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Belgique - Page 266

  • BXL, 22-27 juillet : "Dieu est ma force", 29ème session du Renouveau Charismatique

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    accédez aux informations et conditions d'inscription en cliquant sur l'image

  • Liège : Fêter Dieu avec Monseigneur Delville le samedi 21 juin à 18h00 à l’église du Saint-Sacrement

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    13_05_11_18-27-10_DxO-border.jpgLe 21 juin n’est pas seulement le jour de la fête de la musique et le premier jour de l’été. On commémore aussi,  cette année, le 750e anniversaire de l’extension d’une grande fête liégeoise à l’Église universelle : la Fête-Dieu

    A cette occasion, Monseigneur Jean-Pierre Delville, évêque de Liège, célébrera une messe solennelle le samedi 21 juin à 18 heures, à l’église du Saint-Sacrement (Boulevard d’Avroy, 132, à Liège).

     

    La liturgie se fera dans la forme extraordinaire du rite romain etCopie de 13_05_11_18-02-12_01_DxO-border.jpg sera rehaussée par une prestation des voix féminines du Chœur grégorien de Paris et celle de l’Ensemble polyphonique Praeludium, une formation  issue du Chœur universitaire de Liège.

    Les participants auront aussi l’occasion d’admirer, après l’office, une exposition de pièces du Trésor de la Cathédrale de Liège sélectionnées pour illustrer le thème de la fête.

    Pour prendre connaissance du programme complet des manifestations du Triduum de la Fête-Dieu à Liège, cliquez ici : 

    Liège, 19-22 juin : Célébrons la Fête-Dieu

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  • Liège, 17 juin : "On dirige des hommes, pas des entreprises" avec Jean Stephenne

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    Liège - MARdi 17 juin

    "ON DIRIGE DES HOMMES, PAS DES ENTREPRISES"

    Le baron Jean Stephenne est un entrepreneur emblématique à qui l’on doit l’impressionnante croissance de GSK Biologicals en Wallonie, ancien président de l’Union Wallonne des Entreprises. Actuellement, il est président de la Fondation Louvain pour le financement de la recherche, la formation, mobilité internationale, la culture de l’UCL.

    Remettre au centre des activités productives l’homme en tant que personne en favorisant son épanouissement dans un milieu amical de collaboration est aussi la clé de réussite d’une entreprise. C’est ce que le pape François demande explicitement dans son Exhortation apostolique : La crise financière que nous traversons nous fait oublier qu’elle a à son origine une crise anthropologique profonde : la négation du primat de l’être humain !

    PAR JEAN STEPHENNE
    Président de la fondation Louvain, ancien CEO de GlaxoSmithKline et ancien président de l’Union Wallonne des Entreprises.
      PROGRAMME
    Apéritif à 18h00
    Exposé suivi du lunch-débat de 18h15 à 20h30

    Le débat sera modéré par Jacques Zeegers, ancien secrétaire général de l’Association Belge des Banques (ABB) et chargé de cours honoraire à l’Ichec.

    La rencontre se tient a la salle des professeurs dans le bâtiment du Rectorat de l’Université de Liège, place du XX août, 7, 1er étage (accès par la grande entrée : parcours fléché).

    Participation aux frais : 10 € (à régler sur place); 2 € pour les étudiants
    Inscription nécessaire trois jours ouvrables à l’avance (12 juin) :
    soit par téléphone : 04 344 10 89
    soit par email : info@ethiquesociale.org
    soit ci-dessous sur notre nouveau site internet :

     

    New website - Ethique sociale

    Plus que cinq jours pour s’inscrire à cette rencontre organisée par l’Union des Etudiants Catholiques avec l’un meilleurs capitaines d’entreprise belges : le baron Jean Stephenne (photo). Le titre sa conférence : « On dirige des hommes, pas des entreprises »  donne le ton de sa pensée.  Jean Stephenne est né dans une famille d’agriculteurs à Furfooz, près de Dinant.  Cliquez ici pour découvrir son parcours exceptionnel :

     http://connaitrelawallonie.wallonie.be/fr/wallons-marquants/merite/stephenne-jean#.U5Fh0nJ_tA0

  • Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique : Meurtres ou euthanasies illégales : infirmier arrêté en Flandre

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    header_fr.jpgSommaire

  • Waltzing, 22 juin : procession de la Fête-Dieu

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  • L'euthanasie, qu'est-ce que j'en pense ?

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    Communiqué de presse

    Soirée Film-débat sur l’euthanasie

    « L’Euthanasie, qu’est-ce que j’en pense ? » Une question que plus de 300 personnes sont venues se poser hier soir à l’occasion d’une soirée film-débat qui se déroulait à l’Espace Lumen, Chaussée de Boondael à Bruxelles.

