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Europe - Page 160

  • Royaume-Uni : le prince Charles va-t-il se convertir à l'Islam ?

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    Nous lisons sur le site musulman Saphir.news.com :

    Le prince Charles bientôt converti à l'islam ?

    Le prince Charles, héritier de la couronne britannique, et son épouse Camilla Parker Bowles sont actuellement en visite au Moyen-Orient. 

    L'occasion pour Camilla de parler de l'intérêt que porte son mari pour l'islam, rapporte des magazines people britanniques. Le prince, qui a commencé à apprendre l'arabe, désirerait se familiariser avec le Coran, aurait déclaré son épouse. 

    Selon la presse, cette déclaration a surtout pour but d'attirer l'attention sur elle et son couple au détriment de Kate Middleton, dont la grossesse fait les belles heures des paparazzis. Cette dernière, très attachée au christianisme, n'aurait d'ailleurs pas apprécié et considérerait que Camilla veut encore embarrasser la famille royale. 

    Il faut dire que ses propos alimentent une nouvelle fois la rumeur autour d'une probable conversion du prince héritier à l'islam alors que son statut ne l'y autorise pas car la famille royale dirige l'Eglise anglicane. Toutefois, son intérêt pour l'islam perdure visiblement

    Après une visite en Jordanie puis au Qatar, le couple est arrivé, vendredi 15 mars, en Arabie Saoudite, non sans controverse, deux jours après l'exécution de sept jeunes hommes condamnés à mort

    Dans le royaume saoudien, le prince Charles a pu s'entretenir avec le prince héritier saoudien, Salman ben Abdel Aziz, ainsi qu'avec le prince Al-Walid ben Talal. Il a également eu, dimanche 17 mars, un entretien à Jeddah, à l'ouest du pays au siège de l'Organisation de coopération islamique (OCI)

    Le secrétaire général de l'OCI, Ekmeleddin Ihsanoglu, a évoqué avec le prince Charles « les programmes et les activités de l'OCI en faveur du développement agricole, de la sécurité alimentaire et de la lutte contre la désertification », selon un communiqué de l'organisation. 

    Quant à Camilla, la duchesse de Cornouailles, elle a pu aller à la rencontre des 30 femmes entrées récemment au Parlement saoudien

    Leur tournée au Golfe s'achèvera au sultanat d'Oman. 
  • Gaytés du moment

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    Nous lisons ICIUn lord veut préserver la monarchie du mariage gay

    Un membre de la Chambre des lords a déposé un amendement qui permettrait d'obtenir la garantie que l'héritier du trône sera toujours l'enfant biologique d'un père et d'une mère.

    La Chambre des lords n'a pas d'immenses pouvoirs mais elle se montre toujours soucieuse du respect des traditions britanniques. Alors que les députés ont adopté le projet de loi sur le mariage gay, des membres de la Haute Assemblée s'émeuvent de ses conséquences sur la monarchie. Dans le cadre de l'examen de la modification des règles de succession, autorisant une fille aînée à régner même si elle a des frères, lord True, pair conservateur, a proposé un amendement pour qu'un héritier du trône soit explicitement désigné comme l'enfant d'un mariage hétérosexuel.

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  • Euthanasier des déments, une priorité dans le Benelux

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    A l'heure où cela se discute au Parlement belge (voir ICI), cette question est également à l'ordre du jour aux Pays-Bas. Jeanne Smits titre : 

    Pays-Bas : la ministre de la Santé au secours de l'euthanasie des déments

    La campagne d'agitation néerlandaise pour l'euthanasie des déments a abouti à une initiative parlementaire et ministérielle. Sur la demande de la commission permanente de la Santé publique, du Bien-être et des Sports, le ministre compétent vient d'adresser une lettre à la Deuxième Chambre pour exposer les données de la question et faire des propositions. Edith Schippers veut renforcer le dialogue entre médecins et patients et mettre en place des procédures permettant aux personnes déjà démentes de « bénéficier » d'une mise à mort demandée alors qu'elles étaient encore en état d'exprimer leur volonté, fût-ce de manière parcimonieuse…

