130 € / Pension complète 33 € par jour
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Lu sur la Libre (Libre opinion), le 16 juin :
Notre "libre choix" d’enterrer notre enfant et de l’inscrire dans notre histoire
Une opinion de Carine Thieffry, mère de famille
J’ai perdu un enfant. Il n’était pas bien grand, à peine 10 cm. 10 cm mais un cœur qui battait.
La vie change tout de suite de couleur. Chaque fibre de mon corps s’organise et se réoriente vers cette vie naissante. Le cœur s’ouvre au dialogue avec ce petit qui se développe cellule après cellule, dans un processus tellement doux, normalement ininterrompu, jusqu’à la naissance. La première échographie est d’ailleurs un moment magique : mon bébé bouge et je le vois. Il est quelqu’un !
Quand un jour les pertes de sang m’ont alertée, j’ai couru chez le gynéco. Et là, le verdict tombe : le cœur ne bat plus, le fœtus est mort. Et pour me consoler, il me dit que « la nature fait parfois bien les choses : une forme de sélection naturelle. »
Vient ensuite la mise en route de la machine médicale pour faire un curetage et nettoyer l’utérus. Mon enfant de 10 cm sera inspecté, analysé, pour comprendre la possible cause de cet arrêt de grossesse. Ce tout petit dont j’ai vu le visage et qui a entendu ma voix, on me dit qu’on va le jeter et le brûler avec les autres déchets hospitaliers. Voudriez-vous me faire croire que pour mieux m’en remettre, il faut faire semblant qu’il n’a pas existé ?
Au contraire, je lui ai donné un nom : il s’appelle Alexandre. Mais son corps est dans la poubelle…
Une loi qui reconnaîtra l’existence furtive de l’enfant né sans vie à partir de 140 jours
Face à la souffrance de tant de mamans, des hommes et des femmes sensibles ont compris combien nous, les parents endeuillés dès avant la naissance de leur enfant, avions besoin d’inscrire nos enfants nés sans vie ou morts durant la grossesse dans le grand livre de l’Histoire et de notre vie sociétale.
C’est ainsi que ces gens de cœur ont déposé une proposition de loi qui reconnaîtra l’existence furtive de l’enfant né sans vie à partir de 140 jours. Cette loi permettra à ceux qui le demandent de prendre soin du corps de cet enfant mort avant de voir le jour : nous pourrons l’enterrer.
En effet, qui pourrait rester insensible à la blessure de ces parents dont l’enfant né sans vie est considéré comme un déchet ?
Cette réflexion parlementaire a été initiée depuis plusieurs années. Les associations de parents (Vlavabbs, Met Lege Handen, Parents désenfantés asbl) se réjouissent. Nous arrivons bientôt, enfin, à une reconnaissance de la réalité et de tous nos « Alexandre ». C’était un accouchement. Cela restera mon enfant toute ma vie.
Les parents désenfantés prématurément demandent tout simplement la reconnaissance de leur tout petit de 140 jours et de 10 cm, mais certains idéologues craignent que cette reconnaissance ne mette en danger la loi dépénalisant l’avortement.
Au nom du combat idéologique, nombreux sont ceux qui en arrivent à complètement se déconnecter de la réalité des personnes. A quoi bon cette victoire du « libre choix » si notre souffrance de parents qui pleurent, se trouve bafouée, ignorée, piétinée ?
Pour faire le deuil de cette vie qui a grandi en mon sein avec laquelle j’ai tissé des liens, qui a échangé avec mon mari et l’aîné de mes enfants, le nommer, c’est déjà le chérir, mais aussi accepter son existence propre et si brève. Pour ces nombreuses femmes touchées par la perte d’un bébé avant la naissance, aurons-nous assez de cœur et d’audace pour les aider à reconnaître la réalité de cette vie ?
A l’Université de Liège, le mercredi 24 juin 2015 à 18h00 :

Quelle place pour la famille dans la Constitution ?
Lunch-débat animé par le Baron Francis Delpérée

Le juriste d’aujourd’hui a envie de dire « Familles, je ne vous reconnais plus.Les figures d’antan et les familles de Balzac ont, pour une part, disparu. Elles se démultiplient en même temps que leurs contours se brouillent. D’où cette première question qui brûle les lèvres: qu’est la famille devenue — que j’avais de si près tenue et tant aimée, aurait dit Villon — ? Comment l’identifier à l’heure actuelle ? Comment, au juste, la composer ? Que dit, aujourd’hui, la Constitution de la famille? Que devrait-elle dire demain?
