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  • Notre-Dame de la Guadalupe, Impératrice du Mexique et Reine de l'Amérique (12 décembre)

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    our-lady-of-guadalupe2.jpgAmérique, sois généreuse!

    Fête de Notre Dame de Guadalupe

    (Zenit.org« L’Amérique – du Nord et du Sud – est appelée à être une terre où les différents peuples s'unissent ; une terre prête à accepter la vie humaine dans toutes ses étapes ; une terre qui accueille les immigrés, les pauvres et les marginaux. Une terre de générosité », exhorte le pape lors de l’audience générale de ce 11 décembre 2013.

    Le pape François a adressé un message au continent américain pour la fête de Notre Dame de Guadalupe, « Impératrice du Mexique et Reine de l'Amérique », célébrée demain, 12 décembre. Il l’a lu en espagnol, après la catéchèse de ce mercredi matin, place Saint-Pierre. Un de ses collaborateurs a ensuite lu le même message en anglais.

    Message du pape François

    Demain, c'est la fête de Notre Dame de Guadalupe, Patronne des Amériques. Je tiens à saluer tous mes frères et sœurs de ce continent, et je le fais en pensant à la Vierge de Tepeyac.

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  • BXL, 13 décembre : L'Oratorio de Noël de J.S. Bach

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    oratorio.jpg

  • Quand l'Abbaye de la Cambre reprend vie

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    Entretien avec frère Hugues, o. praem.
    Article mis en ligne le 25 novembre 2013 

    par Service de Communication de l'Eglise catholique de Bruxelles

    Version exhaustive de l’article paru dans le Pastoralia de décembre 2013.

    Visage chrétien
    En 1211, saint Norbert de Xanten offrait à l’Eglise un ordre de Chanoines réguliers, fidèles à la Règle de saint Augustin. L’Ordre issu de la commune de Prémontré, en Picardie, essaimera en France, dans l’empire Germanique, aux Pays Bas, en Angleterre et en Ecosse, en Espagne et en Europe de l’Est. A l’invitation de l’Eglise de Bruxelles, les Chanoines Prémontrés (parfois aussi appelés Norbertins) viennent, depuis le 20 octobre, de trouver en l’Abbaye de la Cambre un nouveau prieuré.

    Originaires de l’abbaye de Leffe, les pères Hugues et Tanguy forment avec le père Rupert, du prieuré de Chelmsford (Angleterre), une communauté à la fois au service de l’Unité pastorale Sainte-Croix, et tournée vers l’international. Rencontre avec son nouveau prieur, frère Hugues, o. praem.

    Votre nom de baptême est Jean-Luc, pourquoi avoir choisi Hugues pour votre ‘entrée en religion’ ?
    Hugues est le nom du premier abbé de Prémontré. Originaire de Fosses-la-Ville (pas très loin de Dinant), c’est un des premiers compagnons de Norbert qui l’a initié au genre nouveau de vie qu’il entendait mener. Si saint Norbert en est le fondateur, le bienheureux Hugues de Fosses est plutôt l’organisateur de notre Ordre. Je n’ai pas choisi ce nom, je l’ai reçu avec l’habit, le 8 décembre 1982, lors de mon entrée au noviciat. Le Père François Martens, abbé à l’époque, souhaitait me donner un patron supplémentaire pour cette nouvelle étape de vie. Je lui en suis très reconnaissant et n’en continue pas moins de me réclamer de saint Jean-Baptiste, le précurseur du Christ, et de saint Luc, l’évangéliste, le cher médecin, « chantre de la miséricorde divine ». Je me sens très avantagé par ces saints patrons, auxquels se joignent encore le pape, docteur et liturgiste, saint Léon le Grand ainsi que l’époux de Marie, protecteur de l’Eglise et de notre pays, saint Joseph. Ils m’accompagnent d’une manière toute spéciale dans ma vie de chrétien, de religieux et de prêtre.

