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Belgique - Page 238

  • Liège (Université), mardi 26 mai : LA FAMILLE DANS LES RELIGIONS MONOTHÉISTES

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    Copie de ulg_28janv.jpg

    Dans la situation actuelle de la culture occidentale, nous sommes en présence d’une crise d’identité de la famille dont la conception va des familles décomposées et recomposées, aux familles monoparentales et aux familles homosexuelles. Cette crise d’identité de la famille est en corrélation avec la crise des relations humaines dans la vie sociale : manque de sécurité, manque de respect, de solidarité, de compassion. Cette année, nous posons la question de savoir si les liens familiaux constituent un problème pour la société actuelle caractérisée par une culture relativiste qui porte aux extrêmes l’individualisme totalitaire du moi ou si c’est justement la famille la solution. Nous recherchons cette solution dans la révélation que Dieu a donnée de la famille et que notre monde a un urgent besoin de connaître.

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    MARDI 26 MAI 2015 A 18H00 A L’UNIVERSITE DE LIEGE

    LA FAMILLE DANS LES RELIGIONS MONOTHÉISTES

    (JUDAISME, CHRISTIANISME, ISLAM) 

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    Table ronde avec

    Albert GuiguiGrand Rabbin de la Communauté Israélite de Bruxelles,
    Renée Toussaint-NottinProfesseur de philosophie au Séminaire de Namur,
    Radouane AttiyaAssistant au département des sciences de l’Antiquité de l'Université de Liège - service de langue arabe, études islamiques et histoire de l’art musulman

    Modérateur : chanoine Armand Beauduin, ancien Secrétaire Général de l’Enseignement Catholique 

    Un premier temps, avant le lunch, sera consacré à la présentation de la doctrine du mariage et de la famille dans les trois grandes traditions monothéistes, son sens et ses articulations : chaque orateur soulignera quelques aspects qu’il considère comme les plus caractéristiques de sa propre tradition.

    Dans un second temps, après le lunch, le modérateur animera un échange entre les uns et les autres, à partir de deux questions distinctes : Comment la doctrine que vous avez présentée est-elle actuellement reçue au sein de votre Communauté et comment réagissez-vous aux doctrines exposées par les autres orateurs ?

    Cette rencontre se tient a la salle des professeurs dans le bâtiment du Rectorat de l’Université de Liège, place du XX août, 7, 1er étage (accès par la grande entrée : parcours fléché).

    Apéritif à 18h00, exposés suivis du lunch et du débat, de 18h15 à 20h30

    Participation aux frais : 10 € (à régler sur place); 2 € pour les étudiants
    Inscription nécessaire trois jours ouvrables à l’avance (mercredi 20 mai 2015
    soit par téléphone : 04 344 10 89, soit par email : info@ethiquesociale.org
    soit via le site web éthique sociale, en cliquant ici : la famille dans les religions monothéistes (judaisme, christianisme, islam)

  • Bruxelles, "aux Minimes", 8 mai : fête de sainte Jeanne d'Arc

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  • En Wallonie et à Bruxelles : la ministre Milquet menace de reporter à 2016 la dispense des cours de religion dans l’enseignement « officiel »

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    D’Isabelle Lemaire dans « La Libre »

    « Pour Joëlle Milquet, la coupe est pleine. La ministre CDH de l’Éducation doit faire face à l’arrêt de la Cour constitutionnelle qui a ouvert le droit aux élèves de l’enseignement officiel de ne suivre ni cours de morale ni cours de religion. Elle tente depuis d’organiser la rentrée scolaire 2015. La ministre a transmis une circulaire aux écoles du réseau officiel demandant à ce que les parents précisent leur choix via un questionnaire : cours de religion, de morale (option 1) ou ni l’un ni l’autre (option 2).

    Mais voilà, la Fapeo (association de parents de l’enseignement officiel) a appelé fin avril les parents à choisir l’option 2. Et deux pouvoirs organisateurs de l’officiel (le Cpeons et le CECP) ont embrayé en envoyant une lettre à toutes les communes leur demandant de relayer la lettre de la Fapeo. Comme si cela ne suffisait pas, certains pouvoirs organisateurs (celui de Bruxelles-Ville, par exemple) ont distribué leur propre version du questionnaire.

