Avec déjà plus de 20 000 personnes formées, l'Université de la vie aura lieu cette année encore dans plus de 100 villes en France et à l'étranger, les lundi 9, 16, 23 et 30 janvier 2017.
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D'Action pour la Famille :
Ecrivez à Egbert Buursink directeur du Hilton pour demander qu’il n’accueille pas le salon Men having babies. C’est URGENT
Un collectif de citoyens contre toute forme de GPA lance une campagne de mails adressés au directeur du Hilton. Envoyez un mail ou écrivez à M. Egbert Buursink, directeur du Hilton pour qu’il ne permette pas la tenue de la conférence Men having babies dans son hôtel. De tels envois ont un impact fort ! Ci-dessous un exemple, mais c’est mieux d’utiliser vos propres termes.
Envoyez aux DEUX adresses mail. Sujet : conference Men having babies
reservations.brusselsgrandplace@hilton.com
events.brusselsgrandplace@hilton.com
« Cher Monsieur Buursink,
J’ai appris que le Hilton de Bruxelles accueille la conférence de l’organisation américaine Men having babies les 24 et 25 septembre. En mettant en contact des parents d’intention avec des organisations qui leur fournissent des enfants via des mères porteuses, Men having babies promeut la gestation pour autrui.
Cette pratique porte une atteinte grave au respect des femmes. Dans la GPA la mère porteuse est employée comme un moyen de production d’un enfant. A sa naissance le bébé - qui s’est attaché à sa mère pendant la grossesse - sera abandonné pour être livré aux parents d’intention. Fin 2015 le parlement européen a fermement condamné toute forme de gestation pour autrui comme étant contraire à la dignité de la femme. De nombreux pays, dont la France, la Suède et la Norvège, interdisent la pratique de la GPA.
Des associations de sensibilités politiques différentes se mobilisent contre la gestation pour autrui sous toutes ses formes et l’organisation de la conférence. Il n’est pas exclus que des associations issues de la société civile lancent un appel international à ne plus réserver de chambre dans les hôtels du groupe Hilton.
Pour ces raisons, je me permets de vous demander de revenir sur votre décision de permettre l’utilisation des installations du Hilton Bruxelles par Men having babies. Ce faisant, vous serviriez la défense des droits des femmes et des enfants.
En vous remerciant pour votre attention, je vous prie, cher Monsieur Buursink, d’agréer l’expression de mes salutations distinguées. »
Vous pouvez aussi envoyer une lettre par la poste à :
Monsieur Egbert Buursink
Hilton Grand Place
Carrefour de l’Europe 3
1000 Bruxelles
02-5484211
Agissez avec rapidité. La presse est remplie d’articles qui font de la publicité pour ce salon de Men having babies
Les 21, 24 et 25 septembre : manifs contre la GPA et la conférence de Men having babies
Mercredi 21 à 16h : action veilleurs
Samedi 24 à 15h : action veilleurs
Dimanche 25 à 9h : manifestation
Lieu : devant le HILTON Grand place, en face de la Gare centrale (place du carrefour de l’Europe, Bruxelles)
Merci de relayer ces informations sur vos réseaux !
Suivez les actualités sur notre page Fb https://www.facebook.com/agafasbl
et notre site internet : http://www.actiegezin-actionfamille.be
Action pour la famille est une association pluraliste et indépendante gérée par des bénévoles. Elle ne reçoit aucun subside ni subvention, et est exclusivement financée par des dons de personnes privées.
Quand ?
15 jeudis (du 22/09/2016 au 22/06/2017) de 14h30 à 17h ou en soirée de 19h30 à 22h.
Indiquez vos préférences lors de l’inscription.
Le calendrier précis peut être consulté sur le site http://www.messaje-international.com
Où ? Espace Prémontrés (CDF) 40, rue des Prémontrés à Liège
Inscription préalable nécessaire :
• Bernadette Guillaume 04/377.29.69 bernadette.guillaume@belgacom.net
• Brigitte Dehin 04/252.35.41 bridehin@hotmail.com
Maximum 20 participants
PAF : 50€ par an
Dans le livre d’entretiens que Joseph Ratzinger a publié ces jours-ci, il y a peu de choses concernant le pape François. Mais elles sont toutes significatives. Le point de vue de Sandro Magister sur son site « chiesa » :
« Pour commencer, Ratzinger dit qu’il n’avait pas le moins du monde envisagé que Jorge Mario Bergoglio soit son successeur.
Il le connaissait, bien sûr, "grâce aux visites 'ad limina' et à la correspondance". Mais il avait de lui une image différente de ce qu’il a pu découvrir après l’élection pontificale : "Je le connaissais comme un homme très décidé, quelqu’un qui, en Argentine, disait avec beaucoup de fermeté : ceci, on le fait et cela, on ne le fait pas. Sa cordialité, l’attention qu’il porte à autrui, sont des aspects de sa personnalité qui ne m’étaient pas connus".
