Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Témoignages - Page 323

  • Ces chrétiens qu'on persécute

    IMPRIMER

    Sur cyberpresse.ca, Mathieu Perreault rencontre Francesca Paci et s'entretient avec elle des persécutions dont sont victimes les chrétiens dans de nombreuses régions du globe :

    "Francesca Paci couvre le Proche-Orient depuis une quinzaine d'années pour le quotidien turinois La Stampa. Jusqu'à l'an dernier, elle n'avait jamais réfléchi au fait que de nombreux chrétiens habitent les contrées qu'elle arpente pour son travail sur l'islam et le conflit israélo-palestinien. À Londres, elle a connu son chemin de Damas et a décidé d'écrire un livre sur les persécutions contre les chrétiens aux quatre coins du monde. Son livre, Dove muoiono i cristiani (Là où meurent les chrétiens), a paru en mars. Nous l'avons jointe récemment à Rome..."

    lire la suite ici : http://www.cyberpresse.ca/international/europe/201107/20/01-4419359-ces-chretiens-quon-persecute.php

  • Chemin de croix des JMJ : des jeunes handicapés ou malades du SIDA porteront la croix

    IMPRIMER

    "Lors du traditionnel chemin de croix, la croix des Journées Mondiales de la Jeunesse (JMJ) sera notamment portées par des jeunes handicapés ou malades du Sida, a affirmé le P. Eric Jacquinet, responsable de la section « jeunes » du Conseil pontifical pour les laïcs, dans une interview à l’agence italienne Sir.

    Durant la Via Crucis, a expliqué le P. Jacquinet, « la Croix sera portée par des jeunes handicapés, des malades du Sida, des indigents et des pèlerins venant de zones de conflits comme la Terre Sainte et l’Irak ou des régions touchées par des désastres naturels comme le Japon et Haïti ».

    « L’idée – affirme-t-il – est de montrer que Jésus est proche de leur souffrance en montrant le juste chemin pour aller de l’avant et passer de la mort à la vie ».

    Le P. Jacquinet a aussi annoncé la venue de 900 jeunes Chinois de Hong-Kong, 2000 Russes et 300 Japonais." 

    source : http://www.zenit.org/article-28520?l=french

  • Les carmélites de Compiègne

    IMPRIMER

    carmelites_compiegne_a.jpgOn fête aujourd'hui les carmélites de Compiègne exécutées en raison de leur foi, sous la "glorieuse révolution française". Cet épisode a inspiré de nombreuses oeuvres dont "La dernière à l'échaufaud" de Gertrud von Le Fort ainsi que le fameux "Dialogue des Carmélites" de Bernanos, lui même transposé à l'opéra par Francis Poulenc.

    Evangile au Quotidien nous apprend qu'"en 1790, il y avait 21 sœurs au Carmel de Compiègne dont la plus âgée avait 75 ans et la plus jeune 26 ans. Chassées de leur Carmel en 1792, elles s'installèrent dans 3 maisons voisines. Lors d'une perquisition des révolutionnaires, ceux-ci trouvèrent des images du Sacré-Cœur (emblème vendéen et royaliste) ainsi que des lettres destinées à des prêtres réfractaires. Arrêtées, elles furent escortées jusqu'à Paris et là, jugées sommairement et guillotinées sur la Place du Trône (aujourd'hui, Place de la Nation). En montant sur l'échafaud, elles chantaient le Veni Creator et la mère supérieure donna la bénédiction à chacune avant d'être elle-même guillotinée. Seule une sœur en réchappa, absente le jour de l'arrestation, et publia un récit en 1836, basé sur de nombreux témoignages. Elles furent béatifiées le 27 mai 1906 par Pie X."

  • Lourdes : quand un coureur du Tour de France fait état de sa foi

    IMPRIMER

    « C’est vrai, je demande à Dieu de m’aider à bien courir, prolonge Yohann Gène, mais surtout, je lui demande de me protéger, moi et les autres gars du peloton… Ce qu’on craint tous, c’est la chute. Même si les gars n’en parlent jamais, ils savent qu’ils sont fragiles, que ça peut arriver très vite. Alors si la Vierge peut nous protéger, tant mieux… »

    C'est dans La Croix : http://www.la-croix.com/ où l'on découvrira la suite...

