Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Actualité - Page 1476

  • Indonésie : la liberté religieuse de nouveau bafouée

    IMPRIMER

    Radio Vatican

    Des centaines d'extrémistes islamistes ont lancé une série de deux jours de protestations contre la construction de l'église catholique de Saint Stanislas Kostka à Kranggan, sous-district de Bekasi Regency, dans la province de Java-Ouest. Dans une situation très similaire à celle des fidèles de l'Eglise Yasmin – engagés dans une rude bataille avec les autorités de Bogor – les catholiques Kranggan sont susceptibles de voir leurs efforts réduits à néant, le processus d'obtention des permis a commencé en 2003 et toutes les obligations légales, y compris le funeste Imb ont été remplies. Toutefois, selon les manifestants, un édifice chrétien dans une région à majorité musulmane ne servirait qu’à «nourrir» l'affrontement interreligieux et mettrait en danger la coexistence pacifique entre les différentes religions. Lors des manifestations un peu plus tôt cette semaine, les extrémistes ont lancé un appel aux autorités en leur demandant de geler l’octroi de l’Imb (Izin Mendirikan Bangunan).

    Lire la suite

  • D'Albert II à Philippe Ier

    IMPRIMER

    Excellent billet de notre ami l'abbé Eric de Beukelaer, sur son blog, consacré à l'abdication d’Albert II, roi des Belges et à l'avènement de Philippe

    « Le Roi n’est pas mort. Vive le Roi ».

    Monarchie

    Je suis plutôt monarchiste. Non pas par raison: « parce qu’en Belgique, c’est nécessaire pour que le pays n’explose pas ». Non pas par passion: « parce que sans le Roi, pas de pays ».  Si je suis plutôt monarchiste, c’est parce que je pense que la monarchie constitutionnelle est une institution qui colle assez bien avec la nature humaine. Nous avons une moitié du cerveau plus rationnelle et l’autre plus émotionnelle. La raison doit commander, mais l’émotion nous irrigue et dirige bien plus que nous n’aimions l’avouer. (En cela, je rejoins une tradition philosophique qui passe par saint Augustin, Freud et, plus récemment, Michel Onfray). La raison est ce qui pousse à reconnaître la souveraineté du peuple, le choix politique par élection libre, le pouvoir législatif au parlement, la liberté d’opinion et de presse, etc. Mais, en monarchie, l’émotion reçoit une place constitutionnelle, de par l’alliance entre un pays et une famille. A chaque catastrophe ou victoire nationale, le Roi est là. Ce faisant, le souverain incarne l’identité nationale avec plus d’efficacité que n’importe quelle manifestation républicaine.

    Lire la suite sur le blog d'Eric de Beukelaer

    La fonction royale est plus qu’une fonction politique et, comme l’a dit  opportunément le Cardinal Danneels le jour des funérailles du Roi Baudouin, il y a même des rois qui sont plus que des rois mais des bergers pour leur peuple. Cette sacralisation de la monarchie n’est nullement inscrite dans la constitution belge, d’allure fort libérale, pas plus que l’assimilation de la royauté à une forme de paternité. Celle-ci procède du sentiment populaire qui, par une sorte d’instinct venu du fond des âges, cherche à incarner le pouvoir, lui donner un visage humain fondé sur la génération, à l’image de la famille. Du moins jusqu’ici, car la mode actuelle de l’abdication des rois ou de la renonciation des papes (je suis frappé par la similitude des propos de Benoît XVI et d' Albert II), vient brouiller cette image paternelle. Comme l'observe "Le Monde", sans être inédit, le renoncement volontaire d'un roi est, en Belgique, une pratique à ce jour tellement rare que la Constitution ne l'évoque pas. Seul le décès d'un chef de l'Etat est envisagé, avec une période d'interrègne limitée à dix jours, pendant lesquels le gouvernement assume seul les pouvoirs.

