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Actualité - Page 1474

  • Leuven (Park) : exposition d'icônes à l'Aide à l'Eglise en Détresse

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    Où?: Aide à l'Église en Détresse Abdij van Park 5 3001 Louvain
    Quand?: 08/09/2013 - 29/09/2013 10:00-17:00 - Weekend:14:00-18:00

    Icônes - œuvres de Lucia Lipkens-Janssen

    Dimanche 8 septembre 2013 à 15h00 : Visite guidée par l'iconographe Lucia Janssen 
    Dimanche 15 septembre 2013 à 15h00 : D. Victor Yudin : Sur la liturgie orthodoxe
    Dimanche 22 septembre 2013 à 15h00 : Sur le soutien apporté par Aide à l'Église en Détresse à l'Église orthodoxe russe
    Samedi 28 septembre 2013 à 15h00 : Visite guidée par l'iconographe Lucia Janssen 
    Dimanche 29 septembre 2013 à 15h00 : Visite guidée par l'iconographe Lucia Janssen

    Saint Luc l'Évangéliste en tant qu'iconographe de la Sainte Mère de Dieu Hodegetria
    Sur l'icône, nous voyons Saint Luc tandis qu'il écrit la Sainte Mère de Dieu Hodegetria. Hodegetria signifie ‘Celle qui montre le Chemin’. L'icône est en outre Acheiropoiètos, ce qui veut dire qu'elle n'a pas été réalisée par la main de l'homme. D'après la tradition, un ange a interrompu Saint Luc et a achevé l'icône.


    Le produit de l'exposition est destiné au couvent Notre-Dame-de-la-Protection à Lviv (Ukraine). La communauté des sœurs contemplatives n'a que des revenus limités provenant, entre autres, de la création d'icônes. À peine de quoi couvrir la nourriture, l'électricité et le chauffage. L'abbesse, Mère Metodija, a demandé le soutien d'Aide à l'Église en Détresse pour les soins à prodiguer à 17 sœurs âgées et malades.

    Entrée gratuite

  • Indifférence quasi-générale pour ces chrétiens que l'on massacre

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    Lu sur Boulevard Voltaire : Des chrétiens massacrés dans l’indifférence quasi-générale

    (Fabrice Le Quintrec, Journaliste à Radio France, spécialiste en revue de presse, ancien attaché culturel au Japon.)

    Les filiales et les émules de Al-Qaida dans le monde se sont, le week-end dernier, rappelés à notre bon souvenir. Du fait des élections générales en Allemagne et de l’attaque sanglante d’un centre commercial au Kenya (qui présentaient l’avantage de pouvoir être suivies à la télé), le carnage perpétré à Peshawar, à la sortie d’un office religieux chrétien, a été relégué au troisième, quatrième ou cinquième plan de l’actualité, quand il n’a pas été purement et simplement occulté par les médias.

    Au Proche et au Moyen-Orient, on peut massacrer des chrétiens en toute impunité et dans l’indifférence quasi-générale. Quel homme politique français, quelle grande conscience pétitionnaire a-t-on entendu à la suite de cette tuerie qui en rappelle, hélas, tant d’autres survenues en Égypte, en Syrie, ou en Irak, sans même parler d’une autre région du monde bien placée, elle aussi, dans ce triste palmarès : le Nigeria ?

    Décidément, le combat pour les droits de l’homme et le prix de la vie humaine sont à géométrie variable… Peut-être l’effet de ce que les journalistes appellent parfois la « loi de proximité » : on attache, paraît-il, plus d’importance à ce qui se passe près de chez nous ou à ce qui nous concerne de manière directe, intime. Donc, le sort des deux ou trois millions de chrétiens pakistanais, ce ne serait pas notre problème !

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  • Bulletin de l'IEB - 25 septembre 2013; Embryons/Soins Palliatifs/Comece

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    header_fr.jpgSommaire


  • Avec François, rien ne change... Vraiment ?

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    Sur le site de « La Vie », Jean-Pierre Denis conteste l’analyse de Gérard Leclerc sur celui de France Catholique (ici L’interview du pape aux revues culturelles jésuites ). 

