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  • 14 repères sur la Foi

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    14 repère sur la Foi - Ces Vérités qui sauvent (Abbé Alphonse Vidal)

    Le Laurier (2012)

    128 pages - ISBN : 9 782864 953418 - 10 €

    Quelle est notre foi ? Quelles sont ses implications dans la vie quotidienne ? Comment approcher de cette porte qui ouvre sur la vie éternelle ? Voici des questions auxquelles l'auteur, Alphonse Vidal, ingénieur, docteur en théologie et prêtre, a voulu répondre. L'objectif principal du livre est de faire grandir en nous la foi et de nous aider ainsi à tirer le plus grand profit de l'Année de la Foi promulguée par Benoît XVI. S'appuyant sur des textes de la Sainte Écriture, et du Catéchisme de l'église catholique, ces méditations pratiques et concrètes s'attachent à montrer l'impact de la foi sur la vie quotidienne du chrétien.

    L'abbé Vidal exerce son ministère à Paris. Il prêche notamment des retraites et assure l'accompagnement spirituel de nombreuses personnes.

  • Croire, est-ce bien raisonnable ?

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    La foi est-elle raisonnable? André-Joseph Léonard 

    source : Pastoralia (janvier 2013); mis en ligne ICI

    En cette année de la foi, il est bon de se demander s’il est vraiment raisonnable de croire.

    S’agit-il d’un acte digne de l’intelligence humaine. C’est d’ailleurs l’une des principales objections que font les athées et les agnostiques : « vous affirmez des choses que vous ne pouvez pas prouver, vous transgressez la raison, donc votre foi est déraisonnable ».

    (Version en néerlandais)

     

    La foi va-t-elle nécessairement au-delà de la raison ?

    Il est vrai que la foi va au-delà de la raison si l’on entend par celle-ci la capacité de « mesurer » les choses et d’en « juger » en parfaite connaissance de cause. Étymologiquement, d’ailleurs, le mot « raison » vient d’un verbe latin (reor, ratus), qui signifie « compter », « calculer » et que nous retrouvons plus explicitement dans le substantif « ration », où l’idée de mesure est plus évidente que dans « raison ».

     

    Or il est clair que les affirmations de la foi dépassent ce que nous pouvons mesurer par notre raison, même dans son exercice le plus large. Ainsi l’affirmation que Dieu est Trinité ou que la résurrection de Jésus contient le salut du monde transcende, à coup sûr, la raison scientifique. Comment ces vérités pourraient-elles être vérifiées expérimentalement, selon les critères de la science ? Mais elle déborde aussi le champ de la raison philosophique, beaucoup plus large cependant que celui de la raison scientifique. Seule une parole venue de plus loin que notre raison et reçue dans la « foi » peut dévoiler le mystère intime de Dieu ou révéler la portée ultime de l’événement pascal.

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  • Mali : et après ?

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    Jean-Sylvestre MONGRENIER, chercheur associé à l’Institut Thomas More , se penche sur L’avenir incertain du Mali réunifié :

    Le 28 janvier 2013, Tombouctou est tombée sans coup férir entre les mains de l’armée française, accompagnée de troupes maliennes. Le but de guerre, tel qu’il est présenté par François Hollande, est la restauration de l’intégrité territoriale du Mali. La tâche sera de longue haleine et ses objectifs doivent être plus circonscrits | Par 

    La liquéfaction accélérée de l’Etat malien, début 2012, et la perte totale de contrôle du Nord-Mali ne sont pas des épiphénomènes de l’histoire africaine post-coloniale. La rhétorique des gouvernements de la CEDEAO (Communauté des Etats d’Afrique de l’Ouest), l’exercice de multilatéralisme appliqué conduit depuis Paris et les résolutions des Nations unies n’auront en rien ralenti le processus. In fine, la reconquête de Tombouctou repose sur la seule force des armes mais il sera autrement plus difficile de redresser la situation politique d’ensemble. Ce sont des forces profondes qui travaillent le Mali et l’ensemble de la région à cheval sur le Sahel-Sahara et l’Afrique de l’Ouest. Aussi l’objectif proclamé – la souveraineté du Mali sur l’intégralité de son territoire – requerra-t-il un effort de longue haleine. Les objectifs politiques doivent donc être plus circonscrits. 

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  • Inde : un des violeurs bientôt en liberté ?

