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Belgique - Page 146

  • Faut-il dépénaliser totalement l'avortement ?

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    Du Bulletin d'Information de l'Institut Européen de Bioéthique :

    Faut-il dépénaliser totalement l'avortement ?

    Le politique parle beaucoup de l'avortement en Belgique. Non pas des aides insuffisantes pour prévenir l'avortement losque la femme est enceinte, non pas des conséquences sociétalesque constitue cet enjeu de santé publique.

    La question qui fait débat est celle de ladépénalisation totale l'IVG pour que la femme "ne se sente plus culpabilisée".

    Quels sont les chiffres ? Y a-t-il vraiment des études fiables quant aux effets psychologiquesd'une IVG sur les femmes ?

    Les documents repris ci-dessous aideront  le lecteur à mieux cerner la problématique au-delà de toute revendication idéologique et politique.

    Tableau comparatif de l’évolution des IVG en Europe : en 8 ans en Belgique, 22% d’augmentation d’IVG. La Belgique se place ainsi en deuxième place après l’Espagne.

    Flash Expert :

    Sortir l’avortement du Code Pénal ?

    Il n’y a aucun « droit à l’avortement » issu du droit international et européen

    L'avortement tardif au-delà de 12 semaines

    Fiche didactique l’avortement provoqué en Belgique

    Dossiers : Conséquences psychologiques de l’avortement

    Meta-étude Etudes scientifiques: syndrome post-avortement

    Derniers chiffres de la Commission Avortement 

  • Vendredi 4 mai : ouverture de l’édition 2018 du Festival international de Chant Grégorien de Watou

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    internationaal_gregoriaans_festival_van_watou_-43832-0.jpg

    Le vendredi 4 mai prochain, l’édition 2018 du Festival International de Chant Grégorien de Watou débutera par une pré-ouverture, avec la participation de 4 ensembles, à Houtkerque en Flandre française à 3 km à peine de Watou.

    L’église possède quelques très beaux retables et un orgue entièrement restauré. Didier Hennuyer, organiste titulaire de la cathédrale et de l'église Saint-François-de-Sales de Boulogne-sur-Mer, professeur d'orgue, viendra faire résonner ce magnifique instrument. C’est une belle façon de découvrir ainsi le petit village de Houtkerque. Après le concert, une rencontre est prévue dans la salle communale.

    Ensuite, le Festival continue à Grimbergen, Poperinghe, Coxyde, Anvers, Bruxelles, Dunkerque, Wervik et Haringe pour déboucher pleinement à Watou dès le 10 mai.

    Ces dix jours promettent d’être passionnants.

    Comme vous le savez, le Festival est un événement qui se déroule tous les trois ans. Veillez donc à être bien présent en 2018.

    Il est souhaitable de réserver ses places à l’avance.

    Le concert du soir à l’église abbatiale de Grimbergen affiche déjà complet, 450 places ayant été réservées.

    Signalons que pour le concert du 8 mai à la cathédrale de Bruxelles des places sont encore disponibles.

    Le Festival offre une programmation particulièrement variée aussi bien pour les concerts que pour le déroulement de la liturgie.

    Tant les compositions grégoriennes que les compositions qui ont été inspirées par le grégorien y seront programmées.

    La psalmodie, chant de l’office monastique, occupe une place importante dans le  programme de Watou.

    La psalmodie n’est pas la partie la plus facile du repertoire, mais bien la plus mystique.

    Les laudes seront chantées quotidiennement à partir du jeudi 10 mai jusqu’au dimanche 13 mai.

    Les vêpres seront aussi chantées à plusieurs reprises.

    Le “Psalterium Project” sera  présenté en primeur pendant le Festival. Il s’agit de l’enregistrement par l’ensemble néerlandais ‘’ Hartkeriana”  des 150 psaumes,  réunis dans une boîte de 12 CDs.

    À Watou, nous accueillerons le 10 mai, jour de l’Ascension, une délégation de 30 prêtres de Chine.

    Le samedi 12 mai, Mgr Lode Aerts, évêque de Bruges, présidera la messe à 9h30. Elle sera chantée par non moins de 12 ensembles.

