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Belgique - Page 256

  • Fête de la Toussaint!

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    La Solennité de tous les saints semble liée, historiquement, à la dédicace de l’ancien temple romain du Panthéon par le pape Boniface IV au début du VIIe siècle. Originellement dédié à tous les dieux — c’est le sens du nom en grec — le Panthéon fut consa­cré à Marie et à tous les martyrs, auxquels on ajouta plus tard les confesseurs. L’anniversaire de la dédicace du Panthéon, et donc la fête de tous les saints, fut fixée d’abord au 13 mai, puis, en 835, au 1er novembre.

    La fête de la Toussaint unit l’Église de la terre à la béatitude de l’Église du ciel : cette célébration groupe non seulement tous les saints canonisés, c’est-à-dire ceux dont l’Église assure, en engageant son autorité, qu’ils sont dans la Gloire de Dieu, mais aussi tous ceux qui, en fait et les plus nombreux, sont dans la béa­titude divine. Comme la fête de la dédicace, la Toussaint donne un avant-goût de la liturgie éternelle, celle que la liturgie de la terre inaugure (cf. Vatican II, Constitution sur la sainte Liturgie, n° 8). (Dom Robert Le Gall – Dictionnaire de Liturgie) 

    EGLISE DU SAINT-SACREMENT  

    Boulevard d’Avroy, 132 à Liège

    LES MESSES DU WEEK-END DE LA TOUSSAINT 

    SAMEDI 1er NOVEMBRE 2014 

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    FÊTE DE TOUS LES SAINTS

    10h00, messe en latin (missel de 1962) : chants grégoriens et orgue, propre de la messe « Gaudeamus ». 

    11h15, messe en français (missel de 1970) : chants grégoriens, orgue et violoncelle.  

    DIMANCHE 2 NOVEMBRE 2014

    10h00, messe en latin (missel de 1962) : chants grégoriens et orgue, propre du XXIe dimanche après la Pentecôte.

    11h15, messe en français (missel de 1970) : Commémoration des fidèles défunts, chants grégoriens, orgue et violoncelle. Kyriale  de la messe de « requiem ».

    Renseignements : sursum corda, tél. 04.344.10.89

    Web : http://eglisedusaintsacrementliege.hautetfort.com

    Toutes les célébrations de la Toussaint et du Jour des Morts à Liège-Centre : voir ici  Célébrations du 1er et 2 novembre dans l’UPSL

  • Sédation palliative : le docteur Wim Distelmans veut les voir enregistrées comme les euthanasies

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    Du blog de Jeanne Smits :

    Que la « sédation palliative » soit une sorte d’euthanasie déguisée, une pratique de « zone grise » où l’intention de tuer est parfois le moteur des décisions prises alors qu’en d’autres occurrences elle vise à soulager des souffrances quitte à abréger un peu la vie, je l’écris ici depuis 2007 (voir ici par exemple). C’était une époque où l’euthanasie était en baisse aux Pays-Bas – elle a fortement progressé depuis – mais où la sédation palliative était déjà de plus en plus fréquente. L’administration poussée de calmants couplée avec l’arrêt de l’alimentation et de l’hydratation peut clairement avoir un objectif euthanasique – nombre de médecins avouaient déjà alors la choisi pour hâter la mort – alors même qu’elle peut être utilisée de manière parfaitement éthique alors que celle-ci est imminente.

    Zone grise, donc, qui a banalisé les gestes médicaux qui provoquent ou qui hâtent la mort : peut-être avons-nous atteint le moment où le lobby de l’euthanasie entend capitaliser sur l’anesthésie des consciences en montrant que la mort est donnée plus souvent qu’on ne le croit.

    C’est en tout cas ce que laisse à penser la dernière initiative du Dr Wim Distelmans en Belgique. Ce spécialiste des soins palliatifs, qui a participé à nombre d’euthanasies très controversées dans le pays, vient de suggérer que les sédations palliatives soient déclarées selon le schéma des euthanasies pour éviter les ratés.

