Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Belgique - Page 116

  • Liège : « Foliamusica » à l’église du Saint-Sacrement les samedi 16 et dimanche 24 novembre à 15h30

    IMPRIMER

    Quatre fois l’an, l’église du Saint-Sacrement à Liège (Bd d’Avroy, 132) ouvre ses portes aux jeunes musiciens professionnels sélectionnés par l’association  "Foliamusica " (responsable Cécile Leleux) : chaque concert est suivi d’une rencontre avec les artistes.

    Prochaines découvertes pour clore la saison en cours : le samedi 16 novembre 2019 à 15h30 et dimanche 24 novembre 2019 à 15h30 . Venez découvrir les jeunes talents !

    foliamusica AFFICHE NOVEMBRE 2019-page-001.jpg

     _______

    Sursum Corda asbl, Association pour la sauvegarde de l’église du Saint-Sacrement au Boulevard d’Avroy, 132 à Liège. Siège social : Rue Vinâve d’île, 20 bte 64. Tel. 04.344.10.89. E-mail : sursumcorda@skynet.be.

    Web : http://eglisedusaintsacrementliege.hautetfort.com

    Restauration_depliant - Copie.jpgFaire un don pour la restauration de l’église du Saint Sacrement ?  Pour aider à la sauvegarde de ce joyau de l’art néo-classique, vous pouvez faire un don fiscalement déductible en versant le montant de votre choix au compte de projet : IBAN BE10 0000 0000 0404 – BIC BPOTBEB1 de la Fondation Roi Baudouin, rue Brederode, 21, 1000 Bruxelles, avec, en communication, la mention structurée (indispensable) : 128/2980/00091.  

    Pour en savoir plus sur les enjeux de cette importante opération, cliquez ici : Restauration de l'église du Saint-Sacrement à Liège . L'évêque s'implique. Et vous?  

    Tous renseignements : Tel. 04 344 10 89.

  • Participer à l'Université de la Vie 2020

    IMPRIMER

    PARTICIPEZ À L’UNIVERSITÉ DE LA VIE 2020 !

    Grossesse, tests génétiques, avortement, soins palliatifs, euthanasie et démence, handicap, ...

    Face à toutes ces questions de bioéthique ...

    POUVONS-NOUS FAIRE L’IMPASSE SUR LA QUESTION DU SENS DE LA VIE ?

    ACCORDONS NOUS LE TEMPS DE RÉFLÉCHIR
    À LA SOCIÉTE QUI RESTE À BATIR

    Vita International et l'Institut Européen de Bioéthique vous invitent

    à 4 SOIRÉES DE FORMATION OUVERTES À TOUS.

    EN VISIO-CONFÉRENCE ET EN DIRECT, POUR S’INFORMER ET SE FORMER SUR LES QUESTIONS BIOÉTHIQUES D’ACTUALITÉ.

    Le programme est sur le site avec les intervenants !

    Plus de 150 villes participantes

    Bruxelles, Mons, Namur, Liège, LLN, et Gand !

    NE MANQUEZ PAS CE RENDEZ-VOUS PRÈS DE CHEZ VOUS !

    Quatre lundis soirs (20h15 - 22h15)

    13, 20, 27 janvier et 3 février 2020

  • La Belgique occupe la première place du classement des pays les plus accueillants au monde pour les athées et les libres-penseurs

    IMPRIMER

    Lu sur La Dernière Heure de ce jour (14 novembre) p. 4: 

    La Belgique paradis des non-croyants

    La Belgique fait partie des pays les plus accueillants au monde pour les athées et les libres-penseurs, indique mercredi Humanists International, l’organisation qui regroupe les associations humanistes et laïques. Selon un rapport publié mercredi, qui analyse le traitement des non-croyants dans chaque pays, la Belgique occupe la première place du classement en compagnie des Pays-Bas et de Taiwan. Derrière le trio de tête, le “Freedom of Tought Report” classe la France, le Japon ainsi que les États insulaires de Nauru et Sao Tomé-et-Principe. L’Afghanistan, l’Iran et l’Arabie saoudite se retrouvent en bas du classement.