    « En évoquant, écrit-il,  le « changement de climat au Vatican », la semaine dernière, j’ignorais tout de l’interview du pape aux revues jésuites. Après lecture de ce texte, je ne me suis pas senti démenti. Mais soudain, la perspective s’est élargie. Oui, décidément, le climat a changé. Et pas seulement le climat. La « rupture » avec Benoît XVI, pour employer un vocable sarkozien, est désormais assumée sans fard. Je sais qu’en disant cela je froisserai certains. Tenez… j’ai entendu l’autre jour l’estimé Gérard Leclerc se fâcher sur Radio Notre-Dame. « On a affaire à une véritable escroquerie intellectuelle », protestait-il. « Vouloir opposer le pape François à ses prédécesseurs Jean Paul II et Benoît XVI relève soit d’une intention perverse soit d’une incompréhension vraiment rédhibitoire. » Perversité et crétinisme ? Bigre ! On se gardera de renvoyer l’ascenseur à quolibets. Tant d’efforts pour nous expliquer que, non, il ne s’est rien passé, c’est touchant. Mais un tantinet suspect.

    Quand le pape déclare qu’il n’a « jamais été conservateur », on peut admettre quelques contorsions exégétiques de circonstance, voire même un peu de… jésuitisme. Autant prévenir, toutefois : sous ce pontificat, l’intransigeantisme ne donnera plus le ton. Il lui faudra partager à nouveau le terrain avec d’autres sensibilités plus sociales ou plus libérales, et faire moins continûment la leçon. Vous verrez, chers amis, tout cela n’est pas si dramatique ! On s’y habitue… À tout prendre, d’ailleurs, c’est peut-être l’occasion de dépasser enfin des clivages idéologiques qui nous pourrissent la foi et qui deviennent de plus en plus dérisoires.

    Vous connaissez la fameuse formule du Guépard : « Il faut que tout change pour que rien ne change. » Avec François, c’est le contraire. Il faut que rien ne change, pour que tout change. Je m’explique. Le pape, pour l’instant, n’a pas pris de grande décision. Pas un article du catéchisme n’est amendé, pas un iota du droit canon n’est aboli. Rien n’a changé ? Si vous voulez ! Mais tout est changé.

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  • Pape François: silence dans les rangs

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    Le bimensuel «  L’Homme Nouveau » rapporte que « 80 000 personnes ont assisté ce matin à l'audience générale du mercredi, occasion pour le Pape François, non seulement de saluer les fidèles présents, mais aussi, dans la lignée de ses prédécesseurs, de livrer une catéchèse.

    « Unité dans la foi, dans l'espérance, dans la charité, unité des sacrements, dans le ministère ». Il s'agit là selon le Pape des piliers qui soutiennent le grand édifice que représente l'Eglise catholique. L'Eglise est une et indivisible : « Il n'y a pas une Eglise pour les Européens, une pour les Africains, une pour les Américains, une pour les Asiatiques, une pour l'Océanie, elle est la même pour tous » a insiste le Pape François

    Le Pape a appelé à ne pas privatiser l'Eglise par pur égoïsme ou par manque de foi et il a interpellé directement les fidèles : « quand vous entendez que de nombreux chrétiens souffrent dans le monde, êtes-vous indifférents ou bien c'est comme si une personne de votre famille souffrait ? »

    Dans un autre passage, il a demandé surtout à faire taire les « bavardages » : « Un chrétien avant de faire du commérage doit se mordre la langue, car ainsi sa langue gonfle et il ne peut plus parler, il ne peut plus commérer ». Pour le Pape, les vrais chemins de l'Eglise sont « l'humilité contre la vanité et l'orgueil, la douceur, la magnanimité et l'amour pour conserver l'unité ». Une intervention qui a eu lieu quelques jours après la publication de son entretien accordé aux jésuites et qui a suscité beaucoup de commentaires, notamment dans la presse, mais aussi chez les fidèles dont certains se sont déclarés peinés d'être ainsi peu compris ou encouragés ».

