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Belgique - Page 150

  • Comment le diocèse de Liège envisage la réaffectation d'églises

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    De la Libre - Gazette de Liège (21 avril, p. 20) :

    La pratique religieuse est en berne dans nos régions, comme c’est aussi le cas pour beaucoup d’engagements collectifs d’ordre philosophique ou politique. Et se pose, lancinante, la question de l’avenir des lieux de culte quand ceux-ci se trouvent ou se trouveront sans emploi.

    Ce contexte confère toute son importance au “Directoire pour la gestion du temporel des cultes” que vient de publier le diocèse de Liège, sous la signature du chanoine Eric de Beukelaer, vicaire épiscopal en charge de la matière, avec l’approbation de l’évêque bien sûr. Les objectifs y sont fixés à l’horizon 2020, dans le contexte induit progressivement par la constitution et l’évolution des unités pastorales (ou regroupements de paroisses). Le scénario des réaffectations partielles, déjà en œuvre en maints endroits, est volontiers privilégié pour être le moins intrusif. Il consiste en un partage avec d’autres communautés chrétiennes – prioritaires – ou avec d’autres activités d’ordre social ou culturel, compatibles avec le respect dû à la nature du lieu. Rencontres, conférences, expositions artistiques, concerts, bibliothèque, accueil de mouvements de jeunes et même… “repair café” sont cités par le “Directoire”. En revanche, précise-t-il, “ il ne peut s’agir d’intérêts privés, d’activités commerciales ou de manifestations de partis politiques ”. La désaffectation complète n’est envisagée qu’en dernier ressort, si les fidèles font totalement défaut.

  • Constance du Bus, personnalité du jour dans La Libre

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    En page 2 de La Libre d'aujourd'hui :

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  • A voir et partager : la belle prestation de Constance du Bus sur le plateau de BX1

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    C'est ici : https://www.facebook.com/March4LifeBrussels/videos/1654654891318743/

  • Dimanche 22 avril, 15H30 : neuvième Marche pour la Vie - Mont des Arts

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    Dimanche 22 avril - neuvième Marche pour la Vie - Mont des Arts

    Dimanche, Marche pour la Vie !




    Ce dimanche 22 avril aura lieu la neuvième édition de la Marche pour la Vie.
     
    Est-il encore possible d’oser le dialogue autour de la question de l’avortement ? Le pluralisme et la démocratie ne sont-ils pas à ce prix ?

    Convaincus de l'importance de parler des questions éthiques autour de la fin de vie et de l'avortement, loin de de tout cadre idéologique, les organisateurs de la Marche pour la Vie, un groupe d’étudiants et de jeunes professionnels, interpellent tous les citoyens.

    En réponse aux propos agressifs qui s’expriment trop souvent dans la sphère publique, la Marche pour la Vie invite chacun à marcher paisiblement et en silencepour demander un réel questionnement sur les questions éthiques touchant à la vie, de la conception à la mort naturelle.

    Sont-ils voués à disparaitre? ” C'est la question que les organisateurs posent au monde. Ils, ce sont l'enfant avec un handicap, l'embryon dans le ventre de sa mère, la personne en fin de vie... 
    Alors qu'on peut - à raison ! - facilement mobiliser pour les animaux en voie de disparition, ce n'est pas si simple pour les êtres humains. Les parents d'un enfant avec un handicap se heurtent souvent à beaucoup d'incompréhension et de difficultés. Les mères qui tombent enceinte alors qu'elles se trouvent dans une situation précaire ne sont pas assez soutenues ne serait-ce que financièrement et psychologiquement. Les personnes en fin de vie sont submergées de soucis financiers et de sentiments d'être un poids.

    Cela doit changer. Notre société doit être une place où tout le monde a sa place. Et où la valeur de chaque être humain, de sa conception à la mort naturelle, n'est plus niée. La Marche pour la Vie veut plus de soutien financier pour les parents d'un enfant avec un handicap, pour les soins palliatifs et pour les femmes qui gardent leur enfant malgré leur situation précaire. La Marche pour la Vie veut également que ces femmes soient soutenues et qu'elles soient mises au courant des alternatives à l'avortement.

    Un des speakers de cette année sera Émile Duport qui a lancé le mouvement des "Survivants" en France.
     