    Il y aura tant de choses à vivre, mais comme dernier point, je voudrais attirer votre attention sur un événement unique, à savoir un drame liturgique du Moyen Âge, avec des dialogues chantés par 10 jeunes filles âgées de 12 à 18 ans, membres de l’ensemble vocal ‘’ Cantamare”  de La Haye. Il s’agit du jeu pascal “Visitatio sepulchri - La visite du tombeau “ , selon les manuscrits de l’abbaye féminine Sinte Marie à Rijnsburg (Pays-Bas) . On pourra assister à cette présentation soit à Wervik le jeudi 10 mai à 20h, soit à Watou le vendredi 11 mai à 16h30.

    Vous trouverez plus d’informations sur le programme complet du Festival en consultant le  site www.festivalwatou.be

    JPSC

  • Un miracle eucharistique à Bruxelles : le saviez-vous ?

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    Une publication historique de Véronique Hargot-Deltenre :

    Couverture - 8 mm-page-001.jpgIl s’agit de 16 Hosties consacrées, volées le 4 octobre 1369 dans l’ancienne église-Sainte-Catherine, et qui ont suinté du Saint Sang, alors qu’elles étaient poignardées dans une synagogue proche de la collégiale (future cathédrale) de Bruxelles, le 10 avril 1370. Ce miracle eucharistique, authentifié par l’Eglise, et les récits qui l’entourent sont racontés sur tous les vitraux de la nef de la cathédrale et de sa chapelle du Très-Saint Sacrement de Miracle (désacralisée en 1999 pour être transformée en musée), où les Hosties miraculeuses furent adorées pendant plus de 600 ans, et sources de multiples grâces et de guérisons.

    Les générations épiscopales belges post-conciliaires ont préféré reléguer dans l’ombre  (officiellement par crainte de réveiller un antisémitisme) ces pages de « l’histoire sainte » non seulement de Bruxelles, mais de la Belgique. En effet, ces Hosties miraculeuses, considérées comme un symbole national jusqu’en 1870, furent vénérées par d’immenses et magnifiques processions annuelles non seulement par toute la population bruxelloise et ses autorités civiles et ecclésiales, mais par des pèlerins venus de toute la Belgique et de l’étranger.

    L’auteur a voulu remettre à la lumière ce miracle eucharistique et ses fruits, non seulement pour le porter à la connaissance de tous ceux qui s’intéressent à l’histoire, mais pour  encourager, dans le rayonnement du miracle eucharistique bruxellois, la foi et la ferveur eucharistique ainsi que le renouveau de la vie ecclésiale et sacerdotale au cœur de l’Europe.

    Véronique Hargot-Deltenre est aussi l’auteur du livre « Ne désacralisons pas nos églises » qui relate la mobilisation et les arguments de ceux qui permirent le sauvetage de l’église Sainte-Catherine menacée de désacralisation de 2011 à 2014

    Pour vente, conférences et « parcours guidés et priés depuis l’église Sainte-Catherine vers la cathédrale », voir www.cap-ciel-bxl.be ou s’adresser à amisdesaintecatherine@gmail.com

    JPSC

  • Une Belge nommée parmi les cinq nouveaux consulteurs de la Congrégation Romaine pour la Doctrine de la Foi

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    Nous l’avons déjà signalé : Laetitia Calmeyn, vierge consacrée dans le diocèse de Paris, a notamment enseigné la théologie morale au Collège des Bernardins de 2009 à 2017. Originaire de Belgique, où elle est née en 1975, elle a notamment été infirmière en soins palliatifs, avant de suivre des études à l’Institut d’Études Théologiques de Bruxelles (IET). Elle s’est aussi spécialisée dans la théologie du corps de saint Jean-Paul II.

    Voir et entendre ici sa communication dans le cadre des conférences de carême 2015 à Notre-Dame de Paris :

    JPSC

  • Marche pour la Vie : une couverture médiatique très minimaliste

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    Une couverture médiatique minimaliste et qui insiste plus sur la présence de contre-manifestants que sur la marche elle-même... 

    Marche pour la vie à Bruxelles: une vingtaine de contre-manifestants interpellés

    BX1 Le collectif demande le retrait de l'avortement du code pénal, le renoncement au délai de réflexion obligatoire, l'abandon du projet de loi visant à octroyer une personnalité juridique aux enfants morts-nés et la gratuité de l'ensemble des moyens de contraception. “Imposer une semaine de grossesse à ...