    Pape François : une seule Église

    No comment. JPSC

  • L'euthanasie progresse aux Pays-Bas

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    L'euthanasie en forte augmentation aux Pays-Bas depuis six ans (synthèse de presse quotidienne de gènéthique)

    Aux Pays-Bas, selon un rapport publié mardi 24 septembre par une commission spéciale, l'euthanasie est en constante augmentation dans le pays depuis 2006, avec une hausse de 13% entre 2011 et 2012. Plus précisément, la commission fait état de 1923 cas en 2006 et 4188 cas en 2012, soit environ 3% de tous les décès aux Pays-Bas. 

    Majoritairement, les cas seraient liés au cancer mais "certains évoquent une plus grande tolérance de la pratique parmi la population, les patients et les médecins". 

    (Lapresse.ca 24/09/2013)

    Voir également : http://leblogdejeannesmits.blogspot.be/2013/09/13-deuthanasies-aux-pays-approbation-de.html

  • Curie romaine : changement de profil

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    Le cardinal Piacenza est la victime la plus connue du premier remaniement effectué par le pape François à la curie romaine. Les diplomates obtiennent de l'avancement. Les Italiens résistent. Les "ratzingeriens" hors jeu .  Extraits de l’article paru sur le blog « Chiesa » de Sandro Magister :

    « CITÉ DU VATICAN, le 25 septembre 2013 – L’annonce de la nomination du nouveau secrétaire d’état et les mesures prises il y a quatre jours montrent que le pape François a procédé à une première série de changements significatifs au sein de la curie romaine.

    Il l’a fait dans des délais relativement brefs, comme cela lui avait d’ailleurs été demandé par les cardinaux qui lui ont apporté leur soutien jusqu’à en faire le successeur de Pierre.

    Cette série de nominations, de confirmations et de non-confirmations – qui ont été précédées par des retouches petites mais significatives dans d’autres services du Vatican – permet de percevoir dès maintenant quelques indications en ce qui concerne les principes de gouvernement d’un pape qui aime à se définir comme l’évêque de Rome mais qui, à l’intérieur des Murs Léonins, agit à cent pour cent en souverain pontife de l’Église universelle (…)

    On peut tout d’abord dire que, si son prédécesseur Benoît XVI ressentait une certaine antipathie à l’égard de la “caste” des nonces apostoliques, le pape Jorge Mario Bergoglio ne fait preuve d’aucun préjugé sur ce point. C’est même le contraire. Tout en déplorant que les clercs qui sont employés dans la diplomatie soient menacés plus que les autres par la lèpre du carriérisme ecclésiastique, il ne manifeste, lorsqu’il trouve parmi eux quelqu’un qu’il juge capable et compétent ou qui lui est présenté comme tel par des conseillers à qui il estime pouvoir faire confiance – aucune réticence à lui accorder une promotion et à lui confier de hautes et délicates fonctions.

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  • BXL, 11-13 octobre : 2nd European Encounters, la Foi et les valeurs chrétiennes dans la vie active

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    La Foi et les valeurs chrétiennes dans la vie active

    INVITATION

    Si vous êtes actif dans la vie professionnelle, familiale ou associative

    Si vous voulez vivre votre foi au quotidien

    Si vous voulez donner de l’intelligence à la foi de votre coeur
    et comprendre l’actualité et l’urgence du message du Christ aujourd’hui

    CES RENCONTRES SONT FAITES POUR VOUS !

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  • Aux portes de la Belgique : installation d’une communauté bénédictine contemplative au diocèse de Langres

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    Lu dans l’hebdomadaire « Famille chrétienne » :

    arriveet-769-e-gare-langres-040913-9-_137992291550566700.JPGLe 29 septembre, Mgr Philippe Gueneley, évêque du diocèse de Langres, installera officiellement une communauté contemplative anglaise, les bénédictines adoratrices du Sacré-Cœur de Jésus de Montmartre, dans le village de Saint-Loup-sur-Aujon (Haute-Marne). Un retour vers le pays de leur fondatrice. Entretien.

     "En quoi l’arrivée de cette communauté contemplative est-elle une bonne nouvelle pour votre diocèse ? 

     Un diocèse sans communauté contemplative est un diocèse amputé, auquel il manque une dimension de la vie de l’Église, un de ses charismes. Et le charisme propre aux Sœurs contemplatives, c’est le primat accordé à Dieu. Le monde d’aujourd’hui, sensible à ce qui est visible et efficace, a besoin de leur témoignage. Il a besoin de monastères, de ces îlots de prière qui sont comme des phares, des espaces de silence, d’émerveillement, d’accueil de l’absolu de Dieu.