    Le rendez-vous est donné à 15 heures 30 au Mont des Arts. Le cortège se dirigera ensuite vers le Palais de Justice où les marcheurs seront invités à déposer une rose au pied des marches en hommage. Ils pourront ensuite écrire un message d'espoir et d'amour sur un grand panneau blanc. La foule se dispersera enfin après quelques interventions.

    Mail: communication@marchforlife.be
    Site : www.marchforlife.be
    Facebook : https://www.facebook.com/MarchforLifeBrussels

  • Constance du Bus présente la Marche pour la Vie sur cathobel

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    De cathobel.be :

    AUDIO – En débat: La marche pour la vie

    Emission diffusée le jeudi 29 mars 2018 à 11h sur RCF.

    Constance du Bus est la porte-parole de la marche pour la vie qui se déroule ce dimanche 22 avril, à Bruxelles. Elle nous parle de son combat.

    Présentation: Jean-Jacques-Durré & Hervé Gérard

  • Le cdH et la dépénalisation de l’avortement : oui mais non

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    Le centre mou de la politique belge reste fidèle à son image brouillée et Alda Greoli,  promise à un parachutage à Liège aux prochaines élections communales, soigne la sienne dans les milieux de la libre-pensée.  Lu sur le site RTBF Info :

    "Le débat et la réflexion se poursuivent au sein du cdH", a fait savoir jeudi la ministre Alda Greoli après ses propos sur la sortie de l'avortement du Code pénal.

    La ministre issue du Mouvement Ouvrier Chrétien (MOC) a créé la surprise mercredi soir en affirmant sur le plateau d'"A votre avis" (RTBF) que le cdH avait pris position en faveur de la sortie de l'interruption volontaire de grossesse (IVG) du code pénal. Elle précisait qu'il s'agissait là d'une position officielle du parti.

    Dans une réaction adressée à l'Agence Belga jeudi midi, elle a fait marche arrière en indiquant que la réflexion était en cours chez les centristes francophones.

    A titre personnel, elle maintient toutefois sa position.

    "Il est nécessaire à mes yeux de sortir l'avortement du code pénal parce qu'il faut mettre fin à la culpabilisation des familles et des femmes en particulier", a-t-elle déclaré, en apportant deux précisions.

    Une "question fondamentale reste pleine et entière": celle de l'encadrement de l'IVG et des "normes nécessaires" qui doivent faire en sorte que l'avortement ne soit pas "banalisé". Ces normes se trouvent aujourd'hui dans la loi, "dont des sanctions qui demeurent nécessaires".

    "Le plus important dans ce dossier est à la fois de reconnaître la liberté de la femme et le nécessaire accompagnement d'un acte qui est et reste toujours difficile. C'est donc bien par le renfort de la prévention et de l'éducation sexuelle et affective que cette question passe d'abord", a-t-elle ajouté.

    Il est important de maintenir des balises pour éviter des dérives

    Interrogée avant l'envoi de cette réaction, la cheffe de groupe cdH à la Chambre, Catherine Fonck, soulignait qu'elle n'était pas "au clair" sur la façon dont une dépénalisation complète pouvait "maintenir les balises" de l'interruption volontaire de grossesse.

    "Je ne remets pas en cause l'IVG mais il est important de maintenir des balises pour éviter des dérives. La liberté des femmes, ce n'est pas d'abord l'IVG. C'est surtout d'éviter une grossesse non désirée. Travailler en amont, c'est au moins tout aussi important", expliquait-elle.

    Actuellement, l'avortement n'est que partiellement dépénalisé en Belgique. Une loi de 1990, adoptée au terme d'une crise institutionnelle sans précédent, impose plusieurs conditions, la plus importante concernant la durée de la grossesse. L'acte doit avoir lieu avant la fin de la douzième semaine après la conception.

    A l'instigation des milieux laïcs, le débat sur une dépénalisation complète a resurgi il y a peu. Les socialistes, les libéraux et les écologistes se sont prononcés en faveur de cette évolution. Des propositions de loi ont été déposées à la Chambre mais leur examen a été ajourné à la demande de la majorité. Traditionnellement, les partis issus de la démocratie-chrétienne, dont le CD&V et le cdH, ne soutiennent pas de telles initiatives. La sortie de Mme Greoli était donc inattendue.

    Le débat sur l'avortement a connu un regain en 2015 à la suite d'une autre initiative législative. Plusieurs partis de la majorité ont déposé ou soutenu des propositions de loi concernant les enfants nés sans vie. Pour aider certains parents à surmonter leur deuil, ils souhaitent revoir une disposition du code civil qui établit à 180 jours à partir de la conception le seuil à dater duquel un enfant est enregistré.