    Plusieurs centaines de personnes marchent contre la sortie de l'avortement du code pénal
    Environ 800 personnes selon l'estimation de la police de Bruxelles-Ixelles en début d'événement et 2.000 selon les organisateurs, ont participé dimanche après-midi, à la 9e édition de la «marche pour la vie» à Bruxelles. La marche est partie du Mont des Arts à 15h pour se terminer vers 17h sur la ...
     
    -  Plusieurs centaines de personnes manifestent "pour la vie" au Mont des Arts
    Ce dimanche après-midi, plusieurs centaines de personnes étaient réunies pour une manifestation "pour la vie" au Mont des Arts à Bruxelles. Selon la police, ils seraient environ 800 à avoir pris part à l'événement, 2000 selon les organisateurs de la marche. Les manifestants militent contre l'avortement ...
     
    Et, comme nous le disait un de nos amis : "Les spécialistes de la communication savent que ce qui fait le succès d’une manifestation dans une société comme la nôtre, ce n’est ni le nombre de participants ni les bons arguments.  C’est avant tout la couverture médiatique qui compte.  Or, on a pu constater en Belgique que dans le cas de la marche pour la Vie, les voix médiatiques étaient majoritairement en faveur du « droit à l’avortement », ce qui n’est pas étonnant lorsqu’on connaît les tendances de nos journaux, de nos chaînes TV et radio.  Et depuis que certains jeunes se dévouent et consacrent beaucoup d’énergie à l’organisation de la marche, le « droit à l’avortement » et les arguments fallacieux en sa faveur reçoivent une publicité accrue…  Ces derniers jours, on a pu s’en rendre compte en regardant le JT de la RTBF : on annonce que 3 sondés (belges) sur 4 trouvent que l’avortement est en droit. Même si les chiffres sont gonflés (ils viennent du CAL), cela ne diminue en rien leur impact sur l’opinion publique. Sans parler des innombrables débats télévisés où les partisans du « droit à l’avortement » ont le plus long temps de parole et l’appui du modérateur… Même un grand nombre de ceux qui se disent catholiques se sont laissé influencer par cette campagne mensongère qui, depuis la première marche pour la Vie en Belgique, a pris une ampleur sans précédent."
  • De l’hospice à l’euthanasie. Plaidoyer pour les vieux.

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    C’était à l’époque déjà lointaine où  « La Libre Belgique » confiait une chronique du journal augustave-thibon.jpg philosophe Gustave Thibon. Extrait de « La vieillesse encombrante » : une réflexion prémonitoire parue dans l’édition du 9 novembre 1973. Mais  « où sont les neiges d’antan ? », comme dirait le poète…

    «  Cette personne (une jeune interne des hôpitaux) travaille dans un service de cardiologie où elle a observé une étrange et inexplicable recrudescence des cas d’hospitalisation pendant la période des vacances. Les examens faits, très peu de cas lui ont paru justifier une telle mesure. Mais elle n’a pas tardé à découvrir le pot-aux roses en constatant qu’il s’agissait surtout de vieilles gens, présentant évidemment de vagues déficiences cardiaques, chose habituelle à leur âge, et dont les enfants avides de partir en vacances et ne pouvant les emmener avec eux au hasard des routes et des campements, s’empressaient de s’en débarrasser, avec la demi-complicité du médecin traitant, en les envoyant en observation à l’hôpital […]. Ce qui nous conduit à méditer une fois de plus sur le sort amer de tant de vieillards dans la société contemporaine.

    Deux facteurs caractéristiques de notre époque contribuent à les isoler : l’oubli du passé et la dépréciation de la vie.

    L’oubli du passé. On perd la reconnaissance à leur égard, parce que, au sens littéral du mot, on ne les reconnaît plus. Ils appartiennent à un temps révolu qui n’a laissé presqu’aucune trace dans les mémoires […].

    La dévaluation de la vie. Combien de fois n’avons-nous pas entendu proférer cette atroce banalité : je n’ai jamais demandé à naître ? A quoi j’ai toujours envie de répondre : «  Qu’attendez-vous donc pour mourir ? Votre suicide réparerait l’erreur initiale commise par vos parents ». Plaisanterie qui serait d’ailleurs fort peu goûtée  car ce sont en général ceux qui n’ont pas demandé à naître qui sont les plus acharnés à « vivre leur vie », dans le sens d’une satisfaction immédiate  de leurs appétits les plus égoïstes. En quoi ils ne se contredisent pas : la vie individuelle émergeant à peine du néant  -et ce néant est très lourd à porter- quand elle n’est pas animée et transfigurée par l’amour de la vie des autres. Mais on conçoit que, dans un tel climat de misère intérieure, on répugne à la gratitude et au dévouement envers ceux dont on a reçu ce triste cadeau […].