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    ASIE/INDE - Viol et meurtre d’une jeune indienne de 23 ans : un inculpé mineur bientôt libre

    New Delhi (Agence Fides) – L’un des six inculpés du viol et du meurtre de la jeune indienne de 23 ans qui a bouleversé le monde entier voici un mois, est mineur. C’est ce qu’a démontré le Tribunal des mineurs de Delhi. Ceci, selon la praxis juridique indienne, pourrait lui permettre d’être libre d’ici quelques mois. L’âge de l’inculpé, décrit par la police de Delhi comme le plus brutal des six accusés, a été déclaré comme étant de « 17 ans, six mois et 24 jours », comme le démontre son certificat de naissance. La législation indienne prévoit qu’un mineur d’âge compris entre 16 et 18 ans puisse être, dans le cas où il serait condamné pour un crime, détenu dans une maison de correction pour trois ans au plus avant d’être placé en liberté surveillée. Toutefois, la loi prévoit qu’un mineur ne peut être détenu dans ce type de structure rééducative au-delà de son 18ème anniversaire et qu’il ne peut par la suite être de nouveau jugé, condamné ou placé en détention. Selon cette norme, le jeune inculpé pourrait purger quelques mois de peine avant d’être relâché dès qu’il sera majeur, à savoir le 4 juin prochain.

    Le Père Nithiya Sagayam, OFM Cap, Directeur du Franciscan Peace Centre sis dans l’Etat du Tamil Nadu et Secrétaire exécutif du Bureau pour le Développement humain de la Fédération des Conférences épiscopales d’Asie (FABC) commente ce fait à l’Agence Fides : « Si le jeune a commis des crimes si graves, tels que le viol et l’homicide, comment le fait de le remettre en liberté peut-il constituer une solution ? Il s’agit d’un problème sérieux pour le pays, d’une question qui doit être soulevée de manière urgente en ce qu’elle concerne la légalité et l’impunité. Il faut urgemment se demander : qui peut-on considérer mineur ? Un jeune homme qui viole et tue peut-il être considéré tel ? Le jeune en question a une responsabilité civile et pénale évidente ». L’autre question, remarque le Père Sagayam, est que « les mineurs en Inde sont exposés à une culture, servie par les moyens de communication de masse, qui propage violence et sexe : ceci ne protège pas leur développement psychophysique et augmente la diffusion des crimes au sein de la société ». (PA) (Agence Fides 29/01/2013)

  • Quand Civitas organise une prière devant l'Assemblée Nationale...

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    ...cela donne ceci : huffingtonpost.fr/

    Comme le faisait remarquer un blogueur, il est surprenant que la prière soit présentée comme "une arme". Faut-il mélanger prière et manifestation ? Faut-il risquer qu'intentions de prière et slogans se confondent ? Faut-il exposer Dieu, la Vierge, les saints à l'incompréhension, au dénigrement, à la dérision, voire à la haine d'un public mal disposé ?

    Malaise.

  • La Matinale de La Vie, une précieuse ressource

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    Natalia Trouiller fait vraiment un travail intéressant. Chaque jour (ou presque), la Matinale de la Vie rend compte d'évènements dont on ne trouve guère d'échos ailleurs. En témoignent ces informations de ce jour :

  • Gay gay marions-nous : Madame Jospin prête à manifester contre le mariage homo

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    Contrastant avec l'attitude déplacée de la "compagne" du Président, l'épouse de Lionel Jospin, Sylviane Agacinski se dit prête à manifester contre le mariage homo (sur le Lab - Europe 1) :

    Opposée à l'ouverture du mariage et de l'adoption aux couples de même sexe, Sylviane Agacinski, philosophe et épouse de Lionel Jospin, se dit prête à aller dans battre le pavé si nouvelle manifestation il y avait.


    C'est la teneur des propos qu'elle a tenus au micro de Jean-Michel Aphatie sur RTL ce mardi 29 janvier, à l'heure où le projet de loi mariage homosexuel s'apprête à être débattu à l'Assemblée nationale.


    Quand le journaliste lui demande si elle est prête à descendre dans la rue, Sylviane Agacinski répond : "Absolument !" Et de poursuivre, relancée par Jean-Michel Aphatie : ... lire ici


    Voir également la video : Sylviane-Agacinski-Mariage-le-gouvernement-s-est-fourvoye

    Sylviane Agacinski, philosophe et femme de Lionel Jospin, regrette le manque de courage des élus de gauche "sceptiques" sur le projet de loi Taubira. Pour elle, le gouvernement "méprise le droit des enfants". Les relations entre parents changent aujourd'hui, mais la relation entre la mère, le père et l'enfant, elle, est irrévocable. Elle doit être protégée. La philosophe est favorable à la reconnaissance civile du lien entre homosexuels, mais hostile à sa confusion avec le mariage. Elle était interrogée le 25 janvier sur Europe 1 par Nicolas Poincaré.

  • Un regard catholique sur la foi chrétienne

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    CHRISTUS, un excellent site que nous vous recommandons : http://christus-web.com/

    "À la suite de l'appel de la première lettre de Pierre invitant le chrétien à rendre compte de l'espérance qui est en lui,Christus, website chrétien catholique, cherche à donner des éléments de réponse aux interrogations que toute personne peut se poser sur la foi chrétienne sans toujours savoir où chercher."

