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Belgique - Page 248

  • Anvers : un nouveau-né déposé dans une "boîte à bébés"

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    Du site de la RTBF :

    Un nouveau-né a été retrouvé dans la "boîte à bébés" de l'asbl anversoise Moeders voor Moeders située dans le district de Borgerhout, a confirmé mercredi le président du CPAS d'Anvers Fons Duchateau.

    Le nouveau-né a été déposé dans une des boîtes à bébés installée dans une ASBL d'Anvers. Il s'agit du cinquième nourrisson confié à la boîte à bébé de l'association depuis sa création en 2000.

    Le président du CPAS d'Anvers a donné quelques détails : l'enfant, un garçon a été prénommé Jules et a été confié à une famille d'adoption.

    En regardant la façon dont le cordon ombilical a été noué, la mère a visiblement accouché seule.

    L'enfant a été abandonné en décembre mais l'information n'a été rendue publique qu'aujourd'hui. Jusqu'ici, la mère biologique ne s'est pas fait connaître.

  • Saint Eleuthère de Tournai (20 février)

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    La vie de saint Eleuthère (source)

    Le Missel diocésain est assez bavard au sujet d’Eleuthère : « Issu d’une grande famille de la région de Tournai, Eleuthère serait le descendant d’un converti de saint Piat. Il fut élevé, avec son ami saint Médard, à la cour des monarques mérovingiens dont Tournai était la résidence. En 486, le christianisme étant en suspicion, Eleuthère se réfugie à Blandain. En 495, la conversion de Clovis change la destinée d’Eleuthère : il est choisi comme évêque de Tournai et sacré par saint Rémy.

    L’implication du politique et du religieux – qui est un des aspects de la société mérovingienne – amène sans doute Eleuthère à assumer les responsabilités du pouvoir. Il s’efforce de reconquérir son peuple contre le paganisme et l’hérésie. Il sera victime des hérétiques : assailli et enlevé par eux, il est blessé et laissé pour mort. Il succomba à la suite de ses blessures (536). Il eût mérité le titre de martyr ».

    Ainsi, Eleuthère serait né vers 456 sous Childéric, roi des Francs salins (dont la cour était à Tournai). C’est d’ailleurs la présence de la cour à Tournai qui valut sans doute à cette ville de devenir siège épiscopal.

    Eleuthère appartenait à une famille chrétienne où se transmettait pieusement le souvenir d’un aïeul non seulement converti par saint Piat, mais même martyrisé avec lui. Il avait reçu au baptême le beau nom grec d’Eleuthère (eleutheros : « libre »).

    Eleuthère a dû faire partie de ces jeunes nobles élevés et formés à la cour ; sans doute a-t-il dès lors connu Clovis qui avait sensiblement le même âge que lui. Il semble aussi qu’il y ait alors connu Médard – malgré la différence d’âge – celui-ci, né vers 470, devait avoir une quinzaine d’années de moins que lui.

    Selon la tradition, c’est en 486 qu’il serait devenu évêque (selon d’autres, en 495, donc à l’âge de 40 ans). Il soutint ses fidèles dans leurs difficultés. Mais, ses adversaires lui rendant la vie intenable, il quitta le cœur de la ville pour s’installer à quelques kilomètres de là, à Blandain, probablement dans une propriété familiale d’où il dirigea quelques années son immense diocèse avant de rentrer à Tournai. Et puis, il se mit à évangéliser avec ardeur les Francs qui s’étaient installés dans la région : les Barbares, et aussi ceux qui étaient devenus ariens (les ariens nient la divinité du Christ).

    Le baptême de Clovis, à la fin du Ve siècle, dut grandement réjouir Eleuthère – et changea sans doute la donne dans l’opposition qu’il avait rencontrée parmi les habitants de Tournai ; beaucoup d’entre eux acceptèrent alors le baptême, à l’exemple de Clovis, l’enfant du pays. Selon la légende, Eleuthère baptise, en une semaine, onze mille païens.

    Saint Eleuthère aurait été évêque pendant quarante ans, d’où sa grande célébrité.

    Il aurait été deux fois à Rome pour y demander conseil : il rencontra d’abord le pape Symmaque (qui exerça son ministre de 498 à 514), puis le pape Hormisdas (514-523) : celui-ci lui remit des reliques qu’il rapporta pieusement dans son église et qui furent l’occasion, de la part de son peuple, d’un accueil triomphal en procession jusqu’à sa cathédrale.