  • Pourquoi il ne faut pas modifier la loi sur l'avortement

    IMPRIMER

    De Calixte et Hugues Bocquet, futurs parents, en opinion sur le site de la Libre :

    Pourquoi il ne faut pas modifier la loi sur l'avortement :

    Ces propositions de loi participent d'un coup de com idéologique. Ainsi, dans notre pays, on aurait 14 jours pour décider d'annuler un achat en ligne, mais seulement 48 heures pour décider d'avorter.

    Depuis 2 ans, nous observons une poussée idéologique forte pour une libéralisation totale de l'avortement, avec deux sujets au centre des discussions parlementaires : faut-il une limite de temps à l’avortement ? L’avortement peut-il être considéré comme un “soin de santé” comme un autre ?

    Nous osons la question : à l’heure ou nous n’avons pas de gouvernement, modifier la loi sur l’avortement, est-ce le chantier prioritaire pour les femmes belges aujourd’hui? Nous en doutons fortement. Un autre sujet nous semble bien plus prioritaire: la Belgique est en effet parmi les 4 plus mauvais pays européens en matière de congé de maternité; et cela concerne 120.000 femmes par an en Belgique.

    Dans le cas d’une grossesse, le congé de maternité en Belgique est de 15 semaines , payé à 64% du salaire belge moyen selon l’OCDE , ce qui correspond à 9,6 semaines payées à 100% du salaire belge moyen. Avec un tel système, les femmes belges sont beaucoup plus mal loties que leurs voisines européennes : les Pays-Bas proposent 17 semaines à 100% du salaire moyen, la France et Allemagne, 14,5 et 14 semaines, et nous sommes très loin de la Bulgarie qui octroie 52 semaines. Pourquoi nos politiques ne se penchent-ils pas sur le cas de toutes ces mères qui sont souvent contraintes de travailler jusqu’à la toute fin de leur grossesse, pour ensuite revenir au travail quand elles ne se sont pas encore remises de leur accouchement, contraintes d’arrêter l’allaitement prématurément lorsqu’elles ont choisi cette option et de confier un bébé encore fragile ? Est-ce une fatalité de notre système législatif de laisser une grande partie des jeunes mamans dans une situation de quasi-précarité ? La priorité pour les femmes belges est ailleurs que l’avortement.

    Pour ce qui concerne l’accès à l’avortement, la législation actuelle a permis de trouver un compromis dont notre beau pays a le secret:

    L’avortement a été autorisé sous conditions en 1990 et il a été sorti du Code Pénal en 2018. Cependant, trois balises éthiques ont été soigneusement placées puis maintenues par le législateur :

    Tout d’abord, le délai légal : il est fixé à douze semaines de gestation. Effectuer un avortement hors de ces délais fait risquer au médecin et à la femme des poursuites judiciaires. Toutefois, celles-ci sont théoriques car il n’y a jamais eu de poursuite ou condamnation pour ces faits depuis l’instauration de la loi il y a bientôt 30 ans .

    La 2e balise est le délai de réflexion : il est fixé à six jours entre la première discussion en établissement de soins et le moment de l’avortement, pour laisser le temps de la réflexion notamment suite à la présentation des différentes aides matérielles et psychologiques. Ce temps de réflexion ne peut constituer un facteur gênant pour avorter car, le cas échéant, le délai légal peut être repoussé le temps que s’écoule le délai de réflexion.

    3. La clause de conscience : le médecin et le personnel médical peuvent faire valoir leur clause de conscience s'ils ne souhaitent pas pratiquer un avortement.

    Moins d’un an après la loi d’octobre 2018, certains partis politiques veulent précisément faire sauter ces digues éthiques que le législateur avait alors souhaité conserver:

    Les propositions visent à étendre le délai légal d’avortement en passant de 12 à 18 voire 20 semaines (soit 4 mois et 4,5 mois de grossesse); et en outre supprimer toute possibilité de poursuites si l'avortement est pratiqué en dehors du délai (ce dernier point est variable en fonction des propositions de loi), rendant de facto l’avortement toléré jusqu’à la naissance. Deuxièmement, ces propositions divisent par 3 le délai de réflexion, passant de 6 jours à 48 heures. Enfin, elles menacent la clause de conscience, en reconsidérant l'avortement comme un “soin de santé”. En effet à quel titre le personnel médical pourrait-il refuser de pratiquer ou de participer à un avortement si le législateur ne reconnaît aucune différence éthique entre cet acte et une banale opération d’ablation de l’appendicite?

