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BELGICATHO - Page 1381

  • Qu'y a-t-il de commun entre tous ces gens - près de 25000 à l'heure actuelle - ?

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    Qu'y a-t-il de commun entre Jozef De Kesel, Salah Echallaoui, Eric-Emmanuel Schmitt, Catherine Fonck, Dirk Frimout, Albert Guigui, Philippe Markiewicz, Noureddine Smaili, Baudouin Decharneux, Jean-Charles de Keyser, Philippe Maystadt, Marc Eyskens, Eric de Beukelaer, Philippe de Woot et bien d'autres (ils sont actuellement près de 25.000) ?

    C'est qu'ils ont tous signé la pétition en faveur de la distribution de la chaîne KTO en Belgique !

    Et vous ? L'avez-vous signée et fait circuler parmi vos amis, famille et connaissances ?

    C'est ici : https://www.change.org/p/charles-michel-pluralisme-touche-pas-a-kto-tv-belgique?

  • Les défis et perspectives d’une population mondiale vieillissante

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    D'Alliance Vita :

    Défis et perspectives d’une population mondiale vieillissante

    Une étude, récemment publiée par le Bureau du recensement américain, indique qu’à l’horizon de 2020, la population âgée de plus de 65 ans, au niveau mondial, sera plus nombreuse que la population des enfants de moins de 5 ans. Elle représentera 17 % des habitants de la planète contre 8,5 % à ce jour.

    Ce processus de vieillissement à l’échelle mondiale s’explique de deux façons :

    • Le « vieillissement par le haut » ou allongement de l’espérance de vie : on est passé de 48 ans en 1950 à 71 ans en 2015. Un enfant sur deux qui naît actuellement sera peut-être centenaire.

    • Le « vieillissement par le bas » ou abaissement de la fécondité quasi général sur toute la planète : on est passé de 5 enfants en 1950 à 2,5 enfants en 2015.

    « Les gens vivent plus longtemps mais pas nécessairement en meilleure santé… et cette population vieillissante pose plusieurs défis de santé publique auxquels nous devons nous préparer », a souligné le Dr Richard Hodes, directeur de l’Institut national américain du vieillissement (NIA).

    La préparation des différents pays au vieillissement de sa population varie sensiblement d’un continent à l’autre. La population africaine, encore majoritairement très jeune, n’a pas encore connu cette transition, contrairement aux populations d’Europe, des Etats-Unis et du Japon, où la transition s’est faite assez naturellement.

    Il en va autrement en Chine : c’est le pays qui semble poser le plus de problèmes sur ce plan, puisqu’il est passé, pratiquement sans transition, du statut « de pays jeune » au statut de « pays vieux ».  Il faut rappeler que la Chine a abandonné, il y a quelques mois, la politique de l’enfant unique menée dans les années 70, mais peut-être un peu trop tard… La contrepartie de ce vieillissement rapide est l’énorme opportunité que la Chine représente pour la « silver économie ».

    Qu’en est-il en France ?

    Les Français sont très préoccupés par leur santé, et plus spécialement par leur vieillissement, selon un sondage HSBC effectué fin avril. La plupart d’entre eux n’ont pas anticipé leur vieillesse, que ce soit sur le plan financier ou matériel. Par ailleurs, un bon nombre de seniors doit également s’occuper de ses parents très âgés.

    Une première conséquence positive d’une population vieillissante serait le développement des services d’aide à la personne, créateurs d’emplois, ainsi que des infrastructures nécessaires à la prise en charge des personnes âgées. La loi sur l’adaptation de la société au vieillissement de décembre 2015 apporte quelques premiers éléments de réponse face à cet enjeu.

    Une deuxième conséquence, qui pourrait être à la fois positive mais aussi négative, serait le développement du marché des robots d’assistance aux personnes en perte d’autonomie, face à une pénurie potentielle de personnel qualifié. Le Japon joue un rôle de leader sur ce marché et la France n’est pas en reste dans ce domaine. Il faudra alors sans doute fixer des règles éthiques face à ce nouveau marché qui pourra nous aider à affronter cette problématique démographique encore totalement inédite dans l’histoire de l’Humanité.

  • Quand un dominicain nous invite à "passer aux barbares"...