    Le CD&V préconise d'abaisser cette échéance à 140 jours et d'autoriser l'établissement d'un acte de naissance avant 140 jours sans que celui-ci n'emporte un effet juridique quelconque. Le cdH a proposé une formule plus libre, offrant la faculté aux parents de donner un prénom à leur enfant dans un registre ad hoc à la commune.

    Malgré les dénégations des auteurs des propositions, le courant laïc y a vu une tentative de donner un statut juridique au foetus et de la sorte mettre en péril le droit à l'avortement. Le Centre d'action laïque a lancé une pétition. La présidente du Sénat, Christine Defraigne (MR), s'est dite favorable à la sortie de l'avortement du Code pénal, un colloque a été organisé dans l'assemblée, etc. "

    Ref. Le cdH en faveur de la sortie de l'IVG du code pénal? Pas si clair qu'Alda Greoli ne l'a dit...

    Suite au prochain « numéro »…

    JPSC

  • Sortir l'avortement du code pénal ? Une question pas si neutre...

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    SORTIR L’AVORTEMENT DU CODE PÉNAL BELGE ? UNE QUESTION PAS SI NEUTRE

    Gènéthique vous informe 

    Deux jour avant la « Marche pour la vie », certains reposent la question de l’avortement et du code civil : pour quelle raison ? Carine Brochier, de l’Institut Européen de Bioéthique (IEB), répond pour Gènéthique.

    A la veille de la « Marche pour la Vie » qui aura lieu ce dimanche 22 avril à Bruxelles à 15 heures, le Centre d’action laïque présente les chiffres d’un sondage qui montrent qu’une grande majorité des Belges ignorent que l’avortement est toujours inscrit dans le code pénal. Cette enquête publiée dans les deux organes de presse principaux du Royaume est signée par de nombreuses personnalités : des gynécologues, des universitaires, des représentants du monde académique et intellectuel. Elle n’est pas le fait des femmes qui ne sont pas interrogées, ni d’associations de terrain confrontées à ces enjeux au quotidien.

    Au-delà de l’effet d’annonce, l’inscription de l’avortement dans le code pénal rappelle que, même dépénalisé, depuis 1990 en Belgique, aucun médecin n’a jamais été condamné pour des faits d’avortement. Pourquoi l’avoir inscrit et le garder dans le code pénal ? C’est que l’acte en lui-même n’est pas un acte médical comme un autre puisque cette intervention chirurgicale conduit immanquablement à mettre fin à la vie d’une personne, si petite soit-elle. Cet acte d’avortement ne peut être banalisé. Le droit met en œuvre certains repères qu’il est bon de conserver, et sortir l’avortement du code pénal conduirait à son ultime banalisation pour en faire un droit : « L’intérêt fondamental protégé deviendrait, en définitive, exclusivement ‘l’autodétermination de la femme’, au moment-même où sa décision sera bien souvent prise dans un contexte de fragilité »[1]. Comme tel, il serait opposable au médecin qui ne pourrait plus le refuser et ne serait donc plus en mesure d’exercer son objection de conscience : « la femme n’aurait pas seulement la faculté de demander un avortement », mais celle « de l’exiger »[2].

    En Belgique, 500 000 avortements auraient été pratiqués depuis 28 ans. Officiellement car, depuis 2011, la structure chargée de recueillir ces données est « en panne », les chiffres de l’IVG ne sont donc pas disponibles : politiquement, il n’y a pas de volonté de contrôler ou de maîtriser l’avortement.

    Il serait pourtant urgent de s’interroger sur les moyens à mettre en œuvre pour la prévention (cf. L’obligation des Etats de prévenir le recours à l’avortement) : que faire pour que l’avortement devienne impensable et pour qu’en termes de prévention, les femmes enceintes ne se laissent pas proposer l’avortement comme unique solution « raisonnable » ?

    L’avortement est une question de santé publique. Il serait courageux de s’atteler à mettre en place une vraie réponse à ces questions.

    [1] Institut Européen de Bioéthique, Sortir l’avortement du Code Pénal ?

    [2] Institut Européen de Bioéthique, Sortir l’avortement du Code Pénal ?

