Du Père Supérieur Charbel EID, Abbaye de Bois-Seigneur-Isaac, Monastère Saint Charbel, 2, Rue Armand de Moor, 1421-Ophain-Bois-seigneur-Isaac, GSM: 0032- 497284008, www.olmbelgique.org
https://www.youtube.com/watch?v=BaS90eiwRjU

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Du Père Supérieur Charbel EID, Abbaye de Bois-Seigneur-Isaac, Monastère Saint Charbel, 2, Rue Armand de Moor, 1421-Ophain-Bois-seigneur-Isaac, GSM: 0032- 497284008, www.olmbelgique.org
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Conférence-Débat
Panel Discussion
La liberté d`expression
et les religions
Freedom of Speech
and Religions
Mardi/Tuesday 31.03.2015, 19:00
Participants :
M. Albert Guigui, Grand Rabbin de Bruxelles / Chief Rabbi of Brussels
M. Mohammed Jamouchi, Secrétaire Général - Religions for Peace /
Secretary General - Religions for Peace
Mgr Léon Lemmens, Evêque auxiliaire de Malines-Bruxelles/Brabant Flamand / Auxiliary bishop of Mechelen-Brussels/Flemish Brabant
M. Roland Genson,
Directeur SG Conseil de l`UE, Spécialiste des politiques UE relatives à la Liberté, la Sécurité et la Justice / Director SG Council of the EU, specialist in EU Policy on liberty, security and justice.
Modérateur / Moderated by:
M. Christian Laporte, Journaliste - La Libre Belgique, Responsable des pages Opinions-Debats-Ripostes / Journalist - La Libre Belgique, in charge of "Opinions - Débats - Ripostes"
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La liberté d’expression est considérée comme un des fondements de la démocratie, elle fait partie des droits fondamentaux de l’homme. Cependant ses limites sont l’objet de controverses, particulièrement suite aux événements survenus à Paris le 7 janvier 2015.
Les uns favorisent la liberté d’expression comme l’antidote contre toutes les formes de totalitarisme. Les autres veulent protéger la liberté de religion et assurer le respect de tout ce qui peut être le plus intime et le plus sacré pour l’homme. Ce qui pour les uns est un blasphème, n’est pour les autres qu’un sain exercice de la liberté d’expression.
La position de la Cour européenne des droits de l’homme s’inscrit dans une logique d’équilibre entre ces deux pôles. Mais comment trouver cet équilibre ? Une conciliation est-elle possible? Un large débat social est nécessaire pour trouver et assurer l’équilibre entre la liberté d’expression et le respect de la croyance d’autrui.
Les conférenciers invités vont nous aider à réfléchir sur cette question.
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Freedom of expression is a fundamental human right and is considered to be one of the pillars of democracy. However its limits are a matter of controversy especially in the wake of the Paris events of January 7th 2015.
Some see freedom of expression as the antidote to all forms of totalitarianism; others want to protect freedom of religion and to ensure respect for all that is most intimate and sacred to the human person. What is blasphemy for some is for others no more than a healthy exercise of freedom of expression.
The position taken by the European Court of Human Rights is based on an equilibrium between these two poles. But how to find that equilibrium? Is a reconciliation possible? A wide-ranging social debate is necessary to find and guarantee an equilibrium between freedom of expression and respect for the beliefs held by others.
The invited speakers will help us to reflect on this question.
La conférence aura lieu en français avec l`interprétation simultanée vers l`anglais.
