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BELGICATHO - Page 1578

  • De Mahomet à Jésus : deux jeunes femmes témoignent de leur conversion

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    I-Moyenne-7417-et-elle-s-est-emparee-du-royaume.jpgEt elle s'est emparée du Royaume

    Nadia Piccard

    P. Téqui, 121 pages 

    (1er octobre 2014) (14,50 €)

    4e de couverture :

    « L’Algérienne devenue française, mais toujours musulmane, devait découvrir, au cours d’une Eucharistie, que le Dieu des chrétiens est vivant. 

    Dès lors, un seul désir habita le cœur de Nadia : s’emparer du Royaume de ce Jésus de Nazareth, le Dieu des chrétiens contre lequel pourtant les siens n’avaient cessé de la mettre en garde. Un nouveau combat pouvait débuter, que Dieu allait permettre, comme pour affermir l’âme de celle qu’il appelait à le suivre. Et elle l’emporterait. 

    Oui, une Algérienne ”s’est emparée du Royaume”. Puissions-nous espérer que nombre de ses frères et sœurs déjà appelés puissent eux aussi s’emparer de ce même Royaume. » 

    Mgr Jean-Yves Molinas - Vicaire général de Toulon

    Le récit bouleversant de la rencontre d’une jeune femme musulmane d’origine algérienne avec le Christ. Une conversion particulièrement émouvante par les modalités qu’elle emprunte : la rencontre d’un vieux curé « souriant, avenant, aimable », qui lui apprend à écouter le chant des oiseaux, les attentions dont sa famille est l’objet de la part de familles chrétiennes françaises, une voisine qui l’invite à une veillée de prière, les étés passés dans le Dauphiné à garder les enfants d’une famille catholique. « Tous les soirs, avant le souper, les enfants se réunissaient pour réciter le Notre Père. Et je me demandais qui était ce Père » Jusqu’à la révélation décisive, dans une église où elle a décidé d’entrer et d’assister à la messe, bravant les interdits de l’islam.

    Elle demande alors le baptême et découvre, avec son mari, le mariage chrétien. Sa plus grande joie, lorsqu’elle retourne en Algérie pour l’ordination d’un prêtre : « Savoir la présence de Jésus-Christ vivant en pleine terre d’islam ». 

    Jean-Marie Dumont (Famille Chrétienne)

    9782850203282FS.gifEt les oiseaux se mirent à chanter - De Mahomet à Jésus : Récit d'une conversion

    Nassera Frugier

    EDITIONS FRANCISCAINES (21/08/2014) (211 pages) (19€)

    4e de couverture :

    Un père violent, une mère courage... L'enfance de Nassera n'est que souffrance. Et pourtant Nassera, née dans une famille musulmane, a toujours eu la certitude de la présence de Dieu à ses côtés. Elle cherche dans les diverses religions avant de découvrir la figure de Jésus. Alors qu'elle traverse une période d'intenses souffrances, Nassera fait une rencontre qui va bouleverser sa vie. Elle fait appel au frère Max, franciscain exorciste diocésain. 

    A travers lui, elle découvre la bonté de Dieu et commence un chemin de guérison qui la mènera jusqu'au baptême la nuit de Pâques 2012.

  • Opus Dei : 200.000 personnes à Madrid pour la béatification de Mgr Alvaro del Portillo

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     Informations lues sur le web du « Suisse Romain » :

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    Photo: "regnare Christum volumus"

    Madrid:  ce samedi 27 septembre 2014, Mgr Alvaro del Portillo, premier successeur de Saint Josémaria à la tête de l'Opus Dei, de 1975 jusqu'à sa mort en 1994, a été béatifié lors d'une cérémonie présidée par un représentant du Pape, le cardinal Angelo Amato, en présence de 300 cardinaux, évêques et archevêques, 1.300 prêtres et 200.000 fidèles. 

    Au lendemain de la béatification, le pape François a souligné lors de la prière de l’Angélus, le dimanche 28 septembre, "le témoignage chrétien et sacerdotal exemplaire" du premier successeur de saint Josémaria Escriva (1902-1975) à la tête de l’Opus Dei.

    La veille, dans une lettre envoyée à Mgr Javier Echevarria, Prélat de l’Opus Dei, le pape avait jugé que l’amour de cet évêque pour l’Eglise était “remarquable“.

    “Il l’a servie avec un cœur dépouillé d’intérêts mondains, notait le pape, loin de toute discorde, accueillant envers tous et recherchant toujours ce qu’il y a de positif chez les autres, ce qui unit, ce qui construit“.

