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Belgique - Page 137

  • La vie : à quel prix ?? L'Université de la Vie 2019

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    Du site de l'Homme Nouveau :

    Université de la vie 2019 : la vie à quel prix ??

    Rédigé par Caroline Roux, déléguée générale adjointe & directrice de VITA International, propos recueillis par Adélaïde Pouchol le  dans Religion

    Université de la vie 2019 : la vie à quel prix??

    Depuis plus de 10 ans, l'association Alliance Vita dont l'objectif clairement affiché est de "décrypter pour informer et mobiliser pour protéger", organise des universités de la vie, autrement dit un cycle de conférences sur plusieurs soirées autour de thèmes qui touchent la bioéthique. Caroline Roux, déléguée générale adjointe et directrice de VITA International, présente l'Université de la vie 2018 pour L'Homme Nouveau. 

    Alliance Vita organise en janvier prochain une nouvelle édition de l’Université de la Vie, sur le thème « La vie, à quel prix ? ». Pourquoi ce thème et que recouvre-t-il exactement ?

    Ce thème « La vie, à quel prix ? » englobe les questions éthiques posées au niveau national, alors que la révision de la loi bioéthique est en débat en France, mais aussi à l’échelle internationale. On aurait pu croire que la vie humaine serait progressivement plus protégée avec l’abolition de l’esclavage ou la lutte internationale contre le trafic des êtres humains. Pourtant, à notre époque, la valeur attribuée à la vie est au centre des enjeux liés à la procréation. Quand cette valeur devient relative, on aboutit à l’avortement ou à considérer que certaines vies ne valent pas la peine d’être vécues car le fœtus présente un handicap. Et d’un autre côté, les techniques de procréation artificielle permettent de fabriquer la vie avec une nouvelle forme d’acharnement procréatif qui conduit à une surproduction d’embryons humains, à leur sélection, et à leur destruction en grand nombre. Nous sommes plongés dans une nouvelle forme d’eugénisme largement passée sous silence au nom d’une science toute-puissante. En « déshumanisant » le début de la vie, la non marchandisation du corps est remise en question, comme on le voit dans certains pays avec le commerce des gamètes, des mères porteuses et des enfants nés par GPA. 

    Avec les biotechnologies, on atteint aujourd’hui la racine de la vie avec le pouvoir de faire des manipulations génétiques au stade embryonnaire qui pourraient aboutir à changer la nature humaine elle-même. 

    Cette volonté de maîtriser la vie se retrouve en cas de grande dépendance et de fin de vie avec la tentation de l’acharnement thérapeutique et de l’euthanasie. Plus globalement, l’exclusion grandissante des personnes âgées doit nous alerter sur la manière dont notre société considère la vulnérabilité. À tous les stades de la vie se dessine la même difficulté à appréhender la fragilité humaine.

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  • Alors que la sécularisation se poursuit, l'identité catholique se renforce

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    De William Bourton sur le site du journal Le Soir :

    La sécularisation se poursuit, l’identité catholique augmente

    Selon le rapport annuel de l’Église, la pratique religieuse continue à chuter. Mais une majorité de la population (ré)affirme son « identité catholique », note la chercheuse Caroline Sägesser.

    Les chiffres montrent que la baisse se poursuit tant dans la pratique régulière – la pratique dominicale – que dans la pratique des sacrements.

    la fin de l’année dernière, l’Église catholique belge a, pour la première fois, publié un rapport annuel. Élaboré à la demande de la Conférence épiscopale, ce document offre une foule de données chiffrées (arrêtées à 2016) sur la pratique du rite romain dans notre pays – des renseignements devenus largement inaccessibles depuis la fin de la publication de l’Annuaire catholique de Belgique, en 2006.

    Quelles sont les grandes tendances ? Nous avons posé la question à l’historienne et spécialiste des cultes Caroline Sägesser, qui a analysé et commenté le document pour le compte du Crisp (Centre de recherche et d’information socio-politiques), où elle est chercheuse.

