En l’espace d’un instant, Jésus est entré dans ma vie, dans mon cœur. C’était très doux. J’ai immédiatement eu la sensation que j’étais sauvé. Tout ce qui m’était arrivé auparavant devenait caduc. La seule chose que je ne remette jamais en doute, c’est l’existence de Dieu.

    Je suis d’un naturel plutôt ténébreux, un hypersensible qui s’en fait pour un rien. Je crois savoir où est la sagesse à force de lectures et de rencontres, mais je ne l’ai pas encore trouvée. Or, dans cette chambre d’hôpital, depuis des mois, curieusement, je n’ai jamais été aussi apaisé. Ce “re-cancer” ne m’a pas brisé : je crois qu’il me grandit.

    Lire la suite

  • Avortement : un reportage exceptionnel

    IMPRIMER

    Vu sur reinformation.tv :

    Avortement : ce que l’on ne vous dit pas. Des femmes témoignent

    Sans titre.png

    Un document exceptionnel – Une exclusivité Réinformation.tv

    Elle a avorté, un jour. C’était il y a 3 ans. Elle en a aujourd’hui 25. Lorsqu’elle s’est retrouvée enceinte, qu’elle l’a annoncé à son petit ami, Margaux ne s’attendait pas à une telle descente aux enfers. Très rapidement, son ami lui a demandé de ne pas garder l’enfant issu de leur union. Très rapidement, il la quittée. Elle s’est retrouvée totalement seule.

    Pressions, abandon, souffrance : des femmes témoignent

    Subissant la pression de son entourage, qui lui indiquait que financièrement elle ne pourrait subvenir à ses besoins, Margaux a fini par avorter. C’est alors pour elle une longue traversée du désert. Sommeil troublé, crises de larmes à répétition. Mais elle a surtout des envies de suicide. « Je ne dormais plus, je mangeais plus, j’ai perdu 10 kilos. Ma mère qui avait fait pression sur moi pour que je ne garde pas mon enfant a reconnu plus tard qu’elle avait été égoïste… ».
     
    Il y a Margaux, il y a aussi Anne-Laure. Cette jeune femme de 28 ans a subi un avortement par aspiration il y a un an et demi. Le témoignage déchirant de cette jeune femme ouvre le voile sur un tabou : la solitude, la souffrance, la très grande détresse de nombre de femmes qui, sous la pression, l’angoisse, l’inquiétude, privées des conseils dont elles auraient besoin, des soutiens financiers qui leurs seraient nécessaires, avortent, pour leur plus grand désespoir.

    Souffre et tais-toi : briser le silence autour de l’avortement

    Les conséquences psychologiques sont immenses, les dégâts collatéraux souvent incalculables et la société se tait. Les femmes doivent souffrir en silence, sans se plaindre. Le sujet est tabou, mais pas sur internet. Partout sur le web, on trouve des témoignages de ce type. Certaines vont même jusqu’à poster leurs vidéos-témoignages sur YouTube. Elles ont besoin d’en parler, car personne ne veut les entendre. La souffrance post-avortement est pourtant un fait avéré. Des spécialistes commencent à l’évoquer enfin. Une étude sur 173.000 femmes californiennes à partir des remboursements de leur mutuelle médicale a révélé que le risque d’avoir recours à un traitement psychiatrique est 63 % plus élevé pour les femmes ayant avorté.

    Un reportage exceptionnel d’Armel Joubert des Ouches

  • 21 martyrs coptes, un an après : une foi fortifiée

    IMPRIMER

    Mgr Bafnotios, 66 ans, a l’habitude de faire face au péril islamiste. Il est, depuis trente-huit ans,mgr-bafnotios-eveque-copte-orthodoxe-de-samalout-en-moyenne-egypte_article.jpg l’évêque copte orthodoxe de Samalout, en Moyenne-Égypte. C’est de son diocèse que sont originaires les martyrs exécutés le 16 février 2015. Comment le diocèse de Samalout a-t-il fêté ce premier anniversaire le 16 février? Interview lue sur le site  du magazine « famille chrétienne » :

    Nos diocésains, et spécialement les habitants d’El Our, sont très fiers de leurs enfants qui ont montré une foi digne de celle des premiers chrétiens, et des Coptes depuis mille quatre cents ans. Mais, au-delà du diocèse, c’est toute l’Église copte qui les célèbre. Le saint synode [assemblée des évêques ] d’Égypte sera invité tous les ans pour célébrer cet anniversaire ; la fête de l’entrée du Seigneur au Temple sera désormais aussi la célébration des vingt et un martyrs.