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  • Le diocèse de Tournai promis à de douloureuses restructurations

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    Lu sur lavenir.net :

    Plus que 16 paroisses en 2018

    TOURNAI / ATH / MOUSCRON - Au 1er septembre 2018, le Hainaut occidental ne comptera plus que 16 paroisses. Cela ne signifie pas que les églises seront rayées de la carte…

    C’est à l’issue d’un processus long de près de mille jours que Mgr Harpigny, évêque de Tournai, a solennellement promulgué ses décrets diocésains ce samedi 30 novembre, à la collégiale Sainte-Waudru à Mons. Plus de 1 200 personnes avaient rallié celle-ci, dont les évêques de Lille, du Brabant wallon et de Namur, ainsi que des représentants des protestants, des orthodoxes et des anglicans.

    Les décrets - soixante en tout – se structurent en quatre grandes parties, dont voici quelques éléments significatifs.

    1. Paroisses nouvelles La question de l’avenir des paroisses est peut-être la plus sensible car on imagine bien que de nombreuses personnes sont attachées à leur clocher. Mais le synode a demandé que l’unité pastorale soit le «niveau de base» de la vie en Église. La logique était de pousser jusqu’au bout cette intuition et d’assumer que, désormais, l’ensemble des communautés qui forment aujourd’hui l’unité pastorale formeront demain une seule et même paroisse, avec un curé, une équipe d’animation pastorale, un seul conseil pastoral, une unification des structures d’ASBL ou de fabriques d’église. D’ici cinq ans, le diocèse de Tournai sera structuré territorialement en 49 «paroisses nouvelles» qui remplaceront les 49 unités pastorales actuelles. Ce processus débutera dès septembre 2014 pour s’achever le 31 août 2018. On restructurera aussi les doyennés.

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  • François, "personne de l'année 2013"

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    Du Soir.be (Camille Wernaers) :

    Le pape François élu «personne de l’année» 2013 par Time Magazine

    Les autres favoris étaient Edward Snowden, Barack Obama ou encore la chanteuse Miley Cyrus.

    Le Time Magazine a rendu son verdict ce mercredi après-midi : c’est le pape François qui est élu « personnalité de l’année ». Il avait été élu en mars dernier.

    Premier pape à prendre le nom de François, choisi en mémoire de l'engagement de saint François d'Assise dans le combat pour les pauvres et pour la paix, il a montré des signes d’ouverture par rapport à ses prédécesseurs, sauf sur certains sujets tel que le préservatif ou l’avortement. «Il est rare qu’un nouvel acteur de la scène mondiale suscite autant d’attention si rapidement, que ce soit parmi les jeunes ou les plus âgés, parmi les croyants ou les sceptiques», a expliqué la directrice de la rédaction de Time Nancy Gibbs en expliquant le choix du pape François, parvenu en mars à la tête de l’Église catholique.

    Edward Snowden, Barack Obama, la chanteuse Miley Cyrus figuraient eux aussi parmi les favoris. Comme chaque année depuis 1927, l’hebdomadaire américain Time Magazine récompense un homme ou une femme qui a «  marqué le plus l’année écoulée, pour le meilleur ou pour le pire  ».

    Du V.I.S. : Le Directeur de la Salle de Presse a réagi à la décision de Time Magazine (USA) de proclamer le Pape François son homme de l'année: Ce n'est pas une surprise, a déclaré le P.Federico Lombardi, vu l'écho et l'attention créés par son élection et le début de son pontificat. Il est positif qu'un des plus prestigieux organes de presse internationale fasse le choix de saluer qui parle au monde de valeurs spirituelles, religieuses et morales, et se bat en faveur de la paix et d'une plus grande justice. Sans rechercher ni réputation ni succès, le Pape annonce l'Evangile de l'amour de Dieu envers tous. Il est heureux si cela attire et donne espoir aux gens. Décerner au Pape François cette reconnaissance journalistique signifie que beaucoup ont compris, même implicitement, son message. Et ceci est une raison de se réjouir.

