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  • Où en est le chantier de la restauration de Notre-Dame de Paris ?

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    Plus d'un an et demi après l'incendie qui a ravagé la cathédrale Notre-Dame de Paris, le général Georgelin, président de l’établissement public chargé de la restauration de Notre-Dame, présente l'avancée du chantier de restauration qui doit être terminé le 16 avril 2024, soit cinq ans jour pour jour après l'incendie : un reportage publié sur le site de « Famille chrétienne » le 30.12. 2020

    JPSC

  • Le Moyen Age, une spiritualité pour aujourd’hui

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    Logo_chartes.gif« La Foi prise au mot » invite chacun à découvrir les richesses de la spiritualité du Moyen Âge et à apprécier certains moments de cette époque lumineuse, complexe et fort méconnue. Une époque dont la modernité frappe puisqu’elle invente tout à la fois l’idée des exercices spirituels, des méditations personnelles et aussi de la spiritualité des laïcs. Celle-ci n’est-elle pas réservée aux religieux ? Y-a-t-il une technique pour prier, méditer, contempler ? Quelle est la différence entre la spiritualité médiévale occidentale et la spiritualité orientale en vogue aujourd’hui ? Grâce au père Patrick Sicard et à l’historien Cédric Giraud, Régis Burnet propose ce soir de réfléchir sur la spiritualité à l’aide des écrivains mystiques qui l’ont inventée.

    Une émission KTO diffusée le 3 janvier 2021 :

    JPSC

  • Une série documentaire de Netflix inspirée d'un livre du pape François

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    De Camille Lecuit sur le site de Famille Chrétienne :

    Le pape François va intervenir dans une nouvelle série Netflix

    6/01/2021

    Ce n’est pas la première fois que Netflix met en avant le pape François. Après le succès de son film Les deux papes– une fiction sortie en 2019 s’inspirant du passage de flambeau historique entre les papes Benoît XVI et François – et la diffusion en 2018 du film de Wim Wenders Le pape François : Un homme de parole, la plateforme a annoncé le 16 décembre la parution d’une série documentaire pour 2021. Celle-ci sera basée sur le livre du Souverain pontife Partager la Sagesse du tempssorti en 2018 et réalisé avec le Père Antonio Spadaro, dans lequel ils donnaient ensemble la parole à 250 personnes âgées de plus de 30 pays livrant leur expérience.

    Le pape François en fil rouge de la série

    La série de Netflix en 4 épisodes reprendra ce concept : des cinéastes du monde entier, âgés de 30 ans ou moins, interrogeront des personnes âgées pour former « une histoire chorale sur le troisième âge comme un trésor à redécouvrir ». La série sera dirigée par l’Italienne Simona Ercolani et produite par la société Stand By Me

    C’est « la présence extraordinaire du pape François, qui, avec son témoignage exclusif de personne âgée parmi les personnes âgées, sera le fil conducteur des quatre épisodes de la série », a encore annoncé Netflix. Le Souverain pontife interviendra à travers un entretien exclusif, a indiqué le site spécialisé The Hollywood Reporter. Le contenu de son intervention sera sans doute proche de celui de son livre : il y intervient en tant que « ‘’grand-père’’ comme les autres, en le préfaçant et en égrenant quelques-uns de ses souvenirs au fil des chapitres » ou en  « commentant plusieurs des histoires rapportées dans ce livre », expliquaient les éditions Fidélité lorsqu’elles l’ont publié en français.

    Transmettre la foi aux plus jeunes

    Les personnages de la série devraient venir non seulement de pays différents, mais aussi de toutes classes sociales, cultures et religions. A l’image du livre, elles aborderont notamment les manières dont les plus anciens peuvent transmettre la foi aux plus jeunes. Pour l’instant, Netflix n’a pas diffusé beaucoup plus d’informations sur cette série documentaire inattendue. Sans doute la plateforme de 195 millions d’abonnés mise-t-elle sur la personnalité renommée du pape François même en dehors du monde catholique, pour voir son projet couronné de succès.

  • La santé va-t-elle devenir la nouvelle morale ?

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    Une synthèse de gènéthique.org :

    La santé est-t-elle en passe de devenir la nouvelle morale ?

    5 janvier 2021

    « Même si nous ne le sommes pas, nous vivons d’une certaine manière comme des malades. » Avec la pandémie, explique Claire Marin, philosophe, « ce que l’on découvre, c’est que l’on ne vit pas avec une maladie ou sa menace, mais qu’on s’efforce de vivre malgré elle, c’est-à-dire dans la restriction de libertés, dans la perte de contact, dans une vie réduite, souvent appauvrie sur le plan professionnel, social et affectif. Une vie où les projections, les anticipations sont suspendues, où tout est susceptible d’être remis en question du jour au lendemain ». Pour Claire Marin, « cette existence sur le mode de l’incertitude et de l’inquiétude est celle que connaissent les malades au long cours. Elle concerne désormais chacun de nous ». Tout en précisant que « nous sommes confinés mentalement bien plus encore que nous ne l’avons été physiquement ».