    Démarche illégale

    Quelle est la position de la ministre face à cette fronde ? "On rêve ! On est à Moscou, dans une dictature ? Outre le fait que la démarche de la Fapeo est illégale, car le Pacte scolaire interdit tout frein au libre choix, cette laïcité militante rend impossible l’organisation de la rentrée, vu qu’il n’y a pas de moyens complémentaires pour l’encadrement", s’exclame Joëlle Milquet. Car le risque est grand d’avoir de nombreux élèves dispensés dont il va falloir occuper.

    La ministre, qui va rencontrer les frondeurs ce mardi, menace : "Si ça continue, je ne dépose aucun texte sur la dispense car rien ne m’y oblige. Et je reporte le décret sur l’organisation de la dispense à 2016, en liant le tout avec le cours de citoyenneté." 

    Ref. Milquet menace de reporter à 2016 la dispense des cours de religion

     

     C’est en effet ce qu’il y aurait de mieux à faire : attendre la mise en place de ce 8e cours offert en option obligatoire aux élèves qui récusent la religion et la morale laïque…

    JPSC

  • GPA : il n'y a pas de traite d'êtres humains "éthique" !

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    GPA: Il n’y a pas de traite d’êtres humains éthique !

    Une opinion de Joseph Junker, Ingénieur civil et blogueur à www.speculooz.com publiée sur LaLibre.be :

    Ce dimanche 3 mai au siège du gouvernement bruxellois, des bébés ont été vendus. Au cœur de notre capitale, des contrats ayant pour objet la livraison d’un être humain ont été négociés. Inacceptable. Abject. Répugnant. On m’accusera sans doute volontiers de lancer des points Godwin à l’emporte-pièce, je n’en ai cure. Car quand dans une démocratie des enfants sont l’objet d’un commerce, que peut-il arriver de pire ? Quelle est l’étape suivante ?

    On ergote volontiers sur l’aspect scandaleusement commercial de ces transactions, mais il faut aussi se rappeler le fond de la chose qui n’est guère plus reluisant : Il s’agit d’une part d’enlever un enfant à peine né à sa mère pour le confier à des gens qui ne sont pas ses parents et d’autre part de prostituer (pardon en langage politiquement correct « de louer »), neuf mois durant pour des tiers le corps d’une femme en l’une des choses les plus intimes : sa maternité. Si je conviens volontiers que le fait de payer pour cela ajoute un relent particulièrement désagréable à la chose, quiconque a tenu comme moi un nourrisson dans ses bras comprendra qu’il lui importera peu de savoir un jour s’il a été vendu ou « donné » comme un chaton. Ce qui compte pour lui et le rends inconsolable, c’est sa maman. Le reste n’est que détail, rien de plus que l’arme du crime par lequel est commise l’injustice ultime : celle faite à un enfant.

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  • A propos de la prononciation gallicane du latin

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    De l’abbé Claude Barthe sur le « Forum Catholique » :

    « Le latin en général et le latin du culte en particulier se prononçait jadis selon les habitudes locales. Le latin "à la française", c'est-à-dire selon la prononciation parisienne ne s'est vraiment imposé partout en France qu'au XVIIe siècle. C'était la prononciation des juristes, des collèges, plus tard de l'Université napoléonienne, de la liturgie. C'est pourquoi on dit toujours un "Te Deom", ou on parle encore de la Bulle UnigenitUs. On est passé à la prononciation italienne assez tard, à partir de la Séparation (en même temps que les clercs ont commencé à abandonner le rabat français, mais pas l’élégant chapeau français à bords retournés). Ma grand-mère répondait encore la messe à la française et j'ai connu des prêtres qui en avaient conservé des restes (le gn dur, par exemple, pour Agnus Dei : AkgnUs Dei, comme dans gnose). Sans parler des films de don Camillo, version française : "DominUs vobiscom". Il existe une lettre de saint Pie X louant l'archevêque de Bourges d'encourager une prononciation se rapprochant de la prononciation romaine. Jusqu’à l’adoption de la prononciation "restituée", cicéronienne à ce qu’il paraît, l’Université prononçait à la française. Pierre Chaunu racontait qu’à la fin des repas d’agrégés, il n’était pas rare qu’un professeur improvisât un discours latin, prononcé comme l’eût fait Bossuet ou le cardinal Pie. Je crois que c’est ce dernier qui faisait taire les rires des prélats italiens à l’audition d’un de ses discours, lors du Concile du Vatican, par un rageur : "GallicUs som" ! »