  • 14 juillet : Les coureurs du Tour de France à Lourdes

    IMPRIMER

    Sur le site de la Conférence des Evêques de France, nous découvrons que :

    "Les Sanctuaires de Lourdes s'associent au passage du Tour de France dans la Cité Mariale. Le 14 juillet 2011, 180 cyclistes ouvriront la traditionnelle procession aux flambeaux. Un événement ouvert à tous, sur inscription.

    Alors que les coureurs du Tour de France seront déjà dans les Pyrénées, 180 cyclistes ouvriront la Procession aux flambeaux, le 14 juillet 2011 à 21 heures. Devant les malades, juste derrière la statue de la Sainte Vierge, ils s'avanceront, vélo à la main. Chacun portera un dossard au numéro d'un des coureurs du Tour. A l'arrivée de la procession, ils entoureront la statue. Puis une messe des cyclistes sera célébrée à la Grotte à 23h.

    « L'Église catholique a toujours tenu le sport en grande estime, explique Mgr Jacques Perrier, évêque de Tarbes et Lourdes. L'effort, le bonheur, la souffrance certains jours, l'esprit d'équipe : tout cela n'est pas sans valeur pour un chrétien ».

    Le 15 juillet, pour l'arrivée des coureurs, les pèlerins de Lourdes (notamment les jeunes du pèlerinage de Strasbourg) formeront 12 étoiles géantes sur la prairie des Sanctuaires. Elles seront filmées par l'hélicoptère de France Télévisions qui survolera la ville au passage du Tour vers 17h.
     
    « Notre-Dame du Tour de France », priez pour nous !
    En 1948, le vainqueur de l'étape, l'Italien Gino Bartali (1914-2000), était allé à la Grotte porter la gerbe de fleurs qu'il avait reçue à l'arrivée."
  • Les missionnaires sont de retour

    IMPRIMER

    imagesCA6MU8U3.jpgL’abbé Loiseau a fondé en 2005, dans le diocèse de Fréjus-Toulon, les  « Missionnaires de la Miséricorde divine », un institut de prêtres séculiers qui anime une paroisse personnelle que leur a confiée l’évêque du lieu, Mgr Dominique Rey. Cette société cléricale de droit diocésain est particulièrement dédiée à l’évangélisation, notamment celle des musulmans.  Le fondateur a accordé une interview au directeur du mensuel « La Nef », Christophe Geffroy.C’est ici :Les Missionnaires de la Miséricorde divine : la priorité de l’évangélisation,

    Extraits:

    Lire la suite

  • « Vultum tuum, Domine, requiram »

    IMPRIMER

    Ce verimagesCATMETOY.jpgset du psalmiste, du saint au pécheur, beaucoup d’hommes religieux l’ont répété dans leur cœur, des artistes nombreux aussi l’ont exprimé par leur art, comme l’immense peintre Rembrandt dont le musée du Louvre nous offre pour l’instant une exposition : « Rembrandt et la figure du Christ » (jusqu’au 18 juillet). Cette exposition, le cardinal Philippe Barbarin, archevêque de Lyon, l’a commentée en répondant aux questions d’Anne-Cécile Beaudoin dans « Paris Match » (1er juillet)  ici Rembrandt et la figure du Christ au Louvre  

    Extraits :

    Lire la suite

  • Un évêque roumain, martyr du communisme

    IMPRIMER

    Scheffler-Janos-230x129.jpgBenoît XVI a évoqué hier la figure du bienheureux János Scheffler, évêque roumain de Satu Mare, mort martyr du communisme en 1952 à Bucarest, à l’âge de 65 ans, et béatifié samedi matin en Roumanie. (http://www.zenit.org/article-28393?l=french)

    « Je m’unis à la joie de l’Eglise en Roumanie, et en particulier de la communauté de Statu Mare » où Janos Scheffler a été proclamé bienheureux samedi matin lors de la célébration eucharistique présidée par le cardinal Angelo Amato, préfet de la Congrégation pour les causes des saints et envoyé de Benoît XVI.