  • La scientologie reconnue comme religion en Grande-Bretagne

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    Et une religion de plus en Grande-Bretagne! Les autorités de ce pays semblent en tout cas très attentives aux plaintes anti-discrimination des adeptes de cette nouvelle "religion". Bien davantage qu'à celles des chrétiens à qui il est interdit d'afficher leur foi ou de faire respecter leur liberté de conscience... 
     
    Voir ICI

  • S'il te plaît, Maman, parle-moi de l'amour

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    Sans titre.pngS´il te plaît, Maman,

    parle-moi de l´amour

    de Inès PELISSIE DU RAUSAS,

    aux Editions Saint-Paul,

    novembre 2013,

    103 pages, 12€ 

    Résumé :

    L’adolescence approche... La « pré-adolescente » est votre fille de 9-13 ans, plus tout à fait enfant et pas encore devenue femme, soumise déjà à une forte pression. Elle est assaillie de questions. Le corps, ça sert à faire des expériences ? Mais alors, l’amour, « c’est crade » ? Et l’enfant, c’est un risque ? Comment vivra-t-elle les transformations de son corps qui annoncent sa puberté ? Comment s’identifier à son sexe, se préparer à sa vie de femme ?
    Comment s’aimer elle-même en étant bien dans sa peau ? « Pourtant, je rêve dans mon cœur d’aimer et d’avoir, un jour, un enfant... C’est quoi, devenir une femme ? Est-ce que je dois être prête à tout pour être populaire ? » 

    La pré-adolescente se découvre fragile et incertaine devant ce corps qui change. Pour s’accepter, pour se projeter dans l’avenir avec confiance, il lui faut découvrir assez tôt la beauté de son corps et la valeur de sa féminité, écouter les désirs de son cœur. Cet enjeu est vital pour elle. Elle a besoin de notre aide. 

    L’auteur invite les mères à ouvrir un dialogue avec leur fille de 9 à 13 ans. Elle propose trois conversations adaptées à l’évolution de l’enfant. Un guide empli de conseils pour l’éducateur, un parcours qui invite l’enfant à réfléchir par elle-même, face à son contexte (internet, clips des pop-stars, relations filles-garçons au collège, cours de SVT, expériences sexuelles précoces...) pour l’aider à grandir en déjouant les pièges contre l’amour. Un parcours qui vise à humaniser la sexualité, à la ré-enchanter !  

    L’auteur  
    Inès Pélissié DU RAUSAS est mariée et mère de cinq enfants. Elle est Docteur en philosophie et conférencière ; elle a publié La pudeur, le désir et l’amour (éditions des Béatitudes, 1996), et S’il te plaît, parle-moi de l’amour ! (éducation affective et sexuelle de l’enfant de 3 à 12 ans, éditions Saint-Paul, 2000), constamment réimprimé depuis. Ce nouvel ouvrage se situe dans la continuité du précédent, à destination des pré-adolescentes, de leurs mères et éducateurs. 
  • Quand le train de l'euthanasie fonce vers la barbarie...

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    Lu sur lalibre.be

    Qui donc arrêtera le train de l’euthanasie?

    Une opinion de Hilde Kieboom, responsable pour la Communauté de Sant’Egidio au Benelux.

    Étendre l’euthanasie aux mineurs risque de faire passer pour "un acte de compassion" ce qui est en réalité est un acte de déresponsabilisation, qui abandonne le jeune malade à son sort. Au moment où le Sénat s’apprête à légaliser l’euthanasie pour les mineurs, nous estimons qu’il y va de notre devoir citoyen d’y opposer de sérieuses objections. Nous invitons les formations politiques, les sénateurs et les députés à prendre plus de temps pour approfondir davantage la réflexion.