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  • L’Europe a besoin d’une dimension sociale

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    « L’Europe a besoin d’une dimension sociale » (COMECE)

    Tel est le message adressé par les représentants d’Eglises à la présidence irlandaise de l’UE

    Communiqué joint Conseil irlandais des Eglises - CEC-COMECE 08/03/2013

    La Gouvernance économique européenne doit être contrebalancée par une dimension sociale, selon les Eglises en Europe. A l’occasion de leur rencontre avec la Présidence irlandaise de l’UE ce matin (vendredi 8 mars), les Eglises ont interrogé la pertinence d’une discussion sur l’austérité économique qui ne tiendrait pas compte des mesures de cohésion sociale. Elles ont affirmé que les efforts visant à éradiquer la pauvreté structurelle et les inégalités devraient également être pris en compte lorsqu’il s’agit de mesurer les progrès économiques.

    Tel était le message principal de la délégation de représentants d’Eglises d'Irlande et d'Europe lors de leur rencontre avec le Taoiseach Enda Kenny (le Premier ministre irlandais) dans les locaux du gouvernement. La rencontre s'inscrivait dans la tradition de rencontres régulières entre les Eglises et le présidences tournantes de l'UE.

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  • Euthanasie, avortement, recherche sur embryon : une moisson d'infos sur génèthique

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    Sommaire de la semaine

  • Le patriarcat orthodoxe de Moscou réagit aux nouvelles lois anglaise et française concernant la famille

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    Déclaration du Service de communication du DREE (Département des Affaires Ecclésiastiques Extérieures du Patriarcat de Moscou) sur les dernières modifications de la législation familiale en France et en Grande-Bretagne :

    Le processus de légalisation des unions homosexuelles se poursuit en Europe. Des projets de loi allant dans ce sens ont récemment été approuvés par les chambres basses des parlements français et britannique. Ceci se déroule non seulement contre l’opinion d’une partie des députés, mais sur fond de manifestations de protestation massives de la part des citoyens.

    Ces décisions prises dans le domaine législatif témoignent du bouleversement qui se produit dans la conception du mariage en tant que tel au sein des sociétés européennes. La reconnaissance juridique des unions homosexuelles et leur assimilation au mariage est une révolution dans la sphère des normes législatives régulant les relations familiales, y compris celles concernant l’imposition fiscale, l’instruction, la santé, l’éducation des enfants, etc.

    La légalisation des unions homosexuelles est une étape dans le processus qui consiste à donner un sens entièrement nouveau au mariage et à la famille, diamétralement opposé à la conception chrétienne. A l’origine, ce processus est à mettre en relation avec la complaisance envers l’individualisme et l’hédonisme au niveau de la société, de l’état et, en définitive, de toute l’humanité.

    Dans les pays s’étant engagés dans une révision radicale de l’éthique familiale traditionnelle, ce processus a entraîné une crise démographique gravissime empirant d’année en année. La révision des normes fondamentales du droit familial, dont a vécu la communauté humaine durant des siècles et qui figurent toujours dans le code moral des principales religieux mondiales, conduit à l’auto-liquidation de peuples entiers.

    En ce sens, la norme législative permettant aux couples homosexuels d’adopter et d’élever des enfants paraît particulièrement dangereuse. Il va de soi que ces enfants envisageront les parents, la famille, les valeurs morales et civiques d’une façon très différente de la conception traditionnelle. Ceci favorisera une érosion toujours plus grande des différences entre les sexes et, dans l’avenir, le rejet de l’image de la femme comme mère, épouse et gardienne du foyer dans la conscience populaire. Le renoncement définitif à une représentation selon laquelle l’homme et la femme ont leur vocation propre et se complètent mutuellement dans la vie familiale risque d’avoir des conséquences destructives pour l’homme et pour la société.

