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Belgique - Page 120

  • 14-24 novembre : festival "Venite adoremus", quand l'adoration prolonge l'Eucharistie

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    FESTIVAL VENITE ADOREMUS – L’ADORATION PROLONGE L’EUCHARISTIE (source)

    Du 14 au 24 novembre, dix jours et dix nuits dans une quarantaine de lieux du diocèse de Liège, pour adorer le Saint-Sacrement en chants, silences, méditations, chapelets, en accompagnant les jeunes et en invitant les passants à partager un moment de recueillement.

    Comme la semence tombée dans un terreau fertile, une phrase lancée voici 13 ans joue les prolongations partout en Belgique et recueille des échos en Pologne, au Grand Duché et aux Pays-Bas. « Lors du discours de clôture de Toussaint 2006, raconte Marie-Agnès Misonne, coordinatrice du Festival, animatrice pastorale à la basilique de Koekelberg et Vierge consacrée, le cardinal Danneels avait souhaité que Bruxelles devienne une ville eucharistique. Il la comparait à une maison possédant un âtre rassembleur pour adorer le Saint-Sacrement.« 

    Multiplication des lieux

    En juin 2007, un paroissien qui avait capté le message assista à une nuit d’adoration, suivie l’année après par trois lieux se relayant pour former un triduum. « Puis, précise la coordinatrice, au lieu du mois de juin, l’Adoration passa en novembre, période moins chargée dans les paroisses et – date qui a du sens – aboutit à la fête du Christ-Roi. » Après Bruxelles, le Festival est aujourd’hui un peu partout en Belgique dans des paroisses, des communautés voire des maisons de repos. Il a d’ailleurs la bénédiction de la hiérarchie ecclésiale: « Je vous remercie de tout cœur et que le Seigneur vous bénisse et vous donne toutes les grâces« , écrit le cardinal De Kesel sur le site internet du Festival.

    C’est une réponse à l’appel du Christ qui lui-même se retirait pour prier. Notre interlocutrice précise: « Chacun de nous éprouve des difficultés à consacrer du temps ‘gratuit’ pour se retirer dans la prière. Là existe une rencontre avec Lui, pacifiante, unifiante et humanisante. Le Festival est un incitant ponctuel pour retrouver l’essentiel.« 

    Faire naître du bonheur

    Dans de nombreux lieux, des fidèles invitent les passants à entrer dans l’église pour déposer une petite bougie. Bien des personnes le font et ressortent heureuses de cette expérience d’intériorité. « Dans le doyenné du Pays de Herve, relève Marie-Agnès Misonne, quand un monsieur qui n’avait plus l’habitude de prier apprit que sa paroisse avait prévu 24 heures d’adoration en continu, il releva le défi et vint prier de 3 à 4h du matin. Dans cette autre paroisse, on invitait à entrer dans l’église et à y déposer un lumignon. Un homme disait à une responsable qu’il ne s’en trouvait pas digne, avouant sortir de prison. Mais elle souligna que c’est justement pour lui que le Christ est venu. Finalement, il entra, tira au sort une parole de la Bible dans le panier posé aux pieds du Saint-Sacrement. C’était: ‘recherche la paix avec tous’ et repartit en exprimant sa reconnaissance. »

    On laissera le dernier mot à saint Jean-Paul II: « L’Église et le monde ont grand besoin du culte eucharistique. Jésus nous attend dans ce sacrement de l’amour. Ne refusons pas le temps pour aller le rencontrer dans l’adoration, la contemplation pleine de foi et ouverte à réparer les fautes graves et les délits du monde.« 

    Thierry De GYNS

    Pour trouver les lieux et les moments d’adoration de notre diocèse, consultez le site internet http://veniteadoremus.be ou l’agenda de notre site diocésain (https://www.evechedeliege.be/agenda/) => lancez une recherche sur notre site diocésain avec le mot clé ‘Venite Adoremus’ ou consultez les rubriques ‘Venez prier avec nous !’ ou ‘Célébrations’ aux dates du 14 au 24 novembre 2019.

  • Bruxelles (Woluwe-Saint-Lambert), 15 novembre : "Et je choisis de vivre"; un film à ne pas manquer

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    C'est avec enthousiasme que nous vous proposons la projection du film documentaire "Et je choisis de vivre" au collège Don Bosco (270 chaussée de stockel, 1200 Woluwe-Saint-Lambert) le vendredi 15 novembre à 19h30.

    Ce film lumineux, qui retrace la quête de sens d'une mère ayant perdu un jeune fils, parvient à mettre des mots sur le deuil et entrevoir la possibilité d'un nouvel élan de vie.

    "À tout juste 30 ans, Amande perd son enfant. Pour se reconstruire, elle entreprend alors un parcours initiatique dans la Drôme, accompagnée de son ami réalisateur, Nans Thomassey. Ensemble, et sous l’œil de la caméra, ils partent à la rencontre d’hommes et de femmes qui ont, comme Amande, vécu la perte d’un enfant."

