Le site "Benoît et moi" propose le "portrait d'une génération de clercs, désormais âgés, mais qui ont fait beaucoup de dégâts, peut-être à leur insu . Ce sont 17 prêtres "anonymes" décrits dans un livre écrit par deux sociologues espagnols."
à découvrir ici : http://benoit-et-moi.fr
Et l'auteur de l'article repris par notre consoeur de conclure :
"Ces 17 curés qui renient la confession, la récitation du rosaire ou même qui taisent le nom du Pape dans le canon, oublient dans leurs réflexions l’élément le plus notable, leurs églises et leurs paroisses sont vides, tandis que celles des jeunes curés, sans bonnes lectures et incapables de comprendre l’Évangile, sont toujours pleines et réalisent une plus grande tâche sociale en faveur des plus nécessiteux et marginalisés. C’est leur véritable drame et leur frustration..."