    Dans cette pandémie, « l’intimité est d’autant plus interdite au malade (…) que cette maladie nous oblige à l’exposer, à nous signaler comme malade ». La philosophe regrette qu’ « atteints du Covid, nous ne sommes pas ‘seulement’ des victimes, nous devenons une menace ».

    Enfin, « la logique sanitaire crée des ‘malades potentiels’ ». En effet, « la maladie s’est immiscée dans nos vies, dans nos gestes, nos habitudes et notre imaginaire. Elle est le nom d’une nouvelle inquiétude contemporaine ».

    L’inquiétude ne se fait pas sentir que du côté des individus, collectivement, « ce qui est dangereux, c’est que le pouvoir se transforme en ‘bio-pouvoir’. » La philosophe Julia de Funès quant à elle déplore l’entrée de l’hygiénisme, de la santé dans le pouvoir. « La santé est devenue une morale. La vie saine est la vie bonne », déplore Julia de Funès qui constate que « la santé est devenue du civisme, nos comportements sociaux sont dictés par les gestes barrières. La santé est devenue politique, puisque les politiques se sont énormément appuyés sur les conseils scientifiques. Elle prend la place dans toutes les sphères sociales, et c’est ce qui me semble le plus inquiétant ».

    Le Monde, Nicolas Truong (27/12/2020) ; Europe 1, Nicolas Barré (27/12/2020)

  • (USA) Jeff Fortenberry, élu républicain catholique : la tempête du Capitole est un "signe de dégradation culturelle"

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    Du National Catholic Register :

    Jeff Fortenberry, représentant catholique : la tempête du Capitole sape la démocratie et est un "signe de dégradation culturelle"

    S'exprimant avec le Register (Lauretta Brown) depuis son bureau au Capitole à propos du lockdown, M. Fortenberry a déclaré que l'Église catholique doit prendre l'initiative pour repousser le tribalisme politique qui a déclenché la violence actuelle à Washington.

    7 janvier 2021

    Des scènes chaotiques et inquiétantes ont eu lieu mercredi après-midi sur la colline du Capitole, alors que le bâtiment était fermé à clé lorsque les partisans de Trump l'ont pris d'assaut et ont interrompu le vote du Congrès pour certifier les résultats de l'élection présidentielle. Les législateurs ont été évacués lorsque des émeutiers ont brisé des fenêtres, un épisode armé s'est produit à la porte d'entrée de l'étage de la Chambre, et une manifestante a été abattue dans un couloir et est décédée par la suite. 

    Malgré la violence sans précédent qui a éclaté entre les murs du Congrès américain, le processus de certification des résultats des élections a repris tard mercredi soir après la sécurisation du bâtiment et du terrain.

    Le député Jeff Fortenberry, représentant républicain du Nebraska, un législateur catholique diplômé en théologie de l'Université franciscaine de Steubenville, s'est entretenu avec le Register mercredi soir par téléphone depuis son bureau au Capitole, en plein lockdown. Il a déclaré que la prise d'assaut du Capitole "sapait le principe même de la démocratie" et "déchirait le tissu de ce que nous sommes en tant que nation". 

    Fortenberry a déploré le tribalisme en politique qui a conduit les gens à considérer la violence comme une solution et a exhorté l'Eglise à mettre fin à sa "passivité" face au déclin culturel.

    Quelle a été votre expérience aujourd'hui au Capitole ?

    Mon expérience est différente des autres car j'étais en fait dans mon bureau. Pour certaines raisons, je devais être dans mon bureau. J'ai donc suivi les débats à la télévision et j'ai commencé à entendre des explosions par la fenêtre. Je suis dans mon bureau, dans le bâtiment situé au sud du Capitole, et il était clair que ces explosions provenaient d'une sorte de souffle. J'ai reçu une information indiquant que la police du Capitole faisait exploser des colis suspects. Je suis du côté sud, plus éloigné de tout cela, donc je n'étais pas piégé dans le Capitole lui-même. 

    Quels sont, selon vous, les facteurs qui ont conduit à cet événement ? 

    Dans tout drame humain tragique comme celui que nous avons vu aujourd'hui, il y a toujours de multiples facteurs. Les gens sont bouleversés par le résultat de cette élection, beaucoup de gens à travers le pays se sentent privés de leur droit de vote et opprimés par les systèmes sociaux, économiques et politiques qui les entourent. Le président Trump a eu la capacité étonnante d'exploiter cette profonde méfiance des gens à l'égard des systèmes qui les entourent et de créer un mouvement autour de cela, et ce mouvement est très puissant.

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  • Violences à Washington : les évêques catholiques américains appellent à la paix

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    Du National Catholic Register :

    Violence, les évêques catholiques américains appellent à la paix

    7 janvier 2021

    Les partisans de Trump se sont rassemblés devant le Capitole américain le 6 janvier 2021 à Washington, DC. Une foule pro-Trump a pris d'assaut le Capitole, brisant des fenêtres et s'affrontant avec des officiers de police. Au moins une personne est morte dans l'affrontement.

    Les évêques catholiques ont fermement condamné l'incursion des manifestants pro-Donald Trump qui ont pénétré dans le bâtiment du Capitole mercredi alors que le Congrès débattait de la certification des résultats de l'élection présidentielle de 2020, entraînant l'évacuation des législateurs et le tir mortel d'un manifestant par les forces de l'ordre.