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    "Passer aux Barbares !", telle est la perspective à laquelle nous convie le Frère Guy Musy o.p. sur son blog; à chacun d'apprécier... :

    Je viens de lire un petit livre[1] très documenté écrit par un spécialiste de ceux qu’on appelle « Pères de l’Eglise », prêtres, évêques ou papes du premier millénaire qui ont joué un rôle religieux, mais aussi social et politique, dans l’Eglise et la société civile de leur temps. Comme leurs compatriotes contemporains, ces hommes ont dû faire face à l’invasion de « barbares » qui sans crier gare passaient le Danube ou le Rhin pour piller les opulentes cités gallo-romaines. Le pire arriva sans doute avec le sac de Rome, capitale de l’Empire devenu chrétien, par les hordes d’un chef de bande wisigoth en 410. Saint Jérôme poussa des cris d’orfraie, jugeant que la fin du monde était arrivée. Saint Augustin pensait au contraire que la destruction d’une société corrompue laissait entrevoir l’avènement d’une cité nouvelle qui serait celle de Dieu. D’autres cachaient mal leur révulsion pour ces brutes épaisses, hirsutes, malodorantes, vêtues de peaux de bêtes, mais ne désespéraient pas de s’en faire des alliés et même des coreligionnaires. La monde a survécu à ce tsunami. Le christianisme aussi.

    Comparaison n’est pas raison ! Les réfugiés d’aujourd’hui n’ont pas tous le couteau entre les dents ou des grenades attachées à leur ceinture. Contrairement aux montures d’Attila, le sol reverdit là où passent leurs chevaux. Il se pourrait même que devenus eux aussi chrétiens – hypothèse qui n’a rien d’absurde – ils puissent redynamiser notre Eglise et assainir notre société.

    Alors, courons le risque d’être éclaboussés par ces flots qui n’ont rien de tumultueux ? Les premiers barbares, selon les experts, n’ont jamais dépassé le 5 % des populations qu’ils prétendaient conquérir. Les réfugiés de notre temps sont loin d’atteindre ce seuil. Serions-nous plus timorés, moins confiants en notre culture et nos convictions ? Si la peur nous étreint, ne serait-ce pas que nous serions devenus vides, flasques, sans aucune richesse consistante à opposer à ces nouveaux « envahisseurs », ou mieux à leur proposer ? La peur du vide finalement, dont la nature a horreur et que l’« autre » se presse de remplir ? Si c’était le cas, il serait grand temps de « passer aux barbares ». Ne serait-ce que pour assurer notre survie !

    [1] Philippe Henne, Les invasions barbares. L’Evangile et les Pères face aux migrants, Cerf, Paris 2016, 160p.

  • Dossier "Calice" : le parquet fédéral estime que les faits sont prescrits

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    De Pierre Granier sur cathobel.be :

    Dossier « Calice » : le parquet fédéral recommande l’arrêt des poursuites

    La hiérarchie de l’Eglise catholique belge ne devrait pas être poursuivie pour abstention coupable dans les dossiers d’ dans le cadre d’une relation pastorale. Le parquet fédéral a estimé que les faits étaient prescrits.

    Débutée en juin 2010, l’opération « Calice » avait défrayé la chronique et provoqué un vif émoi au sein de l’Eglise belge. Il faut dire que dans une même journée, le juge d’instruction Wim De Troy avait ordonné des perquisitions au siège de l’archevêché à Malines (au moment même où se tenait une réunion de la Conférence des évêques), à la cathédrale Saint-Rombaut (où l’on fit ouvrir des tombes), au domicile privé du cardinal Danneels (qui fut entendu une journée entière), au siège de la commission dirigée par le pédopsychiatre Peter Adriaenssens (qui se penchait alors sur les faits de pédophilie au sein de l’Eglise), ainsi qu’aux Archives générales du Royaume.

    Deux ans plus tard, alors qu’une partie de ces perquisitions (celles menées au siège de la commission Adriaenssens, chez le cardinal Danneels ainsi qu’à l’archevêché) avaient été déclarées nulles, c’était au tour de chacun des évêchés de Belgique d’être perquisitionnés, dans le cadre d’une instruction fédéralisée qui enquête dès lors sur des faits d’abstention coupable reprochés à des prélats de l’Eglise belge et des responsables de congrégations.