  • Les reniements de l'ex PSC atteignent un sommet : le cdH serait d'accord pour retirer l'avortement du code pénal

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    Lu sur le site de RTL.be :

    Avortement: le cdH d'accord pour sortir l'IVG du Code pénal (*)

    "Il faut sortir l'avortement du Code pénal, et c'est la position du cdH", a affirmé mercredi soir la ministre wallonne de l'Action sociale Alda Greoli (cdH), lors d'un débat sur ce sujet sur le plateau d'"A votre Avis" (RTBF).

    "C'est une position importante, et officielle", a-t-elle ajouté, tout en insistant sur la nécessité de maintenir un encadrement, un accompagnement social, un conseil, etc. L'an dernier, le CD&V, autre parti héritier de la démocratie chrétienne traditionnellement très frileuse sur ce dossier, avait obtenu l'ajournement de l'examen de propositions de loi visant à sortir l'interruption volontaire de grossesse (IVG) du Code pénal. Le cdH s'était alors abstenu. Favorable à la dépénalisation, la présidente du Sénat Christine Defraigne (MR) a estimé que, si des partis comme le CD&V ou la N-VA bloquaient encore sur cette question, "il est possible de trouver, le cas échéant, des majorités alternatives". Sept Belges sur dix ignorent que l'avortement reste un délit contre l'ordre des familles et la moralité publique inscrit dans le Code pénal, selon un sondage mené à la demande du Centre d'action laïque (CAL) publié mardi. L'interruption volontaire de grossesse n'a été que partiellement dépénalisée en 1990, c'est-à-dire que les sanctions prévues par la loi ne sont appliquées que si toute une série de conditions ne sont pas respectées. Trois quarts des sondés s'affirment en faveur d'une dépénalisation totale de l'avortement.

    (*) En fait, ce n'est pas si clair (jeudi 19 à 13H00) : http://www.lalibre.be/actu/politique-belge/sortir-l-avorterment-du-code-penal-alda-greoli-fait-marche-arriere-sur-la-position-officielle-du-parti-5ad84b98cd709bfa6b698b81

     

    Cette prise de position a suscité cette réaction d'un jeune de 26 ans qu'un vent favorable a porté à notre connaissance :

    " Madame Greoli,

    (...) permettez-moi de vous écrire suite à vos déclarations hier soir sur la sortie de l'avortement du code pénal sur le plateau de la RTBF. 

    1. Votre argumentation au sujet de la question de sortir l’avortement du code pénal me dérange fortement. Votre position tient en ces mots: "Il me semble assez évident, et c'est la position du cdH, qu'il faut sortir l'avortement du Code pénal". Vous serez d'accord avec moi, ceci est plutôt une absence d'argumentation; si ce n'est l'acceptation des arguments du Centre d'Action Laïque (une communauté philosophique non confessionnelle subsidiée depuis la loi de 2002 sur le financement des cultes); qui se résument en 2 points:

    • "Il y a urgence à dépénaliser l'avortement?". Permettez moi de vous demander quelle urgence il y a? Les chiffres du nombre d'avortements sont ils en baisse parce qu'il n'y a plus assez de praticiens? 
    • "Nous sommes au XXIe siècle": Ceci sonne comme l'argument ultime du CAL: nous devrions enlever l'acte d’avorter du code pénal sous prétexte que nous sommes en 2018. Pourriez-vous m’expliquer en quoi le fait que nous vivions au 21e siècle justifierait de nier qu’il s’agit d’un acte grave et de le réduire à la prise d’un cachet ou à une banale opération chirurgicale?

    2. Nous attendons un autre discours de la part du cdH, une opinion vraiment humaniste. Sur ce sujet difficile, ne pensez-vous pas que l'on attende du cdHun autre discours que celui de la "citadelle de la bien-pensance" qui nous fait croire que l'urgence est de sortir l'avortement du code pénal? L'urgence n'est elle pas plutôt d’aider les femmes en difficulté? Pour 89% des femmes, cet acte laisse "des traces psychologiques difficiles à vivre"*. Là est le vrai constat, l'avortement n'est pas un acte banal. Les femmes le savent et le disent : 72% estiment que "la société devrait davantage aider les femmes à éviter le recours à l’interruption de grossesse"*. Un comportement vraiment humaniste, respectueux de la dignité de ces femmes, est de se battre pour la reconnaissance de cette souffrance et de mettre en place tous les moyens pour l'éviter. Je souligne par ailleurs le combat honorable et courageux de Madame Catherine Fonck pour donner un statut juridique aux enfants morts nés.

