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Belgique - Page 229

  • 13 septembre 2015 : le Saint-Sacrement est exclu de la Grande Procession de Tournai

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    news-Grande-Procession-chasse.jpgLe 13 septembre, on verra défiler dans les rues de Tournai une procession réorganisée en six chapitres. Et le Saint-Sacrement n’en fera plus partie. Selon le diocèse de Tournai «cette dévotion n’est pas fondamentale» et la tradition doit se mêler au renouvellement. Mais, rassurons-nous, l'essentiel est sauf: Monseigneur Harpigny fera toujours partie du cortège.

    Lu sur le site du diocèse :

    «  ‘La tradition doit toujours évoluer’ : c’est conscients de cette vérité que les membres du comité de la Grande Procession de Tournai ont commencé voici quelques années à réfléchir sur l’avenir de cette manifestation vieille de plus de neuf siècles.

    Avec un constat : la diminution du nombre de spectateurs sur le parcours et un relatif manque d’intérêt du public….Après une première initiative – depuis 2013, la Grande Procession sort le matin – le comité a voulu présenter un cortège plus historique, plus identitaire. La composition des quelque 70 groupes n’a pas été modifiée, mais c’est l’ordonnancement qui va connaître cette année de grands changements. Jusqu’à présent, le cortège était articulé autour de trois axes successifs : les saints, les Vierges et les groupes de la cathédrale. Le 13 septembre prochain, la procession qui quittera la cathédrale se présentera en six parties : « Au cœur de la cité, la cathédrale Notre-Dame », « Autour de la cathédrale, la couronne des églises paroissiales », « Au cœur des églises paroissiales, cultes particuliers et confréries », « Hors les murs, chapelles et nouvelles églises paroissiales », « Dans les cloîtres ou sur le grand chemin : moines, moniales et pèlerins » et enfin « Retour à la cathédrale, église-mère de la cité et du diocèse ».

    Dépasser les clivages anciens

    Et c’est à l’issue de la procession qu’on constatera un autre changement important : le Saint-Sacrement s’efface. Mgr Harpigny et le clergé fermeront toujours la marche, mais sans l’ostensoir qui était jusqu’à présent porté sous le dais. « Nous constations un décalage gênant », notent MM Vanden Broecke et Casterman, respectivement président et administrateur du comité organisateur. D’où leur volonté de s’adapter à la réalité d’aujourd’hui, et ce avec l’accord de l’Evêque. Le Saint-Sacrement n’a en effet pas toujours été porté dans la Procession : c’est une dévotion arrivée plus tard dans le temps et qui n’apparaît donc pas comme fondamentale.

    Voulant par ailleurs dépasser les vieux clivages, la Grande Procession et les Amis de Tournai ont décidé de coordonner leur action. Les « Cortèges » qui sortaient précédemment en mai-juin, prendront place le dimanche après-midi. Et de manière symbolique, les clés de la Ville, remises par le bourgmestre à l’évêque à l’issue de l’office pontifical du samedi soir, seront à leur tour transmises par Mgr Harpigny aux Amis de Tournai lors d’une nouvelle cérémonie qui se déroulera place de l’Evêché le dimanche vers 13h30, après la rentrée de la procession à la cathédrale.

    A noter encore que la journée du 13 septembre s’inscrit dans les « 400 coups », organisés dans le cadre de Mons 2015, avec une promotion commune de ces différentes manifestations. »

    Ref. La Grande Procession de Tournai : des nouveautés

    JPSC

  • Liège : découvrir l’office primitif de la fête de saint Lambert, avec Marcel Pérès

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    logo_bleu.jpg

     

    Une initiative de l’Académie de Chant grégorien à Liège :

     

    À l’abbaye de la Paix Notre-Dame (Bd d’Avroy, 54 à Liège), Marcel Pérès, directeur du Cirma (Centre itinérant de recherche sur les musiques anciennes) et de l’Ensemble vocal « Organum » ,animera deux week-ends de formation consacrés au chant de l’office primitif de saint Lambert (Etienne de Liège, Xe s.) :

    benedictines liege.jpg

    du vendredi 4 (17h00) au dimanche 6 septembre 2015 (18h00) et

    du vendredi 18(17h00) au dimanche 20 septembre 2015 (18h00)