    261 victimes entendues par le parquet

    Au cours de cette instruction, 261 victimes entreront alors en contact  avec un magistrat du parquet fédéral. Presque six ans après le début de cette instruction, la juge Calewaert (qui a remplacé entretemps le juge De Troy) a communiqué son rapport d’enquête au parquet fédéral. Dans son réquisitoire, ce dernier demande de constater l’extinction de l’action publique étant donné la condamnation antérieure de quatre prévenus pour les faits dénoncés, les décès de 37 suspects et la prescription de presque tous les autres faits. Seul le volet de l’enquête portant sur un prêtre, résidant actuellement au Brésil, est encore en cours. Et en ce qui concerne les accusations d’abstention coupable, le parquet constate de même que les faits concernés sont manifestement prescrits. Il appartient désormais à la chambre du conseil de Bruxelles de se pencher sur le dossier. Ce sera fait le 28 avril prochain.

  • Un appel de la FAFCE : Aidez-nous à soutenir et protéger la famille en Europe !

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    Aidez-nous à soutenir et protéger
    la famille en Europe

    Bruxelles, le 30 mars 2016

    Chers amis,

    Les familles stables offrent le terreau d'une société heureuse, parce que la famille en est la cellule de base. Les Familles sont le trésor de l'Europe! Elles élèvent, elles soignent, elles protègent, elles sont le lieu où se disent les joies et les peines. 

    Depuis sa fondation en 1997, la Fédération des Associations Familiales Catholiques en Europe - FAFCE - s'efforce de promouvoir des politiques favorables à la famille au niveau européen. Même si  l'Union Européenne et le Conseil de l'Europe ont des compétences limitées en matière de politique familiale, leurs décisions peuvent avoir de lourdes conséquences sur la vie quotidienne des familles, aux plans matériel, culturel et même spirituel. 

    L'Europe est aujourd'hui confrontée à une très grave crise démographique. Dans aucun pays de l'Union Européenne le taux de natalité n'est suffisant pour assurer le renouvellement des générations. Paradoxe, quand les études montrent que les européens souhaiteraient en moyenne un enfant de plus, mais le rêve ne devient pas réalité... principalement faute de confiance en l'avenir.

    Nous voulons ramener la confiance dans nos pays, nous voulons que les familles retrouvent confiance en l'avenir.

    Pour continuer notre action à Bruxelles, nous avons besoin de soutien, nous avons besoin de votre soutien. Les ressources de la Fédération ne viennent que des dons, nous ne bénéficions d'aucun financement public.

    Notre action se fonde sur l'enseignement social de l'Eglise Catholique. La FAFCE est la seule grande organisation familiale européenne qui se réfère explicitement à l'enseignement de l'Eglise. Nous vivons en un temps de rapides évolutions sociales, l'affirmation d'une identité claire ôte toute ambiguïté à nos références, dont les origines sont connues. Reconnaître et savoir d'où l'on vient permet seul de savoir vers où aller. Notre objectif est de contribuer au bien commun en faisant valoir et reconnaître les droits de la famille.

    Notre bureau bruxellois compte deux salariés, qui suivent les politiques menées par l'UE et le Conseil de l'Europe, et proposent en permanence analyses et préconisations pour les Institutions Européennes et les associations membres.  

    Pour pouvoir poursuivre notre action, il nous faut encore trouver environ 50 000 € cette année.

    Si vous croyez avec nous que la famille est essentielle à l'avenir de l'humanité, je vous appelle à exprimer votre soutien par un don. Tout don, quelle que soit son montant est une contribution personnelle à la promotion de politiques favorables à la famille en Europe, il sera entièrement affecté à notre activité à Bruxelles où notre équipe est totalement engagée à faire entendre la voix des familles.
     
    Pour l'Europe, son trésor c'est la famille, pour nous aider à diffuser ce message auprès des Institutions Européennes, votre soutien peut faire la différence.....pour la famille!

    Merci de votre compréhension. Rien n'est impossible à Dieu, mais Son projet pour le monde demande notre coopération....

    Antoine Renard
    President

    P.S. pour recevoir des informations sur nos actions, abonnez-vous gratuitement à notre newsletter. Pour  faire un don, cliquez ici ou co-dessous. Pour les résidents fiscaux en France, tout don est déductible de 66%, un reçu fiscal est émis pour chaque don.