    L’Église orthodoxe russe maintient et défend la conception chrétienne originelle du mariage et de la famille, bénit les unions conjugales par un Sacrement et affirme l’importance du mariage pour la prospérité et le développement de la société en général.

    Notre Église exprime sa solidarité avec les chrétiens, les adhérents d’autres religions ainsi que les personnes défendant une idéologie athée qui restent fidèles à la conception traditionnelle du mariage comme union d’un homme et d’une femme et s’élèvent contre toute autre représentation du mariage imposée à toute la société – par une réforme juridique radicale – n’ayant aucun précédent dans l’histoire de l’humanité.

    Comprenant le danger de ces processus, nous estimons qu’il est important de développer le dialogue avec toutes les forces civiles, religieuses ou areligieuses, défendant les représentations traditionnelles des valeurs familiales. Ce critère est l’un des plus importants dans le choix que fait l’Église orthodoxe russe de ses partenaires dans le dialogue interchrétien et interreligieux.

  • De Jean-Paul II à Benoît XVI : le point de vue de Chantal Delsol

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    « Un pape intellectuel :

     À  la fin du XXe siècle, nous avions à nous débarrasser du fléau communiste. Le choix d’un pape polonais a été bienvenu. Cet homme, comme on pouvait attendre d’un Polonais, était un soldat fervent, brave et joyeux. Il a contribué largement à nous débarrasser du fléau, et il a réuni la jeunesse en lui disant : maintenant que cela est passé, vous n’aurez plus peur de rien. Mais les temps qui s’ouvrent ensuite doivent faire face à d’autres tragédies. Le temps de la chrétienté est en train de passer. Cela ne veut pas dire que le christianisme s’effondre ou s’efface, ou plutôt, c’est plus compliqué que cela. Car le christianisme reste bien vivace dans d’autres continents, où même il se développe. Mais la chrétienté indique des terres, des pays, des sociétés, où le christianisme inspire la culture commune, où la morale générale est d’obédience chrétienne, où les lois répondent aux principes chrétiens, où la politique, l’économie, les mœurs sont influencées par l’Évangile. Cela ne signifie pas des théocraties. Les deux glaives restent séparés mais la tonalité des mœurs est chrétienne : par exemple, ce sont des sociétés où l’on ne jette pas dans l’Achéron les enfants surnuméraires. C’est bien cela qui est en train de se passer. Aussi un pape intellectuel, capable d’écrire sur la raison et la foi, sur le relativisme et le nihilisme, était-il le bienvenu. Son influence restera marquante, car le processus est loin encore de son achèvement ».

     Extrait du mensuel « La Nef », n0 246, mars 2013, p.25

    Chantal DELSOL, est delsol1.jpgprofesseur de philosophie politique à l’université de Paris-Est, et membre de l’Institut. Son essai remarqué sur « l’âge du renoncement » (Editions du Cerf, 2011) est encore dans toutes les mémoires. Elle sera l’invitée de l’Union des Etudiants Catholiques à l’Université de Liège le mardi 21 mai prochain : (bâtiment du rectorat, place du XX août, 7, 1er étage salle des professeurs) pour un lunch-débat  (à partir de 18h) sur le thème du mythe des droits de l’homme confrontés à la diversité culturelle. Plus de détails ici : www.ethiquesociale.org

  • Le primat d'Ecosse démissionne... et présente ses excuses (mise à jour 3.3)

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    Nous avions relayé un article de Radio Vatican (ci-dessous) annonçant la démission du cardinal O'Brien. Ce dimanche, on apprend qu'il a reconnu des manquements et présenté ses excuses. On s'abstiendra ici de faire des commentaires mais on peut se demander tout de même comment quelqu'un traînant derrière soi un passé aussi compromettant a pu accepter de telles responsabilités et de coiffer le chapeau de cardinal...