De manière concrète, quelles dispositions constitutionnelles y aurait-il lieu de proposer au cours de la présente législature ?
Le Groupe éthique sociale et l’Union des étudiants catholiques de Liège organisent sur ce thème le lunch débat qui clôture leur cycle de rencontres 2014-2015 consacré à la famille. La manifestation sera animée par le baron Francis Delpérée, professeur émérite à l’université catholique de Louvain, membre de l’académie royale de Belgique et membre de la chambre des représentants. Elle aura lieu le mercredi 24 juin prochain à 18 heures à l’Université de Liège, bâtiment du Rectorat , Place du XX août 7, (salle des professeurs, 1er étage), 4000 Liège. En raison de travaux en cours place du XX août, l’accès au bâtiment se fait par la place Cockerill (parcours fléché).
Participation aux frais : 10 € (à régler sur place); 2 € pour les étudiants
Inscription nécessaire trois jours ouvrables à l’avance (samedi 20 juin 2015) :
soit par téléphone : 04 344 10 89
soit par email : info@ethiquesociale.org
soit via notre site internet:http://www.ethiquesociale.org/conference/quelle-place-pour-la-famille-dans-la-constitution/

De Joseph Junker sur Figaro Vox (lefigaro.fr) :
L'euthanasie sans demander votre avis? Bienvenue en Belgique!
FIGAROVOX/TRIBUNE - Un article du Daily-Mail alerte sur l'inquiétant manque de contrôle des pratiques d'euthanasie en Belgique. Un constat que partage Joseph Junker qui souligne l'impunité de certains de ces actes infligés sans le consentement des victimes.
Le moins qu'on puisse dire, c'est que le contrôle de la pratique de l'euthanasie en Belgique n'en finit pas de faire parler de lui à l'étranger, et pas en bien.
Samedi dernier encore, le grand quotidien populaire britannique Daily-Mail (second tirage du royaume) publie un article dévastateur à ce sujet, alors que le débat sur l'euthanasie fait rage des deux côtés de la Manche. La raison? La publication par le très sérieux Journal of medical ethics d'un non moins sérieux rapport académique sur la pratique de l'euthanasie en Belgique. Et le moins qu'on puisse dire, c'est que ses conclusions sont pour le moins inquiétantes pour les ressortissants du plat pays. Son auteur, le professeur Raphaël Cohen-Almagor de l'université de Hull ne mâche pas ses mots: «Les citoyens belges devraient être conscients de la situation actuelle, et savoir que leur vie peut en arriver au point où des médecins pensent qu'elle ne vaut plus la peine d'être vécue, et décider de mettre le patient à mort en l'absence de volonté contraire explicite». Un peu plus loin, le rapport gratifie la Belgique d'un assassin: «les barrières de sécurité prévues par la loi sont inadéquates et insuffisantes», tandis qu'un opposant à la loi ajoute: "Ceci démontre, si les faits exposés sont corrects, que l'euthanasie en Belgique et ailleurs est complètement hors de contrôle et cela explique pourquoi je m'opposerai aux propositions de lois déposées au parlement britannique».
Mais ces faits sont-ils corrects? Ce rapport scientifique n'est-il pas un peu alarmiste? L'euthanasie est-elle vraiment hors de contrôle en Belgique alors que ce pays vient de l'élargir aux mineurs? Une telle dérive, des euthanasies non-consenties seraient-elles donc possibles bien qu'un cadre légal existe pour indiquer précisément ce qui est permis et ce qui ne l'est pas?
Des affirmations en deçà de la réalité
Quand on creuse un peu la question, on est effaré de constater que ces affirmations ne sont pas seulement exactes, elles sont même en deçà de la réalité: ces euthanasies non-demandées seraient non seulement possibles en Belgique, mais elles ne seront tout simplement pas poursuivies et sont même revendiquées sans équivoque et impunément par leurs partisans comme la chose la plus normale du monde.
En février 2014, le professeur Jean-Louis Vincent, de la société de soins intensifs belge, publiait deux articles dans une revue scientifique et dans un quotidien belge de référence. Lequel article contient la phrase suivante au sujet de patients incapables d'exprimer leur volonté: « l'euthanasie non demandée dépasse très largement les quelques mille cas d'euthanasie qui sont enregistrés par an en Belgique. Soyons clair, il ne s'agit pas d'empêcher toute douleur (…) mais bien d'administrer des doses importantes de calmants pour précipiter la mort lorsque la qualité de vie est devenue insuffisante (…) ces interventions actives ne sont rapportées à aucune commission».