    Trente places sont ouvertes pour ces deux week-ends de stage. Les cours s’adressent prioritairement aux personnes qui disposent d’une formation musicale ou d’une pratique chorale confirmée 

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    Le second week-end se clôturera le dimanche 20 septembre à 16 heures par la célébration liturgique des vêpres restituées pour la Solennité de la fête de saint Lambert, patron de la ville et du diocèse de Liège. Cette manifestation publique aura lieu à l’église du Saint-Sacrement (Bd d’Avroy, 132 à Liège). Entrée libre. 

    Plus de renseignements ou inscription au stage :

    S’adresser à Jean-Paul Schyns, Quai Churchill, 42/7 4020 Liège.Tél. 04.344.10.89 (de l’étranger :+32.4.344.10.89). E-mail : jpschyns@skynet.be Informations générales et inscriptions en ligne sur le site de l’académie : www.gregorien.com Copie de chantgrego_46.jpg

    En savoir plus ► 

    Inscription en ligne  ►

     JPSC

  • Les scouts d'Europe rouvrent une meute à Jette

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    téléchargement.jpgDès septembre, les Guides et Scouts d'Europe rouvrent une meute de louveteaux à Jette, à l'église Sainte-Madeleine des Frères de Saint Jean. Elle s'ajoutera ainsi à la clairière de louvettes déjà présente. Les réunions auront lieu un dimanche sur deux, commençant à 10h avant de rejoindre la messe dominicale de 11h. Deux week-ends ont lieu durant l'année ainsi qu'un camp de dix jours en juillet.

    Les Scouts d'Europe s'attachent à vivre le scoutisme, fidèles aux méthodes de Baden-Powell et Vera Barclay et à l'esprit catholique insufflé par le Père Jacques Sevin, s.j.. Le mouvement est reconnu comme association privée de droit international de fidèles de droit pontifical par le Saint Siège, et les papes François
     
    Benoît XVI
     
    , et Jean-Paul II ( ici
     
     et
     
    ) se sont adressés à eux notamment lors de leurs jamborees européens.
     
    Il reste de la place chez les louveteaux comme chez les louvettes. Pour tout renseignement et inscription, contactez l'Akéla louveteaux : 0498/42.28.38
  • Liège : un colloque consacré à Monseigneur Van Bommel (1790-1852)

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    De Hageveld à Liège, Corneille Richard Antoine Van Bommel : parcours d’un évêque pédagogue et militant (1790-1852)

    *  *  *

    Publié le jeudi 20 août 2015 par Céline Guilleux

    RÉSUMÉ

    bommelpr.jpgCorneille Van Bommel (1790-1852) a profondément marqué son temps comme pédagogue d’avant-garde et comme militant pour la liberté de l’enseignement ecclésiastique avant d’occuper pendant vingt-deux ans le siège épiscopal de Liège. À l’occasion du 225e anniversaire de sa naissance, il a semblé opportun  de réunir, dans les lieux mêmes où le grand évêque a vécu, un colloque où seront examinés plusieurs aspects de son activité ainsi que l’environnement religieux, politique, économique, social et culturel où elle s’est déployée. 

    ANNONCE

    Argumentaire

    Corneille Van Bommel (1790-1852) a profondément marqué son temps comme pédagogue d’avant-garde et comme militant pour la liberté de l’enseignement ecclésiastique avant d’occuper pendant vingt-deux ans le siège épiscopal de Liège. À l’occasion du 225e anniversaire de sa naissance, il a semblé opportun  de réunir, dans les lieux mêmes où le grand évêque a vécu, un colloque où seront examinés plusieurs aspects de son activité ainsi que l’environnement religieux, politique, économique, social et culturel où elle s’est déployée. 

    Les Actes de ce colloque seront publiés dans le Bulletin de la Société d’art et d’histoire du diocèse de Liège.