    Notre pays se sent à l’avant-garde en devenant le seul pays au monde à supprimer toute limite d’âge pour l’euthanasie. Doit-on vraiment s’en vanter? Les faits démontrent qu’un tel élargissement n’a pratiquement pas de raison d’être: de nombreux pédiatres et infirmiers/ières témoignent que les enfants gravement malades expriment rarement un souhait résolu de mourir. Leur volonté de vivre, même dans les conditions difficiles de l’approche de la mort, est plus forte que l’éventuel souhait d’anticiper la fin. Aux Pays-Bas, où l’euthanasie peut être pratiquée sur les enfants à partir de 12 ans, la réalité démontre qu’il n’y a aucun besoin en la matière. Depuis 2006, aucun cas n’a été enregistré, même pas en dessous de 30 ans. Pourquoi alors cette hâte suspecte? Pourquoi vouloir coûte que coûte voter cette loi?

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  • François : n'ayons pas peur du jugement final; nous ne serons pas laissés seuls

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    De Radio Vatican :

    Belle journée hivernale, ensoleillée mais froide, pour l’audience générale de ce mercredi. Le Pape François n’avait donc pas oublié de bien se couvrir, et notamment d’une écharpe, alors que pour la première fois, c’est une jeep couverte d’un toit de verre qu’il utilisait pour faire le tour de la Place Saint-Pierre avant de s’installer pour l’audience. Un périple au milieu des quelques 30.000 pèlerins et touristes venus pour l’occasion. Applaudissements, pancartes à son effigie ou avec son nom, pour autant d’expressions d’affection envers le Pape. Mais aussi des appels lancés haut et fort à son passage, concernant notamment la crise économique et sociale. « Saint-Père, a crié quelqu’un, nous avons besoin de travail, dites-le aux responsables politiques ».

    Du V.I.S. : 

    Le Pape François a consacré la catéchèse de l'audience générale au dernier article du Credo relatif à la vie éternelle et au jugement dernier: "Lorsque nous pensons au retour du Christ pour le jugement dernier, qui sanctionnera définitivement les bonnes actions et les omissions de nos vies, nous savons être en présence d'un mystère suprême que nous ne pouvons pas même imaginer. Instinctivement, ce mystère nous fait peur, nous angoisse, alors que si on y réfléchit il ne peut que réjouir le coeur du chrétien et susciter un sentiment de consolation et de confiance". Puis il a expliqué que le témoignage des premières communautés chrétiennes est intéressant car elles accompagnaient leurs prières de l'acclamation Maranatha, une sorte de supplique signifiant Viens Seigneur!". C'était une certitude alimentée par la foi: Oui le Seigneur vient, il est proche. Dans cette formule est condensée la Révélation. Au final de son Apocalypse, Jean montre l'Eglise épouse qui s'adresse à son époux Jésus, qu'elle ne voit pas "alors qu'elle va être enveloppée de sa plénitude de vie et d'amour. Si nous envisageons le jugement dernier dans cette perspective, toute peur, tout doute s'efface pour faire place à une joie profonde. Car c'est alors que nous serons jugés et pourrons être revêtus de la gloire du Christ". La confiance du chrétien vient aussi de la certitude de ne pas être seul et abandonné au moment du jugement. Le Christ sera notre avocat auprès du Père et nous pourrons compter sur la bienveillance de tant de nos prédécesseurs dans la foi...qui continuent de nous aimer d'une façon indicible. Les saints vivent auprès de Dieu et, dans la splendeur de sa gloire, prient pour nous qui sommes encore sur terre". L'Evangile de Jean rappelle que le Christ a été envoyé par le Père non pour condamner le monde mais pour qu'il soit sauvé à travers son sacrifice. "Cela signifie que le jugement est commencé, ici bas. Le jugement est prononcé à chaque instant de notre vie, à l'épreuve de la manière dont nous percevons la foi dans le salut qu'opère le Christ, ou de notre incrédulité découlant de notre repli en nous mêmes. Le salut c'est s'ouvrir à Jésus. Tous nous sommes pécheurs et il nous pardonne. Il faut donc s'ouvrir à l'amour du Seigneur qui dépasse toute chose. S'ouvrir signifie se repentir du bien que nous n'avons pas fait... Le Seigneur s'est offert et continue de s'offrir et de nous combler de la grâce et de la miséricorde du Père. D'une certaine manière nous sommes nous mêmes nos juges. Nous nous condamnons à l'exclusion de la communion avec Dieu et nos frères... Ne cessons donc pas de veiller sur nos pensées et nos actes afin de goûter dès maintenant la splendeur de Dieu que nous contemplerons pleinement dans la vie éternelle".