Il y a pourtant une différence fondamentale que semble ignorer le Pr. Vincent. Laisser mourir un patient en cessant l'acharnement thérapeutique ou commencer une sédation palliative (par exemple) ayant pour but de soulager la douleur et pour effet secondaire d'hâter la mort, ce sont des soins palliatifs. Administrer une dose létale de calmants avec l'intention délibérée de mettre fin à la vie, c'est l'acte qui constitue la ligne blanche entre soins palliatifs et euthanasie. Une frontière claire qui est expliquée et défendue (avec raison) dans maints séminaires de soins palliatifs, et dont le franchissement implique en Belgique le respect d'un certain nombre d'obligations légales, dont le consentement du patient et la déclaration de l'acte.
Or, résumons le contenu correspondant de ces 2 interventions du Pr Vincent en quelques mots: des euthanasies actives sont pratiquées en Belgique à l'initiative de «l'équipe soignante», sans qu'elles n'aient été décidées ni demandées par le patient voire même par sa famille (à laquelle on octroie cependant le droit d'être consulté). Tout cela sans même que cela puisse être justifié par un quelconque inconfort du patient! Qui, comment et combien, nous ne le saurons jamais car ces pratiques ne sont pas déclarées, pas contrôlées et donc encore moins encadrées.
Des contrôleurs militants et complices
Loin de vouloir remettre de l'ordre dans ces pratiques pourtant clairement illégales, la présidente de la commission de contrôle de l'euthanasie Mme Herremans (qui préside également l'ADMD, le principal lobby pro-euthanasie) s'en fait même le défenseur en allant témoigner en leur faveur en France au procès du Dr Bonnemaison. Les faits reprochés à ce médecin tombent pourtant tant en Belgique qu'en France sous le coup de la loi pénale! Or, au cours de ce procès, Mme Herremans n'hésite pas à affirmer que s'il fallait en Belgique juger tous les docteurs Bonnemaison, les cours d'assise seraient pleines. S'exprime-t-elle en tant que présidente de la commission de contrôle ou de l'ADMD? Nul ne le sait. Toujours est-il qu'elle tient un langage militant et sans équivoque, n'hésitant pas à taxer ses contradicteurs «d'intégrisme puant», à militer en faveur de l'élargissement de la loi et à promouvoir à travers son mandat un interprétation toujours plus souple des conditions de mise en œuvre de l'euthanasie.
Un autre membre proéminent de l'ADMD belge, le Dr Lossignol, avoue quant à lui «outrepasser l'avis des familles» quand le «dialogue est impossible». Comprenez quand la famille n'est pas d'accord. Quant au patient inconscient, «tout est fait pour son bien», ce qui est une manière de dire que sous réserve de bons sentiments, son absence de consentement importe peu.
Le mythe du contrôle de l'euthanasie
On ne peut hélas que donner raison à Mme Herremans sur son affirmation, puisque suivant un rapport de l'observatoire français de la fin de vie, 1,8% des décès belges meurent d'une euthanasie qu'ils n'ont pas demandée, contre 0,6% en France (où l'euthanasie est interdite). Le 7 avril 2012, Wim Distelmans, Président néerlandophone (et pro-euthanasie) de la commission de contrôle tentait d'expliquer pourquoi très peu d'euthanasies sont déclarées à la commission de contrôle du côté francophone (alors que c'est une obligation légale et que c'est indispensable pour en assurer le contrôle). Dans un grand quotidien francophone, il déclarait: «Les médecins disposent pourtant de la possibilité de faire légalement aujourd'hui ce qu'ils devaient faire clandestinement hier! Dans près de la moitié des cas, ils préfèrent la clandestinité.»
De tous ces échanges il faut retenir cette conclusion tout à fait horrifiante: l'euthanasie sans consentement du patient (juridiquement un meurtre donc) est possible en Belgique. Pire encore, elle se fait sous le radar, et une suspicion pèse sur les personnes chargées de contrôler la loi. Loin de la faire respecter, elles semblent encourager ces pratiques, et on a du mal à se détacher de la désagréable impression qu'elles évitent soigneusement qu'elles ne soient poursuivies. En plus de 10 ans, pas un seul de ces cas n'a été transmis au parquet, alors qu'un décès sur 60 serait la conséquence d'une euthanasie non demandée. Dans ce pays, l'encadrement de l'euthanasie s'est avéré une chimère dangereuse et, laissez-moi vous l'avouer franchement, j'ai peur.
