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  • Accusations de pédophilie : une carte blanche qui en dit long

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    La carte blanche qui suit figure sur le site de "Enseignons.be" :

    Carte blanche de Y.M. Boucher, A. Dahin, P. Heymans, P. Matheys et L. Penninckx.

    Nous cinq, anciens directeurs et enseignants du collège Saint-Pierre d’Uccle, entendons mettre en cause la capacité de notre système judiciaire à rendre justice à tous les innocents, dont nous sommes, passés entre ses mains. Nous espérons que cet appel sera suivi d’effet et que l’exposé de notre cas singulier entrainera* à l’avenir une juste compensation pour ceux qui, comme nous, auront été blanchis par la justice après avoir été salis par elle. Un bref mais édifiant rappel de notre histoire s’impose pour que le lecteur se souvienne de notre calvaire, lequel a duré huit ans.

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  • Information ou désinformation : le rôle des grandes agences de presse

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    L'information passe essentiellement par le canal des grandes agences de presse : Reuters, AP, AFP, Belga, etc. Ce sont elles qui "fournissent" les infos, souvent reproduites telles quelles par les quotidiens, les hebdomadaires et même les instituts de radio-diffusion. Le rôle qu'elles jouent est donc loin d'être bénin : elles informent (ou désinforment) en donnant un éclairage souvent partisan sur les évènements et peu de gens se rendent compte combien "les nouvelles" qu'ils reçoivent pour argent comptant sont, en fait, des produits élaborés qui sont tout sauf le reflet fidèle et objectif de ce qui se passe réellement.

    Enquête&Débat publie, à ce propos, un excellent article au sujet d'une de ces agences de presse (et pas la moindre) que l'on trouvera ICI

  • A Bruxelles, un monument censuré...

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    Le passé belge, particulièrement son passé colonial, doit être revu et corrigé à la lumière de la modernité et du multiculturalisme. C'est ce qui s'est fait dans la pierre d'un monument bruxellois, semble-t-il.

    C'est à découvrir sur le site du Causeur dans un billet intitulé "Monument sans maures - La Belgique esclave de son passé?" rédigé par Bernard Swysen, scénariste et dessinateur:

    "Qu’il est agréable de déambuler nonchalamment dans le Parc du Cinquantenaire à Bruxelles ; de passer, insignifiante fourmi, sous les imposantes arcades surmontées par un immense quadrige représentant le Brabant – qui n’était pas encore divisé en Brabant-Flamand et Brabant-Wallon ; de flâner parmi les arbres et les monuments à la gloire d’un pays qui fut en son temps l’une des premières puissances économiques mondiales ; de parcourir les riches Musées Royaux d’Art et d’Histoire, le Musée de l’Armée ou même l’Autoworld (le Musée de l’automobile) qui y sont implantés… (Faites-moi penser à réclamer mon obole à l’Office du tourisme !). Et qu’il est doux et rassurant de s’allonger au soleil sur ses fraîches pelouses à regarder glisser de jolis cumulus..."

    découvrir la suite ICI

  • Une jolie parabole à méditer...

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    ...découverte sur le blog d'un "idiot attentif" :

    "Deux jumeaux sont dans le ventre de leur mère. Ils discutent philosophie.

    - Tu crois qu’il y a une vie après la naissance?

    - Evidemment. Il doit forcément exister quelque chose au-dehors, car il me semble que nous sommes ici précisément pour nous préparer à ce plus tard.

    - Mais non! Ce n’est pas possible, et c’est même inepte. Il n’y a pas de vie après la naissance. Si c’était le cas, quelqu’un nous en aurait parlé. Donc, cela n’existe pas. Mais imaginons, comment serait ce monde futur?

    - Je ne sais pas, mais il y aurait certainement plus de lumière. Peut-être pourrions-nous même courir? Manger avec nos mains et notre bouche?

    - Mais non, c’est une aberration! On ne peut pas courir! Et qui a vu une personne manger en utilisant sa bouche! C’est le cordon ombilical qui nourrit l’homme, c’est prouvé scientifiquement.

    - Ecoute, je ne sais pas, mais ce que j’imagine, c’est que nous verrons nos parents et ils prendront soin de nous. Maman nous donnera le sein…

    - Maman??? Tu crois en Maman? C’est juste un concept abstrait sans fondement objectif, scientifique. Qui est Maman pour toi?