The conference will be held in French with simultaneous translation into English.
address is:
Chapel for Europe - Chapelle de la Résurrection
Rue Van Maerlant 22-24
Bruxelles 1040
Belgium
De nos jeunes amis d'Espérance Nouvelle, cette initiative que nous relayons très volontiers :
Parce que le Bon Dieu désire pour chacun d’entre nous l’union à son Sacré-Cœur,
Parce que la Vierge Marie et les saints du Ciel nous encouragent à aimer,
Parce nous chérissons notre pays et que nous voulons qu’il se relève,
Parce que les injustices, les calomnies, les vices, se combattent d’abord par la prière,
Parce que nous sommes catholiques, fidèles à notre foi dans le Christ,
Parce que notre espérance et notre joie s’inscrivent dans les cœurs unis de Jésus et de Marie,
Parce que nous sommes aimés,
Belgique : euthanasie des enfants : nouveau dossier de l'IEB
Il y a un an était promulguée la loi du 28 février 2014 « modifiant la loi du 28 mai 2002 relative à l'euthanasie, en vue de l'étendre aux mineurs ». La Belgique devenait ainsi le premier et seul pays au monde à autoriser l’euthanasie de mineurs sans qu’aucune condition relative à l’âge de ceux-ci ne doive être rencontrée.
Certains s’en sont félicités, rappelant le rôle « pionnier » joué par la Belgique dans la mise en place d’un cadre légal pour l'euthanasie, présentée comme ultime « acte d’humanité » dont tout patient, majeur ou mineur, devrait pouvoir bénéficier. D’autres, en revanche, au Parlement et au sein de la société civile, se sont opposés à l’extension de la loi. Parmi ceux-ci, près de deux cents pédiatres et spécialistes de soins palliatifs pédiatriques.
De toute évidence, les questions éthiques, juridiques et médicales que suscite l’euthanasie ne sont pas moindres lorsqu’il s’agit d’accéder à une demande provenant d’un patient mineur. Un nouveau dossier de l'IEB en offre un aperçu et, après avoir dressé les contours des nouvelles dispositions légales, propose quelques considérations critiques.
NOUVEAU DOSSIER de l'IEB : ICI

SYNODE SUR LA FAMILLE : ECHOS ET PERSPECTIVES
Compte rendu du lunch débat avec Monseigneur André Joseph LÉONARD
Archevêque de Malines-Bruxelles,
membre du Synode extraordinaire sur la famille
à l'Université de Liège, salle des Professeurs, mercredi 28 janvier 2015
Le mercredi 28 janvier dernier, Mgr André-Joseph Léonard, Archevêque de Malines-Bruxelles était l’invité d’un lunch-débat organisé à l’Université de Liège par l’Union des étudiants catholiques de Liège et le Groupe éthique sociale, associés au forum de conférences Calpurnia. Le thème de son exposé portait sur les enjeux du synode extraordinaire des évêques réunis à Rome du 5 au 19 octobre 2014. Il s’inscrit dans le cadre d’un cycle de rencontres intitulé « La Famille : solution ou problème". Voici la transcription des propos de l’orateur (les intertitres et les italiques sont de notre fait) :


« Je vais peut-être vous décevoir : malgré le titre annoncé de ma conférence je ne parlerai pas beaucoup du synode sur la famille, ni passé, ni futur. S’agissant du synode passé, on trouve facilement sur internet les 58 paragraphes du rapport final que sert maintenant de lineamenta pour une consultation qui va se faire à tous les niveaux afin de produire l’ instrument de travail du synode futur d’octobre 2015 et il est difficile de parler de celui-ci maintenant. Si, tout à l’heure, vous m’y invitez ou si vous m’y contraignez, je pourrai parler un peu de ce qui s’est passé au synode extraordinaire d’octobre 2014, mais je pense que le plus important est dit dans les 58 propositions finales de celui-ci.
Il m’est difficile de vous parler des enjeux, des joies, des épreuves, des peines de la famille -car c’est là l’objet de ma conférence- sur base de ces courts paragraphes. Par nature, par instinct, je préfère me situer dans un contexte plus large et plus structuré.