    Homélie de la Messe de béatification du bienheureux Alvaro del Portillo

    Lien Opus Dei en France

    Plus de 200 000 fidèles étaient présents à Madrid, lire ici :  ( La Croix )

    Revivre en live la cérémonie de béatification du bienheureux Alvaro del Portillo ici :

    JPSC

  • Synode J-7: l’accès des divorcés-remariés à la communion ne passera pas

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    C’est du moins l’avis de Philippe Oswald sur « Aleteia". A l’approche de l’ouverture du Synode extraordinaire sur la famille (5 octobre), une dizaine de cardinaux, et non des moindres, prennent publiquement position contre les propositions du cardinal Walter Kasper sur les divorcés remariés. Il est douteux que l’accès des divorcés-remariés à la communion sacramentelle puisse « passer » dans de telles conditions, sans jeter un grand trouble dans la vie de l’Eglise :

    Tous s’expriment « à l’encontre des propositions du cardinal Kasper » avec une franchise et une vigueur à la hauteur de l’enjeu : « La prédication de Jésus sur le divorce et le remariage ne souffre aucune ambiguïté ». Le cardinal est clairement blâmé pour « vouloir tolérer ce qui en soi est inacceptable », comme lui-même l’a avoué dans son livre. Même son interprétation de la pratique orthodoxe de l’« oikonomia » ou sa référence au cardinal Newman sont sévèrement battues en brèche pour leur inexactitude, tandis que le cardinal Müller dément « l’assertion selon laquelle la doctrine de l’Eglise relèguerait les catholiques divorcés au rang de chrétiens de catégorie inférieure. » Qualifiant de « faux appel à la miséricorde » la proposition principale de son frère dans l’épiscopat, le préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi exhorte l’Eglise à ne pas craindre de s’exposer comme par le passé en défendant l’indissolubilité du mariage ; qu’elle résiste, écrit-il, à « toute adaptation pragmatique », et qu’elle annonce au contraire « l’Evangile de la sainteté du mariage avec une audace prophétique ». Car c’est bien, ajoute pour sa part le cardinal Caffarra, un changement de doctrine et pas seulement de discipline qu’implique la proposition principale du cardinal Kasper. Déjà considérable par son ampleur et l’autorité des contributeurs de ce livre, ce « tir groupé » est conforté par d’autres interventions en solo, mais publiques elles aussi, d’au moins cinq autres cardinaux de premier plan : le Canadien Marc Ouellet, préfet de la Congrégation pour les évêques (un « papabile » du précédent consistoire), l'Australien George Pell, chef du tout nouveau Secrétariat pour l'économie, l'archevêque de Milan, Angelo Scola, l’Espagnol Fernando Sebastián Aguilar, et le Canadien Thomas Collins, l'archevêque de Toronto. On peut en conclure sans trop de risque de se tromper que la proposition du cardinal Kasper  d’admettre à la communion sacramentelle les divorcés remariés ne recueillera guère de suffrages au Synode. Pour l’heure, remarquait récemment le vaticaniste Sandro Magister (La Repubblica), seul son compatriote le cardinal Reinhard Marx, archevêque de Munich, lui a promis son soutien avec l’espoir de rallier d'autres évêques allemands.

    1) Demeurer dans la vérité du Christ, mariage et communion dans l'Eglise catholique, textes rassemblés par Robert Dodaro, Artège, 312 pages, 19,90€
     
     Réf. Divorcés remariés : vif débat au sommet de l’Eglise

    JPSC

  • La disparition des Chrétiens d'Orient marque la fin de notre «humanité historique»

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    Jean-François Colosimo : «Les chrétiens d'Orient sont un peuple errant et persécuté»

    Par Wladimir Garcin (FIGARO VOX)  

    FIGAROVOX/GRAND ENTRETIEN - Alors que la coalition internationale poursuit ses frappes contre l'Etat Islamique, Jean-François Colosimo décrypte la longue agonie des Chrétiens d'Orient dans son livre Les Hommes en trop.

    Jean-François Colosimo est écrivain et essayiste. Président du Centre national du livre de 2010 à 2013, il dirige désormais les éditions du Cerf. Son dernier livre, Les Hommes en trop, la malédiction des chrétiens d'Orient, est paru début septembre.

    FigaroVox: La France est en guerre contre l'Etat Islamique, qui persécute les minorités chrétiennes. Le sort des Chrétiens d'Orient a-t-il joué dans la décision de cette intervention?