    Ce que nous rappelle l’abbé Barthe est tout aussi valable pour la Belgique francophone. J’entends encore notre professeur du droit des obligations à l’université de Liège, dans les années 1960,  prononcer : « pacta sOnt servANda » et notre curé, qui parlait de la « missa pro defUNctis », chanter bien sûr  « DominUs vobiscOm », sans oublier d’annoncer  « Te DeOm » pour la Fête nationale. Tombant sur ces lignes, un catholique postconciliaire, sans mémoire ni racines, n’y perdrait même pas son latin puisque c’est déjà fait.

    JPSC  

  • 6 mai : la démission de Mgr Léonard

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    phpthumb_generated_thumbnailjpg-g.jpgDe la page facebook du Père T. Scholtes S.J. :

    "Le mercredi 6 mai 2015, Mgr. André-Joseph Léonard aura 75 ans et remettra au Pape François, sa démission comme Archevêque de Malines-Bruxelles et Président de la Conférence épiscopale de Belgique, conformément au canon 401§1 du Code de Droit canonique (“L’Evêque diocésain qui a atteint soixante-quinze ans accomplis est prié de présenter la renonciation à son office au Pontife Suprême qui y pourvoira après examen de toutes les circonstances.”). Pour ce faire, il remet sa lettre au Nonce Apostolique, Mgr Giacinto Berloco, Ambassadeur du Saint-Siège dans notre pays.

    Les semaines et les mois à venir, trois scénarios sont possibles.

    1) Le Pape peut immédiatement accepter la démission de Mgr. A.-J. Léonard et demander au Collège des consulteurs de désigner un administrateur pour l'Archidiocèse jusqu’à la nomination d’un nouvel Archevêque de Malines-Bruxelles.
    2) Le Pape peut également demander à Mgr Léonard de rester en fonction jusqu’à l'arrivée du nouvel Archevêque.
    3) La troisième possibilité est la prolongation du mandat de l'Archevêque pour une période spécifique.

    Le Nonce apostolique joue un rôle central dans la succession de Mgr. Léonard comme Archevêque de Malines-Bruxelles. Il doit établir la liste de trois candidats - la «terna» - et l’envoyer à Rome (cf. Canon 377 §3). Cette liste est une compilation des suggestions de l'Archevêque et de tous les évêques diocésains. Le Nonce note aussi sa préférence personnelle. Il doit également entendre l’avis de certains membres du Collège des consulteurs et du Chapitre des chanoines. Le Nonce est libre de demander l'avis d'autres membres du clergé ou de laïcs. Le Pape garde la liberté de confirmer un choix ou non (cf. Canon 377 §1; 378 §2)."

     

    Nous regretterons le départ de Mgr Léonard qui a eu à coeur, durant ses années d'épiscopat à Namur et d'archiépiscopat à Malines-Bruxelles, de veiller avec sollicitude sur les communautés diocésaines qui lui ont été confiées. Soucieux des réalités de terrain, il a consacré son temps et ses énergies à de nombreuses visites pastorales à la rencontre des paroisses. Cela ne l'a pas empêché de se dépenser pour la relève sacerdotale avec le succès que l'on sait et qui fait des séminaires dont il a assuré la responsabilité de notables exceptions à l'affaissement généralisé observé dans nos régions. La Fraternité des Saints Apôtres représente, grâce à lui, un espoir de renouveau et de relève sacerdotale dont bénéficie déjà l'église Sainte-Catherine au coeur de la capitale. Mais nous avons surtout apprécié le courage avec lequel, malgré un climat d'hostilité entretenu à son égard par les médias et par certains politiques, il a su, à temps et à contretemps, rappeler les positions de l'Eglise concernant notamment le respect de la vie, le mariage, la famille et la morale sexuelle. Espérons que Rome veillera à placer à la tête de l'Eglise de Belgique une personnalité forte capable de maintenir le cap avec cette même détermination au service de la foi et de l'Eglise. Nous prierons pour cela.