    Où en est le chantier de la basilique qui leur est dédiée?

    Dans une semaine, le rez-de-chaussée sera achevé et le premier étage commencera. Elle fera 4 200 m2.

    Le président El Sissi a autorisé la construction de cette basilique. N’est-ce pas radicalement nouveau dans un pays où, depuis quatorze siècles, les chrétiens sont considérés comme des citoyens de seconde zone?

    C’est exact. Il a déclaré que les otages sacrifiés n’étaient pas seulement des martyrs chrétiens, mais ceux de toute la nation égyptienne. L’Église a actuellement une excellente relation avec le président El Sissi, et avec le gouvernement.

    Qu’est-ce que cet événement tragique a changé au village d’El Our?

    Il a fortifié la foi et ouvert une fenêtre vers le Ciel. Le quotidien est devenu plus chrétien, avec une pratique religieuse plus profonde, je vois la différence.

    À El Our, cet évènement tragique a fortifié la foi et ouvert une fenêtre vers le Ciel.

    Lire la suite

  • Amoureuse de Jean-Paul II ?

    IMPRIMER

    Tous les médias d’ "information" en ont parlé hier comme d’un « scoop ». A presse stupide, juste réponse de Bernard Lecomte.  Lu  sur le blog « Salon beige" :

    « Le scoop de la BBC sur la correspondance du pape Jean-Paul II avec Mme Tymieniecka n'en est pas un. Sur son blog, Bernard Lecomte écrit :

    "Médias sans mémoire ! Voilà que la BBC, à son tour, en fait des tonnes sur la relation entretenue entre Karol Wojtyla et Anna-Teresa Tymienicka dans les années 1973-76, comme si c’était un scoop. Alors que cette sympathique philosophe américaine, d'origine polonaise, figure évidemment dans toutes les biographies de Jean-Paul II (cinq pages dans la mienne).C’est elle qui fit connaître en Occident les travaux philosophiques du futur pape et qui lui ménagea de riches contacts aux Etats-Unis, notamment à Harvard. Qu’elle fût d’abord intéressée, puis fascinée, puis amoureuse de lui n’a jamais fait aucun doute (même son mari l'a confirmé !) tout comme le fait que le cardinal Wojtyla ait gentiment mais fermement résisté à ses avances !"

    De son côté, la bibliothèque nationale polonaise a précisé lundi dans un communiqué que « les thèses formulées par des médias ne trouvent aucune confirmation dans le contenu des lettres de Jean Paul II à Anna Tymieniecka qui font partie des collections de la bibliothèque nationale » et rappelle que la relation du pape avec Teresa Tymieniecka n'était « ni confidentielle, ni exceptionnelle ».

    Ref. Amoureuse de Jean-Paul II ? 

    Sur le blog du « Suisse Romain », on peut lire ce bref communiqué du cardinal Dziwisz, ancien secrétaire de Jean-Paul II, qui suffit amplement pour envoyer promener les journaleux :  "Qui a vécu aux côtés de Saint Jean-Paul II, sait très bien qu'il n'y a pas de place pour la malice.  Karol Wojtilà , un homme libre et transparent, n'avait pas de complexe car c'était un homme très pur qui respectait chaque personne et toutes les situations de vie. La pureté est l'unique clef de lecture avec laquelle toute sa vie exemplaire et sainte doit être interprétée."  

    Source: Piotr Studnicki, porte parole du Cardinal de Cracovie

     JPSC

    Lire également : http://reinformation.tv/lettres-jean-paul-ii-anna-teresa-tymienecka-amie-medias-dolhein-51400-2/

  • Vient de paraître chez Gallimard : « Simon Leys, Navigateur entre les mondes »

    IMPRIMER

    Philippe Paquet publie une biographie magistrale de l’écrivain belge. L’auteur des "Habits neufs du président Mao" fut un brillantissime intellectuel. Compte-rendu de Guy Duplat dans « La Libre » sous l’intitulé  « Simon Leys, la passion de la vérité ».

    leys-2.jpg"Bernard Pivot qui avait reçu Simon Leys à "Apostrophes" pour une émission mémorable, écrivait en 2011 : "Simon Leys est l’écrivain vivant que j’admire le plus au monde. Son érudition, sa lucidité (premier intellectuel à dénoncer les crimes de la Révolution culturelle), son courage (injurié, diffamé par les nombreux et influents admirateurs français de Mao), ses talents de sinologue, de conteur, d’historien, de critique, de traducteur, d’écrivain tout simplement, dans sa pratique d’une langue élégante, précise, efficace, sa modestie, sa gentillesse, sa générosité."