    Jean-François COLOSIMO: Il est clair que la situation des chrétiens d'Orient en Irak est désastreuse. Pour le christianisme, l'ancienne Mésopotamie, la terre d'Abraham, est perdue. Soyons clairs: il restera des Chrétiens en Irak, mais ils n'auront plus la taille critique suffisante pour entraîner le mouvement de diversité et de sécularisation nécessaire aux sociétés qui risquent de s'uniformiser dans le fanatisme. De plus, les Chrétiens de Syrie connaissent un destin similaire à celui de leurs semblables irakiens, et empruntent à leur tour le chemin de l'exil via le Liban, la Jordanie et la Turquie.

    Les Chrétiens sont persécutés depuis 10 ans en Irak, et souffrent depuis 3 ans en Syrie, sans que cela ait provoqué le moindre engagement militaire d'un quelconque pays occidental. Les décapitations récentes de journalistes américains, toutefois, ont placé Barack Obama devant la nécessité absolue d'un réengagement militaire dans la région. Les Etats-Unis, désormais sur la voie de l'indépendance énergétique grâce aux gaz et aux huiles de schiste, n'ont cependant plus aucun intérêt à être présents sur le terrain. Le but de la conférence de Paris était donc de rassembler une coalition supplétive dans le cadre d'une intervention au Moyen-Orient.

    Lire la suite sur Figaro-Vox

  • La conversion des musulmans

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    Vu sur le blog « Salon beige », ce reportage que TV Libertés a produit dans le cadre du JT de mardi. Martial Bild recevait Mohammed Christophe Bilek, organisateur du colloque Yeshua el Messiah, forum qui s'adresse aux musulmans dans la volonté de les convertir au christianisme.

    JPSC

  • Selon Mgr Fernandez, de Cordoue, le pape lui-même récuse la communion pour les divorcés « remariés »

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     Lu sur « Riposte catholique » :

     « Alors que la confusion monte autour du prochain synode sur la famille, un évêque espagnol rapporte que le pape a déclaré aux évêques d’Espagne : ce que le Christ a institué, « le pape ne pas ne peut pas le changer ». C’est dans une interview au journal Diario de Cordoba que Mgr Demetrio Fernandez a raconté il y a quelques jours comment les évêques ont posé la question de la communion aux divorcés « remariés » lors de leur dernière visite ad limina, au printemps.

    Il répondait à la question du journaliste à propos des milliers de personnes séparées de Cordoue, après avoir évoqué les « deux millions de couples détruits en Espagne… un problème social énorme ». « L’Eglise nous dit continuellement que nous devons être accueillants, que les personnes ne se sentent pas exclues, et nous pouvons toujours rendre l’accueil plus ample. Mais… »

    « Ahora bien », dit Mgr Fernardez en espagnol. Un peu plus qu’un « or », un « cependant », un « mais ». Il faut bien écouter, c’est important, c’est précis :

    « Nous avons posé la question aux pape directement. Il nous a répondu qu’une personne mariée par l’église, divorcée et qui aurait contracté un nouveau mariage civil ne peut accéder aux sacrements. Le pape a poursuivi: “Cela a été établi par Jésus-Christ et le pape ne peut pas le changer.” »

    Curieuse époque, où l’évêque de Cordoue – ville pétrie d’histoire mais pas précisément un centre névralgique de l’Eglise – est obligé d’expliquer à la presse que le pape ne compte pas lâcher un enseignement aussi basique que celui sur le mariage sacramentel ! Curieuse époque où des évêques en visite ad limina en viennent à vérifier auprès du pape qu’il n’a pas l’intention de changer la doctrine !

    Mgr Fernandez poursuit : « Je dis cela parce que parfois des gens disent que “tout va changer” et qu’il y a des choses qui ne peuvent pas changer ? L’Eglise se doit à son Seigneur et son Seigneur est vivant. »

    Connu pour son franc-parler, Mgr Fernandez évoquait aussi dans cet entretien de la dénatalité inquiétante en Espagne, où le renouvellement des générations n’est pas assuré : « A quoi servent des routes ou internet s’il n’y a pas d’Andalous pour en profiter ? »

     Ref. Selon Mgr Fernandez, de Cordoue, le pape lui-même récuse la communion pour les divorcés « remariés »

    JPSC

  • La médiatisation du pape François comme signe de crise de l’Église catholique

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    Lu sur le blog « égalité réconciliation » sous la plume de Dario Citati :

    « Quelle évolution a connu le catholicisme depuis la démission de Benoît XVI et l’élection du pape François ? Alors que la célébrité du premier Pontife sud-américain fait rage chez les non-catholiques, derrière le respect envers sa fonction pas mal de fidèles de l’Église romaine vivent un malaise caché pour une stratégie qui pourrait changer la forme et le contenu de leur credo.