    belgicatho

  • Bruxelles : SUCCES DE L’ACTION ANTI-GPA CE DIMANCHE 3 MAI PLACE ROYALE

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    DSC_0598.jpg"Action pour la Famille" se réjouit du SUCCES DE L’ACTION ANTI-GPA CE DIMANCHE 3 MAI PLACE ROYALE :

    Nous étions près d’une centaine ce dimanche 3 mai pour manifester notre opposition à la gestation pour autrui (GPA) devant le siège du gouvernement de la Région Bruxelles capitale. Dans ce bâtiment public (!?) se tenait un salon Devenir Homopapa organisé par l’association américaine Men Having Babies en vue de faire de la publicité pour les agences américaines qui proposent, moyennant paiement, le recours à une mère porteuse rémunérée.  

    Cette action montée par No Maternity Traffic (SIGNEZ la pétition qui se trouve sur leur site)  dont Action pour la famille asbl-Actie gezin vzw est membre a été très largement couverte par les médias francophones et flamands. Ci-dessous quelques liens vers des articles de presse.

     

    Une couverture complète et des photos sur notre action sont disponibles sur notre site http://www.actiegezin-actionfamille.be et sur notre page Facebook  https://www.facebook.com/agafasbl.

    La députée MR Anne-Charlotte d’Ursel interpellera le président de la Région de Bruxelles capitale Rudy Vervoort (PS) sur l’utilisation du bâtiment du siège du gouvernement bruxellois par des associations qui promeuvent ce que Karin Jiroflée (socialiste flamande SPA) dénonce comme de la « traite d’êtres humains ».  Le président du CdH, Benoît Lutgen, rappelle avec force que son parti s’oppose à toute marchandisation de l’humain.

    Nous continuons à rencontrer des Sénateurs et des Députés d’un plus grand nombre de partis possible pour les sensibiliser sur la gestation pour autrui, qui est toujours commerciale (puisque les intermédiaires, médecins, juristes, psychologues etc. qui l’accompagnent sont rémunérés) et qui constitue non seulement une marchandisation mais un véritable trafic de femmes et d’enfants. Notre objectif reste d’obtenir une interdiction légale et totale de la GPA en Belgique (comme le demande le CdH dans son programme électoral).

    Un tout grand merci à toutes celles et ceux qui nous ont aidé et soutenus !

  • MANIFESTATION "SENTINELLES" ANTI-GPA CE DIMANCHE 3 MAI DE 9h à 10h PRECISES PLACE ROYALE à BRUXELLES

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    unnamed.pngMANIFESTATION "SENTINELLES" ANTI-GPA CE DIMANCHE 3 MAI DE 9h à 10h PRECISES PLACE ROYALE

    Ce dimanche 3 mai, l’organisation américaine Men Having Babies (par gestation pour autrui GPA)  tient un colloque dans le but de faire de la publicité pour les firmes américaines qui proposent, moyennant paiement, le recours à une mère porteuse dans tous les pays où ce n’est pas interdit, dont la Belgique. 

    Cette mère porteuse peut être indienne, ukrainienne, népalaise, américaine… Selon les firmes, le coût d’un bébé se situe entre 91 000 et 136 000 dollars US. 

    Cet événement a pour nom Devenir homopapa pour les européens et promeut la GPA commerciale, alors qu’en ce moment au Sénat ont lieu des auditions sur l’opportunité ou non d’encadrer la GPA en Belgique. Toutes les propositions de loi déposées veulent interdire la GPA commerciale. 

    Dans ce contexte, il est pour le moins curieux que la Région bruxelloise ait mis la Maison de la région-BIP, située sur la Place royale, à la disposition d’entreprises commerciales américaines (Extraordinary conceptions, Worldwide Surrogacy etc.) 

    Il n’est pas acceptable que la Région bruxelloise avalise implicitement une pratique contraire aux droits fondamentaux des femmes et aussi des enfants, puisque dans le cadre de GPA ces enfants n’auront pas accès à la connaissance de leur origine maternelle.