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  • Résister, oui; se replier, non

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    L’éditorial de Monseigneur Dominique Rey publié dans le mensuel diocésain Eglise de Fréjus-Toulon n° 170 - février 2013 :


    « On doit considérer comme désormais dépassé, même dans les pays d’ancienne évangélisation, la situation d’une société chrétienne qui se réfèrerait explicitement aux valeurs évangéliques », disait déjà Jean-Paul II. L’Eglise ne se trouve plus dans une posture englobante de la société. On assiste à l’effacement programmé du christianisme et à la multiplication des transgressions éthiques et anthropologiques qui fissurent le socle sociétal hérité du judéo christianisme. 

    Face à ces dérives mortifères, les chrétiens ne peuvent pas appliquer leur raison d’être, renier « l’abrupt de la foi » (Guy Coq), perdre la conscience de la différence chrétienne. Mais comment assumer aujourd’hui la rupture évangélique sans s’isoler du monde ? Comment être chrétien « dans le monde » sans être « du monde » ? Comment ne pas sombrer, d’un côté dans le repli identitaire et communautariste en s’érigeant en contre culture et d’un autre côté, subir la dévitalisation du christianisme, parfois jusqu’à son éradication, quand il veut se coller aux attentes du monde ?

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  • L'idéologie du genre, une nouvelle forme de colonialisme

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    L'alarme pour la diffusion de l'idéologie du genre dans le rapport sur la doctrine sociale de l'Eglise

    C'est la colonisation de la nature humaine (Osservatore Romano)

    Trieste, le 28 janvier.

    « L'idéologie du genre » représente « un nouveau colonialisme de l'Occident sur le reste du monde ». Telle est la donnée alarmante la plus significative présente dans le quatrième rapport de l'Observatoire international cardinal Van Thuân sur la doctrine sociale de l'Eglise, présenté le samedi 26 janvier dans le chef lieu du Frioul par son président, l'archevêque-évêque de Trieste Giampaolo Crepaldi.

    En effet, au cours d'une seule année, 2011 – période à laquelle se réfère l'étude – « est apparu dans toute sa force subversive le phénomène de la "colonisation de la nature humaine" », c'est-à-dire un ensemble d'immenses pressions internationales afin que les gouvernements changent leur législation traditionnelle sur la procréation, sur la famille et sur la vie. Ce sont surtout les pays d'Amérique latine qui sont visés. En particulier, le cas emblématique de l'Argentine est cité, où, comme l'a souligné Mgr Crepaldi, au cours d'une brève période de douze mois, « ce grand pays de tradition chrétienne a eu une loi sur la procréation artificielle qui a dénaturalisé la procréation, une loi sur la reconnaissance de l' "identité du genre" qui a dénaturalisé la famille et une modification du Code civil pour permettre la "location d'utérus" qui a dénaturalisé la parentalité ».

    L'idéologie du genre, souligne-t-on, « s'est diffusée, sans rencontrer de véritable opposition, dans les pays développés et est désormais également enseignée dans les manuels scolaires des écoles publiques sans que cela suscite de grandes contestations ». La donnée nouvelle est qu'« elle est à présent exportée de façon systématique dans les pays émergents et pauvres ». Il s'agit d'« une idéologie subtile et envahissante, qui fait appel aux "droits individuels", dont l'Occident a fait son dogme, et à une prétendue égalité entre personnes asexuées, c'est-à-dire abstraites, pour conduire à une déconstruction de tout l'ordre social ».

  • La novlangue; quand la réalité rejoint la fiction

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    Dans son roman d'anticipation "1984", George Orwell imagina une langue nouvelle créée pour conditionner les esprits par la manipulation du vocabulaire; en voici les principes :

    Le novlangue a été la langue officielle de l’Océania. Il fut inventé pour répondre aux besoins de l’Angsoc, ou socialisme anglais.

    En l’an 1984, le novlangue n’était pas la seule langue en usage, que ce fût oralement ou par écrit. Les articles de fond du Times étaient écrits en novlangue, mais c’était un tour de force qui ne pouvait être réalisé que par des spécialistes. On comptait que le novlangue aurait finalement supplanté l’ancilangue (nous dirions la langue ordinaire) vers l’année 2050.

    Entre-temps, il gagnait régulièrement du terrain. Les membres du Parti avaient de plus en plus tendance à employer des mots et des constructions grammaticales novlangues dans leurs conversations de tous les jours. La version en usage en 1984 et résumée dans les neuvième et dixième éditions du dictionnaire novlangue était une version temporaire qui contenait beaucoup de mots superflus et de formes archaïques qui devaient être supprimés plus tard. (la suite se trouve ICI)

    La réalité d'aujourd'hui a-t-elle rejoint la fiction ? On peut le penser en consultant le "Dictionnaire de novlangue" (suivi de "La Bataille du vocabulaire") que Polemia vient de remettre à jour. Il est accessible : http://www.polemia.com/pdf/Novlangue_mise_a_jour_K.pdf