    « On ne peut pas donner aux médecins un chèque en blanc pour hâter la fin de vie sans que le patient n’ait son mot à dire. Sinon nous régresserons vers l’Allemagne nazie », a-t-il déclaré selon le quotidien belge De Morgen.

    Distelmans assure que « une sédation sur dix présente un raté » : oubli de prévenir la famille, administration de sédatifs en quantité insuffisante de telle sorte que le patient se réveilles, « éternisation du processus de mort ».

    L’idée serait de laisser le patient choisir lorsque c’est le cas : « Beaucoup de malades seront d’accord pour passer à l’euthanasie. » Ou bien, lorsque le patient ne s’est pas exprimé, que le médecin puisse prendre une décision d’« urgence » afin d’« abréger les souffrances », pourvu que les proches du malade soient d’accord. Une décision dont ils se méfient, « faute de cadre légal » – et Distelmans approuve ce refus d’agir sans l’accord exprès du patient.

    En faisant enregistrer toutes les sédations palliatives, estime Distelmans, on forcerait les médecins à penser plus souvent à renseigner leurs patients sur l’option euthanasique.

    On comprend que le but est d’utiliser le recours fréquent à la sédation palliative, présentée dans certains cas comme un pis-aller, pour faciliter le recours à l’euthanasie elle-même.

  • Bulletin de l'I.E.B. (28/10) : congélation "sociale" d’ovules pour des femmes célibataires

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    header_fr.jpgSommaire

  • BXL, 18 novembre : conférence du Dr Alain de Broca : le soin au XXIe siècle

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    unnamed (2).jpgLe soin au XXIe siècle. 

    De quel humanisme parlons-nous ?

    Conférence le mardi 18 novembre à 20 heures

     

    Avec le Dr Alain de BROCA, 
    Neuropédiatre et Philosophe, Directeur de l’Espace de Réflexion Ethique Régional Picardie.

    L’humain du XXIe siècle demande autre chose que du curatif ou du préventif.

    Il veut aujourd’hui se prémunir, prédire, anticiper, dépister…
    Quid du corps si fragile ?
    Le soin restera-t-il encore une éthique en soi ?

    Communiquer avec le patient sera-t-il encore une finalité du soin ? 

    La conférence se déroulera au "NH Hôtel Grand Sablon" - Bruxelles 

    Participation : 5 euros (Rafraîchissements offerts à l’issue de la conférence)

    Inscription conseillée : ICI 

  • A votre agenda! Concert de Noël à la Cathédrale de Liège, le samedi 13 décembre à 16 heures

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    « Gloria »

    Avec le Chœur Universitaire de Liège

    et le Choeur de Chambre "Praeludium"

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  • Encore deux ordinations pour la Fraternité des Saints-Apôtres à Bruxelles

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    Ce samedi 25 octobre à 16h30, en l’église Sainte-Catherine de Bruxelles, Monseigneur André-Joseph Léonard ordonnera prêtre Frère Paul Chavanat et diacre Frère Grégory Kienlen, tous deux membres de la Fraternité des Saints Apôtres . Venez nombreux pour encourager ces deux nouvelles vies qui se consacrent entièrement au Christ et à sa Mère par le sacerdoce ! Et priez intensément pour eux, afin que l’Amour soit leur seul raison de vivre !

    Références :

     Site officiel de l'église Sainte-Catherine

    Site de la Fraternité des Saints Apôtres

     Les horaires de l'église Sainte-Catherine

    JPSC

  • La demande d'euthanasie se banalise chez les détenus belges

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    De la dhnet.be (site de la Dernière Heure) :

    Le pédophile veut être euthanasié

    Yves, qui a abusé de plusieurs jeunes garçons, a envoyé une lettre au juge.

