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  • Toujours plus d'euthanasies aux Pays-Bas

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    Lu sur alliancevita.org :

    Pays-Bas : euthanasies toujours en hausse

    Depuis sa légalisation en 2001, alors que les Pays-Bas étaient le premier pays à dépénaliser cette pratique, le nombre d’euthanasies n’a cessé de croître. Alors qu’on comptait 1.800 euthanasies en 2003, ce nombre est passé à 3.136 en 2010 (+74%) et à 5.516 en 2015, soit une augmentation de 76% par rapport à 2010 et de 206% par rapport à 2003 !

    Le rapport note une « augmentation significative des déclarations d’euthanasies de patients atteints de démence ou de troubles psychiatriques », avec 165 cas contre 122 en 2014.

    Une autre étude, publiée par JAMA Psychiatry, recense, entre 2011 et 2014, 66 cas de suicides assistés qui concernaient essentiellement des patients souffrant de maladies psychiatriques. Le diagnostic le plus courant était la dépression (55 % des cas).

    Un rapport, étudiant le cas des personnes se considérant « fatiguées de vivre » a été remis au gouvernement, en février dernier, concluant qu’il ne fallait pas étendre l’euthanasie à ce type de situation.

    Par ailleurs, alors que l’euthanasie aux Pays-Bas peut déjà être pratiquée sur des enfants mineurs à partir de 12 ans, le Ministre de la Santé hollandais vient de commanditer une étude afin d’étudier la possibilité d’étendre cette loi aux enfants de 1 à 12 ans (les enfants de moins d’un an peuvent déjà être euthanasiés avec le consentement de leurs parents).

    Toutes ces « extensions » de la loi, présentes ou à venir, montrent les graves dérives liées au développement de la mentalité euthanasique dans ce pays.

    Le rapport annuel des comités régionaux de surveillance de l’euthanasie aux Pays-Bas en 2015 a été publié la semaine dernière. Ce rapport révèle que 5.516 personnes sont décédées à la suite d’une euthanasie ou d’un suicide assisté, soit 4 % des 147.010 décès comptabilisés pour cette année.

  • "Ne nous éliminez pas !" ou quand une jeune trisomique anglaise s'adresse au ministre de la santé

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    Une synthèse de presse bioéthique de genethique.org :

    HEIDI CROWTER, JEUNE ANGLAISE ATTEINTE DE TRISOMIE 21 S'ADRESSE AU MINISTRE DE LA SANTÉ: "NE NOUS ÉLIMINEZ PAS !" 

    Un certain nombre de britanniques se lève contre les nouveaux tests prénataux non invasifs (DPNI) que le Gouvernement prévoit d’introduire dans le système de santé publique, et qui « visent à éliminer davantage de bébés porteurs de trisomie 21 », « ce qui signifie que davantage seront avortés », et l’impact à long terme est certain.

    La semaine dernière, rejoignant les lignes remarquées des jeunes internes en médecine, Heidi Crowter, une jeune femme de 20 ans atteinte de trisomie, s’est adressée directement au ministre de la santé sur un problème qui « relève probablement de la vie et de la mort plus que d’une affaire de contrats de travail ».

    En tant qu' « experte de la trisomie 21 », elle a assuré au ministre que sa vie était « simplement aussi importante et joyeuse que celle de n’importe qui », qu’elle pensait que tous avaient « une valeur égale, et devraient être évalués de manière égale », que les enfants porteurs d’un handicap « participaient aussi à la diversité et à la richesse de la vie ». Expliquant combien les parents d’enfants atteints de trisomie avaient besoin d’être accompagnés et rassurés sur « le potentiel de cette nouvelle vie humaine », sur « l’amour et la joie qu’elle peut avoir et apporter », elle a interpellé le ministre : « Jeremy Hunt, ne nous éliminez pas, travaillez avec nous à bâtir une société qui traite chacun avec toute la dignité, le respect, la compassion, et l’amour qu’il mérite ».

    Comme la comédienne Sally Phillips qui affirmait la semaine dernière que « la trisomie 21 n’est pas une maladie, mais un type de personne », Heidi regrette que les premiers concernés, à savoir les personnes trisomiques, n’aient même pas été consultés. Le Nuffield Council on Bioethics, qui a décidé de se pencher sur les questions éthiques soulevées par ces nouveaux tests, n’envisage pas de consulter une personne trisomique pour cela. Ils ont déjà recruté cinq « experts » légaux ou génétiques « de ces tests, pas des patients », dont deux sont ouvertement des promoteurs du DPNI.

    Pour aller plus loin :

  • « L’Institut Pontifical Jean-Paul II pour l’étude du Mariage et de la Famille » accueille avec respect, gratitude et disponibilité filiale l’exhortation apostolique Amoris Laetitia.