    En montrant comment Dieu peut habiter toute une vie, les bénédictines adoratrices participeront pleinement à la mission de l’Église et à la nouvelle évangélisation. Elles seront un signe pour tous les paroissiens. Les paroissiens sont fiers de les accueillir et heureux de (re)découvrir, à travers elles, la vie contemplative.

    Quelle parenté existe-t-il entre ces bénédictines de Tyburn et les bénédictines de Montmartre ? 

    Une même fondatrice : Mère Marie de Saint-Pierre (Adèle Garnier), qui a fondé sa congrégation à côté de la basilique du Sacré-Cœur de Montmartre en 1898. Mais avec les lois de 1901, la communauté a dû quitter Montmartre pour s’installer à Tyburn. Quand les Sœurs ont eu l’autorisation de revenir en France, seules les Françaises ont accepté de rentrer. La communauté s’est alors séparée en deux branches.

    De leur côté, les bénédictines de Tyburn continuent la congrégation d’origine en s’inscrivant strictement dans le charisme fondateur : une vie contemplative sous la règle bénédictine avec le désir de glorifier la Trinité par la célébration quotidienne de l’eucharistie et de l’office divin, l’adoration perpétuelle du Saint-Sacrement et la prière pour le pape, l'Église et le pays où elles sont implantées (Pérou, Australie, Nouvelle-Zélande, Italie, etc.). Depuis le 4 septembre, elles prient pour la France. Et c’est une grande nouvelle.

    Comment des bénédictines de Londres sont-elles arrivées à Saint-Loup-sur-Aujon ?  

    Tout est parti d’une décision prise par la supérieure générale de la Congrégation des Filles de la Sagesse : en raison du trop petit nombre de religieuses, le couvent de Saint-Loup devait fermer. Cette grande maison a connu le départ des clarisses, des bénédictines de Jésus-Crucifié et des Annonciades, il fallait trouver d’urgence une nouvelle communauté pour y assurer une présence de prière.

    J’ai donc commencé à frapper à plusieurs portes, mais en vain. Jusqu’au jour où le Père François Touvet, l’un de mes vicaires épiscopaux, m’a parlé des bénédictines adoratrices dont la maison mère était à Tyburn (Londres). J’ai contacté leur supérieure générale, Mother Marie-Xavier, qui a très vite accepté la proposition. Au cours de nos rencontres préparatoires à Saint-Loup et à Londres, j’ai compris que cette fondation rejoignait le désir de la congrégation d’opérer un retour aux sources en se rapprochant du village natal de leur fondatrice.

    Alexia Vido"

    Référence : Des bénédictines de Londres s’installent en France

    Après l’essaimage des Bénédictins de Fontgombault  à Wisques  (près de Saint-Omer, dans le Pas-de-Calais), cette installation des Bénédictines adoratrices du Sacré-Cœur aux portes de l’Ardenne est encore une bonne nouvelle transfrontalière franco-belge.  A quand une restauration monastique à l’abbaye de Val-Dieu, au pays de Herve  frontalier de l’Allemagne et des Pays-Bas ? La question s’adresse  à  Monseigneur  Jean-Pierre Delville, nouvel  évêque de Liège. JPSC

  • L'interview du pape François source de confusion ?

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    C'est l'avis de Jeanne Smits qui a publié un article dans Présent ontitulé "Le pape de la confusion ?" (reproduit sur son blog).

    La publication d’une interview-fleuve du pape François dans une quinzaine de revues jésuites à travers le monde, en plusieurs langues, a rempli d’aise la presse anti-catholique. Focalisée sur le discours moral de l’Eglise sur la contraception, l’avortement, les divorcés remariés, elle s’est jetée sur les paroles du pape qui justement rejettent cette focalisation :

    « Nous ne pouvons pas insister seulement sur les questions liées à l’avortement, au mariage homosexuel et à l’utilisation de méthodes contraceptives. Ce n’est pas possible. Je n’ai pas beaucoup parlé de ces choses, et on me l’a reproché. Mais lorsqu’on en parle, il faut le faire dans un contexte précis. La pensée de l’Eglise, nous la connaissons, et je suis fils de l’Eglise, mais il n’est pas nécessaire d’en parler en permanence. »