    Permettez-moi de vous poser une question: Les partisans invétérés de l’avortement scandent bien souvent le slogan "mon corps, mon choix", pensez-vous que la femme ait réellement le choix? Je parle de la jeune femme souvent en difficulté sociale et financière. Pourriez-vous me confirmer avec certitude qu’elle a réellement le choix de garder l’enfant ou non; que les plannings familiaux proposent tous une aide sociale et financière pour que la femme soit libre de garder son enfant?  Dans quelle mesure l’Etat l’accompagnera dans ce choix ? Qu’en sera-t-il de son parcours universitaire et professionnel si rien n’est prévu pour l’aider? C’est ici que se situe l’urgence, et non dans le fait de sortir l’avortement du code pénal.

    Ce que j'attends du cdH et avec moi de nombreux jeunes qui ne prennent pas la peine de vous écrire, c'est une voix différente. Une voix argumentée qui cherche à construire, à chercher la vérité et à œuvrer pour le bien commun. Votre faible argumentation sur un sujet aussi important qui blessent de nombreuses femmes et hommes œuvre à la décrédibilisation et la dilution du cdH; et participe je le pense au positionnement actuel de 6e parti de Bruxelles avec 5% des voix, et 5e parti de Wallonie avec 8% des voix dans le Baromètre du soir du 8 décembre dernier.

    Derrière ce message rempli de déception, je vous félicite néanmoins pour votre engagement en politique, je vous en assure. Nous avons besoin de femmes et d’hommes qui se battent pour ce qui est bon, juste et vrai. En retour, il appartient aux citoyens de veiller à l'action de nos politiciens. "

  • Merci Constance !

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    A Constance du Bus

    Chère Constance,

    Vous avez accepté de descendre sur un plateau de télévision ("A votre avis", 18 avril 2018) où, vous le saviez d’avance, tout avait été mis en place pour dégager et promouvoir un consensus pro-mort. Face à vous, toutes les composantes des forces qui œuvrent  au sein de notre société pour y faire triompher le désir individuel au détriment du respect de la vie étaient réunies : depuis les représentants du Centre d’Action Laïque et du Planning familial aux vieilles professionnelles de la politique (les Lalieux, Defraigne et consorts) en passant par les « scientifiques » ralliés à la cause, le caricaturiste de service et le meneur de débat dont l’arbitrage partisan et manipulateur est habituel à la RTBF.

    Et c’est ainsi que l’on nous a martelé que cette trouble notion de la viabilité du fœtus, au détriment de toute autre considération, était déterminante pour établir un saut qualitatif permettant à ce qui n’était pas encore un enfant de le devenir ensuite. Et c’est ainsi que la plupart des intervenants mobilisés pour la circonstance verraient d’un bon œil la prolongation de douze à dix-huit semaines du délai accordé aux femmes pour se faire avorter, au mépris de tout ce que l’on sait aujourd’hui de la merveille que constitue un petit d’homme en gestation depuis les premiers moments de sa vie intra-utérine.

    Nous le savions : notre pays est ce lieu où toutes les dérives éthiques de notre temps finissent par s’inscrire dans la loi. Celui ou celle qui se démarque de ce légal devenu normatif pour témoigner d’une vérité ou d’un bien supérieurs est montré du doigt et désigné  à la vindicte des tenants du consensus ambiant.

    A vous qui avez eu le courage d’affronter seule cette meute déterminée, je voudrais exprimer notre reconnaissance et notre admiration. Vous avez rappelé l’essentiel : que la vie humaine, dès sa conception, est un continuum dont il est totalement arbitraire – et criminel - de vouloir justifier l’interruption à quelque moment que ce soit ; que les lois humaines se disqualifient dès lors qu’elles autorisent, au nom de la recherche ou de la procréation médicalement assistée, la destruction d’embryons ; que la viabilité est une notion relative que l’on ne saurait établir comme condition de reconnaissance d’un être humain ; que les délais variables institués dans différents pays attestent qu’il n’y a pas moyen d’établir un moment déterminant où la vie, tout à coup, deviendrait respectable ; que le moment de la conception est bel et bien le moment de l’apparition d’une nouvelle vie humaine…

    Vous étiez Antigone ; tous, ils étaient Créon. Vous étiez la voix, jeune et incandescente, qui rendait témoignage à ce qui est bien et vrai.