    À première vue la grande popularité du pape François auprès de l’opinion publique internationale semble l’affirmation d’un principe essentiel du catholicisme, qui fonde sa structure ecclésiastique sur la primauté juridique du pape sur les autres évêques. En réalité, il se passe exactement le contraire : depuis son élection comme pontife romain Jorge Mario Bergoglio est devenu très populaire non pas pour son action doctrinaire et de gouvernement en qualité de pape, mais bien à cause de la médiatisation de sa personne et de la sensation qu’il donne d’être différent par rapport à tous ses prédécesseurs. Derrière la vénération pour la personne de François se cache donc un affaiblissement de la papauté comme institution.

    Si l’on analyse les questions relatives à l’Église catholique au-delà de la foi, c’est-à-dire au-delà du propre du christianisme, si l’on étudie l’Église tout simplement comme une importante institution internationale, il est hors de doute que le style de Jorge Mario Bergoglio a momentanément augmenté la popularité du catholicisme. La volonté de relancer l’image du catholicisme auprès de non-catholiques en ce moment semble l’emporter sur les questions internes et sur les principes moraux. Néanmoins, sur la longue durée ce seront justement ces questions et ses principes qui décideront le sort du catholicisme.

    Sur le plan doctrinaire, la « révolution » du pape François apparaît bien significative.

    Premièrement, il s’agit d’un changement de modes et de conduite extérieure : dans la mimique de ses gestes, dans son langage simple et élémentaire, tout semble contribuer à une désacralisation de la fonction pontificale qui plaît beaucoup aux adversaires du christianisme dans la mesure où cela donne l’impression que le pape, c’est quelqu’un comme tout le monde, presque une espèce de grand-père sympathique et affable.

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  • La Belgique : pays européen le plus touché par le djihadisme?

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    Du sénateur belge Alain Destexhe sur le site « FigaroVox » :

    « Par rapport à sa population, la Belgique est le pays qui compte le plus de djihadistes au Moyen Orient. La montée en puissance du radicalisme islamique n'est pas un phénomène récent mais pendant trop longtemps les plus hautes autorités de l'Etat ont préféré se comporter comme les trois singes: ne rien voir, ne rien entendre et ne rien dire.

    La petite Belgique a déjà connu une dizaine de procès pour terrorisme islamiste. Il a cependant fallu attendre l'attentat de Nemmouche contre le musée juif de Bruxelles et le problème posé par les Belges en Syrie, avec la perspective de leur retour, pour que le grand public prenne conscience de l'ampleur de la menace.

    En 2001, en Afghanistan, le célèbre commandant Massoud était assassiné par des Tunisiens résidant en Belgique, munis de faux passeports belges. Cet épisode aurait pu servir de coup de semonce. La majorité du monde politique a préféré ne pas entendre les sermons de plus en plus radicaux dans les mosquées, ne pas voir la multiplication d'actes affirmant la supériorité de l'islam sur les valeurs occidentales, ne rien dire plutôt que de prendre le risque de «stigmatiser» ou de s'aliéner une communauté qui compte de plus en plus au plan électoral. La Belgique, surtout sa capitale mais aussi des villes comme Anvers ou Verviers, sont minées par le communautarisme islamique. Le pays ne dispose pas en matière d'intégration d'une doctrine de référence comme l'était autrefois l'assimilation en France.

    La Belgique n'est pas non plus assez équipée pour lutter contre la menace. Certes, juges et policiers font de leur mieux. Il existe un organisme chargé d'analyser les menaces terroristes. Mais la «Sureté de l'Etat», chargée du renseignement intérieur, n'a pas le droit d'opérer en dehors du territoire belge et dépend largement des services étrangers comme ceux de la France.