    Programme

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  • Vocations religieuses en Europe: un appel à contretemps

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    De la rédaction de « Diakonos » :

    « Les jeunes qui entendaient un appel dans les années 50-60 étaient fascinés par la modernité. Ils voulaient rejoindre le monde pour l’évangéliser et, pour ce faire, supprimer ce qui leur semblait un obstacle pour atteindre cet objectif : quitter la soutane, être « prêtre-ouvrier », désacraliser la liturgie… Aujourd’hui il n’en est plus ainsi. La modernité ne fascine plus. Elle a montré ses limites et ses faiblesses. Le temps de l’euphorie et d’une certaine naïveté est passé. Les jeunes qui entrent au séminaire veulent même réagir face à la sécularisation de notre France. Avec le même souci apostolique au cœur que leurs aînés, ils prennent le chemin inverse : remettre la soutane, annoncer explicitement l’Évangile, célébrer la liturgie selon les directives de l’Église et la resacraliser. Les nouveaux prêtres de Michel de Saint Pierre (1964) sont les prêtres âgés d’aujourd’hui… Aussi tous les séminaires diocésains qui ressemblent encore de près ou de loin au schéma sacerdotal des années 60-70 n’attirent plus. Aujourd’hui, les jeunes n’ont pas envie de se battre pour pouvoir réciter le chapelet au séminaire ou rendre compte de leur désir d’adorer le Seigneur à la chapelle… Au contraire, ils recherchent des séminaires qui offrent une liturgie soignée (voire grégorienne et latine), une formation solide et une piété authentique. ».

    Un article de 2013 terriblement actuel. Le catho-marxisme et le gauchisme encore majoritaire en Belgique, après avoir contribué à vider les églises, n'attire plus personne aujourd'hui. La plupart des prêtres-ouvriers ont défroqué. Les curés modernistes voient leurs ouailles vieillir dans leurs églises vides. Les quelques professeurs qui continuent à répandre ces thèses politiques et modernistes opposées à la pensée de l'Eglise et à l'Evangile sont en voie d'extinction et leurs séminaires diocésains sont vides. Le Synode achèvera certainement d'enterrer les espoirs des radicaux qui souhaiteraient réécrire l'Evangile à l'image du monde et faire passer les sentiments individuels avant l'enseignement du Christ.

    L'Eglise peut enfin renaître à la lumière de l'Evangile et du Christ ressuscité. »

    comunaute-st-martin-lourdes-06.jpg

    Ref. Diakonos.be – Rédaction

    Reste que les communautés où refleurit le sacerdoce demeurent souvent, aujourd’hui encore, âprement combattues par l’ancienne génération en place.

    JPSC

  • Les évêques de Belgique appellent les propriétaires à mettre des logements à la disposition des réfugiés

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    (source : rtl.be)

    Face à l’urgence de la situation des migrants, les évêques de Belgique et l’association Caritas lancent un appel à la solidarité. Ils demandent aux fidèles, propriétaires, de mettre leurs biens à disposition des réfugiés, moyennant un faible loyer qui sera réglé par Caritas.

    Hier encore, le pape François appelait les catholiques à se mobiliser pour l'accueil des migrants et des réfugiés. Un appel entendu en Belgique. "On est dans l'urgence, a dit Tommy Scholtès, porte-parole de la conférence épiscopale, au micro de notre journaliste Christophe Giltay. Il y a quelques moins j'avais entendu le pape à Strasbourg, parler de la mer méditerranée qui menaçait de devenir le cimetière de l'Europe. Je me suis dit: il faut bouger. Et les choses n'ont fait que s'empirer. Il fallait donc des mobilisations globales, de toute l'Eglise de Belgique et aussi de Caritas international pour organiser cet accueil".

    Caritas cherche plusieurs types d'appartements

    Caritas cherche de petits appartements pour une personne seule mais aussi des lieux un peu plus spacieux pour accueillir des familles. Ces logements doivent être habitables, disponibles au moins six mois et être pourvus de sanitaires et de cuisine.

