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Et à Beauraing, le 16 février à 11H00 : https://www.sanctuairesdebeauraing.be/event/conference-de-mgr-leonard-sur-son-livre/
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De l'abbé Barthe sur Res Novae (cliquer sur le texte pour l'agrandir) :
Pour équilibrer le budget de la restauration indispensable de ce beau monument du XVIIIe siècle classé au patrimoine de la Région wallonne, l’association de fidèles « Sursum Corda a.s.b.l » (tel.04 3441089 ou portable 0470947005, email: sursumcorda@skynet.be) lance un appel aux donateurs. Vous trouverez ci-dessous toutes les précisions utiles afin d’y répondre :
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Aujourd'hui on fête Don Bosco. Sait-on qu'une de ses dernières préoccupations fut de fonder une maison salésienne à Liège? Toujours est-il que le rayonnement de ce saint turinois a été considérable dans notre pays où un grand nombre d'instituts portent son nom. Ainsi, des milliers de jeunes, souvent originaires de milieux défavorisés, ont pu acquérir de précieuses compétences professionnelles. Le grand dessinateur belge de bandes dessinées, JIJE, a popularisé la figure de Don Bosco en lui consacrant un album génial qui n'a pas pris une ride et qui a fait l'objet de multiples rééditions.
En 1891, suite à la demande pressante de Mgr Doutreloup, évêque de la Cité Ardente, les premiers salésiens et les premières sœurs salésiennes arrivaient à Liège.
Lu dans le Courrier australien, ce commentaire de Marie-France Cros sur « Le plus grand chef d’État de l’histoire du Congo » : le livre qui réhabilite Léopold II :
« C’est sous ce titre provocateur que Jean-Pierre Nzeza Kabu Zex-Kongo, docteur en géographie et enseignant, publie un ouvrage qui ne manquera pas d’attirer l’attention à l’heure où le « Musée royal de l’Afrique centrale » de Tervuren est rebaptisé « Africa Museum » en dépit de sa pauvreté en matière africaine hors Congo et offre aux visiteurs une présentation de l’Afrique centrale « déléopoldisée » avec autant de finesse que n’en mit Khrouchtchev à déstaliniser l’URSS.
L’auteur s’efforce de répondre à deux questions : qu’a laissé Léopold II en héritage aux Congolais ? Le temps n’est-il pas venu de réhabiliter ce souverain ?
Le Dr Nzeza souligne qu’on a surtout donné la parole, ces dernières années, à des « réquisitoires » contre Léopold II, « passant sous silence ses […] réalisations », sans comparer le tout aux autres « conquêtes et exploitations coloniales ».
Des réquisitoires basés sur une documentation « d’origine essentiellement britannique » et donc « tendancieuse » en raison des rivalités coloniales entre Londres et le Palais royal de Bruxelles.
Si le Dr Nzeza juge Léopold II « indéfendable sur le martyre des autochtones » , il a mené à bien de « grandes réalisations dont les Congolais profitent largement aujourd’hui ou pourraient encore davantage tirer profit avec une bonne gouvernance ».
Et de détailler la longue bataille du roi pour doter la Belgique d’une colonie. On retiendra notamment sa prise de contact avec l’explorateur britannique Stanley, qui n’arrive pas à intéresser Londres à l’Afrique centrale ; la Grande-Bretagne s’en mordra les doigts plus tard et mettra en cause l’État indépendant du Congo (EIC) afin de mettre les mains sur le Katanga et ses richesses minières, rappelle l’auteur.
Deux célébrations marqueront le prochain week-end à l’église du Saint-Sacrement à Liège (Bd d’Avroy, 132) :
→ le samedi 2 février à 17h00, la procession des cierges de la Chandeleur, suivie de la messe grégorienne, de la bénédiction de saint Blaise (et du partage des crêpes de la fête dans la salle de réception) ;
→ La messe du premier dimanche du mois en musique (chant grégorien, orgue et violons) le dimanche 3 février à 10h00 avec le concours de Patrick Wilwerth, Anne-Sylvie Primo et Frédéric Vandendunghen (Ensemble Darius)


_______________
Sursum Corda asbl, Association pour la sauvegarde de l’église du Saint-Sacrement au Boulevard d’Avroy, 132 à Liège. Siège social : Rue Vinâve d’île, 20 bte 64. Tel. 04.344.10.89. E-mail : sursumcorda@skynet.be.