    JPS

  • France : un mouvement pour l’écologie humaine

    IMPRIMER

    Une suite moins circonstancielle au « printemps français » ? Lu sur le site du mensuel « La Nef » (n° 250, juillet-août 2013) :

    « Tugdual Derville, délégué général d’Alliance Vita et porte-parole de « la Manif pour tous », a lancé le 22 juin avec Pierre-Yves Gomez et Gilles Hériard-Dubreuil le courant « Écologie humaine ». Il nous explique ce projet.

    La Nef – Vous avez lancé le 22 juin un courant d’Écologie humaine : de quoi s’agit-il et quel rapport a-t-il avec « la Manif pour tous » ?
    Tugdual Derville – L’année écoulée restera celle du plus grand mouvement que la France ait connu depuis mai 1968. Un mouvement social authentique, répondant à trois critères : spontané, anarchique et foisonnant. Contrairement aux mouvements sporadiques agitant nos sociétés en quête de repères (je pense aux Indignés), notre mouvement de résistance est porté par une revendication cohérente et altruiste. Il doit s’ouvrir sur des perspectives positives. Le courant pour une Écologie humaine s’inscrit dans cette intention. Il entend favoriser un projet de société global, fondé sur la protection du plus fragile.

    Quels liens faites-vous entre libéralisme financier et libertarisme des mœurs, entre écologie environnementale et écologie humaine, et quelles conclusions politiques en tirez-vous ?

    La loi Taubira s’inscrit dans les dérives de la culture libérale-libertaire de mai 1968. Son individualisme soumet l’intérêt du plus faible (l’enfant) au désir du plus fort (l’adulte). Son glissement vers la marchandisation de l’être humain est inexorable. La financiarisation de l’économie tend elle aussi à faire passer l’homme comme une variable d’ajustement. C’est l’économiste Pierre-Yves Gomez qui m’a fait voir la portée de l’expression « écologie humaine » que j’ai lancée sur le podium du 13 janvier, quand je constatais que nous défendions un précieux patrimoine commun à toute l’humanité désormais menacé : l’altérité sexuelle dans l’engendrement. À trois, avec Gilles Hériard-Dubreuil, spécialiste de la gouvernance des crises environnementales, nous avons décidé de lancer un grand chantier en vue de faire émerger un projet de société multidisciplinaire faisant de l’homme la priorité de toute décision. Ce projet « métapolitique » concerne tous les domaines : éducation, environnement, bioéthique, entreprise, culture, en commençant par la vie personnelle. Bien sûr, la sphère politique sera touchée, comme pour le défi environnemental.

    Lire la suite

  • Après le pape, le roi…

    IMPRIMER

    Belgique : selon la presse, le Roi Albert II annoncera son abdication aujourd’hui à 18 heures. Lu dans « La Libre » :

    « Les rumeurs se sont multipliées ces derniers mois sur une possible abdication du chef de l'Etat, âgé de 79 ans, que certaines rédactions du pays se sont avancées à pronostiquer pour le 21 juillet prochain, date de la Fête nationale. Aucune source officielle ne s'est toutefois prononcée sur le contenu du message royal, ni sur un terme précis. 

    Selon une des sources, l'abdication interviendra "à terme", après le règlement des dernières modalités sur le budget, au Comité de mise en œuvre des réformes institutionnelles (Comori) et en comité de concertation, et après le vingtième anniversaire de l'accession du souverain au Trône. Le roi Albert II a prêté serment le 9 août 1993. Pour célébrer ses vingt ans de règne, le Roi et la reine se rendront d'ici le 21 juillet, dans les trois Communautés du pays. 

    Le prince Philippe sur le Trône pour la Fête nationale

    Peu avant 15 heures, le Conseil des ministres restreint était réuni au 16 rue de la Loi. Un Conseil des ministres aura lieu à 17h30, toujours au 16 rue de la Loi. A la suite de l'allocution que le Roi Albert II prononcera à 18h, le Premier ministre Elio Di Rupo fera une déclaration en présence du Conseil des ministres restreint à 18h15, toujours au "16".

    Lire la suite

  • Joseph Ratzinger : Pourquoi suis-je encore dans l’Eglise ?

    IMPRIMER

    Une réflexion exprimée à Munich le 4 juin 1970 et qui n’a rien perdu de son étonnante actualité, à l’heure où l’on parle à nouveau de réformer l’Eglise.  