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    De Mgr Livio Melina, Recteur de l’Institut Pontifical Jean-Paul II pour l’étude du Mariage et de la Famille, sur didoc.be (La version originale de ce texte a été publiée le 10-4-16 sur http://www.istitutogp2.it/.)

    "Amoris laetitia": fidélité à la doctrine et renouveau pastoral

    « L’Institut Pontifical Jean-Paul II pour l’étude du Mariage et de la Famille » accueille avec respect, gratitude et disponibilité filiale l’exhortation apostolique Amoris Laetitia

    Dans ce document, le pape François a conclu le chemin synodal commencé il y a deux ans. Nous avons accompagné ce chemin avec la préoccupation que notre contribution ne soit pas absente, avec ouverture de cœur et d’esprit, avec clarté et franchise, sûrs de la fécondité de l’inspiration qui naît de Jean-Paul II, « le pape de la Famille » et qui a mûri pendant ces 34 années d’engagement en recherche et enseignement, toujours vécus en lien étroit avec l’expérience concrète de la pastorale familiale.

    Je souhaite communiquer rapidement quelques réflexions qui proviennent d’une première lecture du document. Il faudra du temps pour approfondir avec l’attention que cet enseignement du pape François mérite, caractérisé surtout par le grand désir pastoral d’annoncer la Bonne Nouvelle de la famille à partir de la perspective de la miséricorde, souhaitant rencontrer les familles dans le concret de leur existence et leur fragilité, ouvrant pour toutes un chemin de conversion et de croissance dans l’amour.

    Dans le débat ecclésial et dans l’opinion publique, est apparu un grand intérêt pour une question concrète qui n’est certainement pas la plus importante d’un point de vue pastoral, à savoir l’admission à l’Eucharistie des divorcés remariés civilement. En effet, comme le même pape François l’a fait remarquer, ce problème n’est pas central dans le synode. Il suffit de penser aux grands défis de l’Église envers la famille dans le contexte actuel : le fait que les jeunes se marient de moins en moins jeunes ; la perte du rôle social du mariage ; les nouvelles idéologies qui menacent la famille ; et surtout et avant tout, le grand devoir de porter de Christ à toutes les familles, dans le cadre de la nouvelle évangélisation... Sans doute, certains ont voulu concentrer l’attention sur ce point spécifique en le considérant comme un test de vérification, avec l’espoir d’un éventuel changement dans la position de l’Église (on a parlé de « révolution »), comme s’il concernait seulement le niveau pastoral et non doctrinal.

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  • Soyez gentils sur internet

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    Vu sur le site "riposte catholique":

    JPSC

  • Dimanche 15 mai 2016: Pentecôte à Horion-Hozémont

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    Affiche Procession 2016 (couleurs)-page-001.jpg

    JPSC

  • Catéchèse du pape François sur l'Ascension

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    Lors de l'audience générale du 17 avril 2013, le pape François a donné cet enseignement sur l'Ascension (ci-dessus, l'Ascension pat Giotto - XIVe s.) :

    Chers frères et sœurs, bonjour !

    Dans le Credo, nous trouvons l’affirmation que Jésus « est monté au ciel, il est assis à la droite du Père ». La vie terrestre de Jésus atteint son sommet lors de l’événement de l’Ascension, c’est-à-dire quand il passe de ce monde au Père et est élevé à sa droite. Quelle est la signification de cet événement ? Quelles en sont les conséquences pour notre vie ? Que signifie contempler Jésus assis à la droite du Père ? A ce propos, laissons-nous guider par l’évangéliste Luc.

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  • Liège, 24 mai : conférence sur "Eucharistie et miséricorde" par le cardinal Maradiaga

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    Dans le cadre de la Fête-Dieu à Liège

    Conférence exceptionnelle

    en la Cathédrale de Liège

    le mardi 24 mai à 20h

    par le Cardinal Oscar Maradiaga

    Archevêque de Tegucigalpa (Honduras)

    Modérateur du groupe des Cardinaux, chargé de la réforme de la Curie romaine

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    sur

    « Eucharistie et miséricorde »

    PAF : 5 euro (à régler sur place) – gratuit pour les moins de 25 ans

    Editeur responsable : Eric de Beukelaer, Pastorale urbaine, e.debeukelaer@catho.be

  • L'historien Jean-Christian Petitfils recommande le film consacré à la Résurrection du Christ

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    180314-r_1920_1080-f_jpg-q_x-xxyxx.jpgD'aleteia.org (Benjamin Coste) (où on lira également cette note consacrée au même film) :

    « La Résurrection du Christ » : un « film à voir », pour l’historien Jean-Christian Petitfils

    L'historien et auteur d’une biographie remarquée de Jésus en 2011 (Fayard) et d’un "Dictionnaire amoureux de Jésus" (Plon) en 2015, a vu en avant-première le film de Kevin Reynolds.