    Le processus de sécularisation se poursuit-il en Belgique ?

    Oui. Les chiffres montrent que la baisse se poursuit tant dans la pratique régulière – la pratique dominicale – que dans la pratique des sacrements. Au niveau des baptêmes, on voit ainsi que la proportion de nouveaux-nés baptisés en Belgique a diminué de moitié ces quarante dernières années. Sur la même période, au niveau des mariages, on est passé de trois quarts des couples qui se mariaient à l’église à un peu plus de 17 %, soit moins d’un sur cinq. Ce sont des chiffres très parlants, même si on peut noter un ralentissement du rythme de la baisse de la pratique religieuse. On tend donc peut-être vers l’atteinte d’une sorte de pallier. 

    Les églises sont vides…

    L’Église catholique a trop de pierres et pas assez de bras. Il y a toujours encore énormément d’églises, notamment parce que notre principe de financement public des cultes, inchangé depuis l’origine du pays, impose aux communes de les financer. Il n’y a donc pas de pression financière pour désacraliser les églises, pour renoncer à un certain nombre d’édifices, alors qu’il n’y a plus assez de prêtres pour les animer et plus assez de fidèles pour les remplir. À mon avis, il n’y a pas nécessairement de mauvaise volonté de la part de l’Église : la réaffectation des édifices du culte est compliquée. Une commune n’a pas besoin de plusieurs salles de concerts ou de plusieurs bibliothèques ; quant à l’aménagement de logements, il s’avère extrêmement coûteux. Et puis on voit aussi que parfois, les gens se montrent très attachés à une église au moment où on souhaite la désacraliser et la réaffecter.

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  • L'apostolat de Mgr Léonard à Notre-Dame du Laus

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    Un site réalisé par les amis de Mgr Léonard est consacré au sanctuaire et à l'apostolat de notre archevêque émérite et regretté :

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  • Liège : fêtez les Rois le samedi 5 janvier prochain à 17 heures à l’église du Saint-Sacrement (Bd d’Avroy, 132)

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    Une manifestation ouverte à tous. Entrée libre.

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    La Solennité de l’Epiphanie organisée à Liège le samedi 5 janvier 2019 à 17 heures  en l’église du Saint-Sacrement (Bd d’Avroy, 132), est une fête familiale, avec la procession à la crèche, le partage de la galette des rois et l’échange des vœux pour l’an nouveau au cours d’une réception clôturant la célébration.

    La messe sera animée par les membres du chœur de chambre « Praeludium »,l’organiste Patrick Wilwerth ainsi que les solistes du chant Isabelle Valloton et Peter Cannière.

    Au programme : les chants grégoriens de la Fête, une messe et des motets polyphoniques pour le temps de la Nativité ainsi que des noëls interprétés à l’orgue.

    Fondé en 1994 par Patrick Wilwerth, le chœur de chambre Praeludium est un ensemble vocal de haut niveau dont la plupart des membres sont issus des académies de musique de la région liégeoise. Son répertoire va de la musique ancienne à  la musique contemporaine.

    Isabelle Valloton est membre du Chœur grégorien de ParisPeter Cannière est directeur artistique du Gregoriaans Koor van Leuven et professeur au Centrum Gregoriaans de Drongen (Tronchiennes).

    Patrick Wilwerth est professeur d’orgue au conservatoire de Verviers et directeur musical du chœur universitaire de Liège.

    Cette manifestation est ouverte à tous. En prime cette année, autour de la crèche, petits et grands  découvriront une centaine de jolis santons liégeois habillés à l’ancienne pour illustrer les récits de l’enfance de Jésus.

    Extraits :

    « Rejoice » d’Henry Purcell

    Reges Tharsis, offertoire grégorien:

  • Elections chaotiques au Congo : et maintenant on fait quoi ?

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    élections congolaises 438983-partisans-opposant-etienne-tshisekedi-manifestent.jpgCe pays n’a plus connu aucune élection crédible depuis les élections nationales et provinciales organisées par l’administration coloniale belge. C'était du 11 au 22 mai 1960 : voici plus d’un demi-siècle...  