    Radio Vatican (25 février) : Démission du Cardinal O'Brien, chef de l'Eglise écossaise

    Le cardinal Keith O'Brien, chef de l'Eglise catholique d'Ecosse, qui devait participer au conclave chargé d'élire le nouveau pape, a démissionné juste avant d'accomplir 75 ans.

    Un communiqué du Vatican déclare : "Le Saint-Père a accepté le 18 février la démission de son éminence le cardinal O'Brien de la gouvernance pastorale de l'archidiocèse de Saint Andrews et Edimbourg (Ecosse), en conformité avec l'article 401, paragraphe 1 du Code de Droit Canon". 

    Le Cardinal Keith O'Brien a confirmé que sa démission avait effet immédiat et il a confirmé qu'il ne participerait pas au Conclave, en précisant:" Je veux éviter que l'attention des médias à Rome se concentre sur moi. Mais plutôt sur le pape Benoît XVI et sur son successeur".

    " Si je regarde les années de mon ministère, a-t-il ajouté, je remercie Dieu pour toutes les bonnes choses que j'ai pu accomplir. Pour mes échecs, je m'excuse auprès de tous ceux que je pu offenser".

    Keith O'Brien avait annoncé en novembre qu'il comptait démissionner de son poste d'archevêque de Saint Andrews et Edimbourg en mars 2013, à l'occasion de son 75e anniversaire. Mais "le Saint-Père a désormais décidé que ma démission prendrait effet aujourd'hui, le 25 février 2013", a déclaré le cardinal dans un communiqué.

    Le Cardinal O'Brien est accusé par trois prêtres et un ancien prêtre de comportement indécent, selon le journal britannique The Observer. Il conteste ces allégations qui ont été transmises à Rome une semaine avant l'annonce de la renonciation de Benoît XVI, le 11 février.

  • La renonciation de Benoît XVI : un point de vue oriental

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    C’est dans le grand quotidien libanais de langue française, « L’Orient-Le jour » sous la plume de Caroline Dagher journaliste de carrière née à Beyrouth, juriste de formation, analyste politique, auteur d'ouvrages politiques sur le Liban et le Moyen-Orient et de romans historiques couronnés par différents prix, édités sous forme d'une trilogie racontant la naissance du Liban moderne Membre fondateur du Centre Maronite de Documentation et de Recherche (CMDR) et du du secrétariat général du Synode Maronite  (juin 2004-juin 2007). Extraits :

    (…) La surprenante annonce du souverain pontife, considéré comme le vicaire du Christ sur terre, est certes, dans la forme, un acte de liberté et de vérité, deux principes qui lui sont chers. Mais sur le fond ? Un pape ne démissionne pas, comme le ferait le PDG d’une entreprise ou un responsable politique (encore que rarement a-t-on vu partir de leur plein gré ceux-là mêmes qui devraient le faire). À qui remettrait-il sa démission ? Au Bon Dieu qui lui a confié son troupeau ? Le successeur de Pierre n’est-il pas le « Saint-Père », le pasteur ? Un père abandonne-t-il ses enfants, un pasteur ses brebis, uniquement parce que « la vigueur du corps et de l’esprit s’est amoindrie » en lui ? Or, Benoît XVI, en théologien précis, a pesé ses mots, étudié sa sortie et en a clairement formulé les termes, lui qui a si bien médité le mystère du Logos et prêché « la culture de la parole ». Le verbe « renoncer » est brutal, direct. C’est pourtant le seul verbe auquel peut recourir un pape qui abandonne sa charge pontificale. En langage moderne, cela équivaut à « jeter l’éponge ».

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  • 700.000 pétitionnaires français envoyés sur les roses (mise à jour 27.2)

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    "Le Conseil économique, social et environnemental (CESE) a jugé mardi 26 février irrecevable sur le fond la pétition des opposants au texte de loi légalisant le mariage et l'adoption pour les homosexuels, rassemblés dans le collectif La Manif pour tous, qui souhaitaient l'ouverture d'un débat au sein de cette instance."