    "Je me joins aux personnes de bonne volonté pour condamner la violence qui sévit aujourd'hui au Capitole des États-Unis", a déclaré le 6 janvier l'archevêque de Los Angeles José Gomez, président de la Conférence des évêques catholiques des États-Unis, "Ce n'est pas ce que nous sommes en tant qu'Américains. Je prie pour les membres du Congrès et le personnel du Capitole ainsi que pour la police et tous ceux qui travaillent à rétablir l'ordre et la sécurité publique". "La transition pacifique du pouvoir est l'une des caractéristiques de cette grande nation", a-t-il ajouté. "En ce moment troublant, nous devons nous engager à nouveau envers les valeurs et les principes de notre démocratie et nous rassembler en une seule nation sous l'égide de Dieu".

    Dans sa propre déclaration, l'archevêque Salvatore Cordileone de San Francisco a ajouté : "Attaquer le Capitole américain pour exprimer votre crainte que la démocratie ait été niée est une erreur, et aussi contre-productif. Les doutes sur la tenue d'élections libres et équitables ne peuvent être levés par la violence contre les institutions démocratiques". "Aux morts causées par une pandémie et aux destructions qui ont affecté les moyens de subsistance des gens, nous n'avons pas besoin d'ajouter une tentative de guerre civile. J'ai appelé à la fin de la violence dans les rues lorsque cela s'est produit cet été. J'appelle tous les Américains de bonne volonté à dénoncer dès maintenant cette violence contre le Capitole de notre nation". "Que le Prince de la Paix mette un terme à cette querelle, et apporte la guérison et la critique constructive à la place de la loi de la foule. Et que Dieu bénisse l'Amérique", a déclaré l'archevêque.

    Gomez a confié le pays au cœur de la Bienheureuse Vierge Marie, en demandant : "Qu'elle nous guide dans les voies de la paix, et qu'elle nous obtienne la sagesse et la grâce d'un véritable patriotisme et de l'amour de la patrie".

    Le compte Twitter de la Conférence des évêques catholiques des États-Unis a dit : "Seigneur Dieu de la paix, entends notre prière". Elle a également diffusé une prière depuis le sanctuaire national : "Prions pour la paix dans notre nation. Marie Immaculée, priez pour nous !"

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  • "Celui qui n'adore pas Dieu adore le diable"

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    D' sur zenit.org :

    Epiphanie : « Celui qui n’adore pas Dieu, adore le diable »

    Le pape invite à se libérer de la « dictature du moi » (Homélie intégrale)

    En célébrant la messe de l’Epiphanie ce 6 janvier 2021, le pape François a fait trois recommandations pour adorer Dieu « sans se tromper d’objectif » : il faut, a-t-il dit, “lever les yeux” en se libérant de la « dictature du moi » ; se mettre en voyage ; et apprendre à « voir au-delà de l’apparence ». « Celui qui n’adore pas Dieu, adore le diable », a-t-il mis en garde en citant l’écrivain français Léon Bloy.

    Le pape – qui quelques jours plus tôt avait dû annuler sa participation aux célébrations de fin d’année à cause d’une sciatique – présidait cette fête marquant la visite des rois mages à Jésus nouveau-né dans la crèche, depuis la basilique Saint-Pierre de Rome, entouré d’une cinquantaine de fidèles.

    Dans son homélie, il a invité à « mettre de côté la fatigue et les plaintes, à sortir des exigüités d’une vision étroite », et à « regarder d’une manière nouvelle les problèmes et les angoisses, en sachant que le Seigneur connaît nos situations difficiles, écoute attentivement nos invocations et n’est pas indifférent aux larmes que nous versons ».

    « Les échecs, les crises, les erreurs peuvent devenir des expériences instructives : ils servent très souvent à nous rendre conscients que seul le Seigneur est digne d’être adoré », a-t-il aussi souligné. Et Dieu se trouve « dans l’humilité », il « fuit toute ostentation ».

    Voici le texte de son homélie.

    Homélie du pape François

    L’évangéliste Matthieu souligne que les Mages, quand ils arrivèrent à Bethléem, « virent l’enfant avec Marie sa mère, se prosternèrent et l’adorèrent » (Mt 2, 11). Adorer le Seigneur n’est pas facile, ce n’est pas un fait immédiat : cela exige une certaine maturité spirituelle, étant le point d’arrivée d’un cheminement intérieur, parfois long. L’attitude d’adorer Dieu n’est pas spontanée en nous. L’être humain a besoin, oui, d’adorer, mais il risque de se tromper d’objectif ; en effet, s’il n’adore pas Dieu, il adorera des idoles, – il n’y a pas de demie mesure, ou Dieu ou les idoles, ou pour prendre une expression d’un écrivain français : “Celui qui n’adore pas Dieu, adore le diable”– et au lieu d’être croyant, il deviendra idolâtre. C’est ainsi, aut aut.

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  • "L'âme et le corps au service de l'intelligence" : le prochain rendez-vous de Philo à Bruxelles, le 12 janvier

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