    Il nous tient à cœur d'ouvrir un espace de parole autour du deuil périnatal, un sujet terriblement tabou, qui touche malheureusement plus de monde que l'on ne croit.

    A la suite de la projection, nous vous invitons, autour d'un verre, à échanger à propos du film.

    Préventes (jusqu'au 13 novembre):

    • 8€/adulte
    • 5€/- de 16 ans

    Sur place (en liquide uniquement):

    • 10€/adulte
    • 5€/- de 16 ans

    Pour réserver, merci d'envoyer un mail à l'adresse centredb1200@hotmail.com et d'effectuer le versement au compte BE29 0014 3768 2264 avec comme communication "EJCDV + nom + nombre de places".

    SI vous ne pouvez pas participer à l'événement mais souhaitez tout de même marquer votre solidarité au projet, nous vous proposons d'effectuer un don sur le même compte avec en communication "Don EJCVD". L'intégralité de la somme perçue sera reversée au service de néonatologie de l'hôpital Erasme. Service qui nous est cher au vu de notre histoire et dont l'équipe réalise tous les jours un travail fabuleux auprès des bébés et de leurs parents.

  • Flandre : la célébration religieuse des obsèques en désuétude

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  • Obtenir l'euthanasie lorsqu'on considère sa vie "accomplie" ?

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    Lu sur De Standaard, le 30 octobre, p. 9: 

    L’euthanasie si on juge que sa vie est “accomplie” ? 

    La présidente de l’Open VLD, Gwendolyn Rutten, estime que les temps sont mûrs pour ouvrir un débat sur le droit à l’euthanasie des personnes qui jugent que leur vie est “accomplie”. … “On doit pouvoir mettre un point final pas seulement lorsque l’on souffre de manière insupportable, mais aussi lorsque notre vie est accomplie et qu’on le réclame de manière explicite, librement, indépendamment et durablement.” L’appel demeure jusqu’à présent isolé dans le monde politique. Le SP.A se dit étonné : il essaie depuis un certain temps d’ouvrir le débat sur l’extension de l’euthanasie aux cas de démence mais son initiative n’a pas été suivie jusqu’ici. La N-VA et le CD&V ne veulent pas entendre parler d’une extension de la loi tant que cette dernière n’a pas fait l’objet d’une évaluation approfondie. Quant au PS et au MR, ils estiment qu’un tel débat n’est pas à l’ordre du jour. Dans son rapport relatif aux années 2014-2015, la Commission de contrôle et d’évaluation de la loi euthanasie avait été claire sur cette question. Dans l’état actuel de la loi, le grand âge et la fatigue de vivre qui s’ensuit, sans cause de maladie, ne sont pas des motifs valables pour justifier une euthanasie.

  • Et si Ecolo se montrait cohérent ?

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    Une carte blanche publiée sur le site du Vif (opinion) :

    Lettre ouverte au parti Ecolo : pour une écologie cohérente

    30/10/19

    Chers députés, chers mandataires, chère présidente et cher président de parti, dans tous les combats que vous menez, ou peu s'en faut, vous visez juste, nous vous le concédons. Vous parlez avec le coeur, mais aussi avec la voix de la raison.

    Vous cherchez à préserver le monde au sein duquel nous vivons, la vie qui nous entoure, la beauté de notre planète. En toutes choses, vous cherchez à concilier l'écologie avec une nécessaire exigence sociale, en vous préoccupant du sort des plus vulnérables.

    Nous sommes jeunes, nous croyons dans votre combat. Comme vous, nous avons marché pour le climat. De la sphère privée à l'action collective, l'écologie politique est pour nous une lutte quotidienne. Nous adhérons à vos valeurs et nous vous avons soutenu jusqu'ici.

    Mais vous vous engagez aujourd'hui sur une voie où nous ne pouvons vous suivre. Dans le contexte actuel des affaires courantes, loin des médias, en l'absence de tout débat public, vous cherchez en effet à faire passer en grande hâte un projet de loi visant à élargir le délai d'avortement à 18 semaines en vous appuyant sur une majorité de circonstance.

    Outre le fait que le contexte mentionné n'est guère propice à la transparence et au débat démocratique que nous chérissons tant, et dont Ecolo s'est toujours targué d'être l'un des plus fervents défenseurs, nous avons l'intime conviction que ce projet de loi va dans une direction qui ne devrait pas être la vôtre. A l'heure où nous devons rebâtir notre lien avec la communauté, vous participez à la fuite en avant vers une glorification de la liberté individuelle aux dépens des vies vulnérables. Vies vulnérables qui ne sont pas uniquement celles des foetus, mais aussi celles des femmes qui les portent. Cette vulnérabilité ne devrait ni être niée ni être perçue comme une honte et encore moins comme un obstacle à la vie décente. Nous n'avons pas besoin qu'on fasse encore une fois retomber notre échec commun sur les épaules de quelques-unes. Ce dont nous avons besoin, c'est d'un monde auquel les femmes n'ont pas peur d'exposer leurs enfants. C'est d'une société où nous disons à ces femmes pour qui une grossesse apparaît comme impossible à assumer : "Tu vas pouvoir continuer tes études, tu vas pouvoir travailler dans des conditions humaines, car nous sommes là." Ce dont nous avons besoin, c'est de réenchanter la solidarité, et non de se déresponsabiliser du sort d'autrui.