Ratzinger ramène à de justes proportions la rumeur selon laquelle François le consulterait fréquemment. "Il n’y a pas de raison qu’il le fasse", dit-il. C’est ainsi qu’il indique, par exemple, que Bergoglio ne lui a pas envoyé de manière anticipée "Evangelii gaudium", l’exhortation apostolique qui constitue son programme : "Cependant il m’a écrit une lettre personnelle… très affectueuse, ce qui fait que, d’une certaine manière, j’ai reçu l'exhortation apostolique sous une forme particulière. De plus sa reliure était blanche, ce qui, habituellement, ne se fait que pour le pape. Je suis en train de la lire. C’est un texte qui n’est pas court, mais il est beau et passionnant. Il n’a certainement pas été écrit en totalité par lui, mais il y a beaucoup d’éléments qui lui sont personnels".
Inversement – dit-il – "à propos de certains sujets, il m’a posé des questions, notamment pour l'interview qu’il a accordée à 'La Civiltà Cattolica'. Dans ces cas-là, je lui donne mon opinion". Et il conclut, en tout cas, en gardant ses distances : "D’une manière générale, je suis très heureux de ne pas être prié d’intervenir".
D’autre part Ratzinger dit qu’il ne constate pas de rupture entre le pontificat de François et le sien, mais il précise: "Bien entendu on peut mal interpréter certains points et affirmer que, maintenant, les choses se passent de manière complètement différente. Si l’on prend certains événements en les sortant de leur contexte, on peut construire des oppositions, mais cela ne tient plus lorsque l’on prend tout l’ensemble en considération. On met peut-être l’accent sur certains aspects, mais il n’y a aucune opposition". Si le pape François a introduit une nouveauté, voici en quoi elle consiste : "Oui, il y a une nouvelle fraîcheur au sein de l’Église, une nouvelle joie, un nouveau charisme qui s’adresse aux hommes, c’est déjà une belle chose".
Plus loin, Ratzinger décrit de la manière suivante la différence qui existe entre lui et son successeur : "Chacun de nous a son charisme. François est l’homme de la réforme pratique. Il a été longtemps archevêque, il connaît le métier, il a été supérieur des jésuites et il a également l’état d’esprit voulu pour mettre en œuvre des actions en matière d’organisation. Et ce dernier point n’était pas, je le savais, mon point fort".
Mais il persiste à dire que la priorité du pontificat actuel doit être la même que celle du pontificat précédent : "L'important est de préserver la foi aujourd’hui. Je considère que c’est notre mission centrale. Tout le reste, ce sont des questions administratives".
En tout cas, il évite de dire qu’une nouvelle ère a commencé avec François: "Le découpage du temps en différentes époques a toujours été décidé a posteriori. C’est pourquoi, aujourd’hui, je ne me risquerais pas à lancer cette affirmation… Je n’appartiens plus au vieux monde mais, en réalité, le nouveau monde n’a pas encore commencé".
*
Lu sur l"Observatoire de la Christianophobie :
La CHREDO dénonce le discours de haine du grand imam de La Mecque
La Coordination des Chrétiens d’Orient en Danger (CHREDO) condamne les propos tenus le 4 septembre dernier, à l’occasion du début du pèlerinage annuel et de l’afflux de millions de musulmans à la Mecque, par l’Imam en chef de la grande mosquée de la Mecque, Abdul Rahman Ibn Abdul Aziz As-Sudais.
L’imam en chef a en effet tenu un prêche d’incitation à la haine religieuse, notamment contre les chrétiens « haineux » et les juifs « traitres » devant plusieurs milliers de pèlerins de différentes nationalités, dont des Français et des millions de téléspectateurs sur les chaînes des télévisions arabophones.
L’Imam en Chef « d’El Haram Al Charif » (la Kaaba, le lieu le plus saint d’islam), l’un des religieux les plus influents en Arabie Saoudite, a demandé le soutien d’Allah aux Djihadistes au Yémen, en Syrie et en Irak pour qu’il leur apporte victoire : sur les Rafedah athées (les chiites), sur les juifs traitres, sur les chrétiens haineux et sur les hypocrites corrompus. Cet appel au meurtre, doublé d’un soutien sans scrupules aux terroristes sanguinaires qui sévissent en Orient et dont les ramifications ont atteint l’Occident, est une preuve à charge contre l’Arabie Saoudite qui autorise de tels prêches sur son sol, qui ont d’ailleurs été vivement critiqués par les médias égyptiens qui l’ont qualifié de discours « daeshien ».