    « Même le pape n’aime pas l’obsession de l’Eglise par rapport à l’avortement », titre le New York Times, avec une jubilation fielleuse qui se traduit dans l’article par quelques piques envoyées à l’épiscopat américain qu’il voit indirectement « réprimandé » pour s’être lancé dans le combat contre la contraception remboursée par la nouvelle « sécurité sociale », l’ObamaCare…

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  • Une lettre de Benoît XVI paraît à son tour sur la Repubblica

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    Benoît XVI répond à Piergiorgio Odifreddi (Radio Vatican)



    Quelques jours après la publication de la lettre du pape François au fondateur de La Repubblica, le quotidien italien a publié, ce mardi, une autre lettre, cette fois du Pape émérite, Benoît XVI. Il s'agit de sa réponse à un livre du scientifique italien ouvertement athée et anticlérical Piergiorgio Odifreddi. Dans sa longue lettre, Benoît XVI amorce un dialogue avec son interlocuteur. Il s'oppose à son interprétation sur la question de la pédophilie dans le clergé et sur la figure du Jésus historique.

    Benoît XVI développe une réponse en quatre points, réagissant à l’ouvrage du mathématicien. Ce livre critique notamment son ouvrage consacré à Jésus de Nazareth et son Introduction au christianisme. Si le Pape émérite reconnaît volontiers que les mathématiques sont la seule science "au sens strict", il souligne toutefois que la théologie a fourni des "résultats remarquables" dans les domaines historique et philosophique. En outre, Benoît XVI affirme que la théologie a pour but de concilier la religion et la raison, deux fonctions "d’importance essentielle pour l’humanité". 

    Benoît XVI tient à mettre les choses au point

    Le pape émérite remercie son interlocuteur pour le "dialogue sérieux" sur ces sujets, mais dénonce ensuite le traitement réservé aux questions du prêtre et de la morale catholique. En ce qui concerne la pédophilie au sein du clergé, Benoît XVI, qui a été en première ligne dans la lutte contre ce scandale, rappelle fermement : "je n’ai jamais cherché à cacher (les) choses". "On ne devrait pas présenter de façon ostentatoire cette déviance comme s’il s’agissait d’une saleté propre au catholicisme", ajoute-t-il. Et d’insister : "On ne peut taire le mal à l’intérieur de l’Eglise, mais on ne peut pas taire non plus le grand sillage de bonté et de pureté que la foi chrétienne a tracé au fil des siècles".

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  • L'athéisme belge tient ses premiers états généraux

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    C’est Christian Laporte qui le claironne dans « La Libre » :

    « Créée l’an dernier, l’Association belge des athées veut se faire entendre dans le débat public et faire respecter sa vision du monde. Cela l’amène à organiser du 4 au 6 octobre prochains les états généraux de l’athéisme au théâtre Varia à Ixelles. Ses organisateurs ont expliqué le sens de leur démarche en primeur à “La Libre”.

    Patrice Dartevelle, le secrétaire de l’ABA va directement à l’essentiel : “il ne faut pas se tromper. C’est vrai que nous ne sommes pas favorables aux gens religieux mais pas pour autant non plus des suiveurs de Catherine Fourest pour qui le danger vient de l’intégrisme majoritaire qui serait selon elle catholique… Il faut se recentrer sur la laïcité philosophique”. C’est en analysant la dernière grande enquête décennale sur les valeurs en Europe qu’avec d’autres Dartevelle a estimé que c’était le bon moment pour amener les athées à s’affirmer : “la moitie des Belges se dit catholique pour 10 % d’athées mais… un tiers des personnes interrogées disent ne plus être religieux. Il en ressort que l’athéisme doit devenir plus visible et aller à contre-courant des idées de Frédéric Lenoir qui affirme que toutes les idées se valent sauf les fondamentalistes chrétiens et… les athées dogmatiques”. Le Pr Serge Deruette (UMons) enchaîne : “Dans le contexte actuel, Dieu est de plus en plus une auberge espagnole avec une spiritualité passe-partout. C’est le moment d’intervenir dans le débat”.

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