    Mieux vaut passer par une structure

    C'est Caritas qui assure le paiement des loyers, et une éventuelle mise en état. Cette solution est préférable à l'accueil direct que certaines personnes souhaiteraient offrir aux migrants. "On s'est dit qu'on allait avoir une solution en trouvant des propriétaires responsables pour pouvoir accueillir les migrants et faire en sorte qu'ils puissent vraiment être hébergés et intégrés dans la société", a expliqué François Cornet, directeur de Caritas international.

    Il faut dire que les besoins sont énormes. Bien que l'initiative soit lancée par l'Eglise catholique, les appartements seront mis à disposition de tout migrant, peu importe sa nationalité ou ses convictions religieuses.

  • La merveilleuse homélie posthume d'un père jésuite pour ses funérailles

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    Le père Philippe Deschuyteneer, décédé le 9 août dernier, a été le formateur apprécié de nombreuses générations de rhétoriciens au Collège Saint-Michel à Bruxelles et, précédemment, au Collège Saint-Servais à Liège (et aussi à Tournai et à Bujumbura). Personnalité forte aux emportements légendaires, il a marqué ses élèves par la profondeur de son enseignement et la chaleur de sa foi. Il a composé lui-même l'homélie de ses funérailles dont vous trouverez le texte ci-dessous. C'est un témoignage impressionnant où nous le retrouvons égal à lui-même dans toute la vivacité de son engagement au service du Christ et de l'Eglise dans les rangs des compagnons de saint Ignace.

    Permettez-moi une dernière extravagance posthume : j’ai souhaité composer l’homélie de mes funérailles. Ce n’est pas pour vérifier, une fois de plus, mon totem scout : furet, soit, mais furet saugrenu.

    En fait, j’ai plusieurs motifs, plus lumineux, de prendre la parole. Tout d’abord éviter à un confrère infortuné le souci de rassembler des souvenirs superficiels. Ensuite, vous faire grâce de l’évocation de mon passé.

    Pourquoi retracer le parcours de mes pas vagabonds, comme s’exprime le verset d’un psaume. Cela pourrait satisfaire une curiosité qui occulterait l’essentiel. Il me semble plus profitable de partager avec vous quelques prières qui m’ont soutenu et arraché à moi-même.

    L’évangile choisi vient de rappeler le cri de Saint Pierre, dans la tempête sur le lac : « Seigneur, si c’est toi, ordonne-moi de venir à toi ». Il m’a fallu longtemps pour découvrir que l’« Anima Christi » a repris cette prière de Pierre : « à l’heure de la mort, commande-moi de venir à toi ». Je la fais mienne en la modifiant légèrement : « Seigneur, PUISQUE c’est toi, donne-moi d’aller à ta rencontre ».

    Si ce n’était pas lui, je n’aurais qu’une ressource : essayer, en vain, de m’échapper. Mais je n’ai pas envie, à cause de ce qu’il est, de lui tourner le dos : près de toi se trouve le pardon, pour que l’on découvre qui tu es.

    La mort est le grand acte d’obéissance, démarche de dépouillement et de confiance. L’occasion de rectifier tous mes dérapages et de m’établir dans la vérité.

    Je suis heureux d’obéir, enfin, avec tout moi-même. Je choisis d’y entrer librement, comme l’exemple du Christ y invite.

    Je suis heureux d’être acculé à une confiance totale. J’ai envie de m’engager dans le sombre passage de la mort, parce que je crois que, dans l’inconnu, brille une lumière : celle d’un visage. « Fais luire sur moi la lumière de ta face ». Plus encore, une main saisira la mienne, comme il est figuré sur tant d’icônes. Jésus, descendu au séjour des morts, s’empare du poignet d’Adam. Et son geste est plus prompt que celui du terreux : « Au-devant de mon impatience, son impatience accourra ».

    C’est le défi que Prométhée enchaîné jette à Zeus, mais je le reprends pour en faire une confession d’espérance dans l’élan de Jésus.

    On dit souvent : dans la mort, nous ne savons pas où nous allons. C’est vrai, mais nous savons vers qui nous allons : « puisque c’est toi, donne-moi l’ordre de me laisser attirer par toi, par la puissance de ta générosité ».