Web : http://eglisedusaintsacrementliege.hautetfort.com
Faire un don pour la restauration de l’église du Saint-Sacrement ? Vous pouvez faire un don (fiscalement déductible des revenus imposables à partir de 40€) en versant le montant de votre choix sur le compte IBAN : BE10 0000 0000 0404 – BIC : BPOTBEB1 de la Fondation Roi Baudouin, avec, en communication, la mention (indispensable) : 128/2980/00091
Nous sommes 5000 à avoir déjà signé et nous ne lâchons rien !
Comité de soutien à A. Dumouch
Depuis trois ans que cette pétition fut lancée pour soutenir Arnaud Dumouch contre la décision de retirer son visa ecclésiastique d’enseignement,à ce jour 5000 supporters se sont joint à notre campagne.Nous les remercions ici très vivement pour leurs chaleureux encouragements.
Nous continuerons de faire circuler la pétition !
Du site "Pour une école libre au Québec" :
« Mobilisation des écoliers » belges pour le climat, idéalisme ou nouveau millénarisme inculqué ?
La semaine passée des milliers d’élèves belges défilaient dans les rues de Bruxelles pour « sauver la Planète », souvent aux heures de classe avec la permission de leur directeur d'école.
Interrogé dans le Soir, un de ces directeurs s’exclame : « Quand on voit cet enthousiasme et la force de leur mobilisation, ça vaut la peine d’embrayer, affirme Tanguy Pinxteren, directeur du lycée intégral Roger Lallemand [...]. Mais nous n’avons pas attendu les manifestations pour organiser des projets en lien avec l’environnement. Après le module consacré à la migration, je m’attends à ce que nos élèves suggèrent dans les prochaines semaines un atelier “réchauffement climatique.” »
Des enfants, très jeunes bien « instruits » par l’école ?
En Belgique francophone, le décret qui fixe les missions de l’école parle avant tout de « promouvoir la confiance en soi » et de « préparer tous les élèves à être des citoyens responsables » (article 6 du décret du 24 juillet 1997). Ces objectifs (comme ceux de la « socialisation » dans l’école québécoise) permettent toutes les dérives politiquement correctes. Dans ce cadre, des ONG très engagées comme Oxfam présentent des ateliers d’éducation à la citoyenneté mondiale et solidaire, éducation orientée soutenue pourtant par l’État.
Il suffit de se pencher sur les activités d’une école nominalement catholique ayant une bonne réputation (l’institut Saint-Boniface–Parnasse) à Bruxelles pour se rendre compte de l’omniprésence du correctivisme politique, migratoire et climatique qui y a cours. Nous ne pouvons nous empêcher de penser que ces activités remplacent des rites disparus de cette école puisque la chapelle a été convertie en réfectoire et salle de gymnastique, même si cette école fait toujours partie de l'enseignement libre catholique. Voici quelques-unes de ces activités :
Les élèves de 2ème année
Nombreux ateliers abordant les différents aspects de l’alimentation (santé, empreinte écologique, etc.).
Les élèves de 3ème année:
Chaque épreuve de ces olympiades permettra aux élèves d’être sensibilisés à des thématiques relatives à l’énergie, à l’eau, au climat, au développement durable.
Les noms des ateliers sont assez évocateurs :
Les élèves de 4ème année:
Les élèves seront répartis dans différents ateliers animés par :
— Oxfam
– Comité de « Elèves Francophones »
– Entraide et Fraternité
– Quinoa
— Amnesty
– Asmae
– Ti Suka
– Le Biais vert
– Ecologie du son
– Migration
Anuana de Wever est une des deux fondatrices flamandes de « Youth for Climate », l'association belge qui a lancé ces marches pour le climate. Elle en appelle dans les colonnes du Standaard (anciennement un journal catholique de droite, il n’est plus ni l’un ni l’autre) à un « budget planétaire » pour assurer une « transition [énergique] mondiale » (26 janvier 2019, page 14).
Communiqué de presse
Bruxelles, le 24 janvier 2019.
Collège Matteo Ricci: un nouveau collège jésuite à Bruxelles
Un nouveau collège francophone d’enseignement secondaire général ouvrira ses portes à Bruxelles en septembre 2019. Situé sur le site de l’ancien athénée Maïmonide (boulevard Poincaré, 67 à Anderlecht, près de la gare du Midi), il pourra accueillir à terme plus de 800 élèves.
Ce projet est porté par des personnes engagées dans la vie associative bruxelloise, par des anciens élèves des jésuites et par la Compagnie de Jésus, en dialogue avec l’archevêché de Malines-Bruxelles.
L’école, affiliée au Secrétariat Général de l’Enseignement Catholique (SeGEC), fera partie du réseau des collèges jésuites de Belgique francophone, regroupant déjà 9 Pouvoirs Organisateurs. Mûri depuis quatre ans, ce projet se veut une réponse au besoin pressant de construire de nouvelles écoles secondaires, singulièrement dans des zones à forte tension démographique.