    En 531 ou 532, des hérétiques ne lui pardonnèrent pas d’avoir organisé un synode à Tournai (sur la Trinité, sur la divinité du Christ) et lui tendirent une embuscade alors qu’il sortait de la Cathédrale. Grièvement blessé, l’évêque devait mourir peu de temps après des suites de ses blessures. C’est pourquoi la tradition aimerait en faire un martyr mais comme il n’est pas mort sur le coup et qu’il a survécu quelques semaines à cet attentat, il n’a pas reçu officiellement ce titre. Avant de mourir, il implora le pardon pour ses meurtriers.

    Fête liturgique : 20 février

  • Pas vraiment rassurant...

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    Lu sur le site de la RTBF :

    Pourquoi l'armée belge doit vivre avec des extrémistes en son sein?

    Suite à nos révélations concernant le passage dans les rangs de l'armée belge du jihadiste verviétois Lotfi Aoumeur, 24 ans, nous avons tenté d'en savoir plus sur la façon dont la Défense tente de se prémunir de l'éclosion d'éléments radicaux en son sein. Selon un représentant syndical, la grande muette manque de moyens, matériels et juridiques, pour pouvoir suivre réellement les éléments potentiellement problématiques et s'en débarrasser.

    Lire la suite sur le site de la RTBF

  • BXL, La Viale, chaque vendredi de Carême : Chemin de Croix

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    CHEMIN DE CROIX
    Chaque vendredi du Carême à 20h00
    20 février; 27 février; 6 mars; 13 mars; 20 mars; 27 mars 2015
    La Viale Europe - L'église du St Sacrement,
    Chaussée de Wavre205, 1050 Ixelles, Bruxelles
    Bus : 34 et 80, arrêt: Idalie
    facebook.com/WayoftheCrossBrussels

  • Liège, église du Saint-Sacrement : messe et imposition des cendres le mercredi 18 février 2015 à 18h00

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    Ouverture du carême 2015

    EGLISE DU SAINT-SACREMENT

    Boulevard d'Avroy, 132

     MERCREDI 18 FEVRIER 2015 À 18 HEURES

    MESSE ET IMPOSITION DES CENDRES

    par l’abbé Claude Germeau

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    Chants grégoriens et Motets traditionnels

    Repons « Emendemus » de la procession des cendres

    Kyriale XVIII

    Extraits du propre de la messe « Misereris »

    Psalmodie des psaumes 50 (latin) et 129 (français)

      Hymne du carême 

     schola, orgue (Mutien-Omer Houziaux ) et violoncelle (Octavian Morea)

    Possibilité de se confesser 

    Plus d’informations

    tel. 04.344.10.89 ou sursumcorda@skynet.be

    Repons "Emendemus" (version polyphonique, William Byrd, 1539-1623)

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  • BXL, 16 mars : Quelle(s) mémoire(s) pour le génocide arménien ?

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    De auschwitz.be :

    Journée d'étude

    « Quelle(s) mémoire(s) pour le génocide arménien ? », 16 mars 2015

    La prochaine journée d'étude de l'ASBL Mémoire d’Auschwitz, intitulée « Quelle(s) mémoire(s) pour le génocide arménien », aura lieu le lundi 16 mars à Bruxelles au Palais des Académies.
     
    armenie site
     
    Le génocide des Arméniens de Turquie (1915-1916) suscite toujours de nombreux débats. D’une part, l’obstination des gouvernements turcs de nier cette qualification est en opposition radicale avec sa reconnaissance par de nombreux gouvernements. D’autre part, les communautés arméniennes militent pour cette reconnaissance en construisant la mémoire publique de ce génocide.

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  • Des deniers publics bien dépensés?

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    Lu ICI :

    En 2013, l'ensemble des partis politiques belges a reçu 73 millions d'euros de deniers publics. C'est ce qui ressort d'une étude de Jef Smulders, chercheur à la KUL, pour un courrier hebdomadaire du Crisp, dont fait écho Le Soir mardi.

    Passant au crible la comptabilité des partis entre 2008 et 2013, le chercheur souligne le fait que sans cet argent public, les partis ne pourraient pas exister. 

    Les contributions publiques représentent ainsi 94,6% du budget du CDH, 90,5% de celui d'Ecolo, 87,9% de celui du PS et 81,5% du budget du MR.

    En termes absolus, du côté francophone, ce sont les socialistes qui reçoivent le plus d'argent public avec 12,11 millions d'euros, suivis par le MR qui, en 2013, a bénéficié de 6,96 millions. 

    Cotisations en baisse

    Les sources privées sont relativement faibles, à peine 500 euros pour le PS mais jusqu'à 16.090 euros pour le FDF. Les cotisations des membres, la plus importante des sources privées, sont en constante baisse.