    Tout l'article est ici : http://www.lemonde.fr/societe/article/2013/02/26/la-petition-des-anti-mariage-gay-jugee-irrecevable_1839173_3224.html#xtor=RSS-3208

    Mais, quand on apprend que le président du CESE a contacté le premier ministre pour savoir que faire de cette pétition, on ne s'étonne plus...http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2013/02/27/01016-20130227ARTFIG00474-mariage-gay-quand-le-cese-sollicitait-l-avis-de-matignon.php

  • Comme ils sont vilains, les anti-IVG !

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    Le Figaro, organe de la bienpensance conservatrice, dénonce La stratégie insidieuse des anti-IVG sur le net. C'est renversant :

    Se présentant comme neutres et ressemblant à des sites officiels, des sites présentent l'IVG comme un acte douloureux et aux conséquences psychologiques irrévocables. (la suite sur le site du quotidien)

    Ainsi se trouvent dénoncées des initiatives visant à secourir des femmes tout en leur proposant d'autres solutions que le recours à l'avortement. Tout cela va-t-il aboutir à la criminalisation de ces initiatives soupçonnées d'abuser de la détresse ou de la naïveté des femmes pour les détourner de l'avortement ? Et ensuite à interdire ou à poursuivre ces horribles personnages qui s'obstinent à dire que l'IVG n'est pas insignifiante, que c'est bel et bien un acte douloureux, qu'il s'agit bien de l'élimination d'un petit d'homme et que la femme n'en sort jamais indemne ?

  • Des jésuites hongrois sous le pouvoir communiste

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    Jésuites hongrois sous le pouvoir communiste

    (source :  http://www.jesuites.com/2013/02/jesuites-hongrois-communisme/)

    Éditions Lessius ; traduit du hongrois par Thierry Monfils s.j., en collaboration

    Postface : Rudolf Rezsohazy

    Coll. Au singulier , n° 23 - 26,50 € -  400 p.    

    Pour acheter le livre

    Recueil de témoignages sur la vie des jésuites en Hongrie, alors que les pratiques religieuses étaient fortement réprimées et les ordres religieux interdits. Ce volume contient également une analyse des procès de jésuites sous le régime communiste.

    À peine voilée par une législation qui, en principe, autorisait l’exercice de la liberté religieuse, la pratique du pouvoir socialiste hongrois installé par les Soviétiques après la Seconde Guerre mondiale allait faire preuve d’une intolérance rigoureuse à l’égard de la religion : confiscation des biens, arrestations, procès, assignations à résidence, emprisonnements ou travaux forcés. Il s’agissait pour les communistes d’entraver les activités de l’Église et de hâter la disparition du phénomène religieux. Ces événements marquèrent l’Europe centrale dans sa chair.

    Dès 1950, un décret interdit les instituts religieux. Bon nombre de jeunes jésuites hongrois allaient progressivement trouver refuge à l’étranger pour y recevoir leur formation religieuse, avant de travailler dans les différentes régions du monde. Mais qu’advint-il de ceux qui étaient restés en Hongrie ? Leur persécution fut sévère, féroce même.

    Dans leur vérité toute simple, les souvenirs et témoignages recueillis ici par Ferenc Szabó offrent des récits de vies poignants. Comment les jésuites ont-ils, au milieu de cette tourmente, vécu leur vocation ? Dans la foi en Jésus-Christ, l’amour de l’Église, le service de leurs contemporains, sans rancune à l’égard de leurs persécuteurs et, même parfois, avec humour.

    Auteur
    Père Ferenc Szabó, sj, né en Hongrie en 1931, étudie la philosophie et la théologie au scolasticat jésuite d’Eegenhoven (Belgique). Docteur en théologie de l’Institut catholique de Paris (1966), il est nommé successivement directeur de la section hongroise de Radio Vatican, responsable de la revue Távlatok (Perspectives) et professeur de théologie dans des écoles supérieures et à l’Université catholique Pázmány Péter à Piliscsaba.