    Réaction à chaud ce 30 décembre 2018 sur RT France. La politologue Leslie Varenne n’y va pas par quatre chemins 

    Bref l’éternel retour du cycle : un potopoto propice à une palabre ajoutant à la confusion en attendant que le plus fort rafle la mise. S’est-il jamais passé autre chose depuis le 30 juin 1960 ?

    JPSC

  • Messe du Jour de Noël : Plain-chant parisien (XVIIe-XVIIIe siècle)

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    Ensemble Organum. Les pages de la Chapelle. Notre Dame de Paris. Marcel Pérès, orgue et direction. Kyrie eleïson with organ improvisation by Marcel Pérès :


    Au temps du Roi-Soleil, le plain-chant connut une efflorescence  dont les messes du Liégeois Henry Du Mont, maître de chapelle de Louis XIV, ont laissé des traces populaires, jusqu’au concile Vatican II. Voici peu, un africain qui fréquentait l’église du Saint-Sacrement à Liège pouvait encore chanter par cœur la messe royale qu’il avait apprise dans les années 1950 au collège Notre-Dame de la Victoire à Bukavu. Ce collège jésuite de plus de deux mille élèves, rebaptisé « Alfajiri » à l’époque de Mobutu, comporte, encore aujourd’hui, une section latine et a conservé sa belle devise « stella duce » en hommage à Notre-Dame dont la statue surplombe toujours l’entrée principale de l’établissement construit pendant et après la guerre 1940-1945 sur la presqu’île de Nya Lukemba  surplombant le lac Kivu.

    Culture sans frontières…

    JPSC

  • Quand les dirigeants politiques belges ont abandonné la recherche du bien commun

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    De Laura Rizzerio, professeur de philosophie à l'Université de Namur, en opinion sur  le site de la Libre :

    En Belgique, les dirigeants politiques ont abandonné la recherche du bien commun

    D’un côté, la politique est devenue plus un métier qu’un service. De l’autre, dans notre culture individualiste, le bien coïncide avec le "bien individuel" et la réussite correspond à l’accumulation de biens. Entre les deux, où est le "bien commun" ? 

    Depuis quelques jours, en Belgique, nous assistons, à la fois impuissants et hébétés, à une sorte de bras de fer entre les ex-partenaires du gouvernement. Le spectacle que la crise donne à voir aux citoyens témoigne d’un monde politique plus préoccupé de trouver les moyens pour conserver le pouvoir qu’animé par le désir de servir le bien commun. Le flou sur des matières graves (comme le climat, la migration ou les questions socio-économiques) est d’autant plus choquant que, dans la rue, les citoyens se battent pour une justice sociale que, à leurs yeux, le gouvernement ne parvient pas à assurer. Le dimanche 2 décembre, la marche pour le climat, qui a réuni à Bruxelles 75 000 personnes, a été saluée par les politiques comme une action citoyenne responsable, mais le lendemain, à la Cop24, on a constaté l’incapacité du politique à respecter les engagements pourtant pris à l’égard de la réduction des gaz à effet de serre. Depuis quelques semaines, avec acharnement et détermination, des centaines de personnes en gilet jaune alertent gouvernants et gouvernés à propos de la situation socio-économique qui devient insupportable pour les classes moyennes. Leurs actions débordent en actes de violence et de vandalisme qui sont évidemment inacceptables. Mais ces actes paraissent comme le cri puissant d’un peuple accablé qui cherche pour lui-même et pour les siens comment vivre mieux. Or, le constat, amer, est que, dans la réponse donnée à toutes ces situations, les intérêts particuliers de ceux qui occupent le pouvoir ont trop souvent raison du bien commun. Mais à quoi est dû cet abandon de la recherche du bien commun ?