    Et voici le texte adressé aux pèlerins de langue française :

    « Chers Frères et sœurs, lorsque nous pensons au retour du Seigneur et au jugement final, nous nous trouvons face à un mystère qui nous dépasse. N’ayons aucune peur, car ce sera le moment où nous serons jugés prêts à être revêtus de la gloire du Christ et à être conduits à la pleine communion avec Dieu. Nous ne serons pas laissés seuls. Jésus nous dit qu’à la fin des temps, ceux qui l’auront suivi prendront place dans sa gloire pour juger avec lui. Il est beau de savoir qu’en plus du Christ, nous pourrons compter sur l’intercession et la bienveillance de nombreux frères et sœurs qui nous ont précédés sur le chemin de la foi. Enfin, nous savons aussi que le jugement est déjà en acte dans le cours de notre existence, mettant en jeu notre responsabilité, comme réponse à notre accueil du salut ou à notre incrédulité et à notre fermeture sur nous-mêmes.»

  • Belgique, euthanasie des mineurs : l'ensauvagement de la mort

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    De Caroline Eliacheff (sur les Matins de France Culture) (texte reproduit ICI) :

    L'ensauvagement de la mort

    Disons-le tout net : en autorisant l'euthanasie active pour les mineurs, les Belges nous choquent. Cette loi a été adoptée par la commission des Affaires sociales et de la justice du Sénat le 27 novembre dernier avant d'être examinée en séance plénière puis au Parlement.

    En 2002, à la suite des Pays Bas, la Belgique avait dépénalisé l'euthanasie active pour les adultes. Depuis, bien que la population approuve cette mesure, deux tendances opposées s'affrontent dans le pays: d'un côté, de virulentes critiques émanent notamment d'Etienne Montero, doyen de la faculté de droit de Namur ou de Carine Brochier, coordinatrice de projets à l'Institut européen de bioéthique de Bruxelles. La principale critique concerne la faiblesse du contrôle de la loi dont le critère central est "le caractère insupportable et inapaisable de la souffrance, physique ou psychique". Or, le contrôle se fait a posteriori et repose sur une déclaration du médecin. En onze ans, aucun médecin n'a été sanctionné d'autant que pour éviter de l'être, il suffit, selon Carine Brochier, de ne pas déclarer l'euthanasie qui n'en augmente pas moins de 25% par an. De l'autre, en dix ans, trente à quarante propositions de loi ont été déposées au Parlement visant à assouplir les conditions de la loi ou à étendre son champ d'application notamment aux mineurs et aux déments.

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  • Où sont passées les filles de l'Europe de l'Est ?

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    Un ami nous écrit :

    "Quand la 'modernité médicale' est mise à profit par des pratiques séculaires d'élimination des filles. Dans le temps, les filles étaient éliminées après la naissance. Aujourd'hui, avec la détermination du sexe avant la naissance, c'est l'avortement des filles qui a pris le relais et qui se pratique de manière plus intensive que dans le passé. Il faut dire que l'avortement est fortement encouragé, voire financé, par le Planning Familial. Ces planificateurs de la dénatalité n'avaient-ils pas prévu ce retour de bâton ? À vouloir faire 'moderne', on s'enfonce dans les barbaries du passé."