    En Belgique, 5 personnes meurent chaque jour à la suite d’une euthanasie (1807 personnes en 2013, soit 27% de plus qu’en 2012), selon le projet de rapport de la Commission fédérale de contrôle et d’évaluation de l’euthanasie de 2013. Un chiffre en hausse constante depuis que la loi de 2002 dépénalisant l’euthanasie a été adoptée dans le pays.  Après avoir augmenté de 25% de 2011 à 2012, le nombre d’euthanasies a bondi de 27% entre 2012 et 2013. Un constat impressionnant accentué par l’extension, il y a quelques semaines, de l’euthanasie aux mineurs, faisant ainsi de la Belgique le seul pays au monde autorisant l’euthanasie des enfants, sans limite d’âge.

    Pour nourrir leur réflexion, les participants ont d’abord assisté à la projection du très beau documentaire « Euthanasie, la confusion des sentiments », présenté par son réalisateur Frédéric Jacovlev, qui invite dans ce film à dépasser les clivages idéologiques, les réactions affectives et à réfléchir à ce qui se joue à travers la loi autorisant l’euthanasie en Belgique depuis 2002.

    Puis le public a participé à une séance de questions-réponses avec Étienne Montero, doyen de la faculté de droit de Namur et président de l’Institut Européen de Bioéthique ainsi qu’Isabelle de Bock, médecin spécialisé en soins palliatifs. Ces intervenants ont d’abord souligné la souffrance, physique et morale, des personnes réclamant l’euthanasie. Ils ont ensuite posé une question cruciale : la loi actuelle apporte-t-elle une véritable réponse à ces personnes en souffrance ? Répond-t-elle à leurs difficultés ?

    Observant l’élargissement implacable des conditions d’accès à l’euthanasie au-delà des balises prévues par le texte de 2002, Étienne Montero s’est inquiété du danger que « l’offre ne crée la demande », notamment auprès des personnes âgées qui sont tentées par ce que l’on appelle encore à demi-mots l’Interruption Volontaire de Vieillesse (IVV). Selon lui, l’euthanasie, lorsqu’elle est légalement proposée par la société, renvoie inéluctablement à chaque personne vulnérable l’idée qu’elle serait socialement inutile. S’appuyant sur son expérience, le Dr Isabelle de Bock a quant à elle pointé la pression sociale qui pesait sur beaucoup de ses patients en soins palliatifs : « Souvent, ils me chuchotent à l’oreille qu’ils sentent bien qu’il faudrait qu’ils demandent l’euthanasie pour ne plus être un poids pour leur famille ».

    Les intervenants ont appelé de leurs vœux une société dans laquelle des signaux positifs d’entraide et de solidarité sont adressés aux personnes en souffrance. « Il est indispensable de recréer du tissu social, des relations interpersonnelles », a conclu Étienne Montero, appelant avec le Dr de Bock à un développement des soins palliatifs. Pour finir, Frédéric Jacovlev s’est interrogé sur la place faite aux plus fragiles dans notre société rappelant que, malgré la mort qui s’annonce, ceux-ci restent entièrement dignes d’intérêt et estimables. « La fin de vie a un sens pour les vivants…Une mort qui se vit jusqu’à son terme et qui nous rappelle que nous appartenons encore à la compagnie des hommes »

    La soirée était organisée par Le Figuier, un groupe d’information active, pour qui la famille, la vie de sa conception à sa mort naturelle et la dignité humaine sont des fruits à protéger. L’Institut Européen de Bioéthique, l’Institut Thomas More, la Fédération des Associations Familiales Catholiques en Europe et l’association Action pour la Famille avaient apporté leur soutien actif à l’évènement.

    Contact : Dominique de Richecour euthanasieconference@gmail.com

  • Maredret, du 8 au 13 juillet : stage de chant grégorien

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    Le contenu du cours est centré sur le chant grégorien et la pose de voix, mais sera également ouvert aux capacités des participants en vue de pratiquer la polyphonie ancienne et autres surprises...

    Le stage se conclura par un concert des participants le dimanche 13 juillet à 17h.

    Pour tous renseignements:
    Sœur Gertrude
    Responsable de l'Accueil Monastique
    082 213 183 (Permanence de 09h30 à 11h00)
    accueil@abbaye-maredret.be
    Site Internet Abbaye
  • BXL, 6 juin : L'école privée est-elle l'avenir de l'enseignement ?