    Action pour la famille asbl-Actie gezin vzw est membre de l’association No Maternity Traffic qui organise la manifestation : soyez tous présents ce dimanche à 9h PRECISES (nous devrons partir à 10h) Place Royale pour vous opposer à la GPA et sa commercialisation par des agences américaines ! 

    Il s'agit d'une action "sentinelles" silencieuse avec un espace entre les manifestants car nous serons en zone neutre. La police a autorisé cette action.

    Action pour la famille asbl-Actie gezin vzw
    http://www.actiegezin-actionfamille.be

     

    Nous sommes sur Facebook : inscrivez-vous !
    https://www.facebook.com/agafasbl

     

     

    Action pour la famille asbl est une association pluraliste et indépendante qui ne reçoit aucun financement d’institutions publiques ou privées.

  • BXL, 14 mai : rencontre des familles chez les Frères de Saint-Jean

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  • Belgique : vers une nouvelle extension de l’euthanasie ?

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    Du Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique :

    Belgique : vers une nouvelle extension de l’euthanasie ?

    Reprenant les textes déjà déposés lors de la précédente législature, trois propositions de loi (déposées par Mme Karin Jiroflée et consorts, sp.a ) modifiant la loi du 28 mai 2002 relative à l’euthanasie viennent d’être déposées à la Chambre des députés belge, sans qu’un agenda précis ne soit pour l'heure évoqué.

    La première proposition (Doc 54 1013/001) vise à autoriser l’acte d’euthanasie pour le patient incapable d’exprimer sa volonté qui est inconscient ou qui est, dans le cadre d’une affection cérébrale non congénitale, à un stade avancé tel qu’il se trouve dans l’état physique ou psychique qu’il a décrit dans sa déclaration.

    La deuxième proposition (Doc 54 1014/001) vise à modifier la loi du 28 mai 2002 relative à l'euthanasie en ce qui concerne la durée de validité de la déclaration anticipée. Alors qu'à l'heure actuelle, une telle déclaration est valable pour une durée de 5 ans, les auteurs de la proposition souhaitent lever la limitation dans le temps de la validité de la déclaration, tout en conservant son caractère révocable.

    Quant à la troisième proposition (54K1015001), elle concerne l'obligation de renvoi par le médecinqui estimerait ne pas pouvoir pratiquer lui-même l’euthanasie pour des raisons médicales ou en vertu de la clause de conscience. Il devrait alors se charger de trouver un confrère prêt à poser cette acte que lui-même refuse de poser.

    A propos des "Clauses de conscience pour les professionnels de la santé" voir la Brochure de l'IEB (aussi disponible en version papier sur simple demande)

  • Séminaires belges : la palme pour Monseigneur Léonard

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    Lu ce jour sur infoCatho.be

    L’Eglise de Belgique a publié le nombre de séminaristes pour cette année en Belgique. Ils sont 106 dont 20 nouveaux, répartis dans les différents diocèses du pays.

    C’est dans le diocèse de Malines-Bruxelles qu’on trouve le plus de séminaristes et le plus de nouveaux également : 53 séminaristes dont 10 nouveaux. En termes de proportion, la partie francophone est largement plus représentée avec 83 séminaristes dont 15 nouveaux. En Flandre, ils sont 23 dont 15 nouveaux.

    Découvrez ci-dessous le détail de ce recensement pour l’année 2014-2015, diocèse par diocèse :

    Anvers : 4 séminaristes dont 1 nouveau : 3 à Leuven et 1 à Bovendonk.

    Bruges : 10 séminaristes dont 3 nouveaux : 9 à Bruges et 1 en stage.

    Gand : 2 séminaristes : 1 à Leuven et 1 en stage.

    Hasselt : 3 séminaristes dont 1 nouveau : à Leuven.

    Liège : 4 séminaristes : 3 à Namur et 1 en stage.

    Namur :

    • Séminaire Notre-Dame : 8 séminaristes dont 1 nouveau.
    • Séminaire « Redemptoris Mater » : 13 séminaristes dont 2 nouveaux : 11 à Namur et 2 en stage.