    - C’est grâce à elle que nous vivons. Nous tirons notre vie d’elle, nous n’existerions pas sans elle.

    - Je ne crois pas! Je n’ai jamais vu Maman, donc, elle n’existe pas.

    - Comment peux-tu dire cela? Lorsque nous sommes en silence et que nous ne nous bagarrons pas, nous pouvons entendre comme une sorte de chant qu’elle fredonne et nous percevons la manière dont elle ressent le monde extérieur. Lorsque tu es triste, tu aimes bien te coller à l’ombre de ce que nous avons appelé sa main, faute d’autre définition. Tu aimes lorsque tu as l’impression que cette main te caresse… Tu sais, je pense que la vraie vie commence plus tard…"

  • Pour se détendre un peu...

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    Voici les meilleures "perles du BAC" proposées par "La Dépêche" :

    1. « Quand il y a des problèmes dans le monde, l’ONU envoie des casquettes bleues »

    2. « Mitterand est mort du cancer de l'utérus. »

    3. « A l'heure actuelle, je ne peux pas vous donner le PIB du Japon en 1960, mais si vraiment ça vous intéresse, vous le trouverez sans doute sur Google. »

    4. « Les deux intestins sont le gros colomb et l'intestin grec. »

    5. « La deuxième guerre mondiale a duré de 1939 à 1946. Si c'est pas les bonnes dates, c'est parce qu'elle a peut être duré plus longtemps mais tout le monde le savait pas à l'époque. »

    6. « En 1968, c'était la guerre. La France sombrait peu à peu dans le chaos. Les ténèbres avaient obscurcis le ciel. A l'horizon, le néant menaçait d'engloutir la jeunesse. De lointains murmures annonçaient des heures sombres. L'espoir n'était plus qu'un rêve. »

    7. « La physique a été découverte par hasard dans l’antiquité par Larry Stote. »

    8. « La faucille et le marteau sont des organes internes de l’oreille. »

    9. « Picasso a représenté les Demoiselles d’Avignon sous forme de cubes. C’est sa période cubaine. »

    10. « Le taux de fécondation chez les PD (pays développés) tend vers zéro. »

    11. « La meilleure pièce de Molière est "L'Ami Zantrope". »

    12. « Quand le chlore est entièrement dissous dans l’eau, on dit qu’il y a dix solutions. »

  • Seigneur, donnez-nous des saint François Régis

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    1294391423_SAINT_FRANCOIS_REGISSITE.jpgOn le fête aujourd'hui : "Régis naît à Fontcouverte en Languedoc en 1597. Son nom de famille va devenir grâce à lui un prénom. La France sort des Guerres de Religion et connaît un vrai printemps d'Eglise, avec des saints comme François de Sales ou Vincent de Paul.

    Avec "un visage épanoui, un abord gai, riant, franc et familier", sans parler de son mètre 92, c'est une vraie force de la nature, ce qui lui permet d'intervenir, vigoureusement au besoin, pour fermer la bouche des blasphémateurs, pour défendre des prostituées du Puy contre leurs souteneurs, ou simplement pour parcourir sans relâche les montagnes du Vivarais, des Cévennes et du Velay. Sa ferveur mystique impressionait : "On aurait dit qu'il respirait Dieu seul … ", de même la chaleur de son accueil pour les montagnards venus par temps de neige à sa rencontre : " Venez, mes enfants, je vous porte tous dans mon cœur ".

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  • Collège Saint-Louis ( Liège ) : ne gérons pas l'ingérable !

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    Un directeur de collège appartenant au réseau de l'enseignement libre catholique, le collège Saint-Louis à Liège, est au centre d'une tourmente orchestrée par les lobbies gays et largement relayée sur les "réseaux sociaux", sur facebook en particulier. Il est coupable d'avoir voulu interdire l'accès du bal des élèves de dernière année ("rhétos") à des couples homosexuels. Scandale immédiatement relayé par "enseignons.be", au nom du sacro-saint principe de la non-discrimination, de la liberté sexuelle et de l'égalité des individus, quelle que soit leur orientation sexuelle. Comme la loi belge va dans ce sens, voilà notre directeur bien mal pris et embarrassé dans des explications qui ne convainquent pas.