    « Que son témoignage soutienne toujours la foi de ceux qui font mémoire de lui avec affection et celle des nouvelles générations », a dit Benoît XVI après l’angélus de ce dimanche.

    La persécution communiste contre l’Eglise catholique se durcit à partir de 1947 : « Le régime, a expliqué le cardinal Amato à Radio Vatican, voulait casser les relations avec le Saint-Siège et créer une Eglise sans le pape en forçant les catholiques à devenir orthodoxes ».

    Cette haine de la foi se déchaîna contre les prêtres et contre les évêques. Mgr Scheffler fut emprisonné à Jilava et soumis aux travaux forcés, à toute sorte d’humiliations, à des tortures (des douches bouillantes), mais il sut « transformer cette expérience de douleur en occasion d’apostolat, de catéchèse, et de prière », a ajouté le cardinal Amato.

    Le régime lui proposa de devenir « patriarche de Roumanie » s’il acceptait de passer à l’Eglise orthodoxe : il tint bon. Il mourut le 6 décembre 1952, en priant et en pardonnant à ses assassins.

    Anita S. Bourdin (Zenit)

  • Syrie : le point de vue du patriarche maronite d'Antioche

    IMPRIMER

    s.b._beechara_raei3.jpgC'est sur le site de l'Oeuvre d'Orient : oeuvre-orient.fr

    "Printemps arabe, contestation en Syrie, conflit israélo-palestinien et formation d’un nouveau gouvernement au Liban marqué par la présence du Hezbollah : devant l’actualité chargée au Moyen-Orient, Sa Béatitude le Patriarche Béchara Raï, Patriarche maronite d’Antioche et de tout l’Orient, a accordé un entretien à KTO

    Sa Béatitude Bechara Raï déplore la violence en Syrie et demande au gouvernement syrien de "faire les réformes économiques et politiques nécessaires que réclame la population".

    Sans ces réformes démocratiques, en Syrie comme dans les autres pays de la région, il craint que "les évènements du printemps arabe n’aboutissent à des régimes intégristes et théocratiques". Autre crainte du patriarche : une possible fragmentation des pays arabes en Etats confessionnels. "Le grand problème du Moyen-Orient, c’est que l’Islam ne sépare pas la religion et la politique". De la même manière, il pointe aussi le "théocratisme juif d’Israël". Aussi, Le Patriarche Béchara Raï en appelle à la communauté internationale pour aider la région à suivre l’exemple du christianisme, qui a déjà "franchi le pas de la séparation de l’Etat et de la Religion". Pour le patriarche maronite c’est la seule manière d’arriver à la paix dans la région."

    Liban, Syrie : réaction du Patriarche maronite par KTOTV

  • Quand Benoît XVI évoque son ordination

    IMPRIMER

    C'est sur Zenit : http://www.zenit.org/article-28363?l=french

    A l’occasion du 60e anniversaire de sacerdoce de Benoît XVI, L’Osservatore Romano publie le récit qu’en fait le cardinal Joseph Ratzinger dans son livre autobiographique Ma vie, souvenirs (1927-1977).

    Le 29 juin 1951, à l’âge de 24 ans, Joseph Ratzinger était ordonné prêtre en même temps que son frère aîné Georg Ratzinger à Freising par le cardinal Michael von Faulhaber (1869-1952).

    Voici le récit de Benoît XVI :

    « Nous étions plus de quarante aspirants à répondre adsum à l’appel : « me voici », par une journée d’été radieuse, qui reste dans ma vie un sommet inoubliable. Il ne faut pas être superstitieux ; mais au moment où le vieil archevêque m’imposa les mains, un petit oiseau, sans doute une alouette, s’éleva du maître-autel dans la cathédrale et lança ses trilles en un chant d’allégresse ; ce fut pour moi comme une exhortation d’En-Haut : C’est bien ainsi, tu es sur le bon chemin. Les quatre semaines estivales qui suivirent furent comme une grande fête. Le jour de ma première messe, notre église paroissiale Saint-Oswald brillait de tout son éclat. La joie qui emplit tout l’espace de manière presque tangible, nous entraîna tous de la façon la plus vivante dans une ‘participation active’ au Saint Sacrifice, qui ne nécessitait pas de gestes d’affairement. Nous étions invités à porter la bénédiction de notre première messe dans les maisons et fûmes partout accueillis, même par des personnes totalement inconnues, avec une cordialité inimaginable. J’ai alors pu constater à quel point les hommes attendent le prêtre, la bénédiction qui vient de la force du sacrement. Là, il ne s’agissait pas de ma personne ou de celle de mon frère : qu’aurions-nous bien pu apporter par nous-mêmes, nous les jeunes, à tous ceux que nous rencontrions ? Ils voyaient en nous des hommes mandatés par le Christ et habilités à Le porter aux autres. Et justement parce qu’il ne s’agissait pas de nous, s’instaura très vite une relation amicale ».