    Il est toutefois à noter que les règles de financement des partis ont été revues à la suite de la sixième réforme d'Etat, votée en 2014. 

  • Schaerbeek restaure ses églises

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    Après Sainte-Suzanne, ce sera au tour de l'église Saint-Servais d'être rénovée. Lu sur lalibre.be :

    Schaerbeek : L'église Saint-Servais sera aussi rénovée

    Ce n’est pas parce qu’elles ne font plus le plein comme jadis qu’il faut négliger la sauvegarde et la mise en exergue des églises ! Même sans porter la signature de grands architectes, ce patrimoine religieux n’en demeure pas moins le témoin de l’évolution de nos communes.

    Et il fait pleinement partie du paysage urbain même lorsqu’elles ne se situent pas - nécessairement - au milieu du village ! Les autorités communales schaerbeekoises l’ont parfaitement compris en prenant à bras-le-corps la rénovation et la restauration de certains lieux du culte.

    Ainsi le chantier de l’église Sainte-Suzanne devrait débuter dans les tout prochains mois. Il sera lancé avant les grandes vacances 2015 et devrait durer deux ans. La commune a déjà désigné un entrepreneur pour ce chantier et n’attend plus que l’ultime aval de la Région bruxelloise.

    Une autre église a besoin d’un sérieux rafraîchissement : c’est l’église Saint-Servais sise chaussée d’Haecht et qui clôture la superbe perspective de l’avenue Louis Bertrand. Cet édifice de style néogothique est aussi envahi peu à peu par une couche noirâtre de pollution. C’est la raison pour laquelle une somme de 3,3 millions a été prévue dans le budget 2015 pour sa rénovation comme pour la restauration des vitraux de l’hôtel de ville.

    Déjà une église au XIIIe siècle

    "Elle aussi méritait bien une restauration par la commune, constatent Vincent Vanhalewyn, l’échevin des Travaux publics, et Etienne Noël, l’échevin des Cultes. Saint-Servais est presque aussi ancienne que Schaerbeek… Les premières traces d’une église y remontent au XIIIe siècle. Erigée à l’époque au cœur de l’ancien noyau villageois, elle se dressait au milieu de l’actuelle avenue Louis Bertrand. Le chœur se trouvait à l’emplacement occupé par le Vase Warocqué. Au tournant des XIX e et XX e siècles, la belle église romane a été détruite et a fait place quelques mètres plus haut à celle que nous connaissons aujourd’hui."

    Pour ce qui est des travaux, la commune de Schaerbeek vient de réceptionner le permis d’urbanisme de la Région bruxelloise et les travaux devraient pouvoir commencer dès 2016.

    Travaux largement subsidiés

    Schaerbeek ne devrait supporter que 20 % des frais des travaux, le reste étant pris en charge par la Région.

    "Ce bâtiment retrouvera bientôt son faste d’antan et reprendra la place qui lui est due, au-delà des croyances religieuses ou philosophiques de chacun, au sein du riche patrimoine de notre commune" , concluent les deux échevins.

  • Mgr Léonard : une lettre banale

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    Quand les journaleux, Rogeau (Le Vif) ou autres Laporte, y vont de leurs commentaires insinuants et malveillants à propos du départ de Monseigneur Léonard, on appréciera la simplicité de cette lettre par laquelle l'archevêque met les choses au point. Elle est parue en éditorial sur Pastoralia (archidiocèse de Malines-Bruxelles) de février 2015 sous le titre "une lettre banale" :

    En décembre dernier, certains médias se sont émus en apprenant que, le 6 mai prochain, j'écrirai au Saint Père pour remettre entre ses mains ma mission d'archevêque de Malines-Bruxelles. Emotion totalement gratuite puisque nous serons environ 100 évêques de par le monde à écrire une telle lettre à l'occasion de notre 75ème anniversaire, ainsi que prévu par le droit canonique (can. 401, § 1). C'est au Pape seul qu'il revient d'accepter cette démission ou d'y surseoir.

    Comme les nouvelles banales sont médiatiquement peu intéressantes, certains ont voulu interpréter cette future lettre comme le signe évident d'un découragement ou d'une déception, voire même comme l'expression d'un désaccord avec le pape François! Fertile imagination...