    Un ami me demande ce que nous pourrions bien dire à ce propos. Notre réponse est simple : il faut éviter de devoir gérer l'ingérable. Il n'est donc plus possible ni souhaitable d'organiser des bals dans les écoles dans le contexte où nous vivons et qui charrie tout ce que nous savons : licence sexuelle, alcoolisme, consommation de "produits", provocations en tout genre. Il faut ajouter qu'on ne peut même plus compter sur l'appui d'un certain nombre de parents qui sont privés de repères, tout autant que leurs enfants. Il en va de même pour d'autres activités telles que les voyages scolaires : comment surveiller les grands adolescents (et même les plus jeunes) la nuit? Et il ne s'agit plus aujourd'hui de se limiter à empêcher les allées et venues entre les chambres des garçons et celles des filles...

    Cela nous mène tout droit à ouvrir le débat sur les écoles qui bénéficient de la caution "catholique" au sein d'un enseignement libre patronné par nos évêques. Est-ce honnête de laisser croire aux parents qui ont le souci d'éduquer leurs enfants en cohérence avec leurs principes chrétiens que ces écoles sont encore des lieux conformes à l'Evangile, où les cours sont donnés dans cet esprit, et où le climat éducatif préserve les élèves des dérives de notre société? Poser la question, c'est y répondre. Ne serait-il pas temps de retirer le label "catholique" à ce réseau et d'ouvrir des écoles entièrement libres, basées sur un projet éducatif vraiment conforme aux valeurs chrétiennes?

  • Un discours pontifical insistant dans une Europe prostrée...

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    Lors de l'audience générale de ce mercredi, le pape a développé le message du prophète Elie, invitant à la pénitence et à se détourner des idoles. Le pape a insisté sur l'actualité de ce message. Il est évident que l'homme moderne, en particulier dans notre Occident déchristianisé, ne discernant plus le seul bien suprême et transcendant, est condamné à sacrifier aux idoles modernes que lui propose le consumérisme ou à s'en remettre à des idéologies incapables de tenir leurs promesses et de rendre l'homme véritablement heureux.

    On remarquera que ce discours est assez récurrent et que le pape dénonce sans cesse l'athéisme pratique de notre société, insistant sur la nécessité de réévangéliser un monde qui a tourné le dos au Christ et à l'Eglise. On y est presqu'habitué...

    Cela nous interroge, évidemment, car nos habitudes d'adhésion et de pratique chrétiennes ne suffisent manifestement plus. Il faudrait qu'en voyant vivre les chrétiens, on soit séduit par leur joie d'être "sauvés" et d'être libérés des illusions et de la peur. Nietzsche nous en faisait déjà le reproche et il faut bien reconnaître que cela reste plus que jamais de saison.

    Il suffit de considérer un pays comme l'Italie où le christianisme sociologique est encore bien vivant mais où l'on se marie de moins en moins et où la procréation semble être en panne, comme s'il n'y avait plus d'espérance ni de pari sur un avenir porteur. Et que dire d'un pays comme le nôtre d'où sont partis tant de missionnaires et où l'on a du mal aujourd'hui à assurer un minimum de vie religieuse?

    On peut se demander s'il ne faudrait pas recourir à des moyens exceptionnels, à la hauteur de cette situation exceptionnelle, pour nous convertir d'abord nous-mêmes et ensuite pour tourner nos familles, nos milieux de vie, notre société vers Celui "sans lequel on ne peut rien faire".

    Notre archevêque va consacrer son diocèse au Sacré-Coeur après être parti en pèlerinage à Montmartre. Mais pourquoi le seul diocèse de Malines-Bruxelles? Pourquoi pas la Belgique, l'Europe toute entière? Et pourquoi ne pas divulguer crûment le contenu des messages mariaux de Fatima? Pourquoi ne pas inviter à la repentance, à la réparation, à l'héroïsme des saints?

    Bien loin de tout cela, on a l'impression de végéter dans des communautés "enfouies" dont la lumière est loin de briller sur les sommets, des communautés "où l'on gère" l'indigérable! Les préoccupations de l'heure sont aux restrictions, aux restructurations, aux fermetures d'églises et de maisons religieuses, sous couvert de tailler à notre Eglise "de nouveaux habits paroissiaux"!