    Le pape émérite était à l’époque titulaire de la chaire de dogmatique de l’université de Ratisbonne.  Quelques extraits de la conférence du futur Benoît XVI :

    «  J'aimerais (…) fournir une première réponse sous forme d'une analogie. (…) Nous avions dit qu'en examinant l'Eglise de trop près nous avions fini par perdre de vue l'ensemble. On peut approfondir cette idée en la rapprochant d'une image que les Pères de l'Eglise ont mise en évidence dans leur interprétation symbolique du monde et de l'Eglise. Ils expliquèrent que la lune figurait dans l'organisation du cosmos ce qu'était l'Eglise dans l'organisation du salut, au sein du cosmos intellectuel et spirituel. (…)

    L'Eglise reflète la lumière du Christ

    Pour les Pères, l'application à l'Eglise de la symbolique de la lune découlait de deux idées principales : d'une part de la correspondance entre la lune et la femme (la mère), d'autre part de l'idée que la lune n'est pas source de lumière, puisqu'elle la reçoit d'Hélios. Sans lui, elle ne serait qu'obscurité ; elle brille, mais sa lumière n'est pas sa lumière, c'est la lumière d'un autre. Elle est lumière et obscurité à la fois. Elle-même n'est qu'obscurité, mais elle dispense une clarté, qui lui vient d'un autre, dont la lumière se propage par son intermédiaire. C'est exactement en cela qu'elle représente l'Eglise, qui illumine bien qu'elle ne soit elle-même qu'obscurité : elle ne puise pas la lumière en elle-même, mais elle la reçoit du véritable hélios, le Christ, si bien qu'elle peut, bien qu'elle ne soit elle-même qu'un amas de pierre (...), éclairer les ténèbres dans lesquelles nous vivons de par notre éloignement de Dieu — « la lune nous raconte le mystère du Christ » (Saint Ambroise).

    L'astronaute ou la sonde lunaire ne découvrent sur la lune qu'un désert, des pierres, du sable et des montagnes, mais aucune source de lumière : la lune n'est en définitive que cela, elle n'est qu'un désert de sable et de pierres. Et pourtant, elle est, non pas en soi, mais parce qu'elle reçoit et réfléchit la lumière, source de lumière et elle le reste à l'époque des voyages dans l'espace. (…) Alors je pose la question : n'avons-nous pas là une image véritable de l'Eglise ? [1]

    L'Eglise est l'Eglise du Christ

    Ce que recouvre cette image me paraît être essentiel. Néanmoins (…) j'aimerais l'expliquer en m'appuyant sur une autre observation. (…) Notre Eglise ainsi que toutes les nombreuses églises se sont substituées à Son Eglise ; chacun a désormais la sienne. Les églises sont devenues nos entreprises dont nous sommes fiers ou dont nous avons honte ; beaucoup de petites propriétés privées se juxtaposent, il ne s'agit que de nos églises « à nous », que nous bâtissons nous-mêmes, qui sont nos œuvres et nos propriétés, et que nous voulons donc en conséquence transformer ou maintenir en place. Derrière « notre église » ou aussi derrière « votre église », « Son Eglise » a disparu. Mais la seule qui compte, c'est la Sienne et, si elle n'existe plus, alors notre église doit aussi démissionner. Une église qui ne serait que la nôtre serait une entreprise vaine et puérile (…).

    Lire la suite

  • François : bon sang, mais c'est bien sûr !