    Philippe Paquet, journaliste à "La Libre Belgique" et sinologue, reprend tous ces aspects de la personnalité de Simon Leys dans la monumentale biographie qu’il publie chez Gallimard. Il n’y parle pas du "petit tas de secrets" qu’est la vie de tout homme, disait Malraux, mais dresse son portrait intellectuel et littéraire. Si on admet que l’intelligence et l’érudition peuvent être jouissives, on comprendra que ces près de 700 pages se lisent d’un souffle, avec une joie profonde.

    Simon Leys (1935-2014), ce fut d’abord "Les Habits neufs du président Mao", bombe à fragmentation qui explosa en 1971, en pleine vague maolâtre en France. Un Belge (son vrai nom était Pierre Ryckmans), qui fut sept ans enseignant à Hong Kong et était devenu un grand sinologue, installé alors à Canberra en Australie, y démontrait que "le Roi est nu", que "la Grande révolution culturelle prolétarienne" n’avait rien de culturel mais tout d’une sanglante lutte interne pour le pouvoir dans la tradition des pires empereurs de jadis.

    Ce livre allait à l’encontre de toutes les thèses portées en France, par les intellectuels, de Barthes à Kristeva et Sollers, aveuglés par la Chine écarlate.

    Lire la suite

  • Eglise sous d’autres cieux : visite pastorale de Mgr l’évêque (diocèse d’Idiofa, au Kwilu)

    IMPRIMER

    Vivante Afrique! Images d’un aujourd’hui du Congo (RDC) qui ravive étonnamment la mémoire des anciens et nous laisse songeur sur l’actualité présente de la foi en Belgique…

    JPSC

  • Liège: 24 heures pour le Seigneur

    IMPRIMER

    AfficheA4-24heuresSeigneur-Recto couleur.jpg

    Pour en savoir plus

    Les équipes diocésaines des vicariats « Annoncer l’Evangile » et « Evangile et Vie » ont mis les petits plats dans les grands pour vous offrir une journée hors du commun : un événement d’Église d’abord qui rassemblera, nous l’espérons, des chrétiens de tous les âges et des quatre coins de l’horizon du diocèse de Liège. Des approches multiples aussi pour approfondir et vivre diverses facettes de la miséricorde et du pardon dans la vie quotidienne, dans son expression sacramentelle, dans l’engagement au service et dans le monde aussi... Une invitation largement ouverte, une expérience à vivre !

    Olivier Windels,

    Vicaire épiscopal, coordinateur des « 24h pour le Seigneur ».

    Les détails que nous pouvons donner à ce jour :

    Comme nous avons eu l’occasion de le présenter dans « Eglise de Liège » (janvier-février 2016, p. 29), les « 24 heures pour le Seigneur » se dérouleront en quatre phases :

    • La première, le vendredi 4 mars, sur un mode plus jeune mais ouvert à tous, débutera à 18h00 à la Cathédrale

    18h00 : Entrée priante dans les 24h, lecture de la Parole et chants.

    19h00 : Animation autour du thème de la miséricorde : témoignage, extrait vidéo …

    19h30 : Eucharistie simple autour de notre évêque

    20h30 : Veillée de la miséricorde animée par le groupe Nightfever : jeunes et adultes admis !

    21h45 : simultanément :      Concert du groupe Jesus’trip

                                           Prolongation de la prière silencieuse d’adoration

    • La deuxième, toujours à la Cathédrale : longue nuit de prière et d’adoration ; relais – prière pris en charge par divers groupes de jeunes et de moins jeunes. Pour les jeunes, expériences de rencontres solidaires.
    • La troisième, le samedi 5 mars, à travers toute la ville de Liège, 22 animations sont proposées en continu de 9h30 à 16h15 autour du thème de la miséricorde et du pardon. Chacun, en groupe ou individuellement, choisira au gré de ses désirs et composera son « menu »; on peut arriver quand on veut et repartir de même (voir l’article d’Eglise de Liège cité).

    Les différentes animations (sous réserve de légères modifications de détail de dernière minute !) : 

    A la Cathédrale : lecture continue de la Parole de Dieu

    Au Carmel de Cornillon : Silence et adoration du Saint-Sacrement.

    A Saint-Remacle : quand la musique parle de miséricorde : pièces d’orgue commentées

    A Saint-Nicolas : quand les images parlent de miséricorde : extrait du film « Human » échanges.

    A Saint-Pholien : permanence de confessions individuelles et d’écoute fraternelle.

    A Saint-Louis : A l’écoute d’une Parole de miséricorde. Partage biblique.