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    cliquer sur l'image pour l'agrandir

  • La bienheureuse Eve de Saint-Martin (4 juin)

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    La bienheureuse Eve de Liège, recluse à Saint-Martin

    source : http://www.reclusesmiss.org/mb/recluses/eve_de_liege.pdf

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    Il semble que la fête de cette bienheureuse soit célébrée le 14 mars dans le diocèse de Liège.

  • À quoi servent encore les monarchies ?

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    De Frédéric Rouvillois sur « FigaroVox » :

    840731247_B97784831Z.1_20130722193854_000_G981233RT.2-0.jpgFigaroVox: Le roi Juan Carlos vient d'abdiquer. L'occasion de revenir sur l'utilité de la monarchie constitutionnelle, jugée souvent comme un archaïsme dans notre monde contemporain. Que ce soit en Belgique, en Espagne, au Danemark, ou aux Pays-Bas, les souverains ne semblent avoir de pouvoir autre que symbolique: ont-ils un poids politique?

    Frédéric Rouvillois: Il convient tout d'abord de distinguer monarchie constitutionnelle et monarchie parlementaire. Dans les monarchies purement constitutionnelles, le roi conserve l'essentiel du pouvoir: c'est le cas du Prince de Monaco ou du roi du Maroc depuis la Constitution de 2011. En revanche dans les monarchies parlementaires de type européen, selon la formule de Louis-Philippe «le roi règne mais ne gouverne pas», c'est-à-dire qu'il ne s'occupe pas de la gestion quotidienne de l'Etat.

    Mais alors, à quoi servent ces monarques?

    Il me semble qu'ils répondent à quatre fonctions politiques essentielles.

    Une fonction de symbole : ils incarnent la stabilité, la continuité et l'unité d'un régime. Le roi est le père de la Nation, garant de son unité.

    Une fonction d'incarnation. Le Prince donne un visage à l'Etat, contribuant ainsi à réchauffer le «plus froid des monstres froids» naguère décrit par Nietzsche. Face au pouvoir sans visages de nos technocraties contemporaines, la royauté parait finalement un pouvoir très humain!

    Une fonction de garantie des droits et libertés. Depuis le XVIIIème siècle, il y a un lien profond entre monarchie parlementaire et Etat de droit. On en a eu un exemple frappant au XXème siècle dans le monde arabe où le déclin des libertés et des droits de l'homme a immanquablement suivi le passage de pays monarchiques à un système républicain. Ce fut le cas en Libye, en Tunisie, en Egypte, en Irak, en Afghanistan, où les monarchies tempérées ont laissé place à des Républiques radicales dirigées par d'une main de fer par des dictateurs. Contrairement à ce qu'on pourrait croire, loin d'incarner l'arbitraire, le roi dans le cadre d'une monarchie constitutionnelle est bien souvent l'ultime recours pour le citoyen: sous l'Ancien Régime en France, et dans la tradition monarchique en général, il existe un droit de pétition et un droit de grâce dont le roi est le seul garant.

    Enfin, il exerce une fonction d'arbitre. C'est d'ailleurs ce rôle de modération et de tempérance que Juan Carlos a joué en 1979. Plus généralement, le roi est là pour appeler au peuple pour trancher quand il y a un conflit entre les pouvoirs.

    Finalement, la monarchie constitutionnelle est le régime le plus libéral au sens politique du terme. D'ailleurs en France au XIXème siècle, les libéraux comme Constant ou Tocqueville ne s'y étaient pas trompé et appelaient à la création d'une monarchie parlementaire, plus propre à préserver les libertés individuelles.

    Les rois, princes et princesses sont souvent réduits à la peoplisation. Ces régimes politiques sont-ils en train de se réduire à un simple folklore?

    La peoplisation touche l'ensemble des politiques, et même la sphère religieuse, avec la peoplisation récente du pape François. Mais les monarques ne sont pas réductibles au papier glacé de Point de vue : si c'étaient le cas, ils auraient été remplacés depuis longtemps par des stars de cinéma. S'il y a une telle persistance et une telle continuité de ces régimes, et un tel consensus au sein des populations, c'est bien qu'ils reposent sur un socle profond.

    On accuse souvent les monarchies parlementaires d'avoir un coût élevé pour le contribuable: est-ce une réalité?

    Cette accusation est une blague! En effet en termes économiques, les monarchies rapportent bien plus qu'elles ne coûtent! Regardez le mariage de William et Kate, il a coûté plusieurs dizaines de millions de livres…mais en rapporté plusieurs centaines (tourisme, etc..). Sans parler de la principauté de Monaco, qui doit son essor économique à la famille royale…

    Quand on voit le prix exorbitant d'une campagne présidentielle (révélé dernièrement par l'affaire Bygmalion), on se dit qu'un roi héréditaire couterait presque moins cher..