    C'est en tant que jeunes écologistes que nous nous adressons à vous, car nous sommes persuadés de lutter pour la même cause. Nous nous disons écologistes parce que nous luttons contre le mépris dont la nature fait l'objet. Aujourd'hui, l'être humain ne peut plus espérer nier son insertion dans une réalité plus fragile et mystérieuse que la masse de ressources qu'il a espéré avoir à sa disposition. Il nous semble y avoir une grave contradiction entre d'une part militer pour préserver le climat, les écosystèmes et la biodiversité, et d'autre part faire comme si le corps humain et sa propre fécondité pouvaient constituer un monde à part, un empire dans un empire, pour paraphraser Spinoza. Comment peut-on militer pour le respect de la vie, la protection et le bien-être des animaux, en ce compris leurs petits, et dans le même temps permettre d'avorter jusqu'à 18 semaines de grossesse ? Sauf à considérer que la vie d'un foetus de 18 semaines vaut moins qu'une vie animale, n'y a-t-il pas là une incohérence à dénoncer ? La révolution écologique que nous voulons suppose d'accepter que tout est lié, et que le mépris de l'enfant à naître, la violence à l'égard de la femme qui le porte et la destruction de notre maison commune sont les avatars d'un même égoïsme.

    Chaque femme qui fait le choix de l'avortement doit être traitée avec le plus grand respect ; chaque situation est toujours particulière et comporte son lot de difficultés et de peines. Mais nous devons impérativement garder à l'esprit qu'une personne qui avorte est le plus souvent une personne seule face à l'immensité de la tâche qu'est celle d'accueillir un enfant dans ce monde en ébullition. L'extension du délai d'avortement à 18 semaines, c'est par bien des aspects le choix de l'indifférence.

    Nous brisons tous les jours un peu plus la vie qui nous nourrit. N'allons pas jusqu'à nous dissocier de celle que nous engendrons.

    Jean-Baptiste Ghins

    Marie Hargot

    Grégoire Cuchet

    Alix Le Jemtelle

    Fiona Degrave

    Margaux Villebrun

    Marie-Sophie van Kerckhoven

    Priscilla de Hemptinne

  • Bruxelles, 2 novembre : « Le Père Miséricordieux » à Notre-Dame de Stockel : venez nombreux !

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    « Le Père Miséricordieux » à Notre-Dame de Stockel : venez nombreux !

    Des jeunes qui chantent leur Foi dans le Père de Miséricorde, cela ne court pas les rues.  Pourtant vous en rencontrerez des dizaines à Notre-Dame de Stockel, ce samedi 2 novembre à 19h.

    Ils y présenteront une comédie musicale bilingue [avec prompteur] où ils revisiteront de manière interpellante la lumineuse Parabole du Père Miséricordieux (Lc 15, 11-32).  Ce spectacle vous fera pressentir que la Miséricorde du Père dont Jésus nous parle dans cette parabole est toujours d’actualité pour tous, jeunes et moins jeunes.  C’est aussi cette Miséricorde à laquelle sont confrontés les défunts dont l’Église nous propose de nous souvenir chaque 2 novembre.

    Entre 6 et 17 ans, les jeunes de KISI (God’s Singing Kids ; www.kisi.be) vous offriront une comédie musicale de très grande qualité.  Cette joyeuse et talentueuse troupe sera accueillie par les pastorales néerlandophone et francophone de Stockel.  Le Père Benno Haeseldonckx et l’abbé Édouard Marot ont imaginé autour de ce spectacle les « 30 heures de la Miséricorde ».  Depuis le vendredi 1er novembre à midi, à l’issue de la messe solennelle et bilingue de la Toussaint jusqu’au samedi 2 novembre à 16h, le Saint-Sacrement sera exposé.  Venez Le rejoindre et prenez, pourquoi pas ?, une heure d’adoration en vous inscrivant via le Doodle suivant : https://doodle.com/poll/xztg4fkzn39pktwi.

    L’unique représentation de ce magnifique spectacle pour lequel l’entrée est libre, sera jouée dans l’église supérieure de Notre-Dame de Stockel.  Elle se terminera à 21h et sera suivie d’un verre de l’amitié.

    Pendant ce temps comme chaque samedi, dès 18h et jusqu’au lendemain avant la messe de 11h30, des fidèles se seront relayés devant le Saint-Sacrement, à l’initiative de l’infatigable abbé Édouard Marot, afin de prier pour les jeunes, particulièrement en danger chaque week-end en cette nuit du samedi au dimanche... (voir www.ndstockel.be) !