    Trois constats

    Pour répondre à cette question, il faut tout d’abord mettre en avant trois constats. En premier lieu, si ceux qui nous gouvernent semblent plus préoccupés de leur réélection que du bien commun, cela dépend sans doute du fait que la politique est devenue aujourd’hui plus un métier qu’un service. Nos politiciens sont devenus des administrateurs de la société plus que des représentants du peuple, et faire de la politique équivaut pour beaucoup à un débouché professionnel, qui en outre apporte reconnaissance et prestige.

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  • Conditionner les aides sociales à la prise de contraceptifs ?

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    BELGIQUE : CONDITIONNER DES AIDES SOCIALES À LA PRISE DE CONTRACEPTIFS ?

     de genethique.org

    En Belgique, la députée Sarah Smeyers a proposé d’imposer l’utilisation de contraceptifs aux personnes bénéficiant du soutien des centres publics d’action sociale[1]« Nous devons briser les tabous. Nous devons oser dire que les gens doivent prendre un contraceptif de façon temporaire et qu'alors le CPAS les remboursera », a-t-elle déclaré. Une proposition décriée par le ministre de l’intégration sociale, Denis Ducarme, car elle « contrevient totalement au droit fondamental de chacune et de chacun de faire le choix personnel d'avoir ou non un enfant ». Scandalisé, il rappelle qu’ « il est naturellement impossible et illégal d'imposer cette mesure au bénéficiaire comme condition additionnelle pour recevoir le revenu d'intégration. (…) Avoir des enfants relève d'un choix de vie strictement personnel. Il ne revient donc pas aux CPAS de s'immiscer dans le choix personnel des bénéficiaires en ce qui concerne leur projet de vie en conditionnant le droit à l'intégration sociale à la prise de contraceptifs »


    [1] Les CPAS « sont des organismes publics qui ont pour mission « de permettre [à chacun] d'être en mesure de mener une existence conforme à la dignité humaine ». Ils sont donc chargés de dispenser une aide sociale en faveur de certaines personnes, mais aussi, d'autres mesures spécifiques d'accompagnement et de soutien, d'ordre psychologique, sociale, financière, médicale, administrative, leur sont accordées en vue de leur permettre de se réinsérer dans une vie sociale active. L'action sociale s'adresse principalement à toute personne exclue du bénéfice des droits de la sécurité sociale. »

    Sources: La Libre (14/12/2018)
  • Les règles du secret professionnel et du secret de la confession; un rappel des évêques de Belgique

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    De Pierre Granier sur le site cathobel.be :

    Les évêques rappellent les règles du secret professionnel et du secret de la confession

    Suite à la condamnation d’un prêtre par le Tribunal de Bruges à un mois de prison avec sursis pour non-assistance à personne en danger, la Conférence épiscopale de Belgique a réagi. Dans un long communiqué, elle rappelle les règles de base en matière de  et celles concernant le secret de la .

    L’affaire qui a conduit les évêques de Belgique à réagir concerne la condamnation, le 17 décembre, du père Alexander Stroobandt à une peine d’un mois de prison avec sursis et un euro symbolique de dommages et intérêts pour négligence coupable. Dans cette affaire, le tribunal correctionnel de Bruges a considéré que cet aumônier d’une maison de retraite de Bruges avait eu tort de ne pas avoir prévenu les secours lorsqu’un homme lui avait fait part de son intention de se suicider au téléphone. Pour le tribunal, le secret de la confession peut être assimilé au secret professionnel mais il n’est pas absolu car « il est du devoir de chacun de porter assistance à autrui ».

    L’avocat du P. Stroobandt a décidé de faire appel.

    Le communiqué des évêques

    Les aumôniers sont tenus au secret professionnel. Ils ne peuvent divulguer l’information personnelle qui leur est confiée dans l’exercice de leurs fonctions.  Leur secret professionnel – et celui d’autres groupes de professions – vise à protéger les personnes qui leur confient ces informations ainsi que l’ordre public.  Récemment, le secret professionnel des aumôniers a soulevé des questions qui ont trait notamment à la prévention des abus sexuels sur mineurs et à la prévention du suicide.  En réponse à ces questions, nous aimerions clarifier quelques règles de base sur le secret professionnel dans un contexte pastoral.