    Justement, à vous entendre, on a l'impression qu'un régime politique ne pourrait survivre sans monarque. Est-ce le cas de la France également?

    Evidemment. Dans l'esprit du Général, la Vème République était conçue comme une «monarchie républicaine», où le Président jouait le rôle d'une «espèce de monarque». Il savait que les régimes où il n'y a pas d'incarnation suprême, type IVème République, sont les plus instables. Le président français est un monarque constitutionnel. L'article 5 de la Constitution de 1958 exprime clairement le rôle d'arbitre que j'évoquais, au dessus des pouvoirs, des partis, en lien direct avec le peuple. Voilà pourquoi la «présidence normale» est une aberration: un roi normal, ça n'existe pas!

    Dans ce cadre l'abdication signe-t-elle une forme d'échec politique, ou s'inscrit-elle logiquement dans les institutions?

    L'abdication est un «plus» pour la monarchie. Le roi, qui n'est pas soumis aux aléas politiques a une possibilité de renoncement. On l'a vu avec Benoit XVI, chef de la monarchie catholique, on le voit avec Juan Carlos: quand le roi se sent trop faible pour gouverner, quand il sent que rester en place pourrait nuire aux institutions, il peut renoncer à son trône. C'est ce qu'avait fait de Gaulle en 1969, preuve ultime qu'il se considérait bien comme un monarque.

    Réf.Espagne, Pays-Bas, Royaume-Uni à quoi servent encore les monarchies ?

    Frédéric Rouvillois est professeur de droit public et écrivain. Il a publié de nombreux ouvrages sur l'histoire des idées, notamment L'invention du Progrès, aux origines de la pensée totalitaire (CNRS éditions, 2010), ainsi que des essais sur la politesse, le snobisme et les institutions, et plus récemment Une histoire des best-sellers (Flammarion, 2011). Son dernier livre Crime et utopie, une nouvelle enquête sur le nazisme, a été publié chez Flammarion.

    JPSC 

  • Namur en mai : messe artistique et cadre traditionnel

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    2bad39ee-e9a3-11e3-a8c8-920eb2b15da6_original.jpg.h380 (2).jpgLa messe des artistes a été remise au programme de Namur en mai pour la 2e fois. Le rendez-vous était à l’église Saint-Loup. Extrait de "Vers l'Avenir":

    "Le marteau de taille de Bernard Tirtiaux a résonné hier matin à l’église Saint-Loup. Il n’était pas le seul artiste à avoir investi ce lieu de prière: chanteurs, accordéoniste, flûtiste, guitariste et même un joueur de cornemuse ont participé à la messe des artistes organisée dans le cadre de Namur en mai.

    La célébration dominicale était donc plus originale que les messes traditionnelles grâce aux prestations principalement musicales des artistes présents. Mais pour le père Charles Delhez, aumônier de l’Université de Namur, qui célébrait l’office, la particularité de la célébration ne se trouve pas uniquement dans cette invitation de l’art dans l’église. «L’originalité de cette messe, c’est qu’elle ne rassemble pas seulement des pratiquants. D’autres personnes qui ne sont pas croyantes y participent aussi. »

    Du chapiteau à l’église Saint-Loup

    Ce sont Dominique Ferir, le Père Charles Delhez et Jean-Félix et Nathalie Tirtiaux qui ont décidé de remettre la messe des artistes au programme l’an dernier. Ceux qui étaient présents se souviennent d’un office haut en couleur sous chapiteau avec notamment des jongleurs et pas mal de passage. Cette année, artistes et assemblée se sont installés dans un lieu plus traditionnel, l’église Saint-Loup.

    À la fin de la célébration, le père Charles Delhez et le président du festival Michel Binstok étaient d’accord pour dire que la messe sous chapiteau correspondait plus à l’esprit du festival Namur en mai. «Ici, à l’église Saint-Loup, des siècles sont rassemblés dans les pierres, commente le père Charles Delhez. C’est un lieu fort en histoire. Mais pour être franc, j’aimais beaucoup le chapiteau. » Et Michel Binstok d’ajouter: «On retrouvait plus l’esprit saltimbanque l’an dernier. »

    Que ce soit sous chapiteau ou dans l’église, la messe des artistes semble bien réinstaurée au programme de Namur en Mai."

    Ref. Namur en mai : messe artistique et cadre traditionnel

     Nous connaissons tous ce genre de célébrations « créatives », avec ou sans talents artistiques, c'est selon. La question qui importe est toujours la même : qui célèbre-t-on exactement ? JPSC