    Une autre prière m’a été fournie par le verset d’un psaume : Qu’ils ne cessent pas d’espérer en toi, ceux pour qui j’ai été un obstacle sur le chemin qui conduit vers toi ». Je l’ajoutais aux répons de Laudes et de Vêpres. Pas par piété, mais par nécessité.

    Inutile de vider le sac de mon passé. Mais je tiens à reconnaître que j’ai été pierre d’achoppement. Je demandais – et je vais le faire plus et mieux – que le Seigneur, plein de tendresse, apporte les réparations, les guérisons dont je n’étais pas capable. J’ai essayé de m’ouvrir à son pardon, mais je le supplie de le faire fructifier chez les autres.

    Confiez-moi à la fidélité du Seigneur : elle est meilleure que la mienne.

    Mais n’oubliez pas de le remercier avec moi pour tout ce qu’il a prodigué au fils prodigue que je suis. 

    Merci pour le privilège de ma famille et de sa précieuse affection.

    Merci pour tant d’amies et d’amis : ils m’ont entouré et encouragé. Je n’ai jamais eu l’impression d’être un moineau solitaire au bord du toit.

    Merci pour la grâce de ma vocation qui m’a atteint à travers eux tous. Elle témoigne de l’humour et de la patience du Seigneur. Elle en a peut-être étonné plus d’un. Elle m’a étonné le premier.

    Merci pour toutes les fois où les paroles du Christ et les textes de la foi sont devenus ardents, comme les braises sur lesquelles l’Esprit souffle.

    Merci pour mes frères jésuites et mes compagnons scouts : ils m’ont aidé à suivre les traces de ses pas.

    Je ne sais pas à l’avance comment je serai mort, mais je voudrais vraiment ne pas m’être débattu.

    Dans le Canon de Vatican II, pour la messe de réconciliation, il y a une formule qui est une magnifique définition de la mort « le jour béni de ta venue et de notre joie ». Ce jour-là, en effet, s’accomplit le vœu ardent que j’emprunte à Ignace d’Antioche : « Theou epituchein » : « obtenir Dieu, obtenir de le rejoindre ». Que de fois, dans le bréviaire, j’ai été amené à souhaiter : « Ne me cache pas ton visage »

    Un mot de l’abbé Pierre m’a frappé : « Mourir c’est rencontrer »

    Rencontrer Dieu, comme on vient de l’augurer. Mais rencontrer aussi, revoir tous les miens, transformés, et reconnaissables, selon le meilleur d’eux-mêmes.

    Grâce à la mort, je vais, enfin, devenir capable d’aimer : unifie mon cœur. Quelle explosion de joies multiples !

    D’autant qu’il nous sera donné de nous associer à l’action de grâce du Christ à jamais vivant.

    Si j’ai dépassé la mesure d’une homélie, ne m’en veuillez pas, cela ne m’arrivera plus.

    Mais j’ai cédé au plaisir de partager ces prières avec vous, avec vous tous qui avons fait route ensemble pour ensemble le trouver. Ainsi soit-il !

  • Belgique : la question cruciale du remplacement des F-16

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    De Marie-Madeleine Courtial sur la-nouvelle-gazette.fr :

    Belgique : pourquoi le remplacement des F-16 est-il un dossier si important pour l’avenir de la Défense belge 

    Dans une longue note de 62 pages publiée sur le site du RMES (réseau multidisciplinaire d’études stratégiques), trois universitaires belges : Wally Struys, Joseph Henrontin et André Dumoulin font le point sur le dossier du remplacement des F-16 belges dans une analyse fouillée et très poussée de qualité. Ce dossier se révèle d’une extrême importance pour la Belgique à différents niveaux et s’inscrit dans la logique des questions posées sur l’avenir de son armée.