    Venez faire une cure de Miséricorde ce samedi 2 novembre à Stockel et invitez vos amis à faire de même !

    Où : église Notre-Dame de Stockel, rue de l’église à 1150 Bruxelles

    Quand : le 2 novembre 2019 à 19h.

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  • "Pro Europa Christiana" mobilise contre la représentation de "Jeanne d'Arc au bûcher" à la Monnaie

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    "Jeanne d'Arc au bûcher" est au programme de La Monnaie qui nous a habitués à des spectacles provocateurs qui font les délices des spectateurs bobos, tout particulièrement lorsqu'ils sont l'oeuvre de metteurs en scène réputés pour leur goût du scandale comme Romeo Castellucci. "Pro Europa Christiana" a lancé une pétition pour que ce spectacle soit déprogrammé; l'entreprise est sans doute louable mais a fort peu de chances  d'aboutir.

    Jeanne d’Arc dans une pièce obscène et transgenre : STOP !

    Le personnage-symbole de sainte Jeanne d’Arc est à nouveau la cible d’une représentation pornographique, cette fois à Bruxelles ! Une actrice intégralement dénudée prétend la représenter et pousse l’obscénité jusqu’à changer de sexe au cours de la représentation !

    Ça suffit ! Souiller publiquement la figure de sainte Jeanne d’Arc est inacceptable !

    A travers la Pucelle, c’est l’union de la France avec Dieu qui est prise pour cible.

    Réagissez en signant le message ci-dessous adressé au directeur du Théâtre de la Monnaie et au ministre belge des Institutions culturelles fédérales :

    10 352 Signatures

    Depuis le 30/08/19

    Mon message indigné à M. Peter de Caluwe, directeur du Théâtre royal de la Monnaie, et à M. Didier Reynders, ministre belge des Institutions culturelles fédérales

    Insulter sainte Jeanne d’Arc, c’est insulter Dieu et la France !

    Monsieur le Directeur, Monsieur le Ministre,

    Une version dénaturée de l’oratorio dramatique « Jeanne au bûcher » de Claudel et Honegger est programmée au Théâtre royal de la Monnaie du 5 au 11 novembre prochains.

    Au début de la pièce, un homme incarne la sainte, avant de se transformer en une femme hystérique entièrement nue. Pour le metteur en scène, Romeo Castellucci, il s’agit de « s’insurger contre les symboles, contre l’hagiographie, contre la commémoration nostalgique de l’histoire et contre la célébration de l’héroïne céleste ».

    Monsieur le Directeur, Monsieur le Ministre, souiller publiquement la figure de sainte Jeanne d’Arc est inacceptable ! Je vous demande l’annulation immédiate de ce spectacle obscène et offensant pour les chrétiens. 

    Veuillez croire, Monsieur le Directeur, Monsieur le Ministre, à l’expression de ma vigilante considération

    (Pour signer, remplissez le formulaire ICI)

    La Féderation Pro Europa Christiana s'est associée à plusieurs associations pour promouvoir cette pétition.

  • Retour sur l'euthanasie de la championne paralympique Marieke Vervoort

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    A PROPOS DE L’EUTHANASIE DE LA CHAMPIONNE PARALYMPIQUE MARIEKE VERVOORT

    28 octobre 2019

    Mercredi 23 octobre, les médias annonçaient la mort par euthanasie de l'athlète paralympique belge Marieke Vervoort (cf. L’athlète paralympique belge Marieke Vervoort a été euthanasiée). Analyse et décryptage avec Carine Brochier de l’Institut Européen de Bioéthique.

    Gènéthique : Dans quelles circonstances cette athlète a-t-elle demandé l’euthanasie ?

    Carine Brochier : Tout d’abord, je dois dire qu’elle était porteuse d’une maladie dégénérative qui lui causait de très grandes souffrances. Elle souffrait vraiment. Elle était dans les 4% de souffrances réfractaires qu’on ne sait pas soulager. Marieke Vervoort a tenu très longtemps grâce à un parcours adapté de prise en charge, soutenue aussi par ses challenges et les compétitions sportives. Mais elle était aussi depuis très longtemps, proche des milieux qui soutiennent et qui font la promotion de l’euthanasie, des médecins militants et euthanasieurs. C’est à se demander parfois si Marieke n’a pas été instrumentalisée par leur cause. De son côté, elle avait tout préparé en vue de son euthanasie et se disait soulagée de pouvoir y recourir quand elle ne pourrait plus aller plus loin. Après les jeux olympiques de Rio où elle a été médaillée d’argent du 400 mètres fauteuil dames, elle a utilisé ce moment de célébrité pour annoncer qu’elle se ferait euthanasier quand la souffrance « ne serait plus supportable », ajoutant qu’elle « aimerait que dans tous les pays, l’euthanasie ne soit plus considérée comme un meurtre, mais que cela signifie un sentiment de repos et de tranquillité » (cf. Une championne paralympique belge demande à être euthanasiée). Depuis lors, un suspens était entretenu autour d’elle.