    IMPRIMER

    IOR, Curie, nominations, Lampedusa, discours et prédications incisives... Les plus perspicaces commenceraient-ils à voir où le pape veut aller ? C'est ce que l'on peut penser à la lecture d'un article du journaliste espagnol J.L. Restan traduit sur le site de notre amie de Benoît-et-moi. C'est à lire ici : http://benoit-et-moi.fr/2013-II/articles/tout-devient-clair.html

  • IOR : on fait le ménage

    IMPRIMER

    Cité du Vatican, 2 juillet 2013 (VIS). Hier soir a été diffusé par la Salle de Presse du Saint-Siège un communiqué exposant les derniers changements survenus au IOR:

    Après de longues années de service, dans l'intérêt de l'institut et du Saint-Siège, le Directeur M.Paolo Cipriani, et le Vice Directeur M.Massimo Tulli ont présenté leur démission, aussitôt acceptée par le Conseil de supervision et par la Commission cardinalice. Ces organes ont demandé au Président M.Ernst von Freyberg d'assumer leur intérim. L'Autorité de contrôle financier et la Commission spéciale nommée le 26 juin ont pris acte. Le Président, est désormais assisté de M.Roland Marracini à la vice présidence, tandis que M.Antonio Montaresi sera en charge du contrôle et mise en conformité des opérations et des projets. Tous deux ont acquis leurs compétences dans le secteur bancaire en Grande-Bretagne et aux Etats-Unis. Le Président, après avoir remercié Mr.Cipriani et M.Tulli pour l'application manifestée durant leur activité, s'est félicité de l'arrivée de M.Marranci et de M.Montaresi, dont il a salué l'excellence professionnelle. Puis il a tenu à rappeler que depuis 2010 la direction oeuvre sérieusement à aligner le IOR sur les standards internationaux en matière d'anti-recyclage. Au-delà des résultats acquis et de progrès largement dus aux organismes directifs et au personnel du IOR, il est clair que l'accélération du processus nécessite une nouvelle direction. Par ailleurs le Conseil de supervision a engagé les démarches destinées à pourvoir les postes de Directeur et Vice Directeur. En mai le Président du Conseil de supervision a chargé le Promontory Financial Group de renforcer le dispositif anti-recyclage de l'institut selon sept axes de travail, de manière à contrôler efficacement les rapports avec la clientèle. Le Président Freyberg a en outre demandé à Mme.Elizabeth McCaul et à M.Raffaele Cosimo (PFG pour l'Europe) d'assumer la charge de conseillers à la gestion du IOR. Rappelons que le IOR, un organisme créé en 1942 par décret pontifical, a pour mission statutaire d'aider le Saint-Siège et l'Eglise catholique de par le monde. Il protège le patrimoine d'un nombre précis et défini de personnes physiques et juridiques affiliées à l'Eglise, selon les normes du droit canonique et la législation de l'Etat de la Cité du Vatican. La gouvernance du IOR se compose d'une Commission cardinalice, d'un Prélat, d'un Conseil de supervision et d'une Direction. Le IOR, qui compte 114 employés, dispose d'un siège unique sur le territoire de l'Etat du Vatican.

  • Gender : le concept de genre dans nos sociétés

    IMPRIMER

    (Via Liberté Politique) Depuis une vingtaine d’années, le mot genre a remplacé le mot sexe dans les discours et les textes officiels. S’agit‐il seulement d’un changement de vocabulaire ou bien d’une modification plus profonde de nos sociétés marquées par l’individualisme et la quête de l’égalité ?

    Plaq-NFE_medium.gifL’équipe de l’association Le Nouveau Féminisme européen a recueilli des documents pour mieux saisir les enjeux de la diffusion du concept de genre : définitions par les instances internationales (ONU, Conseil de l’Europe, Union européenne…), résolutions et programmes d’action, articles sur la diffusion du gender dans l’éducation et le droit, interview de personnalités...

    Ces documents sont précédés d’une courte analyse sur la manière dont le pouvoir politique présente le concept de genre comme un acquis, sans débat et sans l’avis d’experts. En raison de l’actualité, ce dossier est évolutif et tiendra compte des nouvelles informations sur le sujet.