    © Cardinal Joseph Ratzinger, Ma vie, souvenirs (1927-1977), Ed. Fayard

  • Ouvrir des écoles entièrement libres ?

    IMPRIMER

    Cela se fait très peu chez nous, en Belgique. Il faudrait prendre de la graine chez nos voisins qui sont souvent moins apathiques et moins embourgeoisés que nos concitoyens...

    Ainsi, Isabelle Paulot, enseignante, ouvre une école catholique hors-contrat à Lion-sur-Mer. Elle s'en explique dans Ouest-France

    Extrait :

    "Ce n'est pas une école catholique parce que les programmes sont les mêmes que dans le public. Mais c'est une école fidèle au magistère de l'église catholique. Je suis catholique pratiquante. La première année, je serai la seule enseignante. Je vais adopter des méthodes très rigoureuses et efficaces et revenir pour la lecture à la méthode syllabique. « La librairie des écoles » publie des manuels scolaires auxquels on peut accéder gratuitement sur Internet. En maths, je vais m'appuyer sur les méthodes de Singapour. Le but de cette école est d'appliquer la phrase « La vérité vous rendra libre » de l'évangile selon saint Jean. Il y aura des cours de catéchisme. Mais les enfants des autres religions sont évidemment les bienvenus. Quant au passage en classe supérieure, c'est moi qui en décide. Pour les programmes et le niveau des élèves, nous ne sommes pas contrôlés par l'Éducation nationale."

  • Sud-Soudan : " mais où est la communauté internationale ? "

    IMPRIMER

    Les combats se poursuivent à Kadugli, la capitale du Sud Kordofan, à la frontière entre le nord et le Sud Soudan, entre l'armée du nord et celle du sud. « Sur les Monts Nuba, les écoles sont fermées et les enseignants ont été évacués » déclare à l'Agence Fides Soeur Carmen, une missionnaire combonienne mexicaine qui oeuvre dans la zone. Les Monts Nuba font partie du Sud Kordofan. « Les hôpitaux continuent à être opérationnels. Dans l'un d'entre eux, géré par les missionnaires, ont été hospitalisés 85 militaires blessés lors des affrontements à Kadugli. Il faut plus de personnel pour faire face à l'urgence » ajoute la missionnaire.

    « De jour, la population fuit sur les hauteurs qui entourent les villages pour revenir dans leurs maisons le soir. De nuit en effet, il n'y a pas de bombardements parce que les avions de Khartoum ne disposent pas de systèmes de visée nocturne » déclare Soeur Carmen, qui a assisté personnellement à un bombardement effectué par les avions de Khartoum. « Voici deux jours, alors que j'accompagnais un certain nombre de personnes dans la zone de Kauda - raconte Soeur Carmen - j'ai assisté personnellement à un bombardement aérien. J'ai vu des avions de combat s'approcher rapidement et, après une rapide reconnaissance, revenir à basse altitude pour lancer les bombes et faire feu avec les armes du bord. Nous nous sommes jetés à terre alors qu'autour de nous les bombes explosaient. Cela a été terrible ».

    Soeur Carmen conclut en indiquant la question que lui pose continuellement la population locale : « Mais où est la communauté internationale ? » Selon un communiqué envoyé à Fides par la Caritas internationalis, plus de 60.000 personnes ont été contraintes à fuir les combats au Sud Kordofan alors que la situation humanitaire est grave du fait du manque de nourriture, d'eau et de médicaments. (L.M.) (Agence Fides 16/06/2011)