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Economie - Page 35

  • Trop d'hommes sur terre ? Une enquête au coeur de l'eugénisme

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    Hors-série n°13

     Enquête au coeur de l'eugénisme
     
    Sommes-nous trop nombreux sur terre ?

    Et s’il y avait neuf milliards d’hommes sur terre en 2050, pourrions-nous nourrir tout le monde ?

    La terre aurait-elle encore suffisamment de ressources exploitables ?

    L’inquiétude est contagieuse, celle de voir les habitants de la terre devenir ses envahisseurs gagne du terrain, nourrie à dessein par ceux qui savent que la peur est un moyen de coercition terriblement efficace.

    Comment cette idée de surpopulation a-t-elle émergé ? Quels sont ses vecteurs aussi bien culturels que politiques ? Qui sont les grandes figures de cette idéologie ?

    L’Homme Nouveau a sollicité des spécialistes de la question qui analysent le fantasme de la surpopulation avec l’intelligence de la science et la sagesse de la foi. On découvre au fil des pages les liens qui semblaient obscurs, entre une écologie dévoyée et la promotion de l’eugénisme portée notamment par l’Onu et affiliés.

    On y apprend comment cette idée que l’homme est un nuisible imprègne la culture occidentale jusque dans les manuels scolaires.

    Mais au-delà du décryptage, il s’agit aussi de proposer des pistes en vue d’une véritable reconstruction. C’est pourquoi ce hors-série n’analyse pas seulement le fantasme de la surpopulation ou le détournement de l’aspiration écologique. Il entend aussi donner des indications, à la fois justes sur le plan politique et conformes à la doctrine sociale de l’Église, pour mettre l’homme et la terre à leur juste place.

    Avec la collaboration de : Mgr Michel Schooyans, Gérard-François Dumont, le Père Joseph-Marie Verlinde, Joseph Pearce, Anne-Marie Libert, Vincent Badré, Steven Mosher, Falk van Gaver, Michel Fauquier, Jon Merrill, Armelle Signargout, Adélaïde Pouchol, Philippe Maxence...

    64 pages couleur - 7 € (port offert)

  • Ecologie Humaine : le témoignage d'une étudiante

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    Lu sur la newsletter d'"Ecologie Humaine" :

    J'ai choisi d'être "étudiante Ecologie Humaine" !

        L’on a beaucoup parlé de nous, les « jeunes », toute l’année passée, comme la génération qui s’est levée, réveillée, qui s’est dressée et se dresse encore contre les injustices faites à la personne humaine. Pourquoi ce focus sur la jeunesse ? Parce que comme on le dit communément, à 20 ans, 25 ans, lorsqu’on est étudiant, « on a la vie devant nous » (mais qui sait ?), parce que nous avons cette capacité à être attirés, animés, par les grands projets, les grands idéaux. Parce que nous nous sentons la force et l’enthousiasme de mener de grands combats, de servir de grandes causes. Tout ceci est vrai. Et désormais, nous sommes surtout nombreux à être animés par un désir d’engagement, par des choix devenus prioritaires : prendre soin de l’homme, tout l’homme et tout homme, comme mesure de toutes choses. Vivre l’écologie humaine.. 

        Etudiante ? Ecologie humaine ? De quoi parle-t-on ?

    Vivre l’écologie humaine, placer l’homme au cœur de ses décisions, voilà un état d’esprit, une philosophie qui prend un sens particulièrement riche au moment des études, qui correspondent à l’âge des choix de vie. Etant étudiante en Ecole de commerce, je ne peux me dérober devant des questions cruciales et passionnantes comme le respect de la personne en entreprise, les conditions de travail, le sens de mon futur métier, les valeurs que j’estime non-négociables… Est-ce que j’accepterais de travailler 60 heures par semaine, si j’ai la possibilité de ne pas le faire ? Pourrai-je choisir un travail qui ne respecte pas la dignité de la personne, directement ou indirectement ?

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  • Quand l'Agence européenne des médicaments prend fait et cause pour la pilule

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    Lu sur "Santé nature Innovation" (Jean-Marc Dupuis)

    Pilules : circulez, y a rien à voir !

    L'Agence européenne des médicaments a publié un communiqué le 12 octobre 2013 expliquant que « les bénéfices de tous les contraceptifs oraux combinés (COC) continuent d’être supérieurs aux risques ».

    Ce communiqué a été très largement relayé par la presse.