    Certains journalistes m'ont demandé si j'espérais être prolongé quelques années, comme c'était assez souvent le cas pour les archevêques sous les pontificats de Jean-Paul II et de Benoît XVI. J'ai répondu que je n'espérais pas cela. En effet, l'espérance d'un chrétien et d'un prêtre est tendue vers une réalité bien plus importante que le prolongement d'un mandat. On en a conclu que j'espérais ne pas être prolongé et obtenir mon congé dès le lendemain. Comme si la phrase: "je n'espère pas que..." était synonyme de: "j'espère que non...". Or, l'espérance d'un chrétien et d'un prêtre ne se porte pas davantage sur l'obtention rapide de la retraite que sur la prolongation de la mission. Mais je constate que la connaissance de la logique est rare dans les professions médiatiques qui, pourtant, vivent de l'univers des mots.

    Bref, je demande à mes confrères et aux fidèles du diocèse de ne pas se laisser entraîner dans ces supputations sans fondement. Ce que j'espère surtout, en cette matière comme en toutes les autres, c'est que la volonté de Dieu se fasse sur ma vie et que je sois assez libre pour accueillir d'un coeur égal la décision que prendra le Saint-Père, quelle qu'elle soit. Le reste est insignifiant et perte de temps.

    De ce point de vue, j'apprécie énormément les propos du Pape, rappelant à ses confrères cardinaux, évêques ou prêtres qu'ils ne sont pas éternels ni irremplaçables, et décourageant tout esprit de carrière et de prestige humain chez les ministres de la sainte Eglise. A bon entendeur, salut!

    Conclusion : jusqu'au moment, quel qu'il soit, où je cesserai mon ministère à Malines-Bruxelles, je me consacrerai de toutes mes forces à ma tâche présente avec le même enthousiasme et la même gratitude qu'à présent. Et quand le moment sera venu de vous quitter, je vivrai mon sacerdoce, pour le temps qui me restera, peut-être sur cette terre, avec le même coeur et la même espérance.

    + André-Joseph,

    Archevêque de Malines-Bruxelles

  • Le Carême et Pâques à Bruxelles

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    cliquer sur l'image pour accéder au calendrier des célébrations et activités

  • BXL, Aux Minimes, 15-16 février : 40 heures d'adoration

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    Dimanche 15 février à partir de 14h, commence l'adoration solennelle du Très Saint Sacrement pendant 40 heures, selon la Tradition de l'Église catholique romaine. Chacun est invité à s'associer selon ses capacités à cet élan de prière. Pour assurer une permanence d'adoration devant le Très Saint Sacrement exposé, une feuille d'inscription est mise à disposition dans l'église. L'inscription se fait heure par heure: par exemple de 14 à 15h, de 9h à 11h, etc. La nuit de dimanche à lundi sera une nuit d'adoration, celle de lundi (20h) à mardi (8h) une nuit de pause. Les 40 heures s'achèveront mardi 4 mars à 18 heures.

    Église Saints-Jean-et-Étienne aux Minimes, rue des Minimes 62, 1000 Bruxelles

    source : Espérance Nouvelle

  • L'abbé Ringlet cautionne la transgression de l'interdit de tuer

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    Ce qu'on peut lire sur lavenir.net :

    "L'euthanasie n'est pas banalisée"

    Dans «Vivre sa mort», Manu Bonmariage suit aussi Manu de Coster. Ce chirurgien a fait le choix de l’euthanasie. Gabriel Ringlet l’a accompagné.

    «Si on m’avait dit il y a quelques années que je me retrouverais sur ce chemin-là, je ne l’aurais jamais cru», entame d’emblée Gabriel Ringlet.

    Prêtre, écrivain et libre penseur, il a un jour été contacté par le docteur Corinne Van Oost. Catholique, elle est directrice du service des soins palliatifs à l’hôpital Saint-Pierre d’Ottignies. «Elle m’a expliqué qu’ils étaient régulièrement confrontés à des situations extrêmement difficiles, face à des personnes demandant l’euthanasie. Elle souhaitait que j’intervienne, pour le côté spirituel, pour ne pas les laisser seuls.»

    Face à cette demande peu banale, Gabriel Ringlet a dû se positionner. «J’ai été appelé là où je ne m’attendais pas à être appelé. J’y ai réfléchi. Théologiquement, je me suis dit que cela avait du sens. Je suis sûr que Jésus aurait fait la même chose.»

    Depuis, Gabriel Ringlet a accompagné quatre personnes, catholiques et laïques, dans un cheminement intérieur. Dans le film de Manu Bonmariage, il accompagne Manu de Coster, un chirurgien atteint d’un cancer, jusqu’à son dernier souffle. «J’ai rencontré Manu à de nombreuses reprises. Le dialogue est déterminant. Il est aussi important de mettre les cinq sens en éveil».

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