    La salle d’audience du tribunal correctionnel de Charleroi était bondée de monde pour le procès d’Yves V., un Carolo poursuivi pour des viols et attentats à la pudeur sur une série de jeunes adolescents. Les parents des victimes s’étaient tous déplacés, ou presque, pour entendre l’abuseur s’expliquer et le parquet requérir une peine sévère à son encontre.

    Il faut dire que les faits sont particulièrement écœurants. Yves est en effet soupçonné d’avoir violé à plusieurs reprises un jeune Carolo dont il se disait "amoureux". Placé sous mandat d’arrêt pour ces faits, il a fait l’objet d’une libération sous condition... avant de récidiver avec plusieurs autres ados, notamment dans la région de Couvin! Son excuse : "Ils ressemblaient trop à sa première victime."

    Les parties civiles auront malheureusement été déçues pour deux raisons. D’une part, le procès a dû être remis pour des raisons techniques : il faut en effet désigner un tuteur ad hoc pour les mineurs qui ne sont pas représentés par leurs parents et choisir un centre de santé mentale qui examinera le prévenu.

    D’autre part, Yves a préféré rester bien au chaud dans sa cellule. Il se dit malade et menacé par d’autres détenus. Mais l’intéressé a tout de même écrit une lettre au tribunal. Dans celle-ci, il demande à être euthanasié ! Un phénomène de plus en plus à la mode, ces derniers temps, depuis qu’un délinquant sexuel emprisonné depuis 30 ans a obtenu cette faveur du ministère de la Justice et que Farid Bamouhammad, le détenu le plus connu de Belgique, a fait part d’une requête semblable. Le juge Moulard, lui, se contentera de juger Yves selon le code pénal qui a supprimé de ses articles la peine de mort.

  • Qu'en est-il de la Gestation pour Autrui (GPA) en Belgique ?

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    Le Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique répond à cette question :

    Interdite en France, la GPA est une réalité en Belgique

    Peu encline à mener une réflexion approfondie sur le bien-fondé de certaines pratiques, la société belge en général, et le législateur en particulier, ont tendance à faire preuve de « pragmatisme » en encadrant les transgressions. Ainsi en est-il de la gestation pour autrui.

    En 2007, une loi a fixé, sans grand bruit, les conditions éthiques d’accès à la PMAn’abordant pas la question de la gestation pour autrui. Aujourd’hui, les mentalités ont changé. La société belge semble « mûre » pour accepter la pratique des « mères porteuses ».

    Quatre hôpitaux belges la pratiquent déjà : le Centre Hospitalier Régional de la Citadelle à Liège, les hôpitaux universitaires de Gand et d’Anvers et l’hôpital Saint-Pierre à Bruxelles. Ils mettent toutefois en garde les demandeurs quant au fait qu’il est prudent de se faire conseiller par un bon avocat au cas où les choses tourneraient mal.

    Les 4 hôpitaux concernés accèdent aux demandes de GPA dans des cas bien précis et sous des conditions présentées comme très strictes. La femme n’a pas d’utérus, ou celui-ci est  non fonctionnel, ou la santé de la femme est incompatible avec une grossesse. La limite d’âge pour la mère intentionnelle (qui ne porte pas l’enfant) est celle de la fécondation in vitro (FIV), à savoir 43 ans. Quant à la mère porteuse, elle doit avoir moins de 40 ans. L’ovocyte est celui de la femme intentionnelle et non celui de la femme porteuse de sorte que celle-ci n’est pas la mère génétique de l’enfant. Cela serait ainsi plus facile pour celle-ci d’abandonner l’enfant et de le laisser adopter par le couple intentionnel.

    C’est ce qu’explique le Dr Petra De Sutter, de l’hôpital de Gand lors d’une interview pour la RTBF.