La question de la famille se pose parce que nous sommes des esprits incarnés
La question de la famille se pose parce que nous sommes des esprits incarnés. Je ne sais pas s’il y a un esprit de famille qui unit les anges et les archanges, mais si c’était le cas, ce devrait être très différent de ce que nous vivons. Les animaux présentent certains phénomènes qui ressemblent à ce que nous vivons dans nos familles mais avec une énorme différence, car nous vivons les réalités de la famille en tant qu’esprits incarnés : le corps et l’esprit -le corps aussi- font partie de notre destinée. Si nous étions de purs esprits, la famille n’existerait pas : il y aurait des affinités purement spirituelles entre nous.
Le corps est une réalité extraordinaire et, pour en parler, l’Eglise est particulièrement bien outillée par la révélation biblique. D’abord parce que, dans l’ensemble de l’univers physique, le corps humain est ce qu’il y a de plus prestigieux, le corps c’est le cheval de Troie de l’esprit à l’intérieur du cosmos, c’est par là que l’esprit s’introduit dans la matière. Le corps est un merveilleux instrument de communication, de production. On peut travailler avec son corps, communiquer avec son corps. Avec la main on peut communiquer la colère, la vengeance, l’amitié, la tendresse. On peut communiquer tant de choses par les mimiques, les gestes. Sans oublier ces extraordinaires cordes vocales humaines qui nous permettent de produire des sons articulés qui abritent du sens : c’est un phénomène infiniment plus complexe que le roucoulement des oiseaux, le gazouillis des pinsons ou le grognement des porcs. C’est un instrument de communication exceptionnel. Il y a tout un langage du corps qui est une pure merveille.
La sexualité fait partie de ce langage avec une dimension tout à fait unique dans la sexualité animale et végétale. Je ne suis pas biologiste mais je pense que l’espèce humaine est la seule où la rencontre sexuelle peut se faire visage contre visage. Il y a dans l’agencement même de la complémentarité de l’homme et de la femme la promesse d’une union interpersonnelle, visage contre visage et, en même temps, un langage de la sexualité qui est en même temps un langage qui signifie la procréation. Car la sexualité humaine, ou la sexualité animale, est organisée comme un laboratoire riche en ressources pour permettre la transmission de la vie, qui fait partie du langage objectif de la sexualité. Sans la dimension sexuelle de notre corps, il n’y aurait pas ce phénomène merveilleux de la famille. Mais cette dimension s’accompagne d’une part d’obscurité, comme tout notre corps.
Notre corps est un instrument d’action performant. C’est aussi un instrument et un lieu de passion. Le corps nous expose à la souffrance. Il est vulnérable : il fleurit, il s’épanouit, il vieillit, il se déglingue, il s’en va, il périt. Toute chair est comme l’herbe des champs, disait déjà le prophète Isaïe. Le corps nous expose à la violence, à la souffrance, à la maladie. Il est aussi un lien d’opacité. Dans la plus agréable union, tu seras toi, je serai moi et nous ne serons jamais un. Il y aura toujours le mur infranchissable de notre corporéité. Les esprits peuvent fusionner, les corps pas totalement. La sexualité humaine est une promesse de plaisir, de joie, de bonheur, de vie mais elle est aussi habitée par de l’aveuglement, de la sauvagerie, de la brutalité. Elle est un lieu de plaisir, de joie, de fécondité mais aussi de souffrance, de domination, d’exploitation et de mort. Il y a une ambigüité dans la sexualité comme dans le corps.
La foi chrétienne est particulièrement douée pour prendre la mesure de la grandeur et de la fragilité du corps
La foi chrétienne est particulièrement douée pour prendre la mesure de la grandeur et de la fragilité du corps.
Témoins de sa grandeur, nous sommes, avec le judaïsme -pour une part aussi l’islam, je pense- une religion du corps. Mais il n’y a aucune philosophie, ni aucune religion autre que le christianisme qui ait osé penser, sur base de faits qui se sont inscrits dans l’histoire, qu’il y a un corps humain qui est celui d’une personne divine, qui est le corps de Dieu : le Corps de Jésus qui est maintenant encore et plus que jamais, le corps d’une personne divine.