Ce nouvel établissement visera à offrir aux jeunes des quartiers environnants ou plus lointains (grâce à une bonne accessibilité), notamment ceux du croissant multiculturel de Bruxelles, une éducation de qualité, fidèle à la tradition de la pédagogie jésuite.
Celle-ci, mise en œuvre dans l’ensemble des établissements de la Compagnie de Jésus, s’articule autour de cinq points clés : une attention à chaque élève avec un accompagnement personnalisé, la responsabilisation des élèves par l’émulation et le soutien mutuel, un regard bienveillant sur le monde, un engagement pour la justice sociale, le développement de la vie intérieure et de la spiritualité.
La spécificité du Collège Matteo Ricci sera ainsi de proposer un soutien et un accompagnement personnalisé et innovant à tous les élèves. Une large palette de techniques de soutien, l’organisation d’un premier degré différencié, une attention particulière aux intelligences multiples et aux élèves à besoins spécifiques en seront quelques illustrations.
Le collège développera l’apprentissage des langues notamment à travers l’immersion linguistique. Il articulera sa pédagogie autour d’un centre de savoirs, véritable centre nerveux de l’école, permettant les apprentissages les plus innovants pour préparer ses élèves aux ruptures sociétales causées par la révolution numérique et aux défis d’une société où apprendre ne se fait plus comme avant.
Le collège portera le nom de Matteo Ricci, jésuite italien du XVIe siècle, considéré comme un apôtre de l’inculturation. Il mettra particulièrement l’accent sur la dimension interculturelle et la mixité sociale qui seront au cœur de son projet. La Compagnie de Jésus gère avec d’autres dans le monde de nombreux établissements dont la population n’est pas principalement catholique.
Les jésuites et leurs partenaires qui animent ces collèges ont développé un savoir-faire qui porte un message d’accueil dans le dialogue avec toutes les convictions qui sont présentes dans ces écoles.
En septembre 2019, deux années seront ouvertes (1ère et 3e années). Les inscriptions en première année secondaire 2019-2020 auront lieu du 11 février au 1er mars 2019 (www.collegematteoricci.be/inscriptions).
POUR EN SAVOIR PLUS:
Sur le site jesuites.com:
Sur le site collegematteoricci.be:
Lu dans L’Avenir de ce 26 janvier, p. 26 :
Nivelles : Le Spluc mobilisé pour sauver son église
La désacralisation de l’église Notre-Dame du Saint-Sépulcre est-elle imminente? La perspective est évoquée depuis des années. Selon la fabrique d’église et l’échevine des Cultes, rien ne laisse penser que la situation évoluera à court terme. Mais les Amis du Spluc sont convaincus du contraire. Ce groupe, récemment initié par des paroissiens, est persuadé que la procédure progresse dans l’ombre. … La mobilisation s’organise donc au sein des paroissiens. Une entrevue a eu lieu avec Mgr Jean-Luc Hudsyn, évêque auxiliaire pour le BW. Visiblement sans résultat. La pétition (300 signatures) qu’ils viennent de lui envoyer offrira peut-être un meilleur écho à leurs demandes. … L’échevine des Cultes avoue sa surprise à l’égard de ce mouvement spontané. «Je suis un peu étonnée de constater que les gens s’agitent maintenant, alors que le projet est évoqué depuis plusieurs années, indique Colette Delmotte. Il implique la vente de l’église, à condition que celle-ci soit accompagnée d’un projet validé par l’archevêché. Il y a bien un dossier plus concret sur la table, mais rien de définitif.»
Nivelles : «Une vie paroissiale bien réelle»
L’un des arguments avancés pour justifier la demande de désacralisation est la baisse de fréquentation des paroissiens au sein de l’église. «On peut toujours dire qu’il y a moins de monde qu’avant, mais la messe dominicale reste tout de même suivie par 80 ou 90 personnes , explique le représentant des Amis du Spluc. Les autres offices attirent une vingtaine de personnes. À côté de cela, le Spluc abrite aussi une chorale. Cette église a bel et bien une vie paroissiale.» En cas de vente (qui impliquerait également la cure de la rue de Namur et un autre terrain appartenant à la fabrique d’église), une des options privilégiées serait de consacrer une partie de l’argent à la construction d’une chapelle, sur le site du Petit Baulers. Quant à l’église proprement dite (appelée à héberger des appartements), les murs extérieurs et leurs éléments architecturaux (comme les rosaces) seraient conservés.