    Du "Figaro Madame" (E. Le Naour) : Où sont passées les filles de l’Est ?

    Une étude de l’Ined révèle les inquiétants avortements sélectifs de fœtus féminins en Europe orientale

    L'Ined révèle que les avortements sélectifs de fœtus féminins touchent l’Azerbaïdjan, l’Albanie et l’Arménie. 

    En Inde, les filles ont quasiment disparu de certaines régions. En cause, la sélection dont elles sont victimes dès le stade de fœtus. Mais ces pratiques d’avortements sélectifs ne toucheraient pas seulement l’Asie et seraient même en pleine expansion non loin de nos frontières, en Europe orientale. 
Un rapport de l’Institut nationale d’études démographiques, (Ined) intitulé : la masculinisation des naissances en Europe orientale, révèle que l’Azerbaïdjan, pays situé dans le Caucase du sud, est le second pays du monde dans lequel le déséquilibre des sexes à la naissance est le plus élevé. 
Christophe Z. Guilmoto, directeur de recherche à l'Institut de recherche pour le développement (IRD) et co-auteur de l’étude explique cette chute des naissances féminines par différents facteurs : « Dans ces pays, les familles préfèrent avoir un garçon, synonyme de prolongation du nom et de la lignée familiale. » En somme, mieux vaut avoir un garçon qui restera vivre sous le toit familial avec son épouse et qui assurera les vieux jours de ses parents.

    « Puis à partir des années 90, les pays concernés : l’Albanie, l’Azerbaïdjan, l’Arménie ou la Géorgie, ont eu accès à l’échographie, reprend le chercheur, ce qui a facilité ces avortements “sexo sélectif”. » Cette modernisation a ainsi permis d’assoir des traditions patriarcales très ancrées dans ces régions comme l’explique le scientifique : « Les nouvelles technologies sont venues servir les coutumes, mais c’est également une réponse à la crise économique que connaissent ces pays depuis l’effondrement du bloc de l’Est. » Le plus inquiétant d’après Christophe Z. Guilmoto est l’inaction dont font preuve les autorités de ces pays. « Il a fallu qu’un rapport du Conseil de l’Europe pointe, il y a deux ans, la chute des naissances de fillettes pour que les États fassent mine de s’y intéresser. » En Inde, pour tenter de rééquilibrer le ratio fille-garçon dans la population, les médecins ont interdiction depuis 1994, de révéler le sexe de l’enfant aux parents. Une loi encore allègrement contournée.

    Voir également : http://www.lexpress.fr/actualite/monde/europe/avorter-pour-ne-pas-avoir-de-fille-aux-frontieres-de-l-europe_1306769.html

  • François, "personne de l'année" et sujet le plus discuté sur facebook

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    Radio Vatican : François, au cœur des discussions sur Facebook

    Le Pape François est actuellement en tête du classement des thèmes les plus discutés sur le réseau social Facebook, rapporte mardi le média en ligne américain The Huffington Post.

    La thématique « Pape François » devance dans le classement « élection » et « bébé royal ». Il faut descendre à la cinquième place pour trouver la seconde personnalité qui passionne le plus les 1,2 milliard d'utilisateurs du réseau social : Margaret Thatcher, l'ex-Première ministre britannique Margaret Thatcher, décédée en avril cette année.

    The Huffington Post précise que le Souverain Pontife a déjà battu d'autres records de popularité sur Internet. En juillet, une étude indiquait qu'il était le leader mondial le plus influent sur le réseau aux micromessages Twitter. Fin octobre, son compte @pontifex avait dépassé les 10 millions de followers.

    Il a aussi été établi fin novembre que le pape François était le nom propre le plus fréquemment utilisé sur l'Internet anglophone en 2013. (Avec Apic et The Huffington Post)

    Et le voilà à présent élu "personne de l'année 2013" par Time Magazine...