    Pour Aleteia, Jean-Christian Petitfils analyse cette nouvelle production hollywoodienne :« C’est sans a priori que j’ai découvert en avant-première ce film. Je l’ai trouvé relativement bon dans la mesure où le réalisateur n’a pas fait de cet épisode de la vie du Christ un péplum – ce que l’on pouvait craindre – ou une œuvre sulpicienne. Il ne s’agit pas d’un film à grand spectacle, trop « hollywoodien ». Je parlerais également d’un film engagé puisque Kevin Reynolds – qui a réalisé notamment Robin des Bois et Waterworld avec Kevin Costner – insiste beaucoup sur la Résurrection corps et âme de Jésus et situe vraiment son film comme un film chrétien.

    L’historien que je suis a néanmoins noté quelques erreurs historiques : à l’écran sont présentés des soldats romains ayant maille à partir avec des révoltés juifs, des zélotes. Or, il est attesté que les zélotes n’apparaissent pas avant l’an 66 de notre ère, date à laquelle débute la grande révolte juive. Du temps de Jésus, il n’y avait pas de révolutionnaires juifs, l’époque était relativement calme.De même, Marie Madeleine est présentée comme une prostituée, non comme une femme possédée que Jésus a libéré de sept démons et appartenant à ce groupe de femmes qui le suivent.

    Ainsi, le spectateur peut envisager ce film comme une sorte d’évangile apocryphe, abordable aussi bien par un chrétien qu’un non-chrétien. Rappelons qu’Hollywood a produit par le passé de nombreux films évoquant la résurrection de Jésus. Les personnes n’ayant pas la foi ne s’interdisaient pas de les voir ! Aujourd’hui, la tension est telle autour de la question religieuse, avec un tel rejet des vérités chrétiennes, que le simple fait de parler de la résurrection du Christ peut assimiler ce film à une œuvre de propagande, ce qui n’est absolument pas le cas.

    Enfin, je pense que ce film peut être un bon support catéchétique. En effet, il insiste sur l’humanité de Jésus et sur la résurrection corporelle du Christ. Par certains aspects, le réalisateur va presque trop loin puisque Jésus et les apôtres sont figurés comme une bande de copains. Or, il devait y avoir une distance entre le Christ et ses disciples, distance renforcée par l’événement de la Résurrection. « Ne me touche pas », dit ainsi le Christ à Marie Madeleine après être sorti du tombeau.

    Ainsi, bien que ce film soit moins ambitieux que La Passion du Christ de Mel Gibson, j’invite les gens à aller le voir. »

    La Résurrection du Christ de Kevin Reynolds. Avec Joseph Fiennes, Tom Felton et Peter Firth. Sortie le 4 mai 2016, 1 h 42.

  • Un livre du Père Xavier Dijon s.J. sur la question des réfugiés

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    livre-Les-Refugies-9782873566999.jpg« Que penser…des réfugiés ? » du P. Xavier Dijon sj
    Collection : Que penser de... ? - n° 90 

    Ces dernières années, les medias nous ont rapporté, images à l’appui, les tragiques péripéties de ces hommes, de ces femmes et de ces enfants qui fuient l’Afghanistan, le Congo, la Guinée, l’Irak, le Kosovo, la Lybie, le Mali, la Somalie, la Syrie et tant d’autres pays en proie à la violence. 

    Jésuite belge, Xavier Dijon, est professeur émérite de droit à l’Université de Namur et à l’Université catholique d’Afrique centrale (Yaoundé). Il est collaborateur au Jesuit Refugee Service-Belgium. Ses champs de réflexion et d’études vont de la bioéthique et la philosophie du droit à la méthodologie et aux moyens de lutte contre la pauvreté. Cet ouvrage confronte deux idéologies : l’une invoque les droits de l’homme dont ces réfugiés sont titulaires – les « droits humains » – valables toujours et partout ; l’autre revendique la souveraineté des pays occidentaux qui affirment ne pas pouvoir accueillir toute la misère du monde.
     
    Dans l’ouvrage est abordé :

    – une présentation des problèmes complexes liés à l’accueil des réfugiés, en quatre chapitres concis :
    • De quoi s’agit-il?
    • Et pratiquement ?
    • Faut-il lever les frontières ?
    • Qu’en pense l’Église ?
    – les causes : cet ouvrage précise les raisons de leur fuite (refuge, asile, persécution, protection…) afin d’éviter tout amalgame.
    – les difficultés du parcours : sont évoquées les difficultés concrètes rencontrées par l’étranger qui cherche un refuge dans les pays occidentaux. L’interrogation sur l’ouverture des frontières est largement développée.