    G : Est-ce qu’on peut dire que ce faisceau de circonstances a pu l’enfermer dans sa décision ?

    CB : Il est légitime de se poser la question. Mais avant, il faut reconnaitre qu’il est des maladies neurologiques où la souffrance est terrible et inapaisable. La souffrance est la première à susciter un enfermement sur soi. L’athlète, je crois a été très courageuse de durer aussi longtemps. Et c’est précisément cela qu’il convient de saluer. Cependant, quand une personne a déclaré son intention de recourir à l’euthanasie, surtout quand c’est une personne médiatisée, il est difficile pour elle de revenir sur ce qu’elle a dit.

    On touche là quelque chose de très important. Je connais une personne qui souffre jour et nuit et dont les souffrances ne peuvent être apaisées. Elle est accompagnée par plusieurs personnes qui veillent à l’entourer de mille attentions. Par trois fois, elle a été tentée d’en finir, elle a failli demander l’euthanasie, mais chaque fois, elle a dépassé la crise, tout en restant dans un déluge de souffrance. Pourquoi ? Et c’est ici un point extrêmement important : celui de l’entourage immédiat du malade. Le milieu qui le porte, l’environnement, tout cela influe sur le mental de la personne malade, surtout si la douleur est présente. Selon que l’entourage et les amis ne voient aucune malice au fait qu’un médecin provoque la mort de la personne en souffrance, ou selon, au contraire, que l’entourage répugne à cette pratique et décide de s’investir pour l’accompagner à travers la souffrance, l’impact est différent. Les conséquences le sont aussi. Pour cette raison, la façon dont une société soutient ou non les malades est cruciale. Quand elle soutient l’euthanasie, le message qu’elle donne se résume en un « tu souffres, tu décides ! ». La question essentielle est celle de savoir quel est le milieu porteur qui accompagne la personne ? Si ce milieu fait d’elle une figure de proue de son combat, il va lui être difficile de ne pas s’exécuter…et même de faire marche arrière.

    G : Comment expliquez-vous l’importance du milieu, de l’entourage de la personne malade en souffrance ?

    CB : Dans son livre « les souffrances du jeune Werther », Goethe raconte l’histoire d’un jeune homme en quête d’absolu que les souffrances de la vie vont pousser au suicide. Quand le livre a été publié, beaucoup de jeunes gens l’ont imité, se sont identifiés au héros… jusqu’au suicide. Ce roman a été interdit un temps pour cette raison et a fait l’objet de l’analyse de psychologues. Ce qu’on peut en déduire, c’est que la figure du héros a un effet sur ceux qui le regarde et s’y identifient. A contrario, dans « la flûte enchantée » de Mozart, le personnage de Papageno est arrêté alors qu’il s’apprête à se suicider par trois jeunes garçons qui lui indiquent une autre voie ; il renonce à son projet. Encore une fois, ce qui importe c’est de savoir quelle société porte les plus fragiles. Si on en arrive, comme c’est le cas aujourd’hui en Belgique, à banaliser l’euthanasie, si on présente, dans les médias notamment, l’exemple de Marieke Vervoort comme une panacée, on ne sera pas prêts à porter les malades dans une autre direction que ce soit par la pensée, le cœur ou bien plus prosaïquement en moyens financiers.

    G : Comment aider les personnes qui vivre une souffrance inapaisable ?

    CB : Il est difficile de ne pas démissionner face à la souffrance. Ce qui fait la différence c’est la petite vitamine de vie qu’on arrive à insuffler à la personne fragile. Ce que je veux dire, c’est qu’on ne laisse pas un révolver sur la table de nuit d’un suicidaire. La société doit proposer une autre perspective que la mort, elle doit proposer un sens. Dans le cas de Marieke Vervoort, sa vie aurait pu être une leçon de courage malgré la souffrance pour tous, parce que la personne peut faire signe, ou même être un signe. Elle a orienté sa force intérieure vers une quête de reconnaissance : celle des jeux olympiques, et on peut se demander si ultimement, l’euthanasie n’a pas été, alors qu’elle ne maitrisait plus rien, sa dernière médaille. Il faut se demander vers où notre force intérieure est dirigée ? La diriger demande un effort, un entrainement, une résistance à la souffrance, de l’humilité. Encore une fois, le milieu porteur garantit que la personne traversera l’épreuve de la souffrance, qu’elle sera prête à affronter les enfers.

    G : Est-ce qu’elle était en fin de vie ? Est-ce que sa situation entrait dans le cadre de la loi?