    Les propositions de loi actuelles, n’améliorent pas la condition de la majorité des femmes confrontées à une grossesse et participe d’un coup de communication idéologique.

    Il n'y a en effet pas de réelle demande pour l'extension du délai d’avortement : Le Centre d'Action Laïque, lobby particulièrement en croisade sur la question - financé par nos impôts car il est reconnu en tant que culte - indique lui-même que seulement 0,05% des grossesses ont été interrompues après le délai légal d’avortement, aux Pays-Bas, par des femmes belges qui ne pouvaient légalement le faire en Belgique (environ 400 à 500 demandes sur plus de 120.000 grossesses). C’est donc bien une demande d’ordre idéologique qui est poussée; plus la grossesse avance, plus les femmes ont conscience qu'elles ne portent pas un amas de cellules, mais bien un véritable enfant à naître. A 18 semaines, il fait 20 cm, ses organes génitaux sont en place, et la maman sent déjà souvent son enfant bouger dans son ventre - nous le savons, notre futur bébé vient de passer ce cap ! Avoir une vision réaliste de la grossesse et de ce qui s’y vit va de paire avec le fait de traiter chaque femme ayant recours à l’avortement avec le plus grand respect. Nous savons combien chaque situation est singulière et comporte ses difficultés.

    Notre législation doit-elle s’aligner sur les pays avec l’éthique la plus faible?

    Alors que le parti Ecolo proposait il y a un an d’allonger le délai à 16 semaines , il propose aujourd’hui de l’étendre jusqu’à 18 semaines, et encore, les jeunes écolos semblent vouloir aller plus loin . De son côté, le PTB propose d’aller jusqu’à 20 semaines, soit 4,5 mois de grossesse. Nous ne pouvons que nous étonner de cette surenchère qui ne semble trouver comme justification que l’existence de ce type de délai dans d’autres pays, quand pour d’autres sujets (fiscalité, protection sociale, environnement, droit des femmes enceintes dont nous reparlerons), ces partis ne cessent de répliquer que nous ne devons pas nous aligner sur la législation la plus laxiste. Curieux raisonnement.

    D’autre part, il semble absurde de vouloir diviser par 3 le délai de réflexion à 48 heures. En effet, la rencontre avec un médecin ou une assistante sociale permet parfois un nouvel éclairage qu’on ne peut pas balayer d’un revers de main. Il semble difficile d’imaginer de vivre dans un pays où l’on a 14 jours pour décider si l’on souhaite annuler un achat en ligne, mais seulement 48 heures pour décider d’avorter. N’est il pas important de conserver ces jours de réflexion quand 89 % des femmes estiment que l’avortement est un acte qui laisse des traces psychologiques difficiles à vivre ?

    Ainsi donc l’urgence pour le droit des femmes et les conditions des femmes enceintes est aujourd’hui ailleurs que dans le délitement des balises éthiques liées à l’avortement : qu’attendent les partis politiques pour s’en saisir et offrir aux femmes de réelles avancées notamment en leur donnant toutes les clés pour vivre leur grossesse dans des conditions meilleures ?

    https://www.inami.fgov.be/fr/themes/grossesse-naissance/maternite

    http://www.oecd.org/els/soc/PF2_1_Parental_leave_systems.pdf

    https://www.rtbf.be/info/societe/detail_l-avortement-encore-penalise-par-le-code-penal-quels-impacts?id=9894830

    https://www.laicite.be/app/uploads/2018/01/sortir-l-avortement-du-code-penal-actes-des-colloques-2018.pdf

    https://www.lachambre.be/FLWB/PDF/54/2271/54K2271001.pdf

    https://www.levif.be/actualite/belgique/l-ecologie-politique-est-feministe-et-fondamentalement-anti-reactionnaire/article-opinion-1211331.html

    https://www.ifop.com/publication/les-francais-et-livg/

  • Les évêques de Belgique et le nouvel élargissement des conditions de l'avortement