    La Fédération des Associations Familiales Catholiques en Europe, FAFCE, détient un statut participatif auprès du Conseil de l’Europe, est membre de la Plateforme des droits fondamentaux de l’UE et représente les associations familiales de 15 Etats européens.

  • Chine: les réticences à l’égard d’un rapprochement entre Rome et Pékin

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    Lu sur le site « Riposte catholique »

    « Les négociations entre Rome et Pékin laissent beaucoup d’incertitude sur leur issue. Le pape François a récemment fait l’éloge de la Chine et a montré toute son attention au peuple chinois, dans le sillage de ses prédécesseurs. C’est un dossier compliqué, un contentieux jamais éteint, qui remonte aux années 1950. Du côté des catholiques « clandestins » (l’expression est impropre, car dans bien des diocèses de Chine, les catholiques qui ne sont pas affiliés à l’Association patriotique ont pignon sur rue), il y a aussi beaucoup de circonspection et de réticence. La crainte d’être abandonné existe depuis un certain temps. Elle réapparaît à chaque moment de négociation sérieuse entre Pékin et Rome. 

    Certains redoutent la trahison de Rome et envisagent de ne pas suivre une Église réunie et réconciliée. Le The Telegraph met à disposition de ses lecteurs un reportage intéressant sur une communauté clandestine du Shijiazhuang (province du Hebei). Le reportage montre des photos d’une messe célébrée en plein air, dans la cour d’une maison. Pour le père Dong, « il est possible que Rome nous trahisse ». « Si cela arrive, je démissionnerai. Je ne rejoindrai pas une Église contrôlée par le Parti communiste ». « Nous souffrons comme Jésus sur la Croix. Nous combattons pour la liberté religieuse et suivons l’Évangile – mais nous ne sommes soutenus ni par Rome, ni par la Chine. » Le père Dong a été emprisonné à plusieurs reprises.

    La province du Hebei est réputée pour sa forte communauté catholique. Mais à la différence des autres provinces chinoises, la situation est plus tendue. Ainsi, dans la région autonome du Xinjiang, Riposte catholique relatait l’existence d’une communauté catholique qui ne connaissait pas de division. Il n’en va malheureusement pas ainsi dans toutes les régions de Chine. Une vague de répression a récemment eu lieu dans le Hebei, touchant une communauté « clandestine ». Certes, la situation peut-être été davantage tendue dans le passé. Ainsi, Mgr Fu Tiexan, sacré évêque sans mandat pontifical par un autre évêque irrégulier, en 1979, a toujours été « irrégulier ».  Pourtant, les séquelles des divisions demeurent. La réconciliation prendra du temps et suppose beaucoup d’efforts, tant du côté officiel que « clandestin ». Mais elle exige aussi que les autorités chinoises relâchent leur pression sur l’Église pour laisser à cette dernière sa nécessaire liberté. »

    Source: The Telegraph.

    Ref. Chine: les réticences à l’égard d’un rapprochement entre Rome et Pékin

    JPSC

  • L’islam peut-il rendre l’homme heureux ?

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    51ALqURO+3L._SX316_BO1,204,203,200_.jpgDe Stéphane Seminckx sur didoc.be :

    L'islam peut-il rendre l'homme heureux?

    Dans tout dialogue, le respect de l’autre exige de chercher à bien le comprendre. De bonnes relations avec l’islam imposent donc de nous efforcer d’entrer dans la « psychologie musulmane », dans la façon d’être, de penser et d’agir des musulmans. C’est ce que tente de faire Annie Laurent dans son petit livre « L’islam peut-il rendre l’homme heureux ? ».

    Pour comprendre l’islam, on ne peut se limiter à des considérations historiques ou sociologiques, ni à des réactions émotives. Il faut s’investir dans une analyse rationnelle de son message, en prenant garde de distinguer sa doctrine des personnes qui la vivent, et en sachant que l’islam est interprété et vécu selon des modalités très diverses.

    Le plus grand mérite de ce petit livre réside, à notre avis, dans la clarification des concepts, évitant des parallélismes indus entre islam et christianisme, qui naissent de confusions liées à l’emploi, dans les deux religions, de notions et de termes qui sont identiques mais recouvrent des réalités totalement différentes.