    Un accompagnement psychologique est bien sûr mis en place. Il est souligné dans cet entretien à la RTBF que « le but est aussi d’éviter toute commercialisation. Quand il y a gestation pour autrui en Belgique, l’acte n’est jamais rémunéré et concerne uniquement des belges. On évite ainsi le tourisme des mères porteuses. »
    Entre 5 à 10 nouveau-nés voient ainsi le jour chaque année à l’hôpital de Gand. Depuis 3 ans, la GPA est aussi offerte aux couples homosexuels masculins.

    A ce sujet, Action pour la Famille communique :

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  • Pourquoi la collaboration est criminelle

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    Lily de Gerlache, déportée à Ravensbrück, réplique à Jan Jambon et aux révisionnistes. Entretien Christian Laporte sur LaLibre.be :

    Les gens qui ont collaboré avec les Allemands avaient leurs raisons ." Les propos de Jan Jambon (N-VA) à "La Libre" font aussi réagir ceux qui avaient, au contraire, les meilleures raisons de monde de combattre le nazisme…

    Lily de Gerlache - van Oost, rescapée de Ravensbrück après avoir été une jeune résistante audacieuse dans l’Armée secrète, le rappelle haut et fort à "La Libre", le jour de ses 91 ans… Figure de proue du travail de mémoire pour les femmes déportées de la Seconde Guerre qui ont fini par avoir leur mémorial à Woluwe-St-Lambert, elle ne peut laisser passer la réponse un tantinet désinvolte du ministre N-VA de l’Intérieur…

    Vous qualifiez ses propos de scandaleux…

    Oui, au nom de tous ceux et de toutes celles qui ont sacrifié leur jeunesse et souvent leur vie pour notre pays ! J’ai rencontré beaucoup de jeunes Flamands qui me demandaient toujours pourquoi je m’étais engagée au péril de ma vie. Je leur expliquais que le 10 mai 1940, je n’étais pas prête à être militaire mais bien résistante. Car nous n’avions pas d’autre choix. Ma mère, infirmière en 14-18, nous avait mis en garde contre la montée des périls en nous faisant lire "Mein Kampf". Trop d’yeux se sont dessillés trop tard car Hitler y expliquait tout ce qu’il allait entreprendre. Il y a annoncé qu’il voulait créer une race aryenne pour dominer le monde. Il fallait éliminer les juifs, les tsiganes, toutes les bouches inutiles et non rentables pour son projet. Et bien entendu tous ceux qui s’opposeraient à ses projets. Tous ses ennemis étaient dès lors condamnés à mort avec la complicité de nombre de firmes allemandes. Pire, il y expliquait que le jour où il aurait déclaré la guerre au monde, il pourrait en même temps mettre en place une solution finale pour les races considérées impures car on ne viendrait pas l’ennuyer dans son Reich… Ceux qui se sont fourvoyés dans la collaboration ne pouvaient ignorer tout cela. Ils se sont en tout cas lourdement trompés en imaginant que les nazis allaient les intégrer dans leur vision du monde… Sans parler de tous ceux qui se sont engagés par intérêt…

    Mais encore…

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  • Le programme 2014-2015 de la Communauté Saint-Jean de Banneux

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    Sans titre.pngcliquer sur l'image pour consulter le programme

     

  • Le Père Zanotti-Sorkine répond aux questions de La Libre

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    Sur le site de la Libre.be :

    Il y a dix ans à Marseille, en haut de La Canebière, l’église Saint Vincent de Paul, dite "des Réformés", était menacée de fermeture, car très peu fréquentée. L’évêque tente une dernière chance et en confie la charge au père Michel-Marie Zanotti-Sorkine (55 ans). Rapidement, dans ce quartier où les catholiques sont minoritaires, l’église est archi-pleine tous les dimanches. Plus de 1.000 baptêmes seront célébrés en dix ans dont 262 baptêmes d’adultes au cours des fêtes pascales. Depuis plusieurs semaines, trois prêtres de la Fraternité des Saints Apôtres – inspirée par le Père Zanotti-Sorkine - sont installés à l’Eglise Sainte-Catherine de Bruxelles.