Communiqué de presse :
Le bulletin de presse du Saint Siège annonce ce 16 juin 2015 l’agréation de Mgr. Johan Bonny, évêque d’Anvers comme Père Synodal, délégué par la conférence des évêques de Belgique.
Mgr. Van Looy, évêque de Gand, est nommé membre suppléant.
Le Synode Ordinaire de la famille se déroulera à Rome du 4 au 25 octobre 2015.
La synthèse des réponses reçues au questionnaire du Secrétariat du Synode sera disponible sur les sites info.catho.be et Kerknet.be.
Note de Belgicatho : déduire de cette désignation que Mgr Bonny sera le prochain archevêque de Malines-Bruxelles comme le faisait hier un journaliste - trop enclin à prendre ses désirs pour des réalités - paraît bien hasardeux. C'est à tort, espérons-le, que nous avons réagi trop impulsivement à cette annonce dans une note que nous avons retirée du blog.
Pour éviter tout malentendu, la Fabrique d’église de Sainte-Catherine de Bruxelles-centre, sous couvert de son Président Yvan Nobels et de son secrétaire Jean-Roger Drèze, transmet le communiqué suivant émanant de Monseigneur A.-J. Léonard, archevêque de Malines-Bruxelles :
« En juillet de l’an dernier, après en avoir dûment informé Monsieur Alain Courtois, Premier Echevin de la Ville de Bruxelles, il avait été décidé de procéder à la réouverture de l’église Sainte-Catherine pour une période expérimentale allant de septembre 2014 à juin 2015. Le but était de déterminer, dans l’éventualité d’un usage partagé de l’édifice, quel espace, plus ou moins grand, devait être réservé au culte catholique, tout en laissant ouverte la possibilité que la fréquentation de l’église soit telle qu’elle doive être consacrée entièrement au culte et à la vie paroissiale.
Pour que les décisions concernant l’avenir de cette église puissent être prises sur une base expérimentale concrète, une équipe de jeunes prêtres a été chargée d’assurer l’animation liturgique et pastorale de l’église et de la paroisse.
Le succès de l’entreprise a dépassé toutes les espérances. La phase expérimentale ayant été plus que concluante, la conclusion s’impose : l’église Sainte-Catherine restera vouée au culte conformément à sa destination originelle.»
Par la voix de son Président, la Fabrique d’église de Sainte-Catherine fait, elle aussi, le constat suivant : les prêtres responsables du culte ont fait preuve d’un accueil pastoral chaleureux durant toute cette année pastorale de septembre 2014 à juin 2015. C’est ainsi que l’archevêque, à qui seul appartient en vertu du droit canonique la décision de désacralisation, après en avoir averti l’Echevin Courtois, a annoncé officiellement à la fin de la Messe de 11h du 30 mai 2015, que l’église restera vouée au culte. Les commerçants du quartier s’en sont félicités. Ils ont offert, après l’office, un délicieux pique-nique qui fut unanimement apprécié et qui a revigoré ce quartier stratégique au cœur de Bruxelles.
Les "Serviteurs de Jésus et Marie" vont ouvrir une école à Overijse. Cela provoque l'émoi chez les journalistes de la RTBF qui dénoncent une offensive de "l'ultracatholicisme" et se demandent "qui est à la manoeuvre" derrière la création de cette école. Il suffit pourtant d'une courte recherche sur la toile pour découvrir qu'il s'agit d'un institut religieux fondé par un prêtre, Andreas Hönisch (qui avait précédemment appartenu à la Compagnie de Jésus), et qui a dûment été reconnu par Rome; il est implanté notamment - et régulièrement - dans le diocèse de Fréjus-Toulon (Mgr Rey) et dans celui de Malines-Bruxelles (Mgr Léonard).