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  • La Pologne à l'avant-garde pour la défense de la vie humaine

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    De Claire Bréguet sur la-nouvelle-gazette-française.fr :

    Mobilisation historique en Pologne contre l’avortement 

    pologne

    La loi actuelle polonaise autorise l’avortement jusqu’à 25 semaines dans trois cas: «risque pour la santé » de la mère, viol ou inceste ou « non viabilité » du fœtus. L’initiative pro-vie a recueillie en quelques heures les 100.000 signatures citoyennes nécessaires pour être prise en considération par le législateur. Elle a eu le soutien de membres éminents du parti Loi et Justice, qui aux dernières élections d’octobre s’est engagé à entreprendre des changements profonds dans le pays sur la défense des valeurs non négociables soutenues par l’humanisme chrétien. Le Premier ministre, Beata Szydlo, interrogée à la radio, reconnaissait être en faveur d’un débat au Parlement sur cette réforme pour abolir l’avortement.

    L’Église catholique a aussi montré son soutien. Dans une note de la Conférence épiscopale, lue dimanche à la fin de la messe célébrée dans les églises du pays, les évêques polonais ont averti que la législation actuelle ne défendait pas pleinement le droit à la vie en permettant l’avortement dans trois cas. Ils soutiennent l’interdiction totale de l’avortement et encouragent les Polonais à défendre la vie humaine dès la conception et sans exception, rappelant que la position catholique à cet égard est «claire et immuable. » Cette déclaration a déclenché la semaine dernière la colère des féministes radicales : des pro-avortements ont arrêté ostensiblement dans plusieurs paroisses de Varsovie la lecture de la déclaration des évêques, et ont utilisé les réseaux sociaux pour encourager et alimenter le rejet, encourageant à des manifestations de rue devant le Parlement de Varsovie et dans dix autres villes.

    «Chaque jour, l’avortement prend trois nouvelles vies en Pologne. Chaque année, en Pologne, on tue légalement plus de 1.300 enfants, plus de 94% d’entre eux en raison de suspicion de maladie. Dans ces circonstances, il n’y a pas de place pour l’attente ou des mesures d’efficacité incertaine », affirme Fundacja Pro . «Nous avons besoin d’une campagne qui influence largement l’opinion publique et qui conduise à abrogation de l’avortement le plus tôt possible. Nous devons montrer la vérité sur ce qu’est l’avortement. Nous encourageons tout le monde à nous rejoindre, en choisir la vie « conclut l’organisation pro-vie. Porte-parole de Priests for Life, Custodio Ballester, a salué l’initiative polonaise comme «l’action politique la plus audacieuse depuis la Seconde Guerre mondiale ». « Un Parlement souverain, qui bénéficie du soutien de la majorité du peuple polonais, veut que l’avortement soit considéré comme un crime contre la vie humaine. Cette proposition rend hommage à la nation polonaise et met en évidence la dictature gay-avorteur de l’UE et de l’ONU à qui sont soumises les nations européennes», a déclaré Ballester.

  • Bruxelles (Maison Saint-Paul), 12 avril : conférence sur l'histoire de Vatican II par Roberto de Mattei

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  • Le journaliste, incarnation et gardien de la pensée dominante

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    Lu sur le Salon Beige :

    Ces journalistes qui se prennent pour des moralistes

    Ingrid Riocreux décrypte dans “La langue des médias” le parler journalistique qui implique un jugement éthique sur les événements. Pour l’auteur, “on passe de la destruction de la langue à la fabrication du consentement”. Ingrid Riocreux relève la faiblesse de la compétence linguistique chez les journalistes, leur volonté d’utiliser des “mots valises” ou des expressions convenues comme le mot “dérapage” ou “phobie”. L’auteur dénonce la dérive du journalisme qui assure de plus en plus nettement une fonction d’évaluation morale. Elle appelle à avoir une saine distance critique envers le traitement de l'information, même à l'égard de la réinformation.

  • En 2015, les exécutions capitales ont augmenté de 50% par rapport à l'année précédente

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    Lu sur lefigaro.fr :

    Peine de mort : 50% d'exécutions en plus en 2015

    Alors que la peine capitale est, pour la première fois de l'histoire, abolie dans la majorité des pays, Amnesty International révèle dans son rapport annuel que le nombre d'exécutions n'a jamais été aussi élevé depuis vingt-cinq ans.