    Entretien avec un prêtre médiatisé, voire encombrant pour certains...

    Vous êtes un ancien chanteur de cabaret. Comment s’est faite cette transition ?

    Tout naturellement. Je portais en moi depuis l'enfance le désir de la prêtrise, mais avec la volonté de rejoindre ceux qui étaient éloignés de la foi. Pendant une dizaine d'années, j'ai chanté tous les soirs de cabarets en pianos-bars la poésie française, j'ai vu les amours se faire et se défaire, la misère morale mais aussi la beauté intrinsèque de l'homme cachée dans des lieux d'enfer. Ce furent des années magnifiques où le Christ m'apprit que chaque être, quels que soient ses choix, son histoire, ses déviances, reste son enfant et continue mystérieusement d'être habité par son amour.

    Pourquoi avez-vous abandonné l’ordre des Dominicains, puis celui des Franciscains ?

    Je n'ai rien à reprocher à ces deux familles religieuses. Je les ai quittées pour des raisons diverses. Permettez-moi de penser qu'il me fallait en partir. Personne ne maitrise le cours de sa propre existence. Sans doute était-ce nécessaire que j'exprime d'une manière plus personnelle ce que je portais en moi d'idéal apostolique. Quelle est votre recette pour attirer les fidèles à la messe ? Les églises se rempliront si elles ouvrent leurs portes douze heures par jour, afin que l'on y perçoive avec ses sens la présence du Christ et de sa mère, que le silence y soit respecté pour permettre à l'âme de rejoindre l'amour qui est Dieu, que la liturgie eucharistique ne soit ni plate ni insipide ni bavarde, qu'elle soit célébrée sans pompe excessive mais avec soin et beauté. Il faut que le prêtre soit présent dans son église plusieurs heures par jour, qu'il n'ait rien du fonctionnaire, qu'il reçoive sans rendez-vous, qu'il parcoure les rues de son quartier et de la ville, parlant avec les uns et les autres…

    Et en soutane, comme vous ?

    Si possible en soutane ou en clergyman pour donner une chance à ceux qui ne pratiquent pas de voir un prêtre, de le reconnaître et de lui parler. Le prêtre ne doit pas être un homme de structure, de plans, dans lesquels les personnes se doivent absolument d'entrer, que l'on sente en lui qu'il n'est qu'un intendant des mystères de Dieu, un gérant et non le propriétaire des richesses divines.

    Malgré votre succès pastoral et en librairie, vous êtes fortement critiqué au sein de l’Eglise. Jugé encombrant et trop médiatique, comment percevez-vous ces critiques ?

    Ces critiques viennent en effet de l'intérieur de l'Eglise et dans la plupart des cas, de personnes qui ne m'ont jamais rencontré et qui fondent leur jugement sur leur propre sensibilité religieuse ou à partir de "on-dit". Comment voulez-vous alors que je les considère ? Je les laisse courir. Ce qui m'intéresse, c'est la foule des petits et des humbles qui ont besoin de Dieu et qui eux ne vous jugent pas parce qu'ils ne sont jamais idéologiques.

    Votre site internet est très impressionnant. Vous comprenez que vos détracteurs dénoncent ce côté bling-bling ?

    Très franchement, je n'ai pas l'impression que mon site soit bling-bling ! Il contient tout au plus des centaines d'homélies et quelque articles de presse... mais dites-moi, puisque nous en sommes à cette question, le prêtre doit-il rester dans son coin, effacé, couleur gris muraille, loin de la modernité, adepte du minima dans tout ce qu'il propose ? Je ne le crois pas. Nous sommes les représentants d'un Christ solaire et rayonnant qui, avant de monter sur la croix, a été suivi par des milliers de personnes à qui il a adressé sa parole de feu ! Et nous devons l'imiter... avant l'incontournable croix !

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