    IMPRIMER

    Résultat de recherche d'images pour "conférence épiscopale de belgique"

    Nouvel élargissement des conditions de l'avortement

    Déclaration des évêques belges

    Un an à peine après avoir sorti l'avortement du Code pénal dans notre pays, on envisage une nouvelle révision de la loi sur l'avortement. On veut élargir la possibilité de pratiquer un avortement jusqu’à la dix-huitième semaine de grossesse et réduire le délai de réflexion obligatoire de 6 jours à 48 heures.
    Au-delà d’une modification dans la pratique, il s’agit d'un changement dans la signification de l'interruption de grossesse : l'avortement devient une intervention médicale ordinaire.

    La loi peut, bien sûr, envisager l'avortement comme un simple acte médical. Mais il ne sera pas vécu ainsi. On peut en sortir bouleversé et désespéré. En suggérant qu'il s'agit d'une intervention ordinaire, la loi ne tient nullement compte du ressenti et du vécu de ces personnes. Pourquoi encore solliciter conseil ou aide ? Dès le départ, on risque de prendre les questions à la légère. Désarroi et solitude n’en seront que plus exacerbés. Considérer l'avortement comme un simple acte médical en fait aussi un droit. Qui pose des questions ou refuse l'avortement devra en répondre. C’est applicable tant au médecin qu'à la femme concernée. Invoquer la notion de liberté de conscience sera aussi de plus en plus difficile même si on la maintient.

    L'état de droit garantit la protection de la dignité humaine et de l'intégrité physique de chacun. N'en est-il pas de même pour une vie humaine à naître ? Pourquoi faire comme si ce n'était pas encore la vie ? Où est la limite ? Pourquoi justement là ? Pourquoi ces questions sont-elles si rarement, voire jamais abordées dans le débat ?

    Des avertissements ont retenti dans la presse, dans les milieux médicaux et universitaires. Ils ne proviennent pas d’une perspective idéologique particulière. Ce problème concerne toute la société et chacun de nous. Comme si les arguments n'avaient plus d'importance.

    Il est incompréhensible qu'une question d’une telle importance et si délicate soit traitée aussi vite et sans débat de fond préalable.

    Le Cardinal Joseph De Kesel et les évêques de Belgique

  • L'académie de chant grégorien à Liège : une offre de cours qui s'élargit encore pour un nouveau cycle (de novembre 2019 à mai 2020)

    IMPRIMER

    église du saint sacrement 46075970484_29e8bdd4bd_b.jpg

    L’académie de chant grégorien ouvre aujourd’hui,  samedi 9 novembre 2019,  son cycle 2019-2020 en l’église du Saint-Sacrement à Liège (Bd d’Avroy, 132) avec 36 inscriptions enregistrées à ce jour. 

    Il est encore temps de relayer l’information auprès des personnes de votre connaissance susceptibles d’être intéressées par l’une ou l’autre des formations qu’il propose de la mi-novembre de cette année jusqu’à la fin du mois de mai 2020.

    Contactez le secrétariat : tel. 04.344.10.89 ou academiedechantgregorienliege@proximus.be. Voir aussi le site www.gregorien.be:

     

    sigle_bleu.jpgA Liège, de mi-novembre 2019 à fin mai 2020: une offre dédiée au chant grégorien et qui s’élargit à la formation de la voixà la lecture musicale, à l’initiation à l’orgue et au violon, avec quatre professeurs universitaires ou diplômés des conservatoires tant belges qu’étrangers:

    Les formations, ouvertes à un large public, se donnent toutes dans les locaux de l’église du Saint-Sacrement (Bd d’Avroy, 132, 4000 Liège). Elles sont diversifiées et cumulables : chaque élève compose le « menu » de son choix en remplissant le formulaire d’inscription (voir ci-dessous) à faire parvenir sans retard :

    → soit par voie postale (sous pli affranchi)  à Jean-Paul Schyns, secrétaire de l’académie de chant grégorien, Quai Churchill, 42, 7e étage, 4020 Liège

    → soit par e-mail à l’adresse électronique : academiedechantgregorienliege@proximus.be .  