    Qu'attendons-nous pour aller hurler sous les fenêtres des palais épiscopaux notre faim et notre soif d'attitudes et de paroles fortes qui soient vraiment dignes des successeurs des apôtres? Faudra-t-il attendre que les pierres se mettent à crier?

  • La nouvelle évangélisation de l'Europe à l'ordre du jour à Vilnius

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    Pour la première fois, les secrétaires généraux et porte-paroles des conférences épiscopales d’Europe, ont été convoqués ensemble pour discuter de la communication dans l’Eglise etde la nouvelle évangélisation en Europe.

    Deux rencontres consécutives du CCEE sont prévues : la rencontre des secrétaires généraux qui se tiendra à Vilnius, en Lituanie, du 16 au 19 juin prochain et celle des attachés de presse et porte-parole des Conférences épiscopales qui se tiendra du 18 au 21 juin, toujours dans la capitale lituanienne.

    Le CCEE précise dans un communiqué que les secrétaires concentreront leur attention sur des aspects spécifiques de la nouvelle évangélisation tels que le rapport entre la culture et la qualité de la foi, pour une Église qui bouge ; la vie spirituelle et l'appartenance ecclésiale aujourd’hui face aux rythmes accélérés et au stress ; et enfin les structures et charismes de l’Église.

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  • Le bel optimisme de Jean Sevillia

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    "La situation est très difficile mais le combat doit être mené. On peut même s’attendre à des victoires de temps en temps. Je ne nie pas que le Système est très fort avec sa puissance médiatique, sa domination de l’opinion et le politiquement correct. Mais il y a aussi toutes ces personnes qui travaillent, qui montent des entreprises, qui fondent une famille, qui vivent contre et malgré cette chape de plomb qu’on leur impose. Oui, le Système tient, mais jusqu’à quand ? Il y a une nature humaine qui n’est aujourd’hui pas respectée : même Le Nouvel Obs se pose des questions sur le drame des enfants de divorcés. Arrive un moment où on ne peut pas masquer le réel ni mentir. Qu’ils se posent des questions sur les conséquences du modèle qu’ils ont mis en place montre qu’on assiste à un retour du réel. Un Système qui bouleverse toutes les normes n’est pas viable dans la durée. Mais vous verrez, nous finirons par revenir à des normes anthropologiques normales, à savoir qu’un homme est un homme, une femme une femme et que pour la perpétuation de l’espèce, il faut l’union d’un homme et d’une femme. On ne reviendra jamais durablement sur des données si fondamentales même si elles ont pu prendre des formes un peu différentes selon les époques et les sociétés."

    Voilà ce que déclare Jean Sevillia, écrivain, historien et journaliste, dans une interview accordée à Nouvelles de France : c'est ICI

  • L'éducation sexuelle, panacée universelle ?

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    C-Fam.jpgAustin Ruse, président du C-Fam nous adresse ce commentaire :

    "Dans le passé, l’ONU ne terminait pas les négociation avant le dernier point virgule ait été accepté. Si un certain nombre suffisant d’Etats s’opposait à une mesure, comme par exemple le droit à l’avortement, elle était retirée du document. De nos jours, c’est le président de la session qui prend la décision sur le contenu des documents en cours de négociation. En faisant cela, prend plus de distance avec le processus démocratique. Un exemple récent, une réunion sur le SIDA, illustre cela.

    Un nouveau rapport de l’ONU affirme que le combat contre le Sida commence par l’éducation complète à la sexualité. L’éducation sexuelle peut-être très mauvaise, mais l’éducation à la sexualité est pire, et rien ne prouve qu’elle puisse mettre fin aux infections. En passant, ils veulent l’étendre aux jeunes dès dix ans." . / ...

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  • Consensus bidon sur le SIDA à New York

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    C-Fam.jpgNEW YORK, 9 Juin (C-FAM) Ce fut la débandade à la conférence biannuelle sur le VIH/Sida, lorsqu’après quelques tentatives prématurées du président de clôturer la conférence, les représentants se sont empressés de maintenir un semblant de consensus.

    Les négociations sur le SIDA/VIH reflètent une tendance inquiétante apparue ces derniers mois. Avant la conférence, les représentants des Etats ont reçu des deux co-présidents d’Australie et du Zimbabwe un document long de trois pages censé servir de base aux discussions. Le dossier rassemblait plus de cinquante pages avec les premières propositions d’amendements.

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