Et nous vénérons une femme qui a mis Dieu au monde : elle n’a pas mis au monde la divinité, mais elle a mis au monde Quelqu’un qui est Dieu, parce qu’elle est une femme et qu’elle a un corps.
Le salut du monde s’est joué sur la croix, dans le corps humilié, dépouillé, blessé, outragé, crucifié de Jésus et du corps ressuscité qui a traversé la mort et inauguré un monde nouveau où le corps n’a plus la pesanteur qu’il a maintenant : il n’est plus voué à la mort comme il l’est présentement.
Et nous pensons que cette réalité, le corps humain de Jésus, crucifié, ressuscité, qui traverse la mort, qui inaugure un monde nouveau, est parmi nous. Ce matin, j’ai célébré l’eucharistie : eh bien, la croix de Jésus ressuscité était là, présente et quand nous communion au corps de Jésus, nous communions, nous qui allons mourir dans quelques temps, à la vie impérissable du Ressuscité et nous croyons non seulement en la résurrection de Jésus, à sa présence dans la parole de Dieu et dans l’eucharistie mais nous croyons que nous-mêmes nous allons ressusciter.
Enfin, je dis nous, mais il y a des enquêtes qui montrent qu’il y a une majorité de catholiques qui n’y croient pas vraiment, qui croient que notre corps va se dissoudre en pourriture, en poussière ou en cendre mais qu’après cela, c’est fini. Il y a peut-être bien l’âme qui subsiste mais le corps, lui, est envoyé à la poubelle pour toujours. Or le Credo se termine par ces mots : je crois à la résurrection des morts -ou de la chair- et à la vie éternelle. Bien sûr, cette carcasse va périr et se dissoudre dans quelques temps mais Dieu, c’est ce que nous promet Jésus et il y a des raisons de croire à ses promesses, va recréer nos corps : nous serons recrées dans notre être corporel, un corps plus beau encore, plus performant et plus durable que le corps présent.
Il y a des pisse-vinaigres partout : je sais bien qu’à certaines périodes de l’histoire, des théologiens et même des Pères de l’Eglise ont parlé un peu négativement du corps, en raison de l’opacité présente du corps. Nous ne sommes plus au paradis terrestre, pour évoquer la condition originelle de la création, avant le big bang etc. ni au paradis céleste où la vie est impérissable. Nous sommes dans l’entre-deux de cet univers où, comme dit saint Paul, nous gémissons dans l’attente de la pleine rédemption de notre corps et nous sommes encore, comme toute la création, asservis à l’esclavage de la corruption, comme Paul dit dans la Lettre aux Romains, chapitre 8e, versets 18 et suivants. Mais, ceci étant, nous jetons un regard positif -exceptionnel dans l’histoire humaine- sur la destinée du corps humain.
Le 3 octobre 2004, lorsque le Bienheureux Jean-Paul II béatifia l'Empereur Charles I d'Autriche, le souverain des parents du Pape grâce auquel il portait le prénom de Karol (Charles en polonais), il annonça comme date de la mémoire du nouveau bienheureux celle de son mariage avec la princesse Zita de Bourbon-Parme, le 21 octobre (1911).
Charles de Habsbourg, dernier empereur d’Autriche-Hongrie et son épouse, Zita de Bourbon-Parme : deux vies qui nous parlent , deux hautes figures chrétiennes qui mériteraient d’être canonisées ensemble. Peut-être même avant tous ces papes qu’on élève aujourd’hui à la gloire des autels. Les Habsbourg: une famille rayonnante aussi à laquelle nous lient des souvenirs très simples, nous Belges de Belgique ou de ce Congo d’autrefois dont l’image demeure. JPSC
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Trouvé dans le Soir, sous le titre « Dix saccages d’oeuvres pour raisons idéologiques ».