    L'Agence européenne des médicaments continue donc à recommander les pilules de 3e et 4e génération. Elle enfonce le clou après avoir déclaré, en mai dernier, être en faveur d'un maintien sur le marché européen de l'antiacnéique Diane 35, souvent prescrit aux adolescentes pour faire office de contraceptif.

    Ces médicaments augmentent pourtant fortement le risque d'embolie pulmonaire, de cancer du sein et de l'utérus.

    Pourquoi vouloir faire courir des risques aux femmes ?

    Pour les médicaments habituels, qui traitent un problème de santé, le rapport bénéfices/risques correspond aux chances de guérir par rapport au risque d'effets secondaires.

    Par exemple, si un médicament a 50 % de chance de soulager l'arthrose et 10 % de risque de donner mal à la tête, on jugera que le rapport bénéfices/risques est positif.

    C'est le rôle d'une agence comme l'Agence européenne du médicament d'éclairer le public sur ce point. Chacun peut ainsi choisir ses médicaments, sans dépendre de ce qu'affirme le fabricant.

    Mais la pilule n'est pas un médicament comme les autres.

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  • La nourriture jetée est volée de la table des pauvres

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    A l'Onu, Mgr Chullikatt dénonce un gaspillage "scandaleux" de nourriture

    Sur Radio Vatican

    Combattre la faim dans le monde en dépassant les exclusions sociales et en promouvant la justice et le respect pour chaque être humain : c’est la recommandation faite mardi soir par l’archevêque Francis Chullikatt, l'Observateur Permanent du Saint-Siège à l’ONU, lors de la seconde commission sur le développement agricole et la sécurité alimentaire de la 68°session de l’Assemblée générale des Nations Unies à New-York.

    « 1,3 milliards de tonnes de nourriture sont gaspillés chaque année ». Mardi soir, Mgr Chullikatt a fait sien les propos du pape en soulignant que « lorsque la nourriture est jetée, elle est volée de la table des pauvres ».

    La faim causée par l'exclusion sociale

    « Les niveaux actuels de production sont suffisants pour nourrir tout le monde, mais des millions de personnes souffrent encore de faim (...) Ceci est vraiment scandaleux », a estimé l'Observateur Permanent du Saint-Siège à l’ONU. Selon lui, « La faim, comme toutes formes de pauvreté, est causée par l’exclusion sociale ».

    Mgr Chullikatt, citant de nouveau le Pape François, a ainsi demandé à ce que soient dépassées « les tentations du pouvoir, de la richesse et de l’intérêt personnel pour servir la famille humaine. » Cela signifie tout mettre en œuvre pour « promouvoir une vigne digne pour tous. » Cela signifie « penser à combien sont ceux qui sont en marge de la société et au bien-être des générations présentes et futures ».

    L'accès à la nourriture, une arme pour dominer un peuple

    L'Observateur Permanent du Saint-Siège à l’ONU a invité à mettre en rapport le thème de la sécurité alimentaire avec celui de la discrimination et de l’accès à la nourriture pour tous. Il dénonce : « trop souvent l’accès à la nourriture devient une arme pour contrôler ou dominer les peuples, plutôt qu’un instrument pour construire des communautés pacifiques et prospères ».

    D’où certains principes fondamentaux pour une distribution effective de la nourriture : tout d’abord, le principe de subsidiarité qui signifie concevoir les « activités humaines au niveau plus local et direct possible pour assurer la participation maximum ». Donc, « les réalités les plus grandes ont la responsabilité de supporter les plus petites » recommande le prélat. Et ce dernier souligne ensuite que la subsidiarité ne signifie pas seulement donner de la nourriture aux personnes, mais les aider à être autosuffisants. En définitive, Mgr Chullikatt précise que « la faim est un problème humain qui demande des solutions basées sur l’humanité commune. »

  • Comme à Rome, à la veille de sa chute ?

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    Lu sur Contrepoints :

    Sommes-nous Rome à la veille de sa chute ?

    En accroissant démesurément le pouvoir de l’État au détriment de la responsabilité individuelle, nous faisons la même erreur que Rome il y a des siècles.

    Par Damien Theillier.

    Are We Rome ? Tel est le titre d’une étude fort intéressante de Lawrence Reed, président de la Foundation For Economic Education (USA). C’est aussi le titre qu’ont choisi les organisateurs de la FreedomFest à Las Vegas, cette année.