    Le ministère de la Défense belge est en train de travailler sur la présentation d’un plan stratégique de dix ans. Ce n’est qu’après la parution de ce plan que ce sera lancé véritablement la phase de programmation sur le remplacement des F-16 pour connaître les besoins exacts avant d’aborder la phase d’acquisition dans le but de signer un accord en 2018. La Composante air a une importance capitale, souligne la note : « dans ce cadre (d’opérations internationales), une Défense sans capacité aérienne n’est ni crédible, ni efficace et risque de reléguer définitivement la Belgique dans la liste des passagers clandestins « profitant de la sécurité offerte par ses voisins et alliés. » Mais surtout la Belgique, peu à peu, n’a plus participé à des opérations terrestres de haute intensité depuis la mort au Rwanda de 10 paras-commandos le 7 avril 1994. En 2000, le gouvernement Verhofstadt I y a définitivement renoncé. C’est ainsi que la Composante air a pris une place particulière en Belgique et qu’elle doit être opérationnelle : « si la Belgique désire montrer sa solidarité avec ses partenaires et participer à une opération multinationale, mais qu’elle ne dispose pas d’avions de combat, elle peut subir des pressions afin de déployer des troupes au sol dans un environnement risqué puisqu’elles dépendraient entièrement de l’appui aérien des partenaires, qui peuvent avoir d’autres priorités. » Il s’agit d’éviter d’avoir à intervenir au sol.

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  • Fête du 15 août 2015 à l'église du Saint-Sacrement à Liège

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    EGLISE DU SAINT-SACREMENT À LIÈGE

    Boulevard d’Avroy, 132 

    SAMEDI 15 AOÛT 2015 À 10 HEURES

    MESSE DE LA

    FÊTE DE L’ASSOMPTION DE LA SAINTE VIERGE   

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    Célébrée selon le missel de 1962.

    Évangile du Magnificat (Luc,1, 41-50)  

    Chants  grégoriens

    Propre de la messe « Signum Magnum ». Kyriale IX « Cum Iubilo ». Magnificat du ton royal (Paris, XVIIe s.). Hymne Ave Maris Stella (IXe s.)

    Motets  classiques à Notre-Dame 

     par la Schola du Saint-Sacrement   

    A l’orgue, Patrick Wilwerth, professeur au conservatoire de Verviers.

    Autres renseignements : tél. 04.344.10.89 ou sursumcorda@skynet.be 

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  • 15 août : sonner les cloches pour ne pas oublier les chrétiens d'Orient

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    Rome suivra-t-elle le mouvement qui s’amplifie ? De Radio Vatican(RV):

     « Il y a un an, les chrétiens d'Irak étaient chassés de la plaine de Ninive par les djihadistes de l'État islamique. Pour ne pas les oublier, les cloches de la cathédrale Notre-Dame de Paris et de nombreuses églises en France sonneront le 15 août à midi en soutien aux chrétiens d'Orient. Une cinquantaine de diocèses français ont d'ores et déjà annoncé leur intention de participer à cette opération, qui est également en train de faire tache d'huile à l'étranger : l'initiative « Christian Bells » sera reprise dans plusieurs pays d'Europe.

    Deux diocèses espagnols, tous les diocèses de Belgique, ainsi que ceux de Luxembourg et de Genève-Lausanne-Fribourg, ont annoncé leur intention de s'associer à l'opération. A Rome, la basilique Sainte-Marie-in-Cosmedin, qui dépend du patriarcat grec-melkite catholique, fera elle aussi sonner ses cloches au même moment. Les cloches du diocèse catholique d’Islande, le plus nordique du monde, sonneront elles aussi, car, souligne l’évêque, « on ne peut rester insensible à ce qui se déroule en Terre Sainte ».

    « Il s’agira d’un appel à la prière, à l'amitié, à la fraternité », souligne le cardinal Philippe Barbarin, archevêque de Lyon, tandis que le cardinal André Vingt-Trois invite les fidèles parisiens à se souvenir que les douleurs anciennes des chrétiens d'Orient ont connu une aggravation. Il ne reste qu'environ 400 000 chrétiens en Irak, contre 1,4 million en 1987.