    CB : Non, elle n’était pas en fin de vie et on ne pouvait pas lui appliquer de sédation, mais oui, elle entrait complètement dans le cadre de la loi. Sa maladie la conduisait à une souffrance insupportable et inapaisable et comme telle, elle pouvait recourir à l’euthanasie. En Belgique, la fin de vie n’est pas une condition nécessaire. Dans ce cas simplement, ce qui change ce sont les conditions plus nombreuses en termes de qualification des médecins ou de délais qui sont nécessaires pour l’obtenir. Légalement, tout était en règle.

  • Parce que l’avortement restera toujours un drame

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    Une contribution externe sur le site de la Libre :

    L’avortement restera toujours un drame

    24 octobre 2019

    Proposer d’élargir le délai d’avortement, c’est ouvrir un faux débat. Pourquoi le monde politique ne cherche-t-il pas d’abord à soulager la détresse de nombreuses femmes qui ne souhaitent pas avorter, mais qui sont contraintes de le faire ?

    Une opinion d'Isaure De Clerck, Marie Dekkers, Clothilde Desaint, Wivine Muret, Dominique Richter, Sonia Samaan, Agathe Thiercelin, Marie Van Houtte, Brigitte Van Wymeersch, et Isaure Villiers, citoyennes.

    Ce mercredi débutaient à la Chambre des débats pour étendre le droit à l’avortement. L’un des textes qui seront examinés propose d’augmenter le délai légal d’une interruption volontaire de grossesse en le faisant passer de 12 à 18 semaines. Cette proposition nous interroge. En effet, existera-t-il jamais un cadre législatif qui sera jugé suffisant par les uns et les autres pour traiter de la question délicate de l’avortement ? À nous, femmes jeunes et moins jeunes, il nous semble que cette course effrénée pour supprimer une à une toutes les balises passe à côté du véritable enjeu.

    Lorsque l’on parle d’avortement, on ne parle pas de chiffres ou d’individus abstraits. Il est question de vies humaines, de leur infinie complexité ; il est question de notre condition charnelle d’êtres humains. Il s’agit de femmes qui ressentent dans leur chair une nouvelle vie qui se crée. La rhétorique désincarnée prononcée par les uns et les autres élude complètement cette réalité concrète, vécue dans notre corporéité intime. En se contentant de revendiquer des droits formels et symboliques, on éclipse de ce fait les souffrances des femmes qui avortent. Gravées dans le marbre des lois et non vécues comme telles dans nos corps, ces libertés théoriques appartiennent au registre de l’idéologie, déconnectées qu’elles sont de notre vécu.

    Aucune loi n’éludera le drame

    Voir en l’avortement un choix, supposer dans l’IVG une liberté, c’est faire abstraction de cette réalité charnelle que l’on ne veut pas voir ; c’est gommer les souffrances de toutes celles - et elles sont nombreuses, trop nombreuses - qui ont vécu l’avortement comme un drame, personnel et intime, comme un échec dont elles ne se sont jamais remises parce qu’il les a affectées dans leur chair et dans leur être-au-monde.

    Une autre femme l’a dit en d’autres temps, et nous le redisons encore : "L’avortement est toujours un drame, et restera toujours un drame"(1), quel que soit le nombre de lois qui passeront, légalisation ou dépénalisation, délai de réflexion d’une semaine ou de 48 h, à 12 semaines ou à 18. Et c’est un drame parce qu’il est question de notre corps et de ce qui s’y joue, de la fécondité qu’il abrite, de la vie qu’il porte et à laquelle l’avortement mettra toujours un terme.

    Que l’être humain soit capable de surmonter les drames, c’est une évidence. Mais il portera en lui, pour le restant de ses jours, chaque drame qu’il a vécu, chaque tragédie qu’il a traversée, comme une cicatrice que les lois et les beaux discours sur la liberté des femmes n’effaceront jamais. Ces blessures dans notre être intime peuvent être prévenues et, quand elles sont là, soignées ; cela demande d’abord et avant tout un regard vrai posé sur elles, et une aide à la reconstruction de soi. Considérer l’avortement comme un "acte de santé publiquecomme le fait Sylvie Lausberg, c’est nier la blessure qu’il représente, nier la souffrance des femmes qui le vivent, nier la vulnérabilité de la personne humaine.

    Où est-elle, la liberté ?

    En tant que femmes, nous hébergeons la vie en nous et nous la donnons au monde, et c’est une des choses les plus belles qu’il peut nous être donné de vivre. C’est précisément la raison pour laquelle nous ne pouvons tolérer que la question de l’avortement soit réduite à une revendication de nouveaux "droits". Il ne suffit pas de marteler le mot "liberté" pour le rendre réel. La liberté ne se réduit pas à un choix, elle est toujours plus qu’un consentement : devoir choisir entre Charybde et Scylla n’est jamais un choix libre, mais bien plutôt la fin de toute liberté.