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  • Le combat du député-bourgmestre de Welkenraedt pour la défense des traditions chrétiennes

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    Lu aujourd'hui dans le quotidien L’Avenir, p. 5 : 

    Défendre les traditions de Noël: le combat de Nix jusqu’au Parlement

    Le bourgmestre et parlementaire MR de Welkenraedt est un ardent défenseur de Noël, mais également de nos traditions, chrétiennes et laïques. Il a défendu son point de vue au Parlement. Sans grande écoute. … Jean-Luc Nix (MR) : « Je discute beaucoup avec les gens. Il en ressort qu’on ne peut pas renier notre passé judéo-chrétien. Saint-Nicolas, les marchés de Noël, la dénomination des vacances… Cela fait partie de notre patrimoine culturel, même s’il n’y a plus de connotation religieuse. Il faut le défendre, et comme pas mal de citoyens, je me dis qu’on est en train de démonter, pièce par pièce, ce patrimoine. … ces moments de fêtes sont des traditions, au-delà de l’aspect religieux. Il faut respecter la laïcité, mais essayons de conserver nos traditions. Surtout à l’heure où nous sommes envahis par les Black Friday et autre Halloween qui ne font pas partie de notre patrimoine. »

  • Bruxelles : Et si on mettait le cap vers une pastorale de l'espérance ?

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    Pour une Eglise missionnaire
    à Bruxelles, au cœur de l’Europe
    Halte à la politique de la décroissance,  

    cap vers la pastorale de l’espérance!

    Halte à la politique de la réduction ou suppression des paroisses, des églises, des miracles reconnus, des fraternités religieuses et sacerdotales, des sacrements durant l’enfance, …

    Cap vers la pastorale

    du don et de la multiplication !

    Et si nous encouragions nos évêques à changer de cap pastoral ?

     
    Quel est le cap pastoral actuel à Bruxelles (Belgique) ?

    1. Supprimer les paroisses pour les fondre (avec tous leurs biens) dans des Unités Pastorales 
    2. Réduire le nombre d’églises ( paroissiales catholiques) et redistribuer (réaffecter, désacraliser ?) les « excédantes » 
    3. Supprimer (sauf pour les « très pratiquants ») les sacrements pendant l’enfance et les repousser au seuil de l’adolescence 
    4. Supprimer ou éloigner les fraternités monastiques et sacerdotales et plaider pour l’ordination d’hommes mariés 
    5. Effacer la mémoire du miracle eucharistique bruxellois (1370), le réduire à une « légende » et radier sa chapelle dans la cathédrale?

    Une même logique et dynamique …de désacralisations successives

    Vraiment évangélique ?

    Et si nous changions, avec nos évêques, de cap pastoral?

    www.cap-ciel-bxl.be

    Pour l’équipe cap-ciel-bxl.be
     
    Anne-Marie Boden, Gérard et Magda Cuchet, Michèle et Jean-Louis Cupers, Bernard de la Croix, Cécile de Mérode, Philippe Gosseries, Valentina Gottifredi, Véronique Hargot, Vesna Hanon, Edith et Marc Moreau

  • Quand le PVDA (PTB) mobilise pour éviter qu'une église de Gand soit transformée en supermarché

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    Peut-être l'extrême-gauche sera-t-elle plus efficace pour protéger le patrimoine religieux que ne l'est l'autorité ecclésiastique ? 

    TEKEN DE PETITIE: SINT-ANNA IS VAN ONS!

    Het Gentse stadsbestuur wil de bekende Sint-Annakerk omvormen tot een Delhaize. Wij aanvaarden niet dat Gent waardevol historisch erfgoed te grabbel gooit. Wij vragen dat het stadsbestuur haar belofte nakomt en de beschermde Sint-Annakerk een culturele of gemeenschapsfunctie geeft, in overleg met de buurt. Gent is geen supermarkt, Gent is van ons.

    Deze actie werd al door 1,472 mensen ondertekend.

    Teken jij ook?