    A Notre-Dame des Anges : Peut-on sortir de la violence ? Animation participative.

    A Sainte-Véronique : Nourrir l’affamé, vêtir ceux qui sont nus… Témoignage.

    A Saint-François de Sales : On ne joue pas avec la miséricorde !!! ... Et pourquoi pas ???

    Découvrir la beauté de la miséricorde à travers le jeu. Animations pour petits et grands.

    Au Saint-Sacrement : Silence et adoration guidée du Saint-Sacrement.

    A l’abbaye des bénédictines : A l’écoute d’une Parole de miséricorde. Partage biblique.

    A Saint-Jean : Peut-on tout pardonner ? Mini-conférence

    A Saint-Christophe : L’expérience d’être pardonné. Témoignage d’un ex-détenu.

    A Saint-Jacques : Résoudre les causes structurelles de la pauvreté. Qu’est-ce que la dette publique, quel impact de celle-ci sur l’économie et la société ? Animation pour un public peu ou pas averti..

    Au Grand séminaire : Altruisme et compassion. Réflexion à partir de la pensée de Matthieu Ricard.

    A Saint-Denis : Un retable de la miséricorde ; permanence de confessions et d’écoute fraternelle

    A Sainte-Catherine : Chanter la miséricorde : découvrir et approfondir quelques chants.

    Saint-Barthélemy : l’Islam et le Dieu de la miséricorde. Témoignage.

    Chapelle des Filles de la Croix : La réconciliation, un sacrement méconnu. Mini-conférence.

    A Saint-Servais : L’attention à l’autre et le pardon dans le couple. Animation, échanges.

    A Saint-Martin : Saint Martin, un modèle de miséricorde et de générosité. Animation adultes, jeunes, enfants.

    A Sainte-Marguerite : Quand la miséricorde passe aux actes d’Entraide et de Fraternité… Animation.

    • La quatrième, 17h00 à la Cathédrale : célébration ecclésiale de la réconciliation autour de notre évêque.

    Un fascicule plus complet sera réalisé d’ici peu ; il précisera davantage le contenu des animations ; il aidera à s’orienter dans la ville (plan situant les diverses églises) ; il donnera des indications pour le parking éventuel ; il signalera des lieux où l’on peut se rendre pour manger son pique-nique.

    Ce fascicule vous sera envoyé par mail sur simple demande à l’adresse suivante :

    contact@annoncerlevangile.be

    Ces informations seront également disponibles dès que possible sur le site du Diocèse ainsi que celui du Vicariat « Annoncer l’Évangile » : www.annoncerlevangile.be

     JPSC

    www.24heurespourleseigneur.be

  • Le chant des offices de la liturgie liégeoise médiévale : une conférence de Marcel Pérès à l’église des Bénédictines au Boulevard d’Avroy le dimanche 14 février 2016 à 15h30

    IMPRIMER

    sigle_bleu.jpg

    Académie  de  Chant  grégorien à Liège

    Secrétariat :  Jean-Paul Schyns,  Quai Churchill , 42/7  4020  Liège

    E-mail :  academiedechantgregorienliege@proximus.be

    Tél. 04.344.10.89      Site :    http://www.gregorien.be

        

     Église de l’abbaye des Bénédictines de Liège

    église des bénédictines.jpg

    Boulevard d’Avroy, 54 

    Dimanche 14 février 2016 à 15h30 

    LE CHANT DES OFFICES DE LA LITURGIE LIÉGEOISE MÉDIEVALE

    Trinité, Fête-Dieu, Saint Lambert 

    CONFÉRENCE 

    donnée par  

    Marcel-Peres (1).jpg 

    MARCEL PÉRÈS

     Directeur de l’Ensemble « Organum » et du CIRMA (Centre Itinérant de Recherche sur les Musiques Anciennes).

     

    Les manuscrits présentés portent encore beaucoup d’éléments constitués au cours de la renaissance carolingienne et offrent de précieuses indications sur l’art de la scansion du plain-chant, comme le montrera aussi l’interprétation vocale d’extraits de ces manuscrits.

     

     P.A.F : 10 € (à l’entrée)

    Renseignements et réservations : 04.344.10.89 (J.P. Schyns) ou 04. 223.77.20 (demander Sœur Petra)

    Voir aussi : 

    http://eglisedusaintsacrementliege.hautetfort.com/archive/2016/01/22/academie-de-chant-gregorien-a-liege-trois-sessions-et-deux-c-5748645.html

  • Quand Mgr De Kesel s'exprime sur RTL et prend position sur la question de la laïcité de l'Etat

    IMPRIMER


    Jozef De Kesel : l’interview politique