Au lendemain du 15ème anniversaire du 11 septembre 2001, alors que le monde est devenu un grand champ de bataille et que le terrorisme a germé dans toutes les sociétés, il est urgent de déraciner complètement ce mal là où il pousse, de faire taire toutes les voix qui le portent et d’assécher complètement ses sources.
Considérant que ce discours public alimente haine et terrorisme, et en l’absence de toute réaction des autorités saoudiennes, qui signent ainsi leur complicité et leur accord avec ce discours de haine, la CHREDO adresse un courrier à François Hollande, Président de la République, lui demandant de saisir le Roi d’Arabie Saoudite, le gardien des lieux saints de l’islam, ainsi que les autorités saoudiennes pour exiger des sanctions contre cet Imam et son renvoi des cadres religieux. En l’absence de réaction saoudienne, la CHREDO exige que le Président de la République saisisse le Conseil de Sécurité des Nations Unies et demande des sanctions contre l’Arabie Saoudite qui laisse se développer sur son sol des discours qui alimentent la haine contre les musulmans shiites, les juifs et les chrétiens.
Par Arnaud Dumouch le dimanche 04 Septembre 2016
Depuis quelques temps, la mémoire de nombreux témoins du Christ est attaquée « post mortem » sur Internet, et les rumeurs les plus insensées sont lancées, sachant qu’elles auront leur vie propre dans les réseaux sociaux. Mère Teresa est attaquée plus que tout autre. Passons sur les accusations de malversations financières. Sa vie modeste de religieuse témoigne pour elle.
Les attaques viennent de sa droite et de sa gauche.
Les milieux sédévacantistes (ceux qui affirment que tous les papes depuis Jean XXIII ne sont pas de Dieu) lui reprochent d’avoir accompagné les mourants dans leur propre religion de naissance (hindouisme ou islam) sans avoir cherché à les convertir dans leurs derniers moments. Selon eux, elle a imité en cela un autre saint « douteux » d’après eux, saint Maximilien Kolbe, mort à Auschwitz en accompagnant les Juifs avec les psaumes du roi David.
Les milieux humanistes l’accusent d’avoir volontairement privé les mourants d’analgésique au prétexte que la souffrance serait rédemptrice.
Qu’en est-il vraiment ? Quel rapport ont ces attaques avec son discours à l’ONU : « Mais aujourd’hui on tue des millions d’enfants à naître et nous ne disons rien. Tout le mal qui se répand dans le monde vient de cela. »
LA LANGUE DES MEDIAS
DESTRUCTION DU LANGAGE ET FABRICATION DU CONSENTEMENT
Ingrid Riocreux
Une étude très fine de la langue des journalistes actuels en France et de son impact sur notre façon de comprendre le monde, avec des exemples très concrets, vivants où chacun retrouvera les radios, TV ou journaux qu’il consulte.
De même que le Journaliste reproduit les formules de ses confrères, reprend sans réflexion leurs mots, adopte par mimétisme grégaire leur parlure, de même il ne cesse de reproduire des tournures de phrases et de répéter des termes qui impliquent un jugement sur les événements.
Prenant pour des données objectives et évidentes des opinions qui sont en fait identifiables comme des points de vue propres à des courants de pensée, il contribue à répandre une doxa faite de préjugés, de stéréotypes et de présupposés qui sont au fondement des croyances de notre société.
Car si le langage du journaliste fonctionne comme la vitre déformante à travers laquelle on nous montre le présent, il est aussi une fenêtre trompeuse ouverte sur le passé et sur l’avenir. Analyser le discours du Journaliste, c’est donc, d’une certaine manière, mettre au jour l’inconscient de notre société dans tout ce qu’il comporte d’irrationnel.
Non seulement sa langue reflète le délitement actuel de la parole, c’est-à-dire de ce qui rend possibles les relations humaines, mais elle cristallise aussi le paradigme de pensée de notre société : les mots du journaliste sont porteurs de tous les préjugés de notre temps, de toutes ces vérités tenues pour évidentes quoique jamais démontrées, d’une répartition arbitraire entre les bons et les méchants, d’une hiérarchisation morale des régimes politiques, d’une vision préconçue du sens de l’histoire, etc.
Observer le parler journalistique, c’est donc prendre, à un instant « t », une photographie de cette chose si éphémère qu’est l’esprit d’un monde.
Le lobby international pour l'avortement, au sein de l'Organisation des Nations-Unies, veut établir une « Journée mondiale de l'avortement » le 28 Septembre. S'il vous plaît, ne laissons pas cela passer. Il n’y a vraiment pas de quoi se réjouir, face à ce génocide déguisé en « droit de l’Homme qu'il conviendrait de défendre ».