    Nietzche voyait dans le sens de l’honneur et dans la reconnaissance les deux vertus nobles par excellence : celles par quoi l’homme prend assez de distance avec lui-même pour résister au pouvoir dissolvant du temps. La première en engageant l’avenir (l’homme d’honneur et celui qui tient ses promesses quels que soient les changements extérieurs ou intérieurs survenus entretemps), la seconde en liant l’homme au passé, en inspirant la fidélité aux êtres dont on a reçu jadis des bienfaits, mais dont on n’a plus rien à attendre dans le présent et le futur. Aussi n’est-ce pas par hasard que le sentiment de l’honneur et le respect des aïeux ont toujours coexisté dans toutes les civilisations dignes de ce nom.

    On nous vante chaque jour les progrès de la gérontologie –science de la vieillesse- dont le but est de prolonger la durée de la vie humaine. Mais quel sens peuvent avoir ces progrès s’ils ne s’accompagnent pas d’une renaissance de la gérontophilie : l’amour des vieillards ? A quoi bon prolonger la présence absente de ces êtres désaccordés dont personne n’entoure la solitude aussi longtemps qu’ils traînent leur fantôme d’existence, et que personne ne pleurera à l’heure de leur mort ? »

    JPSC

  • Laetitia Calmeyn fait son entrée dans le collège des consulteurs de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi

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    De Vatican News :

    Cinq nouveaux consulteurs au sein de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi

    Le Pape François a nommé ce samedi cinq nouveaux consulteurs au sein du Dicastère dirigé par Mgr Luis Ladaria Ferrer.

    Le Pape renouvelle et "féminise" le collège des consulteurs de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi, puisque trois femmes y font leur entrée, parmi lesquelles Laetitia Calmeyn, vierge consacrée dans le diocèse de Paris, qui a notamment enseigné la théologie morale au Collège des Bernardins de 2009 à 2017. Originaire de Belgique, où elle est née en 1975, Laetitia Calmeyn a notamment été infirmière en soins palliatifs, avant de suivre des études à l’Institut d’Études Théologiques de Bruxelles. Elle s’est notamment spécialisée dans la théologie du corps de saint Jean-Paul II. En 2016, elle était intervenue sur le thème «Les femmes dans la formation des prêtres», lors d’un Symposium de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi.

    Les deux autres femmes nommées sont deux Italiennes. Il s’agit de la sous-secrétaire du Dicastère pour les Laïcs, la Famille et la Vie, Linda Ghisoni, et de la directrice du département de théologie fondamentale à l’Université Grégorienne, Michelina Tenace.

    Par ailleurs deux prêtres sont eux aussi nommés consulteurs : le père Sergio Paolo Bonanni, prêtre du diocèse de Rome, qui est notamment responsable de l’Action catholique italienne dans la capitale italienne et qui enseigne lui aussi la théologie à la Grégorienne, et le père Manuel Jesus Arroba Conde, un missionnaire clarétain de nationalité espagnole, qui enseigne le droit canonique à l’université du Latran. Il avait fait partie des experts invités au Synode sur la Famille, en 2014.

    Laetitia Calmeyn est née le 6 septembre 1975, à Bruxelles (source)

    Vierge consacrée dans le diocèse de Paris (consécration à Notre Dame des Victoires, le 23 juin 2013)

    Missions exercées :

    Expériences professionnelles et missionnaires: 

    1996-1999 : infirmière en soins palliatifs à la Clinique des Deux Alice à Bruxelles.
    1998-2001 : Organisation et prédication de retraites pour jeunes dans le cadre de la communauté de La Viale (œuvre de la Compagnie de Jésus)
    1999-2000 : Enseignement de la Religion Catholique à l’Ecole Européenne à Bruxelles.
    2003-2004 : Lecture continue des Encycliques Veritatis Splendor et Evangelium Vitae avec un groupe de jeunes professionnels dans le cadre de l’association « Médecine et dignité de l’homme » (à Bruxelles).
    2004-2005 : Cours sur « l’évangile selon saint Jean » donné à une communauté de Clarisses (Namur).
    2004- 2006 : enseignement de la théologie morale fondamentale, de la morale familiale à la Fraternité monastique de Jérusalem (Bruxelles).
    2007-2008 : Cours « Evangelium vitae » à l’Institut Sophia (Bruxelles)
    2008-2009 : Cours de théologie morale fondamentale au Studium Notre Dame de Namur