    Lorsque les autorités ont eu connaissance de la présence de Belges en Syrie, la première réponse officielle a été … humanitaire, avec la mise sur pied de groupes de parole pour essayer de comprendre le problème sur un mode compassionnel. Comme les aspirants terroristes étaient en majorité des jeunes, ils furent d'abord considérés comme des victimes de la société. La ministre de l'Intérieur de l'époque allant même jusqu'à orchestrer le rapatriement de Syrie en Belgique de la femme enceinte d'un djihadiste pour qu'elle puisse accoucher dans de bonnes conditions au frais du contribuable! Il a fallu le ras-le-bol de quelques bourgmestres flamands et des mises en scène spectaculaires comme une vidéo d'un jeune de 7 ans originaire d'une commune bruxelloise appelant au djihad, sous l'œil bienveillant de son père, pour que la Belgique se réveille. Le nouveau gouvernement «suédois» de centre-droit, en gestation, annonce la mise sur pied d'un plan ambitieux de lutte contre le radicalisme.

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  • La guerre à venir contre le djihadisme: l'avis d'un catholique

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    Avis d’un catholique : la guerre à venir contre le djihadisme, septembre 2014 (21 mn).
    Cet avis n’engage qu’Arnaud Dumouch
    Analyse du mécanisme en jeu : comme en Europe en 1918, l’alliance dans des les âmes musulmanes entre une frustration de la fierté et une théorie du complot Juif. Les prophéties du Coran et des Hadith qui nourrissent cette alliance.
    Position catholique à tenir dans les évènements à venir : rester fixer sur le Magistère, comme il aurait fallu le faire en 1939 en s’appuyant sur les deux encycliques condamnant le communisme et le Nazisme : 1° L’islam n’est pas cet islamisme djihadiste (bien que le djihadiste s’appuie sur des textes du Coran « interprétés comme cela les arrange » (citation de Flavius Joseph concernant les zélotes de la guerre des juifs contre les romains. 2° Croire que les souhaits pastoraux de Vatican II, de Jean-Paul II, de Benoît XVI et de François sur une future réconciliation avec l’islam, loin d’être naïfs, viennent de Dieu.
    La prophétie de Genèse 33 sur la réconciliation finale entre Esaü (symbole de l’islam) et Jacob (symbole du christianisme).

  • Divorcés-remariés : le vent tourne-t-il dans la cathosphère ?

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    Retrouvez sur Aleteia la chronique de Guillaume de Prémare sur l'antenne de Radio Espérance :

     Il semblerait qu’il ne subsiste aujourd’hui que l’Eglise catholique pour témoigner de manière complète de la grandeur et de la beauté du mariage. L’Eglise n’a pas "inventé" le mariage, mais en l’élevant à la dignité de sacrement, à la suite de l’enseignement du Christ, elle en fait le témoignage vivant et incarné de l’alliance divine.

    Puisque le mariage est un témoignage de Dieu, il faut redire clairement la nature et le degré de ce témoignage. Qu’est-ce qui fait le mariage ? C’est le consentement des époux. Ce consentement est un engagement public devant témoins : « Je te reçois comme épouse et je me donne à toi pour t’aimer fidèlement tout au long de ma vie. » Cette parole humaine échangée par les époux fait le lien matrimonial. Cette alliance exclusive est consacrée par Dieu et comporte donc aussi une dimension divine. Quant au degré de ce témoignage, il ne peut être plus élevé : c’est pour la vie.
    C’est pourquoi l’Eglise établit que « l’unité et l’indissolubilité sont les propriétés essentielles du mariage ». Si le mariage ne témoigne plus de cela, il ne témoigne plus de l’irrévocable alliance divine. Le mariage dit la fidélité de Dieu : « Dieu demeure fidèle car il ne peut se renier lui-même », dit saint Paul à Timothée. Alors même que le mariage est signe de l’alliance du Christ et de son Eglise, comment l’Eglise pourrait-elle se renier elle-même en relativisant le témoignage du mariage ?

    Ce témoignage est porté par de pauvres pécheurs. Mais c’est particulièrement en raison de nos misères qu’il a de la valeur, et non d’abord en raison de notre très hypothétique sainteté. Parlons clair : celui qui ne communie pas parce qu’il a contracté une seconde union témoigne aussi, à sa manière, de la grandeur sacrée du mariage indissoluble, donc de Dieu. Il en témoigne notamment devant ses enfants qui seront appelés, peut-être un jour, à s’engager pour la vie. J’admire le fidèle qui fait cela parce que son obéissance à l’Eglise est un signe de la grandeur de sa foi.
    Il rappelle à toute une communauté habituée à communier - parfois de manière routinière voire indigne - la substance même des sacrements de mariage, de pénitence et de l’Eucharistie. Ce faisant, il édifie l’Eglise, il édifie ses frères. D’une manière comparable, celui qui est publiquement "dans les clous" mais ne communie pas occasionnellement, pour un motif dont son âme porte le secret, témoigne de la haute valeur qu’il attribue aux sacrements.