    Où est-elle, la liberté, lorsque nous ressentons en notre sein la douleur insoutenable, physique et morale, d’avoir perdu la vie qui en nous naissait ? De quel droit parlons-nous lorsqu’une femme avorte parce qu’elle n’a plus d’autre choix, parce qu’elle n’a plus les moyens ni la force d’élever seule un enfant dont le père, l’entourage ou la société ne veulent pas ? Une femme à bout de force qui ne se sent pas le courage d’assumer l’éducation d’un enfant n’est pas libre. Elle ne dispose pas d’un droit d’avorter, quoi qu’on en dise : elle n’a que sa détresse, et la vie qu’elle abrite en elle qui ne verra jamais le jour parce que ce monde n’est pas celui dont elle rêvait pour son enfant.

    Que l’on travaille sur des alternatives

    On ne peut légiférer sur un tel sujet qu’avec la plus extrême prudence.

    Que nos représentants s’interrogent d’abord sur la situation de ces femmes en détresse - car oui, elles sont en détresse même si l’on cherche à bannir ce mot du langage. Que nos politiques s’interrogent sur les raisons pour lesquelles elles ne peuvent garder cet enfant, sur la misère qui est la leur : misère sociale, misère économique, misère morale. Nous attendons de nos représentants qu’ils se préoccupent de cette misère avant toute chose, qu’ils prennent en compte la vulnérabilité des femmes et des hommes de ce pays. Quand nos politiques examineront-ils de véritables aides et alternatives pour les femmes qui ne souhaitent pas avorter mais qui y sont contraintes pour des raisons économiques, sociales ou culturelles ? Qu’ils s’interrogent, enfin, quant à leurs renoncements vis-à-vis des fragilisés de notre société.

    Proposer d’élargir le délai d’avortement de 12 à 18 semaines, c’est ouvrir un faux débat. Nous souhaitons plutôt des partis qu’ils mènent en leur sein une vraie réflexion, et qu’ils cherchent à éviter d’autres drames aux femmes qui les vivent. Les moyens de contraception n’ont jamais été aussi nombreux et accessibles : alors pourquoi le nombre d’avortements n’a-t-il jamais baissé ? Voilà une vraie question.

    On ne parle pas ici de quelques euros de plus ou de moins dans le portefeuille de la ménagère : on parle du corps humain et de la fécondité qu’il abrite. On parle d’une vie qui s’interrompt dans le sein des femmes : cela ne pourra jamais être simplement assimilé à "un acte de santé publique".

    En tant que personnes humaines, enracinées dans un vécu fait de don et de fécondité, nous considérons que notre vraie liberté, la seule, c’est de pouvoir vivre dans cette condition charnelle notre intime et irréductible dignité d’êtres humains. Notre conviction intime, c’est qu’augmenter le délai légal d’avortement ne fera en rien grandir cette liberté.

    (1) Discours de Simone Veil à l’Assemblée nationale, 26 novembre 1974.

  • Flandre : du compromis à la belge pour le cours de religion

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    De cathobel.be :

    Cours de religion en Flandre: un compromis à la Belge

     (N-VA) est le nouveau ministre flamand de l’.

    « Nous sommes prêts à élaborer ensemble le contenu du cours de dialogue inter-religieux dont le nouvel accord de gouvernement flamand prévoit la possibilité de l’oganiser dans le troisième degré des écoles publiques de la communauté flamande en remplacement d’une des deux heures de religion ou de morale non-confessionnelle », disent les sept responsables des dites « instances reconnues ».

    Une des polémiques surgies dans la dernière ligne droite des longues négociations pour la formation du nouveau gouvernement flamand, était celle des . Il y aurait eu sur la table diverses propositions. Soit les réduire, dans toutes les écoles, de deux à une heure par semaine. Soit les réduire uniquement dans le réseau publique et laisser le choix au réseau libre – c’est-à-dire aux écoles catholiques – pour cette seconde heure: maintenir le  ou le remplacer par une heure supplémentaire de néerlandais (l’option privilégié par la N-VA de Bart De Wever) ou par une heure de formation civile (peut-être le fameux cours de « Levensbeschouwing Ethiek & Filosofie » défendu par l’Open VLD de Gwendelyn Rutten.

    Troisième grade

    Une fois l’accord de 303 pages du Gouvernement flamand de Jan Jambon étant disponible, il s’est avéré qu’un compromis à la Belge avait été conclu: tout le monde peut se vanter de gagner à court terme et les vrais perdants ne seront connus qu’à long terme. L’accord prévoit la possibilité de remplacer une heure de religion par une heure de dialogue inter-religieux, cela uniquement dans le troisième degré des écoles de la communauté flamande. Il est évident que la plupart de ces écoles vont se servir de ce nouveau dispositif; il leur permet de réunir les élèves qui suivent des cours confessionnels (catholiques, orthodoxes, protestants, anglicans, juifs ou musulmans) ou de morale non-confessionnelle pour un seul cours inter-religieux et de ne plus avoir recours à plusieurs professeurs dans plusieurs locaux différents pendant cette heure.