    2009-2017 : enseignante au Collège des Bernardins à Paris (Professeur extraordinaire à la Faculté Notre Dame, professeur stable de ISSR, Formation des responsables et cours publics)
    2016-2017 : membre du Comité Scientifique de la NRT

    Diplômes:

    Diplôme d’Etat :
    Licence en soins infirmiers (diplôme A1), juin1996, à l’Institut d’Enseignement Supérieur Parnasse – Deux Alice (Bruxelles).

    Diplômes canoniques
    Le baccalauréat en théologie, juin 2002, à l’Institut d’Etudes Théologiques à Bruxelles
    La licence canonique en théologie, juin 2004, à l’Institut d’Etudes Théologiques à Bruxelles, obtenue avec la plus grande distinction.
    Le doctorat en théologie à l’Institut Pontifical Jean-Paul II de Rome, (« Pontifico Istituto Giovanni Paulo II per studi su matrimonio et famiglia). Titre de la dissertation : « La Parole dans l’histoire et la symbolique de l’action. Essai sur les principes et fondements théologiques de la morale selon l’œuvre du Père Albert Chapelle SJ ». La thèse a été soutenue le 8 octobre 2009 à l’Institut Jean Paul II avec la plus grande distinction.

  • 2000 personnes ont participé à neuvième édition de la Marche pour la Vie à Bruxelles

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    2000 personnes ont défilé paisiblement et en silence dans les rues de Bruxelles par respect pour la vie humaine.

    Ils ont marché pour la Vie !

    La neuvieme édition de la Marche pour la vie a connu un grand succès! La Marche pour la Vie rappelle que le développement de la vie humaine est marqué par la continuité. L’embryon et le fœtus humain ont besoin d’une protection d’autant plus forte qu’ils dépendent du sein maternel pour grandir. Ainsi, la viabilité du fœtus humain n’est pas un critère pour reconnaître qu’il est l’un des nôtres et mérite d’être protégé.

    Il en va de même pour les enfants atteints d’une trisomie. Leur vie enrichit la société. La première intervenante a témoigné de la richesse de vivre avec un frère trisomique. Elle a expliqué qu’en effet, la trisomie faisait peur, mais qu’elle était source de beaucoup de joie.

    La Marche pour la Vie appuie aussi sur le respect pour les gens en fin de vie. Provoquer la mort d’un être humain blesse. Les personnes seules et en fin de vie ont besoin d’être aimées et accompagnées. Leur disparition blesse toute la société.

    En début de Marche, le Dr Chantal Kortmann a parlé de  l’importance de la commission de contrôle, dans laquelle elle siège. Connaître les chiffres et les causes de l’avortement est important !

    Après une marche  sans incident majeur, sauf une dizaine de contremanifestants, les 2000 marcheurs sont arrivés au palais de Justice où ils ont déposé une rose et écrit un message d’espoir et d’amour sur une fresque.

    Le dernier intervenant du jour était Émile Duport, le fondateur du mouvement français des survivants. Il a rappelé l’importance de l’engagement. Que les femmes qui ont avorté souffrent et qu’on doit être plus à l’écoute et les soutenir plus. 

    Avant la dispersion, le rendez-vous pour la prochaine édition a été fixé au 31 mars 2019.
     

    Site : www.marchforlife.be

    Facebook : https://www.facebook.com/MarchforLifeBrussels

  • Comment le diocèse de Liège envisage la réaffectation d'églises

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    De la Libre - Gazette de Liège (21 avril, p. 20) :

    La pratique religieuse est en berne dans nos régions, comme c’est aussi le cas pour beaucoup d’engagements collectifs d’ordre philosophique ou politique. Et se pose, lancinante, la question de l’avenir des lieux de culte quand ceux-ci se trouvent ou se trouveront sans emploi.