    On peut également s’inscrire en ligne sur le site de l’académie : http://www.gregorien.be/.

    Pour tout renseignement :

    → Tél. 04.344.10.89 (si on ne répond pas, GSM 0498 33 46 94)

    → Email à academiedechantgregorienliege@proximus.be .

    télécharger le programme en PDF

    (plus lisible que les annonces reprises ci-dessous)

    version web.jpg

    version web2.jpg

    version web3.jpg

    anniversaire.jpg

     

    FORMULAIRE D'INSCRIPTION:

    bulletin2.jpg

    JPSC

     

  • Liège : le Chœur Universitaire chante la Messe de Minuit et le Te Deum de Marc-Antoine Charpentier à la Cathédrale Saint-Paul (samedi 7 décembre 2019 à 17 heures)

    IMPRIMER

    Le Choeur Universitaire de Liège fête Noël dans la belle cité de Liège avec deux œuvres majeures de Marc Antoine Charpentier : La Messe de Minuit et le Te Deum, interprétés dans la magnifique Cathédrale Saint-Paul, le samedi 7 décembre à 17h.

    concert Charpentier.jpg

    Pour ce concert exceptionnel, le Chœur ULiège s’est adjoint la participation du renommé Chœur de chambre Praeludium et de l’Ensemble Darius, un ensemble orchestral professionnel réputé dans la région pour ses nombreuses prestations de qualité.

    Le concert sera placé sous la direction de Patrick Wilwerth, directeur artistique du Chœur ULiège.

    Places numérotées à 15 et 20€ - étudiants 6€

    Réservations : 0471/17 39 76       
    chœur@ulg.ac.be
    FNAC place Saint-Lambert.

    https://events.uliege.be/choeur/

    A l’issue du concert, un bar à champagne accueillera les spectateurs dans les cloîtres de la cathédrale.

    En prélude à ce concert, Jean Marc Onkelinx, musicologue, donnera une conférence sur Marc Antoine Charpentier, le vendredi 29 novembre à 20h dans le grand amphi de Zoologie (quai Van Beneden – Aquarium de Liège)

    JPSC

  • De l'avortement et de l'avortement encore jusqu'à la nausée

    IMPRIMER

    Nous ne le répéterons jamais assez : la démocratie libérale moderne, tout particulièrement dans notre pays, trouve sa fondation ultime dans une transgression majeure que notre roi Baudouin a solennellement refusé de cautionner : celle qui autorise l'élimination du petit d'homme en gestation dans le sein maternel. C'est une barbarie que rien ne peut justifier et qui est avalisée même par des gens qui prétendant militer en faveur du respect de la nature et de l'environnement font bon marché de la vie humaine. Cette transgression fondamentale entâche tout l'exercice de la vie politique dans notre société et devrait déterminer chez tout être humain ayant un peu de sens moral un profond dégoût à l'égard d'une classe politique qui nous donne la nausée. Face à une telle dérive, nos évêques ne devraient-ils pas envisager de frapper d'interdit un pays qui bafoue aussi gravement la loi naturelle et divine ? YW

    Lu sur La Libre de ce jour (p. 11):

    L’avortement va être totalement dépénalisé 

    Le texte pourrait déjà être voté mercredi prochain en commission Justice de la Chambre. PS, SP.A, MR, Open VLD, Écolo, Groen, Défi et PTB [… ] ont trouvé un consensus, jeudi, sur une réforme de la loi sur l’avortement. Cette réforme prévoit, entre autres, la dépénalisation totale de l’IVG, y compris pour le médecin. Des détails restent toutefois à régler sur ce dernier point. Ce qui était déjà acquis avant la réunion parlementaire de jeudi, c’est l’élargissement du délai légal pour une IVG de douze à dix-huit semaines de grossesse ; la réduction du délai de réflexion de six jours à 48 heures entre la première visite chez le médecin et l’IVG ; et la dépénalisation totale de l’avortement pour les femmes, même au-delà du délai légal. … Concrètement, avec la nouvelle loi, l’avortement sera considéré comme un acte médical. Il sera donc soumis, comme n’importe quel autre acte médical, au respect du droit commun et de la déontologie des médecins, lesquels prévoient des sanctions en cas de faute. Les libéraux se sont montrés satisfaits, jeudi.