    Pour le premier, le témoignage est certes plus difficile parce que le motif est public. Ne soyons pas naïfs : dans une communauté, l’état de vie des uns et des autres est connu de presque tous et les gens remarquent celui qui ne va pas communier. Ce témoignage comporte donc une dimension héroïque exemplaire. Ce que je donne en exemple, ce n’est pas l’échec de la première union dont nul ne peut juger. Ce que je donne en exemple, c’est la manière dont le divorcé-remarié qui ne communie pas vit cet échec, c’est sa loyauté envers l’Eglise qui est sa mère.

    Je crois vraiment qu’en ce temps de crise du mariage, l’Eglise a pour mission prophétique de redire encore plus explicitement l’alliance irrévocable. Le miracle de Dieu, le miracle de l’Eglise, c’est que les divorcés-remariés qui ne communient pas participent à cette prophétie pour le monde. »

    Chronique diffusée sur l'antenne de Radio Espérance le 26 septembre 2014
    à réécouter en cliquant sur ce lien

    sources: RADIO ESPÉRANCE

    Ref. OPINION. Divorcés-remariés, une dimension prophétique

     JPSC

  • La GPA à la Une : GRANDE MANIF A PARIS DIMANCHE 5 OCTOBRE

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    D'action pour la Famille :

    LA GPA A LA UNE :

    GRANDE MANIF A PARIS DIMANCHE 5 OCTOBRE

    Nous voici en pleine rentrée et déjà l’actualité nous appelle à la mobilisation pour défendre  les belles valeurs qui nous font vivre et que nous voulons promouvoir avec détermination : nous ne lâcherons rien !

    Action pour la famille vous encourage vivement à manifester contre la GPA (gestation pour autrui) à Paris le dimanche 5 octobre à l’appel de La Manif pour TousDes cars partiront dimanche matin de Bruxelles et vous y ramèneront le soir. Inscrivez-vous avant le 29 septembre en envoyant un mail à manifpourtousbruxelles@gmail.com 

    Effectuez ensuite un virement sur le compte 

    LMPT Bruxelles
    IBAN:
     BE39 3631 1433 1819    BIC: BBRUBEBB 

    Tarif de soutien : 60 €
    Tarif adulte : 50 € 

    Tarif jeune ou étudiant: 40 €
    Tarif enfant (moins de 16 ans): 15 € 

    Les inscriptions seront confirmées seulement après le paiement des places.

    Davantage d’informations sur le site de La Manif pour Tous http://www.lamanifpourtous.fr/fr/

    En Belgique, la GPA n’est pas interdite et des couples étrangers y ont recours. Elle se pratique dans certains hôpitaux, et certains législateurs souhaitent l’ « encadrer pour éviter les dérives mercantiles ». Action pour la famille est en faveur d’une législation interdisant la GPA. Ceci non seulement pour protéger les femmes qui pour des raisons économiques accepteraient de « louer leur ventre » - et il en existe en Belgique ! - mais également pour éviter des situations très difficiles pour l’enfant et sa mère porteuse.  On sait que des liens affectifs forts se nouent entre l’enfant et la maman qui le porte en elle. Ces liens sont brisés par le transfert de l’enfant au couple commanditaire, ce qui peut entraîner des dommages psychologiques importants aussi bien pour l’enfant que pour sa mère porteuse.

    L’enfant n’est pas une marchandise, un objet qui s’achète et qui se vend, et les femmes ne sont pas des machines à fabriquer des enfants parfaits sur commande ! Une législation qui « encadrerait » la GPA serait totalement impuissante à empêcher cette marchandisation du corps humain et produirait au contraire de multiples situations dramatiques. 

    La GPA peut aussi être pratiquée en ayant recours à des dons anonymes de sperme ou d’ovules. Action pour la famille rappelle son soutien au droit de l’enfant à connaître son origine et demande la suppression de l’anonymat des donneurs de sperme et des donneuses d’ovules. Ainsi, l’enfant aura toujours la possibilité, s’il le souhaite, de connaître son père ou sa mère biologique.

    Please : diffusez ce message à vos contacts, inscrivez-vous sur notre page Facebook 
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     et invitez vos amis !

    Grand merci pour votre soutien !

    Action pour la famille asbl-Actie gezin vzw
    http://www.actiegezin-actionfamille.be