Il y a quelques semaines, une coalition de 430 groupes pro-avortement a adressé une lettre au Secrétaire général des Nations-Unies, Monsieur Ban Ki-moon, ainsi qu’aux responsables d'ONU-Femmes, du Programme de développement des Nations Unies, de l'Organisation mondiale de la Santé, du Fonds des Nations Unies, de l'ONUSIDA et de l'UNESCO, en demandant la création d’une « fête spéciale avortement», au niveau mondial. Ce procédé est infâme. De nombreux pays ne reconnaissent pas le meurtre des enfants dans le sein de leur mère, comme un droit fondamental. Et heureusement. Mais comme il s’agit des pays les plus pauvres, les pays riches risquent de passer en force…
Selon cette lettre, le 28 septembre sera déclarée « journée internationale d'action pour la dépénalisation de l'avortement ».
Une fois de plus, le lobby de l'avortement utilise des euphémismes pour pousser son ordre du jour. La journée ne serait pas ouvertement « pro-mort » mais « contre la pénalisation de l’infanticide ». Mais nous savons, nous, ce qu’est l’avortement. Dans 100% des cas, un bébé innocent meurt ; et dans presque autant de cas, la mère est profondément choquée sinon désespérée.
La lettre du lobby de l'avortement fait valoir, "Nous ne sommes pas des criminels. Aucun d'entre nous devrait être poursuivi pour quelque chose qui est un évènement normal de la vie d’une femme (...) L'avortement sans risque est un service de santé essentiel pour les femmes ". Mais « sans risque » pour qui ? Pas pour l’enfant, en tous cas.
Leur objectif est clair: faire pression pour la légalisation de l'avortement dans les pays où il est illégal, et établir un «jour de fête» qui sera utilisé pour déployer une propagande pro-avortement.
Le lobby de l'avortement est uni pour tuer des enfants par dizaines de millions. Maintenant, il nous faut, nous aussi, nous unir, afin que la vie soit plus forte que la mort. Nous devons adresser un message clair à l'ONU : il n'y a pas d'avortement sans risque pour la femme. Cela n’existe pas. Et pour ce qui est de célébrer le meurtre d'êtres humains innocents, il en va franchement à l'encontre d’un droit fondamental : le droit à la vie.
Si vous signez cette pétition, votre message sera directement adressé au Secrétaire Ban Ki-moon. S'il vous plaît rejoignez-nous pour que cette monstrueuse demande ne soit pas retenue par l’ONU.
La pétition se trouve ici : http://www.citizengo.org/fr/lf/37036-lonu-organise-une-journee-mondiale-lavortement?
De Radio Vatican (Manuella Affejee):
L'hommage du Pape au père Jacques Hamel, victime d'une violence «satanique»
(RV) «Tuer au nom de Dieu est satanique» : c’est ce qu’a répété avec force le Pape François dans son homélie, au cours de la messe qu’il a célébrée tôt ce mercredi matin, dans la chapelle de la maison Ste Marthe. Cette messe du 14 septembre 2016, en la Fête de la Croix glorieuse, était célébrée à l'intention du père Jacques Hamel, assassiné le 26 juillet dernier.
La célébration s'est tenue en présence de Mgr Dominique Lebrun, archevêque de Rouen, et d’un groupe de 80 pèlerins du diocèse, dont deux sœurs et un neveu du père Jacques Hamel.
L’Église compte aujourd’hui plus de martyrs qu’aux premiers temps. Depuis les premiers siècles, jusqu’à nos jours, des chrétiens, hommes et femmes, sont assassinés, emprisonnés, torturés, égorgés, parce qu’ils ont refusé de nier le Christ. Le père Jacques Hamel, dont la photo était simplement disposée sur l’autel, est l’un d’eux. Ce prêtre «doux, bon, fraternel, qui cherchait toujours à faire la paix» a été tué comme s’il était un criminel, égorgé, alors qu’il célébrait justement le sacrifice suprême du Christ sur la Croix. Cette Croix glorieuse que l’Eglise fête aujourd’hui.
Et le Pape François de remarquer : le père Hamel, au milieu de ses souffrances, «n’a pas perdu la lucidité, et a nommé son assassin : "Va t’en,satan !"», aurait-il lancé à deux reprises à ses bourreaux. Car la cruauté de la persécution qui vise les chrétiens est «satanique», a affirmé le Pape. Et«comme il serait bon, a-t-il poursuivi, le visage grave, que toutes les confessions religieuses disent que "tuer au nom de Dieu est satanique"».
Le père Hamel a donné sa vie pour ne pas renier le Christ. «C’est un martyr, lancé le Pape, et les martyrs sont bienheureux ! Nous devons le prier pour qu’il nous donne la douceur, la paix, la fraternité, et aussi le courage de dire la vérité : tuer au nom de Dieu est satanique», a répété le Saint-Père, revêtu d'un chasuble rouge, couleur liturgique de la mémoire des martyrs.
Pour revoir la messe dans son intégralité :