    Radio et télévision parlent fréquemment de Calais, de Ceuta et Melilla, de Lampedusa, des réseaux de passeurs, et des murs dressés aux frontières… On nous cite conscien­cieusement le nombre de morts, retrouvés dans des camions hermétiques ou engloutis dans la Méditerranée…

    Pour assurer un accueil décent aux personnes qui fuient le danger, les partisans du Refugees welcome invoquent les droits de l’homme dont ces réfugiés sont titulaires, puisque les « droits humains » sont valables toujours et partout ; de l’autre côté, les pays occidentaux revendiquent leur souveraineté en affirmant qu’ils ne peuvent pas accueillir toute la misère du monde… Deux logiques qui s’affrontent.

    Parution : 06-04-2016 
    12 × 19 cm • 128 p.
  • La sédation en phase terminale, une euthanasie déguisée ? Une nouvelle fiche didactique proposée par l'IEB

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    La sédation en phase terminale, une euthanasie déguisée ? Nouvelle FICHE didactique.

    (Institut Européen de Bioéthique)

    La sédation en phase terminale, une euthanasie déguisée ?
    L’alimentation et l’hydratation ‘artificielles’, soins ou traitements?
    Des soins palliatifs aux soins palliatifs intégraux ?

    Force est de constater que le  débat autour des questions liées à la fin de vie n’est pas seulement un débat éthique. Il est aussi un débat sémantique.
    Ces questions  sont tellement  délicates - touchant à un interdit fondamental de nos états de droit et aux fondements même de la  mission du corps médical– qu’il est tout  aussi  essentiel de s’entendre sur  les mots et les concepts utilisés pour y répondre.

    C’est l’objet de  la présente fiche.

  • "Aucun pape ne peut changer la doctrine sur les sacrements"

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    Lu sur le blog de Jeanne Smits :

    Divorcés remariés : le cardinal Müller rappelle à Madrid qu'aucun pape ne peut changer la doctrine sur les sacrements

    Il y a contradiction à être divorcé remarié et vouloir communier, a déclaré ce mardi à Madrid, selon Europa Press, le préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la foi, le cardinal Gerhard Ludwig Müller. Le prélat donnait une conférence à l'université Francisco de Victoria à l'occasion de la présentation de son livre La famille, source d'espérance, qui vient d'être traduit en espagnol et publié par la Biblioteca de Autores Cristianos. Il a précisé qu'aucun pape ne peut changer la doctrine sur les sacrements du mariage et de l'Eucharistie.

    Le cardinal Müller ne s'est pas posé en opposant au pape François, assurant au contraire qu'il fallait éviter de voir ou plutôt d'« inventer » des contradictions entre les papes successifs. Mais il a néanmoins parlé très clair dans une situation de grande confusion dans l'Eglise, qui se trouve confrontée à la lettre d'un texte objectivement ouvert à une interprétation hétérodoxe, et aux déclarations assurant que le changement était arrivé émanant de cardinaux et de religieux proches du pape.

    Interrogé sur l'attitude à l'égard des familles en situation irrégulière dont parle l'exhortation du pape François, Amoris laetitia, et plus précisément sur le fait de vivre dans la grâce de Dieu en situation de péché, le cardinal Muller a déclaré : « Ce n'est pas possible. L'Eglise n'a pas le pouvoir de changer le droit divin, elle ne peut pas changer l'indissolubilité du mariage. On ne peut pas dire “oui” à Jésus-Christ dans l'Eucharistie et “non” dans le mariage. C'est une contradiction objective », a-t-il insisté.

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  • Les écoles catholiques flamandes vont-elles changer de religion ?

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    2157895.jpg                         Lu sur l'avenir.be :

    L’enseignement catholique flamand change de religion: le culte musulman entre en classe

    L’enseignement catholique au nord du pays travaille à un modèle scolaire dans lequel les autres religions et philosophies jouent un rôle important, laissant par exemple plus d’espace aux symboles tels que le voile, et qui prévoit éventuellement des endroits pour prier.

    «C’est un projet ambitieux», souligne Lieven Boeve, du Katholiek Onderwijs Vlaanderen.

    L’objectif est d’utiliser le modèle des écoles de dialogue pour attirer davantage d’élèves de confession musulmane, mais aussi de renforcer l’identité catholique. «Nous n’allons pas mélanger les religions, mais dans une école de dialogue, il y a par exemple de la place à côté d’une chapelle pour une salle de prière pour les musulmans ou le voile», déclare Didier Pollefeyt, de la KU Leuven.

    Quand on sait le sort qui a été réservé aux chapelles dans la plupart des écoles catholiques et le peu de célébrations qui y sont organisées, on ne peut s'empêcher de souligner le paradoxe que constitue cette détermination à y faire entrer le culte musulman...