  • 14-24 novembre : festival "Venite adoremus", quand l'adoration prolonge l'Eucharistie

    IMPRIMER

    FESTIVAL VENITE ADOREMUS – L’ADORATION PROLONGE L’EUCHARISTIE (source)

    Du 14 au 24 novembre, dix jours et dix nuits dans une quarantaine de lieux du diocèse de Liège, pour adorer le Saint-Sacrement en chants, silences, méditations, chapelets, en accompagnant les jeunes et en invitant les passants à partager un moment de recueillement.

    Comme la semence tombée dans un terreau fertile, une phrase lancée voici 13 ans joue les prolongations partout en Belgique et recueille des échos en Pologne, au Grand Duché et aux Pays-Bas. « Lors du discours de clôture de Toussaint 2006, raconte Marie-Agnès Misonne, coordinatrice du Festival, animatrice pastorale à la basilique de Koekelberg et Vierge consacrée, le cardinal Danneels avait souhaité que Bruxelles devienne une ville eucharistique. Il la comparait à une maison possédant un âtre rassembleur pour adorer le Saint-Sacrement.« 

    Multiplication des lieux

    En juin 2007, un paroissien qui avait capté le message assista à une nuit d’adoration, suivie l’année après par trois lieux se relayant pour former un triduum. « Puis, précise la coordinatrice, au lieu du mois de juin, l’Adoration passa en novembre, période moins chargée dans les paroisses et – date qui a du sens – aboutit à la fête du Christ-Roi. » Après Bruxelles, le Festival est aujourd’hui un peu partout en Belgique dans des paroisses, des communautés voire des maisons de repos. Il a d’ailleurs la bénédiction de la hiérarchie ecclésiale: « Je vous remercie de tout cœur et que le Seigneur vous bénisse et vous donne toutes les grâces« , écrit le cardinal De Kesel sur le site internet du Festival.

    C’est une réponse à l’appel du Christ qui lui-même se retirait pour prier. Notre interlocutrice précise: « Chacun de nous éprouve des difficultés à consacrer du temps ‘gratuit’ pour se retirer dans la prière. Là existe une rencontre avec Lui, pacifiante, unifiante et humanisante. Le Festival est un incitant ponctuel pour retrouver l’essentiel.« 

    Faire naître du bonheur

    Dans de nombreux lieux, des fidèles invitent les passants à entrer dans l’église pour déposer une petite bougie. Bien des personnes le font et ressortent heureuses de cette expérience d’intériorité. « Dans le doyenné du Pays de Herve, relève Marie-Agnès Misonne, quand un monsieur qui n’avait plus l’habitude de prier apprit que sa paroisse avait prévu 24 heures d’adoration en continu, il releva le défi et vint prier de 3 à 4h du matin. Dans cette autre paroisse, on invitait à entrer dans l’église et à y déposer un lumignon. Un homme disait à une responsable qu’il ne s’en trouvait pas digne, avouant sortir de prison. Mais elle souligna que c’est justement pour lui que le Christ est venu. Finalement, il entra, tira au sort une parole de la Bible dans le panier posé aux pieds du Saint-Sacrement. C’était: ‘recherche la paix avec tous’ et repartit en exprimant sa reconnaissance. »

    On laissera le dernier mot à saint Jean-Paul II: « L’Église et le monde ont grand besoin du culte eucharistique. Jésus nous attend dans ce sacrement de l’amour. Ne refusons pas le temps pour aller le rencontrer dans l’adoration, la contemplation pleine de foi et ouverte à réparer les fautes graves et les délits du monde.« 

    Thierry De GYNS

    Pour trouver les lieux et les moments d’adoration de notre diocèse, consultez le site internet http://veniteadoremus.be ou l’agenda de notre site diocésain (https://www.evechedeliege.be/agenda/) => lancez une recherche sur notre site diocésain avec le mot clé ‘Venite Adoremus’ ou consultez les rubriques ‘Venez prier avec nous !’ ou ‘Célébrations’ aux dates du 14 au 24 novembre 2019.