    C’est par rapport à cette nouvelle possibilité que les responsables des sept « instances reconnues » qui organisent les cours de religion ou de morale non-confessionnelle dans les écoles du réseau de la communauté flamande – le GO! –, se disent prêts maintenant à se mettre à l’œuvre partant des bonnes pratiques des compétences inter-religieuses qui existent déjà dans ces écoles. Ces sept responsables sont : Monsieur Sylvain Peeters pour les cours de morale non-confessionnelle, Mgr. Johan Bonny pour les cours de religion catholique, le métropolite Athenagoras Peckstadt pour les cours de religion orthodoxe, le channoine Jack McDonald pour les cours de religion anglicane, le pasteur Eric Corthauts pour les cours de religion protestante et évangélique, Monsieur Wolf Ollech pour les cours de religion juive et Monsieur Mehmet Üstün pour les cours de religion musulmane.

    Groupes restreints

    Dans les autres degrés et les autres écoles, rien ne change… cette fois-ci. Mais la demande de réduire davantage les cours de religion sera évidemment de nouveau sur la table des prochaines négociations. Entretemps, le risque pour beaucoup d’écoles publiques de peiner à trouver les professeurs nécessaires pour les cours de religion juive ou orthodoxe ou protestante, pourrait s’immiscer dans le débat. Déjà maintenant, plusieurs de ces professeurs passent beaucoup de temps en voiture pour aller d’une école à l’autre, afin de donner leurs deux heures de cours à des groupes d’élèves souvent très restreint. Sachant que les directions privilégieront les professeurs les plus impliqués dans leur école – en l’occurrence les professeurs de morale non-confessionnelles – pour animer les cours inter-religieux, les professeurs de religions minoritaires auront la vie encore plus dure.

    Benoit LANNOO

  • Peut-on accepter que le Parlement légifère sur une question aussi grave que l’avortement en l’absence d’un gouvernement? 

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    De Christophe HERINCKX sur cathobel.be :

    Permettre l’avortement jusqu’à la naissance

    Mardi dernier, le Parti Ecolo a lancé un appel aux autres partis politiques à constituer une majorité pour assouplir encore davantage les conditions d’accès à l’avortement. Etant donné la configuration politique du nouveau , il est fort probable qu’une telle majorité puisse se constituer. Or, peut-on accepter que le Parlement légifère sur une question aussi grave que l’avortement en l’absence d’un gouvernement? 

    C’est pourtant ce qui est en train de se passer dans les coulisses : en effet, même Si le gouvernement fédéral belge est en affaires courantes, et a donc un pouvoir d’action limité, le Parlement peut quant à lui exercer pleinement ses prérogatives, et peut dès lors adopter toutes les  pour lesquelles une majorité s’est dessinée. Ces propositions, une fois adoptées par la Chambre, seraient dès lors tout à fait valables.

    C’est dans ce contexte que différents partis politiques veulent « faire passer » des lois assouplissant les possibilités de recours à l’avortement ou à l’, loin des projecteurs, de l’attention médiatique, et donc en dehors de tout débat public. ce qui, dans le cadre de notre démocratie, qui se veut de plus en plus participative, pose de graves questions. En particulier lorsque des questions aussi graves que le début et la fin de la vie humaines sont concernées.

    Si Ecolo a lancé cet appel c’est que plusieurs propositions de loi ont d’ores et déjà été déposées au cours de l’été, émanant de différents partis politiques.

    Une libéralisation totale

    Quelles sont ces nouvelles propositions de loi ? Trois propositions de loi ont été déposées pour modifier la loi relative à l’avortement, et 3 autres propositions de loi pour modifier la loi relative à l’euthanasie. Pour la plupart d’entre eux, ces textes seront discutés à partir de mardi prochain, 22 octobre, au sein de la Commission de la Justice et de la Commission de la Santé.

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  • Bruxelles, 19 octobre : Sept évêques martyrisés pour leur foi dans la Roumanie communiste

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    19 OCTOBRE | FILM DOCUMENTAIRE « SEPT ÉVÊQUES MARTYRS DE LA FOI » À L’ÉGLISE ROYALE SAINTE-MARIE À SCHAERBEEK (source)

    Cette soirée sera dédiée au récit de la béatification des sept évêques martyrs, morts pendant la période communiste en Roumanie, béatifiés par le Pape François le 2 juin en Roumanie.

    Monseigneur Jean KOCKEROLS, évêque auxiliaire de l’archidiocèse de Malines-Bruxelles et  Monseigneur Claudiu Lucian POP, évêque auxiliaire de la Curie Archiépiscopale Majeure de l’Eglise Greco-Catholique Roumaine rehausseront la soirée de leur présence.

    L’événement est organisé par l’Eglise roumaine gréco-catholique, unie à Rome, de Bruxelles.

    Pour plus d’informations : Filip CHERESI, prêtre : 0472 438 509fcheresi@gmail.com

    Date / Heure

    Date(s) - 19 octobre 2019 de 18h00 à 21h30

    Lieu : Eglise royale Sainte-Marie Place de la Reine, 1030 Schaerbeek