    Elizabeth Montfort, ancien député européen - Nicole Thomas‐Mauro, ancien député européen - Christel Latourrette - Solenne de Bray

    Sommaire (document PDF)

     

  • Le choix de Benoît XVI, un merveilleux exemple de relation avec Dieu en conscience

    IMPRIMER

    Lors du dernier Angelus, le Pape a évoqué un "merveilleux exemple" de relation avec Dieu en conscience, celui de Benoît XVI "lorsque le Seigneur lui a fait comprendre dans la prière, quel était le pas qu'il devait faire. Il a suivi sa conscience avec un grand discernement et un grand courage, c'est-à-dire la volonté de Dieu qui parlait à son cœur". Cet exemple "nous fait beaucoup de bien, c'est un exemple à suivre". (VIS)

  • ONU : Non à la politique anti-vie

    IMPRIMER

    (Zenit.org - Hélène Ginabat - Anne Kurian) - La santé n’est pas « la santé simplement sexuelle et reproductive », rappelle le Saint-Siège, qui dénonce « la destruction délibérée et systématique de la vie humaine naissante ».

    Mgr Francis A. Chullikatt, observateur permanent du Saint-Siège aux Nations-Unies de New-York, a pris la parole lors de la IVe session du Groupe de travail sur les objectifs du développement durable, sur le thème « La santé, dynamique des populations » le 19 juin 2013.

    L'accès à la santé pour tous

    Le Saint-Siège entend « promouvoir un réel accès aux soins de santé tout au long de la vie, de la conception jusqu'à la mort naturelle », explique Mgr Chullikatt.

    C’est pourquoi il invite les États à « aller au-delà d'une logique épuisée, stéréotypée et fatale qui réduit cet objectif à la santé simplement sexuelle et reproductive, ce qui masque un défaitisme nihiliste, faisant passer pour un « service » de santé la destruction délibérée et systématique de la vie humaine naissante ».

    Lire la suite

  • Lumen fidei, la première encyclique de François, sera présentée vendredi

    IMPRIMER

    (Anita Bourdin - Zenit.org) - "Lumière de la foi" - "Lumen Fidei" - : c'est le titre de la première encyclique du pape François qui sera présentée vendredi prochain, 5 juillet, au Vatican, dans le cadre de l'Année de la foi.

    Elle sera publiée en français, espagnol, italien, anglais, allemand et portugais, pour commencer. 

    Le pape a dit lui-même - avec une métaphore musicale - qu'elle avait été "écrite à quatre mains" : le pape François a décidé d'assumer le texte et de le compléter le texte commencé par Benoît XVI. Le Vatican indique qu'elle ne sera pas longue.

    L'encyclique sera présentée par le cardinal Marc Ouellet, P.S.S., préfet de la Congrégation pour les évêques, Mgr Gerhard Ludwig Müller, préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi, et Mgr Rino Fisichella, président du Conseil pontifical pour la promotion de la nouvelle évangélisation. 

    Le pape François avait annoncé son texte aux membres du XIIIe Conseil ordinaire du secrétariat général du synode des évêques, le 13 juin dernier.

    Lire la suite

  • Dix ans d'euthanasie légale en Belgique

    IMPRIMER

    (Du Bulletin de l'IEB)

    Vient de paraître

    Rendez-vous avec la mort
    10 ans d’euthanasie légale en Belgique 

    Étienne Montero 
    Professeur ordinaire à l’UNamur
    Doyen de la Faculté de droit


    Après dix années d’application de la loi sur l’euthanasie en Belgique (2002), le moment est venu de dresser un bilan critique.

    • Peut-on soutenir que l’euthanasie est adéquatement balisée, sa pratique rigoureusement contrôlée et ses conditions légales parfaitement respectées ?
    • Est-il vrai qu’aucun effet de « pente glissante » ne se manifeste en Belgique ?
    • Peut-on parler sans fard du « modèle belge des soins palliatifs intégraux » au sens où, dans ce pays, l’euthanasie serait une composante intégrante des soins palliatifs ?
    • Peut-on affirmer que la dépénalisation de l’euthanasie n’a nullement altéré la confiance dans les médecins ?

    L’objectif de cet ouvrage est de répondre à ces questions et de permettre au lecteur d’approfondir sa réflexion en la confrontant à celle d'un expert.

    Table des matières ICI

    140 pages - 29 €  - (5 € de frais de port pour la Bel. en sus)
    Vous pouvez commander cet ouvrage :
    Par fax : 010 40 21 84 
    Par mail : commande@anthemis.be 
    Via le site : www.anthemis.be