    Pourquoi Rome a-t-elle décliné puis finalement chuté ? Reed explique que l’Empire romain fut un régime militaire parasite, qui ne pouvait survivre que par un afflux permanent de richesses pillées à l’extérieur, des prisonniers réduits en esclavage et des terres volées.

    En effet, l’enrichissement de l’aristocratie romaine ne provenait que du butin des invasions et non d’une quelconque création de valeur. Avec la fin des conquêtes et les rendements décroissants des pillages, l’administration dut cependant recourir de plus en plus au pillage interne pour satisfaire son besoin de richesses, ce qui entraîna un appauvrissement général de la population de l’Empire

    Au premier siècle avant Jésus-Christ, Rome est passée d’une république dotée d’un régime relativement libéral à la dictature de Jules César, avec un tiers des habitants au chômage. C’est l’époque où le parallèle avec notre époque est vraiment frappant.

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  • « Humanisme chrétien, travail et société »: Mgr Delville inaugure un nouveau cycle de lunchs débats à l'Université de Liège

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    Avec le concours du forum de conférences « Calpurnia »

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      Université de Liège, Rectorat, Place du XX août 

    Le prochain cycle de « lunchs débats » organisé à l’Université de Liège par l’Union des Etudiants Catholiques et le Groupe de réflexion  sur l’éthique sociale  aura pour thème « Humanisme chrétien, travail et société ». L’objectif est de mieux cerner le concept d’humanisme dans le cadre de l’anthropologie chrétienne et de mettre en lumière quelques conséquences pratiques pour le développement de la personne et de la société, en récusant tout déterminisme économique et social.

    De novembre 2013 à octobre 2014, six conférenciers issus du monde tant académique, que religieux,  politique, économique et social apporteront leur témoignage.

    C’est le nouvel évêque de Liège, Monseigneur Jean-Pierre DELVILLE, qui inaugurera le cycle par un lunch-débat sur « l’Humanisme dans l’engagement social de l’Eglise, hier et aujourd’hui » 

     

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    le mardi 26 novembre 2013 à 18h00

    à la Salle des professeurs dans le bâtiment du Rectorat de l’Université de Liège, Place du 20 Août, 7, 1er étage (accès par l’entrée principale) Horaire : apéritif à 18h00 ; exposé à 18h15 : lunch à 19h débat de 19h30 à 20h30. (P.A.F : 10 € par réunion).

    Inscription obligatoire trois jours à l’avance par e-mail info@ethiquesociale.org ou tél. 04.344.10.89

    info@ethiquesociale.org  - www.ethiquesociale.org

     Union des étudiants catholiques de Liège : Jean-Paul Schyns, Quai Churchill, 42,  4020 Liège  (tél. 04 344 10 89 ; jpschyns@skynet.be)

     Groupe de réflexion sur l’éthique sociale :   Elio Finetti, Quai Orban 34, 4020 Liège (tél. 0475 83 61 61; finetti@ethiquesociale.org) 

    Calpurnia - Forum de conférences, débats :Philippe Deitz, Rue Henri Maus, 92, 4000 Liège  (tél. 04 253 .25.152515 ; calpurnia.musee@gmail.com)

  • Euthanasier coûte moins cher que d'investir dans les soins palliatifs

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    Au Québec, l'euthanasie (qu'on appelle là bas "aide médicale à mourir") serait privilégiée pour des raisons financières (synthèse de presse quotidienne de gènéthique.org)

    Sur le site internet d'information lapresse.ca, un médecin de famille canadien, Paul Lefort, publie une tribune dans laquelle il dénonce le recours à l'euthanasie et explique qu'un tel acte "prend sa justification dans l'incapacité de la médecine à soulager, à défaut de guérir les conséquences inacceptables d'une maladie incurable". Cette tribune intervient à la suite du récent dépôt, par le Gouvernement québécois, d'un projet de loi visant à autoriser l'aide médicale à mourir (Cf Synthèse de presse Gènéthique du 13/06/2013). 

    Le médecin de famille souligne que "l'échec du traitement ne reflète pas une impuissance médicale, mais un refus de soutien financier privant quatre malades sur cinq de l'accès aux soins palliatifs". D'ailleurs, il tient préciser que souvent "on considère [...] la procédure de l'euthanasie beaucoup plus économique que les services de soins palliatifs". 