    Ce contexte confère toute son importance au “Directoire pour la gestion du temporel des cultes” que vient de publier le diocèse de Liège, sous la signature du chanoine Eric de Beukelaer, vicaire épiscopal en charge de la matière, avec l’approbation de l’évêque bien sûr. Les objectifs y sont fixés à l’horizon 2020, dans le contexte induit progressivement par la constitution et l’évolution des unités pastorales (ou regroupements de paroisses). Le scénario des réaffectations partielles, déjà en œuvre en maints endroits, est volontiers privilégié pour être le moins intrusif. Il consiste en un partage avec d’autres communautés chrétiennes – prioritaires – ou avec d’autres activités d’ordre social ou culturel, compatibles avec le respect dû à la nature du lieu. Rencontres, conférences, expositions artistiques, concerts, bibliothèque, accueil de mouvements de jeunes et même… “repair café” sont cités par le “Directoire”. En revanche, précise-t-il, “ il ne peut s’agir d’intérêts privés, d’activités commerciales ou de manifestations de partis politiques ”. La désaffectation complète n’est envisagée qu’en dernier ressort, si les fidèles font totalement défaut.

  • Constance du Bus, personnalité du jour dans La Libre

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    En page 2 de La Libre d'aujourd'hui :

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    Cliquer sur l'article pour l'agrandir

  • A voir et partager : la belle prestation de Constance du Bus sur le plateau de BX1

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    C'est ici : https://www.facebook.com/March4LifeBrussels/videos/1654654891318743/

  • Dimanche 22 avril, 15H30 : neuvième Marche pour la Vie - Mont des Arts

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    Dimanche 22 avril - neuvième Marche pour la Vie - Mont des Arts

    Dimanche, Marche pour la Vie !




    Ce dimanche 22 avril aura lieu la neuvième édition de la Marche pour la Vie.
     
    Est-il encore possible d’oser le dialogue autour de la question de l’avortement ? Le pluralisme et la démocratie ne sont-ils pas à ce prix ?

    Convaincus de l'importance de parler des questions éthiques autour de la fin de vie et de l'avortement, loin de de tout cadre idéologique, les organisateurs de la Marche pour la Vie, un groupe d’étudiants et de jeunes professionnels, interpellent tous les citoyens.

    En réponse aux propos agressifs qui s’expriment trop souvent dans la sphère publique, la Marche pour la Vie invite chacun à marcher paisiblement et en silencepour demander un réel questionnement sur les questions éthiques touchant à la vie, de la conception à la mort naturelle.

    Sont-ils voués à disparaitre? ” C'est la question que les organisateurs posent au monde. Ils, ce sont l'enfant avec un handicap, l'embryon dans le ventre de sa mère, la personne en fin de vie... 
    Alors qu'on peut - à raison ! - facilement mobiliser pour les animaux en voie de disparition, ce n'est pas si simple pour les êtres humains. Les parents d'un enfant avec un handicap se heurtent souvent à beaucoup d'incompréhension et de difficultés. Les mères qui tombent enceinte alors qu'elles se trouvent dans une situation précaire ne sont pas assez soutenues ne serait-ce que financièrement et psychologiquement. Les personnes en fin de vie sont submergées de soucis financiers et de sentiments d'être un poids.

    Cela doit changer. Notre société doit être une place où tout le monde a sa place. Et où la valeur de chaque être humain, de sa conception à la mort naturelle, n'est plus niée. La Marche pour la Vie veut plus de soutien financier pour les parents d'un enfant avec un handicap, pour les soins palliatifs et pour les femmes qui gardent leur enfant malgré leur situation précaire. La Marche pour la Vie veut également que ces femmes soient soutenues et qu'elles soient mises au courant des alternatives à l'avortement.

    Un des speakers de cette année sera Émile Duport qui a lancé le mouvement des "Survivants" en France.
     
    Le rendez-vous est donné à 15 heures 30 au Mont des Arts. Le cortège se dirigera ensuite vers le Palais de Justice où les marcheurs seront invités à déposer une rose au pied des marches en hommage. Ils pourront ensuite écrire un message d'espoir et d'amour sur un grand panneau blanc. La foule se dispersera enfin après quelques interventions.

    Mail: communication@marchforlife.be
    Site : www.marchforlife.be
    Facebook : https://www.facebook.com/MarchforLifeBrussels