    Au moins 1634 personnes ont été exécutées en 2015. C'est une hausse de 50% par rapport aux chiffres de 2014, et c'est sans compter les nombreuses exécutions qui ont lieu régulièrement en Chine, où les statistiques sur la peine capitale sont considérées comme secret d'État par l'exécutif mais où des milliers de personnes seraient passées par les armes. Ce chiffre est d'autant plus frappant qu'il est le plus élevé jamais recensé par Amnesty International depuis 1989. Le rapport montre également que des pays n'ayant pas pratiqué d'exécutions depuis un certain nombre d'années l'ont fait en 2015, comme le Tchad où des condamnés ont été exécutés pour la première fois depuis plus de dix ans.

    Hors Chine, donc, l'Iran, l'Arabie saoudite et le Pakistan sont à eux seuls responsables de 90% des exécutions en 2015. «L'Arabie saoudite, l'Iran et le Pakistan ont fait exécuter un nombre impressionnant de condamnés à mort, à l'issue bien souvent de procès d'une iniquité flagrante», déplore Salil Shetty, secrétaire général d'Amnesty International.

    En Iran, des mineurs condamnés

    158 personnes ont été exécutées en Arabie saoudite, plus de 320 au Pakistan et au moins 977 en Iran. La plupart des condamnés iraniens exécutés avait été déclaré coupable d'infractions à la législation sur les stupéfiants, et au moins quatre personnes étaient mineures au moment des faits. Leur mise à mort a donc été une violation assumée et répétée des droits de l'Homme. Au moins 73 condamnés de ce type auraient été exécutés entre 2005 et 2015. Une fille peut être condamnée dès l'âge de 9 ans, contre 15 ans pour un garçon. D'après les Nations unies, plus de 160 personnes mineures au moment des faits qu'on leur reproche se trouvent actuellement dans le quartier des condamnés à mort. On peut raisonnablement penser que ce chiffre est largement en dessous de la réalité quand l'on sait l'opacité du système judiciaire iranien en matière de peine de mort.

    Cependant, l'année 2015 marque un tournant important: les pays usant de la peine capitale se retrouvent en minorité après que la République du Congo, Madagascar, le Suriname et la Mongolie ont décidé de l'abolir pleinement. Ils mènent à 102 le nombre de pays abolitionnistes, et renforcent en creux la pression sur des pays comme les États-Unis ou encore le Japon, appliquant encore régulièrement la peine capitale.

  • Pakistan : le gouvernement cède face aux islamistes

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    Le Pakistan cède devant les islamistes : alarme des chrétiens

     

    (Radio Vatican) Au Pakistan, l’ONG Christian Solidarity Worldwide proteste contre de récentes décisions prises par les autorités allant à l’encontre des intérêts des chrétiens. Selon elle, le gouvernement a cédé à sept des dix requêtes présentées par les groupes radicaux islamiques pour mettre fin à leurs manifestations de colère après l’exécution le 29 février dernier d’un de leurs chefs, Mumtaz Qadri qui avait assassiné en 2011 Salman Taseer, le gouverneur du Pendjab, en raison de sa condamnation de la loi pakistanaise sur le blasphème.

    Le gouvernement pakistanais a cédé aux islamistes en libérant des manifestants arrêtés durant le sit-in, mais surtout en s’engageant d’abord à ne pas modifier l’article 295 a, b, et c du Code pénal qui porte sur la répression du blasphème et ensuite, à ne pas faire preuve de clémence envers les condamnés pour blasphème.

    Dans un texte envoyé à l’agence Fides, l’ONG Christian Solidarity Worldwide rapporte que « la société civile du Pakistan est choquée de voir ses responsables plier face à la rue et de voir ainsi légitimée l’influence que peuvent exercer les manifestants ».

    « Après la tragédie représentée par l’attentat de Lahore, le gouvernement du Pakistan doit être résolu en ce qui concerne la protection des minorités religieuses. Ces concessions mettent en évidence l’incapacité du gouvernement à résister aux pressions des extrémistes et soulèvent des doutes sur son engagement à garantir les droits de l’ensemble des citoyens pakistanais et à mettre un terme aux abus d’usage de la loi sur le blasphème », souligne l’ONG. (XS-MD)