    Alors que 80% des patients n'ont pas accès aux soins palliatifs, Paul Lefort estime que la vraie question est la suivante: "l'euthanasie est-elle une procédure acceptable pour résoudre le problème du sous-financement et du manque d'accès aux soins palliatifs?". 

    Le 15 octobre dernier, la Coalition des médecins pour la justice sociale a également tenu à dénoncer ce projet de loi en soulignant que le gouvernement québécois souhaite par ce biais "favoriser l'euthanasie pour des raisons économiques plutôt que d'investir dans les soins palliatifs" (Cf Synthèse de presse Gènéthique du 17/10/2013).

  • Vous avez dit : "art contemporain" ?

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    Philippe Kersantin, sur L'Homme Nouveau, rend compte d'un livre d'Aude de Kerros consacré à l'art contemporain :

    Aude de Kerros règle son compte à l'art contemporain

    Un homme se promène dans un musée d’art contemporain, et s’arrête devant une œuvre. Il l’observe avec intérêt : des pots de peinture ouverts, un pinceau qui traîne à côté, un escabeau replié... Il manque pourtant quelque chose. Notre visiteur cherche partout du regard cet objet si précieux qui fait défaut à l’œuvre, et ne la trouve pas.

    Vous cherchez quelque chose, monsieur ?

    Oui. Comment s’appelle cette œuvre ?

    Ah, monsieur, lui répond-on, ce n’est pas une œuvre d’art, c’est mon matériel de peinture !

    art.jpgCette petite plaisanterie contre l’art contemporain est bien connue. Cesar Santos, un peintre figuratif qui s’est fait une spécialité de ridiculiser ce soi-disant art, a pris un malin plaisir à la représenter sur une de ses toiles [Instalacion, no tocar (Installation, ne pas toucher) On pourra trouver une reproduction de cette toile ici]. Elle ne manque ni de piquant ni de profondeur, car elle pose la question la plus importante : qu’est-ce qu’une œuvre d’art contemporain ? Qu’est-ce qui fait des empilements de vêtements de Boltanski au Grand Palais (Voir par exemple ici) une œuvre d’art alors que nous pouvons trouver la même chose dans notre buanderie ? C’est à cette question que répond Aude de Kerros dans son livre, L’Art caché (Eyrolles, 318 p., 24 €).

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  • Plaidoyer pour une révolution européenne

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    Une renaissance européenne est possible

    Lu sur LA CROIX (Edouard Tétreau)

    En renonçant à ce que l’Europe a de meilleur, son humanisme et son profond altruisme, les Européens ont tourné le dos à ce qui les caractérisait. Pour ne pas disparaître aux yeux du monde, un sursaut est indispensable, estime un économiste français.

    Une Europe plus petite dans un monde global ? Il s'agit d'une évidence historique. Oui, l'Europe, et avec elle l'Occident, est devenue plus petite dans un monde plus global. Et pourtant ... elle est immense ! Si l'on admet que les chiffres suivants ne sont pas des statistiques de propagande, l'Europe, en 2013, c'est : 500 millions d'habitants; 4,5 millions de kilomètres carrés; un PIB de 18 000 milliards de dollars, supérieur à celui des États-Unis, trois fois supérieur à celui de la Chine. Une épargne financière disponible pour la zone euro de 12 000 milliards d'euros !

    Serait-on en face d'une Europe-Gulliver enchaînée par de médiocres Lilliputiens qui seraient : les Etats eux-mêmes, leurs égoïsmes et la compétition des intérêts nationaux empêchant l'émergence d'une Europe unie et grande ? La somme des intérêts particuliers, industriels et financiers, qui manoeuvreraient l'Europe à leur guise, l'emberlificotant dans les rets et les fils de lobbies bien organisés ?

    La liste est longue des Lilliputiens de ce Gulliver enchaîné que serait l'Europe. On pourrait aussi l'allonger des “boucs émissaires” que l'Europe a toujours su convoquer dans son histoire, pour s'absoudre de ses propres échecs et impuissances. Et si le rabougrissement, l'impuissance et l'échec de l'Europe n'étaient pas l'oeuvre d'un grand complot contre l'Europe ?