  • Bruxelles (Woluwe-Saint-Lambert), 15 novembre : "Et je choisis de vivre"; un film à ne pas manquer

    IMPRIMER

    C'est avec enthousiasme que nous vous proposons la projection du film documentaire "Et je choisis de vivre" au collège Don Bosco (270 chaussée de stockel, 1200 Woluwe-Saint-Lambert) le vendredi 15 novembre à 19h30.

    Ce film lumineux, qui retrace la quête de sens d'une mère ayant perdu un jeune fils, parvient à mettre des mots sur le deuil et entrevoir la possibilité d'un nouvel élan de vie.

    "À tout juste 30 ans, Amande perd son enfant. Pour se reconstruire, elle entreprend alors un parcours initiatique dans la Drôme, accompagnée de son ami réalisateur, Nans Thomassey. Ensemble, et sous l’œil de la caméra, ils partent à la rencontre d’hommes et de femmes qui ont, comme Amande, vécu la perte d’un enfant."

    Il nous tient à cœur d'ouvrir un espace de parole autour du deuil périnatal, un sujet terriblement tabou, qui touche malheureusement plus de monde que l'on ne croit.

    A la suite de la projection, nous vous invitons, autour d'un verre, à échanger à propos du film.

    Préventes (jusqu'au 13 novembre):

    • 8€/adulte
    • 5€/- de 16 ans

    Sur place (en liquide uniquement):

    • 10€/adulte
    • 5€/- de 16 ans

    Pour réserver, merci d'envoyer un mail à l'adresse centredb1200@hotmail.com et d'effectuer le versement au compte BE29 0014 3768 2264 avec comme communication "EJCDV + nom + nombre de places".

    SI vous ne pouvez pas participer à l'événement mais souhaitez tout de même marquer votre solidarité au projet, nous vous proposons d'effectuer un don sur le même compte avec en communication "Don EJCVD". L'intégralité de la somme perçue sera reversée au service de néonatologie de l'hôpital Erasme. Service qui nous est cher au vu de notre histoire et dont l'équipe réalise tous les jours un travail fabuleux auprès des bébés et de leurs parents.

  • Flandre : la célébration religieuse des obsèques en désuétude

    IMPRIMER
  • Obtenir l'euthanasie lorsqu'on considère sa vie "accomplie" ?

    IMPRIMER

    Lu sur De Standaard, le 30 octobre, p. 9: 

    L’euthanasie si on juge que sa vie est “accomplie” ? 

    La présidente de l’Open VLD, Gwendolyn Rutten, estime que les temps sont mûrs pour ouvrir un débat sur le droit à l’euthanasie des personnes qui jugent que leur vie est “accomplie”. … “On doit pouvoir mettre un point final pas seulement lorsque l’on souffre de manière insupportable, mais aussi lorsque notre vie est accomplie et qu’on le réclame de manière explicite, librement, indépendamment et durablement.” L’appel demeure jusqu’à présent isolé dans le monde politique. Le SP.A se dit étonné : il essaie depuis un certain temps d’ouvrir le débat sur l’extension de l’euthanasie aux cas de démence mais son initiative n’a pas été suivie jusqu’ici. La N-VA et le CD&V ne veulent pas entendre parler d’une extension de la loi tant que cette dernière n’a pas fait l’objet d’une évaluation approfondie. Quant au PS et au MR, ils estiment qu’un tel débat n’est pas à l’ordre du jour. Dans son rapport relatif aux années 2014-2015, la Commission de contrôle et d’évaluation de la loi euthanasie avait été claire sur cette question. Dans l’état actuel de la loi, le grand âge et la fatigue de vivre qui s’ensuit, sans cause de maladie, ne sont pas des motifs valables pour justifier une euthanasie.