Sur "Riposte Catholique" :
Cette communauté fondée en 1988 par le Père Andreas Hönisch, SJM (décédé en 2008) célèbre habituellement dans les deux formes du rite romain. La communauté s’est d’abord développée en Allemagne, mais est aujourd’hui présente aussi en Autriche, en Belgique, en France (diocèse de Toulon) et au Kazakhstan. Elle compte aujourd’hui une cinquantaine de prêtres et de frères. Dans les premières années, ses prêtres ont été formés au Séminaire Saint-Pierre de Wigratzbad (FSSP) avant que la communauté ouvre sa propre maison de formation en Autriche (Blindenmarkt). La communauté se voit confier des paroisses, mais est très présente auprès de la jeunesse avec des nombreuses aumôneries scoutes (Le Père Andreas Hönisch est d’ailleurs un des fondateurs des Katholische Pfadfinderschaft Europas (KPE) en 1976 (les Scouts d’Europe allemands)).
Les communautés protestantes ne sont pas des Eglises, leurs ministres ne sont pas prêtres , elles ne confèrent aucun sacrement, ne reconnaissent aucun magistère et, en vertu du libre-examen qu’elles pratiquent, finissent toujours par varier entre elles. Elles n’offrent, par principe, ni des modèles, ni des exemples à suivre. Heureusement, elles ne représentent pas grand’chose dans un pays comme la Belgique. Ce qui fixe les limites la portée de l’information de « Belga » rapportée par « La Libre Belgique » . JPSC.
« L'église protestante de Belgique ouvre la porte aux pasteurs homosexuels, a-t-elle fait savoir dimanche soir. "Le Synode de l'Église Protestante Unie de Belgique a décidé, lors de son assemblée ce samedi, de ne pas considérer l'homosexualité comme un obstacle à la possibilité d'exercer le ministère pastoral", a-t-elle précisé dans un communiqué.
Selon le texte, un groupe de travail où chaque district de l'Église était représenté, avait préparé cette assemblée extraordinaire du Synode Protestant autour du thème "Homosexualité et pastorat". Ce groupe de travail avait rédigé une recommandation qui a été envoyée à toutes les églises locales pour qu'elles en discutent, avant de faire l'objet d'une discussion au niveau régional et enfin d'un vote au niveau national.
"Je suis fier de mon Église ainsi que de l'ouverture et du respect dans lesquels les débats se sont déroulés", a déclaré le président du Syndode, Steven H. Fuite.
Il y a quelques années, le Synode Protestant, dont le corps pastoral est composé de 15% de femmes, avait déjà décidé que, parallèlement au mariage, il était possible de demander la bénédiction des couples du même sexe lors d'un culte. »
Ref. L'église protestante de Belgique ouvre la porte aux pasteurs homosexuels

A Banneux, du 19 au 23 juin prochain, se retrouvent à l’Hospitalité des personnes fragilisées par l’âge, la maladie, l’isolement ou la solitude.
Trois jours sous la protection de Notre Dame dans la convivialité, l’entraide et la joie.
Les 150 personnes et parfois plus nécessitent un encadrement de nombreux bénévoles dont médecins et infirmières.
Cette année, un appel est lancé pour trouver un médecin ou un étudiant en médecine et une infirmière pour renforcer l’encadrement médical.
Ce séjour se situe à l’Hospitalité, rue de l’Esplanade, 57 à Banneux. triduum de Hesbaye -Huy-Condroz
Contact : Docteur Evelyne Sullon c/o jean.crismer@skynet.be .Tel. 04.263.59.44
Académie de Chant grégorien à Liège
Secrétariat : Jean-Paul Schyns, Quai Churchill , 42/7 4020 Liège
E-mail : jpschyns@skynet.be
Tél. 04.344.10.89
Site : http://www.gregorien.com
Marcel Pérès : plain-chant à l’abbaye des Bénédictines de Liège

12 juin 2015 - 20 septembre 2015
Abbaye de la Paix-Notre-Dame, Bd d’Avroy, 54, à Liège

Trois séminaires consacrés à la restitution chorale du plain-chant de l’office primitif de saint Lambert (Etienne de Liège, Xe s.).
Sour la direction de Marcel Pérès, directeur de l’Ensemble Organum et du Cirma (Centre itinérant de recherche sur les musiques anciennes) :
Du vendredi 12 (17h00) au dimanche 14 juin (18h00) juin 2015.
Du vendredi 4 (17h00) au dimanche 6 (18h00) septembre 2015.
Du vendredi 18 (17h00) au dimanche 20 (18h00) septembre 2015.
Ce dernier week-end se clôturera par le chant des vêpres restituées à l'église du Saint-Sacrement, dans le cadre d’une célébration liturgique organisée le 20 septembre (16h00) pour la Solennité de la fête de saint Lambert, patron de la ville et du diocèse de Liège.