    Merci.

  • Bruxelles, 24 avril : Philo à Bruxelles avec Stéphane Mercier (Dieu, son essence, sa nature)

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  • Des bonnes nouvelles du site "Docteur Angélique"

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    Deux bonnes nouvelles communiquées par Arnaud Dumouch :

    1° La publication ce jour sur Internet, en version gratuite et téléchargeable, de l'immense oeuvre de jeunesse de saint Thomas d'Aquin : "Le Commentaire des Sentences de Pierre Lombard". Cette oeuvre est à votre disposition ici :

    http://docteurangelique.free.fr/sai…/oeuvres_completes.html…

    Il s'agit du travail de fin de doctorat de saint Thomas, cinq fois plus volumineux que la Somme de théologie qu'il écrira plus tard. Le premier livre manquait. Le professeur Serge Pronovost vient de la traduire pour notre projet. Les trois autres livres de cette oeuvre avait été traduits par le professeur Jacques Ménard. Merci à ces deux éminents québécois.

    Deuxième bonne nouvelle : l'Institut Docteur angélique se développe.

    Il y a quelques années, avec le vicaire épiscopal de l'enseignement de Namur l'Abbé Henri Ganty, nous avons créés un institut de formation philosophique et théologique sur Internet, l'Institut Docteur Angélique : http://docteurangelique.free.fr/institut_docteur_angelique.…

    Près de 3000 cours gratuits, en ligne et en vidéos sont déjà réalisés et je vous mets les liens ci-dessous. La ligne de ces cours est, au plan philosophique, dans le réalisme inspiré du père Marie-Dominique Philippe, et en théologie, à l'école de saint Thomas d'Aquin, de sainte Thérèse d'Avila et dans l'esprit de continuité demandé par Benoît XVI. Il existe même un cours complet de pastorale, dans la ligne du pape François. 

    https://www.youtube.com/playlist?list=PLuko328jWH_1Z8m6ovDDyG0-y746RS0jL

    Cet institut se développe et enseigne à 197 étudiants inscrits, dont quelques prieurés religieux en France, en Belgique et en Afrique et des séminaristes en Afrique et en Haïti. Cette formation diplômante très peu chère (100 Euros par année scolaire) se fait entièrement par correspondance grâce à l'outil Internet.

    Dans les années à venir, je voudrais le développer et lui donner un vrai statut ecclésial. Je voudrais en particulier que des séminaristes plus nombreux puissent s'y inscrire sans risque pour leur ordination, de toute la francophonie, à une époque où il reste difficile de trouver une formation dans certains pays.

    La liste de tous les cours qui existent sur Internet avec leurs liens numériques : 
    http://docteurangelique.free.fr/…/ListeDesCoursAvecLiens.htm

    Et la liste de vidéos plus courtes, les « premiers pas catholiques », qui visent à répondre à toutes les questions : 
    https://premierspascatholiques.wordpress.com/ 

    A conseiller, en premier, ce cours : Sur l'eschatologie catholique L'heure de la mort, fin du monde : Il donne sens à tout car celui qui connaît le but de cette vie comprend cette vie : 
    http://eschatologie.free.fr/cours/02_les_fins_dernieres.html

     

  • A Bruxelles, le dimanche 22 avril : la Belgique en marche pour la Vie

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    Chaque année, des milliers de personnes marchent dans le monde entier pour défendre les valeurs de la Vie, et sa protection depuis la conception de l’être humain jusqu’à sa mort naturelle.

    La 9ème édition de la Marche pour la Vie aura lieu à Bruxelles le 22 avril 2018, à 15H, du Mont des Arts au Palais de Justice. Nous vous espérons nombreux !

    Cette année, nous marcherons spécialement pour que toutes les personnes fragiles à qui on préfère enlever la vie plutôt que de leur offrir l’amour et les soins dont elles ont besoin, soient protégées et accueillies dans une société solidaire et bienveillante. Nous serons là pour défendre la dignité de toute vie humaine et pour montrer que différence rime avec richesse et non avec problème !

    Nous marcherons aussi en soutien aux personnes et associations qui œuvrent pour la protection de la Vie, qui proposent des alternatives à l’avortement, qui assistent les mères en détresse et leurs familles, et qui accompagnent les personnes en fin de vie jusqu’à leur mort naturelle.

    Contact : communication@marchforlife.be