    Total pour Namur : 21 séminaristes.

    Malines-Bruxelles :

    • Johannes XXIII – Seminarie : 4 séminaristes : 3 à Leuven (dont 1 de la Fraternité des Saints Apôtres) et 1 à Bovendonk.
    • Séminaire Notre-Dame d’Espérance : 11 séminaristes dont 1 nouveau : 8 à Namur et 3 en stage (dont 1 de la Communauté du « Verbe de Vie »).
    • Séminaire « Redemptoris Mater » : 22 séminaristes dont 2 nouveaux : 19 à Limelette et 3 en stage.
    • Fraternité des Saints Apôtres : 16 séminaristes dont 7 nouveaux : 14 à Marche-les-Dames (résidence) et à Namur (études) ; 2 en stage.

    Total pour Malines-Bruxelles : 53 séminaristes (dont 6 néerlandophones).

    Tournai : 9 séminaristes dont 2 nouveaux : 8 à Namur (dont 1 en stage) et 1 à Lille en stage.

    Total pour la partie francophone du pays : 83 séminaristes (N.B. : parmi eux 2 néerlandophones de Malines-Bruxelles) dont 15 nouveaux.

    Total pour la partie néerlandophone : 23 séminaristes dont 5 nouveaux ; (N.B. : en plus des 23 : 2 néerlandophones de Malines-Bruxelles formés à Namur).

    Total pour le pays : 106 séminaristes dont 20 nouveaux.

    Réf. Les séminaires belges accueillent 20 « nouvelles vocations » cette année

    Malines –Bruxelles et Namur récoltent les fruits du travail de Mgr Léonard.

    Pour mémoire, si vous voulez marquer votre soutien à notre archevêque , un click ici

    http://www.lalibre.be  puis dérouler  vers le bas le menu principal qui apparaît.

    JPSC 

  • Histoire belge : neutralité et pluralisme dans l’enseignement organisé par les pouvoirs publics

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    Le premier principe énoncé par la constitution belge en matière d’enseignement est que celui-ci est libre. A ce titre, plus de la moitié des écoles belges relèvent de l’enseignement confessionnel catholique.  Si des pouvoirs publics organisent leurs propres réseaux, ceux-ci sont censés être neutres. A ce titre  le Constituant leur impose  d’offrir en option –jusqu’ici obligatoire-   entre un cours de religion  relevant de l’un des six cultes reconnus ou un cours de morale non confessionnelle.  Ce faisant, la loi conjugue le double concept de pluralisme et de neutralité.

    Des parents ont contesté que ce choix soit obligatoire pour l’élève, au motif que le cours de morale non confessionnelle n’était pas neutre mais dédié à la morale laïque, philosophiquement engagée. La cour constitutionnelle leur a donné raison et, au titre de la neutralité de l’enseignement des pouvoirs publics, leur a reconnu le droit de ne pas choisir.

    Alors que vont faire les élèves durant ces heures de cours ? Eh bien, dans l’enseignement officiel francophone, les petits protégés de la cour constitutionnelle suivront une option obligatoire de plus, baptisée « citoyenne » : un thème si joli qu’on en saupoudrera même les autres cours existant dans la panoplie.

    Lu dans ce communiqué de l’agence Belga publié par « La Libre «  :

    « L'an prochain, les élèves de l'officiel devront choisir entre la religion, la morale ou "autre chose". La ministre de l'Education Joëlle Milquet promet que cet "autre chose" proposera de la matière et sera évalué, comme les autres, peut-on lire jeudi dans Le Soir. La ministre a préparé une note d'orientation prévoyant de mettre au travail les élèves qui choisissent d'être dispensés des cours philosophiques, par des lectures, des travaux écrits, des contributions orales et des activités en lien avec le thème de la citoyenneté. Il y aura évaluation de l'élève - et des points. Tout cela reste à détailler, bien sûr, mais telle est l'idée.

    La note d'orientation sera déposée sous peu au gouvernement et soumise à la concertation. En ce qui concerne l'encadrement, les élèves en dispense seraient encadrés par les profs de religion/morale. ».

     Ref. Religion à l'école: qu'y aura-t-il dans le "cours de rien"?

    JPSC