    Sesto Chouffot a recueilli la réaction de Mgr Jean-Clément Jeanbart, archevêque grec-melkite d’Alep en Syrie.  Voir ici :

    15 août : sonner les cloches pour ne pas oublier les chrétiens d'Orient

    JPSC

  • Liège – Et pourquoi pas un « 15 août » festif et priant?

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    Lu sur infoCatho.be : 

    Chaque année, le quartier d’Outre-Meuse à Liège accueille plus de 100.000 personnes dans le cadre des festivités du 15 août. Cet événement majeur de l’été allie dans la bonne humeur des manifestations profanes et d’autres à caractère historique et religieux. 

    « Pour fêter le 15 août, il n’y a pas que le pékèt… même si c’est compatible, à condition de procéder dans le bon ordre chronologique ». Cette phrase, extraite du communiqué publié par l’église du Saint-Sacrement à Liège, résume à elle seule le bon esprit qui entoure la tradition populaire dans la cité ardente. Et de fait, avec les années on en viendrait presque à oublier que le point de départ de ces festivités est d’ordre religieux. « Jusqu’à la fin des années cinquante, il s’agissait d’une simple fête paroissiale, avec sa procession encadrée par les habitants de l’île et leurs invités. », rappelle le comité organisateur de la République Libre d’Outre-Meuse. Avec le nombre de spectateurs grandissant pour le cortège folklorique du 15 août, les festivités se sont peu à peu étendues et le quartier a été mis en piétonnier dès le 14 août vers midi, jusqu’au 16 dans la matinée. (Source: www.15aoutliege.be)

    Chorale ou pop-louange, à vous de choisir 

    Dans le cadre des festivités du 15 août, nous avons pointé pour vous deux événements musicaux et religieux. Pour cette édition 2015, le Doyenné de Liège-Outremeuse  joue la carte de l’audace en transformant  une de ses églises, le temps d’une soirée, en mode « Boite de nuit » afin d’y organiser un concert du groupe de ‘pop-louange’ Jesus Trip. « Plus on est de fous, plus on prie ! », c’est le slogan de ce groupe qui, en pleine tournée du ‘DANCE FOR GOD – Tour’, fera une étape exceptionnelle ce vendredi 14 août à 21h00 en l’église Saint Nicolas d’Outremeuse à Liège pour un concert gratuit qui se veut festif et accessible à tous ! Infos sur: www.jesus-trip.be 

    100_8758.JPGDans un style plus traditionnel, la messe de l’assomption à l’église du Saint-Sacrement à Liège fera la part belle au classique avec la participation de la schola du Saint-Sacrement.  Au cœur de cette messe, célébrée selon le missel de 1962, on  aura plaisir à retrouver notamment des chants grégoriens dédiés à Marie. Au programme: propre de la messe « Signum Magnum », Kyriale IX « Cum Iubilo » (XIIe s.). Magnificat du ton royal (Paris, XVIIe s.) ou hymne « Ave maris stella » (IXe s.) et des Motets classiques à Notre-Dame par la Schola du Saint-Sacrement et à l’orgue, Patrick Wilwerth, professeur au conservatoire de Verviers. Plus de renseignements sur le site de l’église du Saint-Sacrement à Liège.

    Un folklore préservé et développé 

    Le programme comporte: d’une part une procession et31---Arrivee-de-la-procession.jpg une messe en wallon, avec la participation de groupes folkloriques, la distribution des petits pains bénis, la bénédiction des fiancés et la vénération des potales (niches accueillant une statue de la Vierge Marie ou d’un Saint) ; d’autre part, un marché aux puces(le week-end avant le 15), des concerts, des jeux populaires, un tir de campes (tradition des anciennes fêtes paroissiales), la sortie du bouquet d’Outre- Meuse (datant de1776), des danses folkloriques sur podium, et un grand cortège, l’après-midi du 15,  avec des groupes  venant de l’étranger et de Belgique (plus de 1000 participants + chars), les fêtes constituent la plus grande manifestation d’été de la région liégeoise. (Source:http://www.15aoutliege.be)

    Pour le programme complet des activités, consultez le site de la ville de Liège.

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