http://portfolio.lesoir.be/v/2015-01-06_top/_27_02_15_oeuvres/
Comme le premier « saccage » remonte à 560 avant J.-C., on aurait pu s’attendre à entendre parler des vitraux et statues détruits par les calvinistes, du sac de Cluny, de l’attaque contre la Pietà de Michel Ange, ou, de manière plus chauvine, de la destruction de la cathédrale Saint-Lambert... Mais non, dans ce top 10, on trouve :

080 28 03 71 - 0496 67 53 39 (sms)

Eveil des Jeunes à la Culture ASBL
vous invite à
une rencontre littéraire avec Frank ANDRIAT
le mardi 17 mars 2015 à 20H00
à Bruxelles, dans les locaux de Caritas International
rue de la Charité, 43 – 1210 Bruxelles (métro Arts-Loi)
Frank Andriat est professeur de français en secondaire dans un athénée réputé de Bruxelles, où la mixité sociale est bien présente. Dans l'une de ses classes où les élèves sont âgés d'une quinzaine d'années, deux garçons sont partis du jour au lendemain en Syrie sans prévenir personne. Le chaos a envahi toutes les classes, les professeurs ont dû se transformer en psychologues, les examens ont été annulés. Chaque élève avait sa petite enquête à faire parmi les proches pour tenter de connaître quelle avait été la filière... L’auteur nous parlera en particulier de son livre « Je t’enverrai des fleurs de Damas » qui aborde la question brûlante d’actualité de deux de ses élèves bruxellois partis combattre en Syrie. Cette présentation sera suivie d’une séance de dédicace et de la vente des différents ouvrages du romancier. La soirée se clôturera par un échange autour d’un verre et d’une collation au bar.
Prix des entrées :
Inscriptions souhaitées, le nombre de places étant limité : par mail ecasbl@icloud.com ou par téléphone 0478/98.78.07
Virement sur le compte bancaire Eveil à la Culture-asbl BE04 6116 9118 9031 avec en communication : Andriat + nom de famille + nombre de places
Eveil à la Culture ASBL Eveil à la Culture ASBL Chaussée de Louvain, 20 1320 Hamme-Mille 0478/98.78.07 – ecasbl@icloud.com
Invitation
(s'inscrire le 1er mars au plus tard)


La famille, nature et culture : l’équivoque freudo-marxiste
Lunch débat à l’Université de Liège, le mercredi 4 mars 2015 à 18h00
Famille, solution ou problème ? Après le succès de la rencontre organisée le 28 janvier dernier avec Mgr André-Joseph Léonard, l’Union des étudiants catholiques de Liège et le Groupe Ethique sociale accueillent à l’Ulg, le mercredi 4 mars 2015 à 18h, Paolo Sorbi, professeur à l’Università Europea de Rome. Réponse, cette fois, d’un sociologue catholique italien qui avait adhéré à l’idéologie marxiste dans les années ’60 et redécouvrit les valeurs sociales chrétiennes et de la famille naturelle, à la lumière de ses affinités intellectuelles avec le magistère de Benoît XVI. Une initiative à soutenir concrètement: inscriptions à la conférence débat ouvertes jusqu'au 1er mars.
PROGRAMME
« La famille, nature et culture : l’équivoque freudo-marxiste »,

par le sociologue Paolo Sorbi
professeur ordinaire à l’Università Europea de Rome
Apéritif à 18h00
Exposé suivi du lunch-débat de 18h15 à 20h30
La rencontre se tient à la salle des professeurs dans le bâtiment du Rectorat (photo) de l’Université de Liège, place du XX août, 7, 1er étage (accès par la grande entrée : parcours fléché).
Participation aux frais : 10 € (à régler sur place); 2 € pour les étudiants
Inscription nécessaire au plus tard le 1er mars 2015:
soit par téléphone : 04 344 10 89 (de l’étranger +32.4.344.10.89)
soit par email : info@ethiquesociale.org
soit via le site internet : http://www.ethiquesociale.org/conference/la-famille-nature-et-culture-lequivoque-freudo-marxiste/
JPSC