    Lire la suite sur La Croix

  • A Liège : une académie pour entrepreneurs sociaux

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    Lu sur la Libre du lundi 15 octobre cet article qui rend compte d'une initiative visant à concilier l'économique et le social :

    L’académie pour entrepreneurs sociaux (BOUTSEN BRUNO)

    ECONOMIE - Entrepreneuriat

    Business et social : deux termes qui, a priori, ne vont pas vraiment ensemble. Mais, depuis plusieurs années, il est un secteur qui a, pour ainsi dire, le vent en poupe en Belgique, à savoir l’économie dite sociale. Bien entendu, ce secteur est à la croisée du marchand et du non-marchand et il recouvre de multiples formes, ce qui le rend donc parfois difficile à cerner pour le commun des mortels. Compte tenu d’une multiplication constatée des initiatives en la matière et du poids économique de l’économie sociale, qui représenterait entre 250 000 et 300 000 travailleurs et environ 15 000 entreprises, le Centre d’économie sociale de l’Université de Liège (ULg) vient de porter sur les fonts baptismaux une Académie. Dédiée aux entrepreneurs sociaux et conçue comme une plate-forme, cette dernière a été lancée officiellement, mercredi dernier, par le Centre d’économie sociale de l’ULg, fondé en 1993 par le Professeur Jacques Defourny et qui constitue, aujourd’hui, le plus important centre de recherches existant au sein de l’Alma Mater liégeoise. Ainsi qu’expliqué par Sybille Mertens et Benjamin Huybrechts, professeurs aux HEC et coordinateurs du projet, la structure créée correspond à un besoin de fédération et de structuration du secteur et son but est de rassembler les activités de formation, de soutien et de mise en réseau des entrepreneurs sociaux développés par le Centre ad hoc.

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  • La lettre d'information de l'Observatoire socio-politique du diocèse de Fréjus-Toulon (octobre 2013)

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    logo letter.jpgTous les mois, La Lettre de l'Observatoire sociopolitique du diocèse de Fréjus-Toulon propose un regard d'Eglise sur les grandes questions de société. Faites-la découvrir à vos amis !

    CANDIDE AU PAYS DES PAPES

    Par P. Louis-Marie Guitton, responsable OSP

    SORTIR DE L'éCONOMIE ?

    Par Falk van Gaver, délégué OSP

    SVT : UNE SCIENCE LIBRE AU SERVICE DE LA VIE (II)

    Par Pierre-Olivier Arduin, responsable bioéthique OSP

    ACTUALITé SUR LES OGM

    Par Philippe Conte, responsable environnement OSP

    HANNAH ARENDT OU LE SOUCI DU MONDE

    Par Falk van Gaver, délégué OSP

    Y'A DE LA JOIE !

    Par la Mouche du Coche

    DéFENDRE LA FOI AUJOURD'HUI ?

    Entretien avec Jean-Michel Castaing

  • Les pays pauvres et le vieillissement de leur population

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    Friday-Fax-Header-French.jpgUn rapport de presse montre comment les pays pauvres combattent le vieillissement

    NEW YORK, 11 octobre (C-FAM) Dans leur jeunesse, on leur avait promis abondance et sécurité. Maintenant qu’ils sont vieux, ils sont confrontés à leur ruine et leur faillite.

    Les pays pauvres ne sont pas prêts à faire face au phénomène mondial du vieillissement démographique, explique le nouvel index sur le vieillissement conçu par l’organisation HelpAge International. Malgré le ton optimiste de cette association, les données les concernant sont alarmantes. Leur population active est sur le déclin, et ne sera pas en mesure de nourrir les personnes âgées. Ils ont grand besoin de ressources pour financer les retraites et les systèmes de santé publique nécessaires au soutien de populations qui vieillissent rapidement.

    Le vieillissement est un phénomène mondial. Mais les pays pauvres vieillissent plus rapidement à cause de la mise en œuvre de politiques de planning familial et de contrôle démographique agressives.

    Depuis des décennies, les pays riches et leurs philanthropes promettent aux pays pauvres un « dividende démographique » comme résultat de ces politiques. Le dividende représente le revenu additionnel que les familles auraient dû gagner en ayant moins d’enfants. Dans l’histoire, les pays pauvres ont respecté leur engagement. Les dépenses mondiales dans le domaine démographique, qui ont eu pour effet de diminuer la natalité, ont atteint le sommet des 60 milliards de dollars l’année dernière. De nombreux pays ont désormais un taux de natalité inférieur au taux de remplacement, les femmes ayant moins de deux enfants en moyenne. Certains pays, en particulier en Asie, ont fait de grands progrès de développement. Mais ils font face au même problème aujourd’hui. Le monde vieillit, et presque personne n’est prêt à faire face à cette situation.

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